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Framablog : Framalibre : une ressource vous manque ? À vous de l’ajouter !

mardi 18 avril 2017 à 17:24

Nous vous avons récemment présenté la refonte de notre projet historique, l’annuaire de Framasoft. Comme tous nos outils, celui-ci n’aura de sens que si vous vous en emparez.

Voici le troisième et dernier tutoriel de cette série vous aider à découvrir, utiliser et participer à ce grand projet collaboratif. Cette semaine, on vous incite à participer à cet annuaire du Libre. En effet, comme une belle auberge espagnole (ou comme le 6e site web le plus visité au monde) : vous n’y trouverez que ce que vous y apporterez.

Créer une notice

une notice dans Framalibre

Voici un exemple de notice, une fois remplie.

Nous avons fait en sorte que ce soit le plus simple possible :

  1. Faites une recherche pour bien vérifier que la notice que vous voulez ajouter n’existe pas déjà ;)
  2. Créez-vous un compte (cf. tuto précédent)
  3. Connectez-vous à votre compte
  4. Cliquez sur « ajouter une notice » toujours présent dans une colonne latérale.

7 types de notices différentes

Le bouton « ajouter une notice » vous propose un choix déroulant qui vous mènera vers 7 formulaires différents. Il convient de choisir celui le mieux adapté au type de ressource que vous voulez présenter :

Notez que les types de ressources ne sont pas des catégories : vous pouvez très bien créer une ressource de type Média et la ranger dans la catégorie « électronique » car il s’agit par exemple d’un tutoriel sur un montage électronique. À vous de voir ce qui est le mieux approprié.

À remplir obligatoirement

Il y a quelques champs à remplir obligatoirement, car sans eux votre notice ne serait pas vraiment utile…

Les champs complémentaires :

Bien entendu, si les autres champs sont présents, c’est que nous les jugeons importants. Fournir un ou plusieurs visuels de votre ressource (capture d’écran, logo, photo, pochette, etc.) ou un résumé court est essentiel si vous voulez que sa notice donne envie d’en savoir plus.

N’hésitez donc pas à rechercher plus en profondeur (le site officiel ou la page wikipédia de la ressource, par exemple) afin de bien remplir l’ensemble des champs demandés… une fois le ou les visuels fournis, remplir une fiche peut prendre 5 minutes montre en main…

Des questions ?

La foire aux questions

Nous maintenons à jour une foire aux questions sur Framalibre afin de vous permettre de maîtriser le site en toute autonomie… Vous y trouverez des astuces pour créer votre notice, comme :

L’équipe de modération

L’équipe de modération recevra automatiquement les courriels envoyés grâce au formulaire accessible depuis le bouton « signaler un contenu ».

Bien sûr les possibilités de signalement sont limitées : c’est parce qu’elles ne concernent que les situations où le simple utilisateur n’est pas en mesure d’agir (doublons, malveillances, etc.).

S’il s’agit de modifier une notice, par exemple, vous pouvez le faire directement et même contacter le créateur de la notice.

Si vous désirez suggérer une amélioration technique de l’annuaire, vous pouvez contribuer en écrivant une issue sur le dépôt GIT du projet.

Pour rejoindre l’équipe de modération, il faut les retrouver sur le forum des bénévoles de Framasoft.

Modifier une notice (et le suivi de versions)

Si vous voyez une erreur, un manque, ou une information obsolète dans une notice, nous vous encourageons fortement à proposer une modification, c’est cela qui fait vivre l’annuaire et permet qu’il soit à jour !

Là aussi, vous devrez être connecté·e à votre compte Framalibre afin de pouvoir proposer des modifications.

vue d'une notice avec un compte connecté

Pour soumettre une mise à jour d’une notice, il suffit de cliquer !

 

Comment modifier une notice ?

  1. Allez sur la fiche de la notice
  2. cliquez sur l’onglet modifier au-dessus de la notice (à côté de l’onglet « Voir ») OU sur « Soumettre une mise à jour »
  3. Effectuez les modifications dans le formulaire.
  4. (optionnel) Relisez à l’aide de l’Aperçu, ou vérifiez les changements avec le bouton « Voir les modifications »
  5. Enregistrez votre mise à jour.

À chaque fois qu’une notice est modifiée, son créateur est prévenu par courriel. Il se génère aussi une archive de la notice dans sa version préexistante. Les différentes versions (l’historique des modifications et les noms des contributeurs) peuvent alors être visualisées et comparées (à la manière d’un wiki).

Ainsi à chaque fois que vous modifiez une notice, vous pouvez commenter votre révision, cela aidera le créateur à comprendre votre intention. Les révisions des notices (lorsqu’il y en a) sont accessibles en ajoutant le mot « revisions » (sans accent) à l’adresse de la notice, ainsi : framalibre.org/content/nom-de-la-notice/revisions

Une fois ma modification proposée…

Elle est automatiquement validée et le créateur originel est prévenu par courriel.

Dès lors, la personne ayant créé la notice pourra voir vos apports et interagir le cas échéant.

En cas de litige ou d’absence, notre équipe de modération fera de son mieux pour vous aider.

Pour aller plus loin :

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alterlibriste : En quelle instance faire confiance ?

mardi 18 avril 2017 à 16:54

Alors que beaucoup de monde semble trouver la perle rare en Mastodon, il peut être pertinent de se poser la question de la confiance que l’on a en son instance. Car une fois assimilé le fait qu’un réseau social décentralisé ne repose pas sur un gros acteur à qui l’on peut reprocher toutes les exactions (tout en profitant quand même de ses services), il faut savoir en qui on donne sa confiance pour assurer la sécurité, la modération, la continuité de service, etc.

Je ne suis pas encore intervenu sur Mastodon pour lequel certains s’extasient et d’autres émettent quelques doutes et je ne le ferai pas car je n’utilise pas ce genre de réseau ; j’ai beaucoup de mal avec ces bribes de conversations qui sont lancées dans l’arène publique avec des gens qu’on interpelle, des petites phrases qui se veulent percutantes, des liens raccourcis dont on ne sait pas où ils nous mènent. Difficile d’avoir de véritables échanges avec ce genre d’outil mais dans un monde de moins en moins inspiré par la prose où même un échange de photos devient un réseau social, ça semble plaire. Les articles les plus complets et argumentés que j’ai lu sont ceux d’Amaelle Guiton et de Philippe Scoffoni, enthousiastes mais lucides sur les limites du projet.

Néanmoins, même sans en avoir l’usage, j’en reconnais l’intérêt par rapport à un service comme Twitter pour son côté libre et décentralisé, seul l’avenir nous dira si le soufflé se dégonflera dans un gros prout ou continuera ses pouets. Par ailleurs, je peux en faire une petite analyse par rapport à mes expériences avec Diaspora* et GnuSocial. Je suis sur le premier depuis bientôt 3 ans, sur une instance de test, et j’ai fait une courte expérience du second en auto-hébergement.

L’avantage de la décentralisation, c’est que personne ne peut décider pour tout le monde et qu’on peut trouver une instance à son goût, quitte à la faire soi-même. Revers de la médaille, ça peut partir dans tous les sens. Il y a deux ans environ, Diaspora* a été confronté à ce problème avec des tas de comptes islamistes qui se sont créés et faisait de l’apologie pas forcément bienvenue, il a aussi été question de pédo-pornographie ainsi que du droit pour l’administrateur à faire la promotion d’une cause qu’il soutient. Quand la masse des Mastonautes nouveaux venus aura fini de s’extasier comme des pionniers d’un nouvel internet pur de toute publicité et d’idéologie, ces questions vont très rapidement se poser. Et la réponse est assez simple, c’est le propriétaire de l’instance qui est à la fois responsable et seul maître à bord. S’il décide de bannir des sujet ou d’en promouvoir d’autres, rien ne pourra l’en empêcher. Libre aux mécontents de changer de crèmerie si ces choix ne leurs conviennent pas.

Ici, intervient un facteur encore peu résolu dans les réseaux sociaux : celui de migration des comptes. Dans les grands silos non libres, la question ne se pose pas puisqu’on signe de notre sang que plus rien de ce qu’on y met ne nous appartient plus. Dans les réseaux libres et décentralisés, ce sont des fonctionnalités attendues de longue date mais bien peu implémentées. Ce n’est pas encore possible sur Diaspora*, il me semble que seuls les encore moins connus Hubzilla et Redmatrix le permettent.

En ce sens, un aspect de Mastodon assez peu abordé doit être souligné : le projet est très jeune. Même si les journalistes ont vite fait d’élire un nouveau Mark Zukerberg, un réseau social bâti par un jeune étudiant en à peine six mois n’inspire pas forcément une confiance sans limite, et le projet n’était peut-être pas prêt à une montée en charge aussi rapide. Les instances ont été prises d’assaut et n’étaient plus disponibles, beaucoup se sont inscrits de multiples fois trouvant toujours une meilleure instances : des tas de comptes se sont créés en doublons sans même la possibilité de les supprimer, les migrer est encore moins d’actualité. Il y a donc déjà beaucoup de comptes fantômes et une difficulté accrue de suivre quelqu’un qui déménage plus vite qu’il ne change de chemise.

Venons-en maintenant à la possibilité d’installer sa propre instance. Sans m’attarder sur les technologies utilisées sur lesquelles je ne peux me prononcer (mais qui sont forcément critiquées par ceux qui ne les aiment pas), ni sur le côté pas forcément user-friendly ou propre de la méthode, toujours est-il que cela est possible et que même Debian va proposer les paquetages pour le faciliter. Pourtant, lorsque j’ai expérimenté la chose avec une instance GnuSocial, deux problèmes se sont posés à moi : la possibilité que cela prenne rapidement de la place et de la puissance sur mon serveur et surtout le fait de mettre face au monde un serveur avec des données personnelles et des compétences en sécurité certainement pas infaillibles. Couplé au fait que l’on a affaire ici à un projet jeune sous le feu des projecteurs, je n’ose pas imaginer les dégâts si un petit malin trouve une faille et vienne prendre part à la fête.

Résultat des courses, comment avoir confiance en son instance au niveau des choix de modération et des compétences en sécurité si on n’est pas administrateur système ?
Exit les grosses instances qui ne feraient que reproduire celles des gros réseaux dans lesquels une bien-pensance va probablement émerger. Exit le bricolage dans un coin qui risque de mal tourner. Pourquoi pas faire confiance au pote qui a des idées et centres d’intérêts proches mais au risque de se retrouver à la rue le jour où il décide de tout casser (j’en connais un célèbre). Il ne reste à mon avis plus que les instances moyennes tenues par des assos (et des admins expérimentés) dont on partage les idées et choix de modérations, voire de censure. Et là se repose la question de qui paie pour ce service maintenant que ce ne sont plus les données et la publicité qui les financent.

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wilfried caruel : Présentation du logiciel libre klavaro

lundi 17 avril 2017 à 13:26

Présentation Klavaro

 

Je vais vous présenter un logiciel qui permet de connaître la position de nos doigts pour taper à l’aveugle sur le clavier,

 

Ce logiciel libre s’appelle « Klavaro », il est disponible sous « Linux » et « Windows ».

 

Je ne me souviens plus de quel logiciel j’utilisais quand j’étais dans les études.

Mais je doute que ce soit un logiciel libre.

 

Ce logiciel libre sous licence « GPLv3 », se veut être un tuteur pour se lancer dans la dactylographie et le maniement du clavier.

 

Caracteristiques :

« qwerty » (AR ; BG; BG_2; BR ; BR_abnt2; CZ; EL; EO; ES; EU; HE; IN; IT; JP; KK; NB; PT; SE; TR; UK; UR_crulp; UR_nla; US)

Dvorak (BG; BR; DE_neo2; EO; FR; FR_bépo; TR; UK; US; US_BR; US_ES; US_SE)

« qwertz » (CZ; DE; HR; HU; SL)

« azerty » (FR; FR_ibook; BE)

« jtsuken » (RU; RU_typewriter; UA)

Colemak (US)

AlphaGrip5 (US)

 

Ce logiciel a été développé par « Felipe Castro » et « Petr Machata ».

La vidéo

Mon avis :

Il est primordial d’apprendre à taper sur le clavier, pour écrire plus vite mais surtout avec les 2 mains selon moi.

Ce logiciel permet cette faculté, et je le trouve remarquable.

Je serais curieux de savoir si c’est utilisé dans le domaine scolaire.

J’aime bien le tableau récapitulatif et les différents exercices ainsi que les leçons.

Ce projet est hébergé sur sourceforge (je regrette ce choix car si Github n’est pas opensource, c’est plus facile de participer aux différents projets, ainsi que de remonter les bugs etc).

Je ne sais pas si c’est encore d’actualité mais avant sourceforge intégrait un installateur avec des cases cochées par défaut donc nous faisait installer des logiciels privateurs sur nos bécanes.

Je n’ai pas réussi à savoir si ce logiciel était toujours en développement donc n’hésitez pas à compléter mes articles via les commentaires.

N’hésitez pas à demander que je présente tels logiciels ou applications (toujours libre et opensource)

de même si vous voulez écrire un ou plusieurs articles, vous êtes le bienvenu,

Pour infos si je tape sur le clavier avec mes 2 mains maintenant je n’ai jamais pu le faire comme il faut en cours de secrétariat

Installations :

ArchLinux

yaourt -S klavaro
Debian

Site

Ubuntu

Site

Dans les commentaires vous pouvez me donner les lignes de commande pour votre distribution (j’utilise qu’une base ArchLinux)

Merci

Liens :

Site officiel

Téléchargement

 

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Nizar Kerkeni : Wilfried est un utilisateur Libre

lundi 17 avril 2017 à 09:42

Pour ce nouveau billet de la série d’articles sur les utilisateurs Libres, je vous invite à faire un voyage en Côte d’Ivoire pour faire connaissance avec mon ami Wilfried N’Guessan. J’ai connu Wilfried, comme d’autres amis de la communauté du Libre, via le monde virtuel. Mais, j’ai eu la chance de le rencontrer avec notre ami Abdrahman lors d’un voyage au Maroc.

Au cours de cette rencontre nous avons pu échanger et partager notre vision pour le Libre dans nos pays respectifs et comment échanger nos expériences pour le bien de Libre en Afrique. Bien évidemment j’ai profité de cette rencontre pour avoir ma copie dédicacée de son excellent livre “54 raisons pour l’Afrique de choisir le logiciel libre“. La parole est maintenant à Wilfried :

  1. Bonjour Wilfried, pour commencer, pourrais-tu en dire un peu plus sur toi ? Comment considères-tu tes connaissances en informatique ?

Je suis Wilfried N’Guessan développeur d’application à la base, je fini par me spécialiser en sécurité web. Aujourd’hui je dirige une société de services en logiciels libres en Côte d’Ivoire AKASSÔH. Auteur du livre “54 raisons pour l’Afrique de choisir le logiciel libre“. Membre de plusieurs communautés qui militent en faveur du logiciel libre en Côte d’Ivoire. J’ai environ dix neuf années de pratique informatique dont quinze dans l’environnement Gnu/Linux que je connais parfaitement. Aujourd’hui je développe des compétences en gestion de projet et d’équipe.

  1. Depuis combien de temps utilises-tu un ordinateur et quelle en est ton utilisation principale ?

Depuis les années 1998, mon utilisation est évolutive selon les périodes et challenges, aujourd’hui moins de développement contrairement à hier j’analyse ou vérifie les lignes de codes ainsi que la mise en place du file conducteur pour les équipes de développements.

  1. Comment as-tu pris connaissance qu’il existait autre chose que Microsoft Windows pour ton ordinateur ?

Par l’entremise d’un ami dont le frère était informaticien un devancier qui lui n’utilisait pas le systèmes actuel parce-qu’il éviterait des problème de virus à répétition, car en tant que bidouilleur j’y était régulièrement confronté à ce type de problèmes il me fallait toujours chercher à réinstaller mon PC.

  1. Pourrais-tu nous expliquer pourquoi, aujourd’hui, tu utilises un système d’exploitation Libre ?

D’abord parce que j’ai découvert la philosophie logiciel libre et la réalité que nous cache les licences d’utilisations des systèmes privateurs. Ensuite des éléments comme le coût, la possibilité d’un usage sur du matériel obsolète, la contrainte de partager sans retenu, la stabilité et la sécurité qu’il offre.

  1. Comment s’est passé ta migration et quelles sont les choses que tu as découvertes dans ton nouveau système et dont tu ne sais plus te passer ?

Elle à été assez passionnante après mon installation d’une version Mandrake la carte graphique de ma vielle bécane (ordinateur) n’affichait pas d’interface graphique, j’ai couru après différentes personnes qui venaient spontanément essayer de me dépanner. Hélas le problème persistant un ami va me recommander de changer de distribution pour Ubuntu, j’ai pas hésité à appliquer le conseil hélas le problème sera le même ce dernier employé dans une société de la place qui lui absorbait tellement son temps me recommandera d’utiliser internet via les listes de discussion ou forum pour chercher la solution, j’ai dès cet instant compris qu’ici on n’attend pas la réponse du service après vente mais on pouvait rechercher ceux qui avait le même bobos.
Grâce à internet je réussis à régler l’affichage j’ai découvert la puissance d’internet, du partage d’expérience, l’utilisation des listes de discutions, chat, freenode, et forum.

  1. Depuis ta migration, quelles sont les choses que tu regrettes ou que tu ne trouves pas dans ton nouveau système ?

Rien à ce que sache

  1. Dans ton utilisation journalière de ton nouveau système libre, trouves-tu facilement les logiciels dont tu as besoin ?

Oui mais il m’a fallu comprendre l’utilisation des termes de recherche en rapport avec l’équivalence en logiciel libre.

  1. Est-ce qu’il t’est déjà arrivé de faire la promotion de ton système d’exploitation libre auprès de tes amis ?

Aussitôt j’ai installé Gnu/linux sur tous les ordinateurs de la maison y compris celui de mon père qui m’a bien tiré les oreilles ma réponse était tu auras plus de soucis à appeler des maintenanciers.

J’ai rejoint l’Association Ivoirienne pour la promotion de Linux et les Logiciels Libres des années plus tard où j’ai activement milité à promouvoir ce système jusqu’à être à la base de la naissance de la communauté Ubuntu en Côte d’Ivoire.

  1. Si tu avais la possibilité d’exaucer trois souhaits en rapport avec ton système d’exploitation, lesquels seraient-ils ?
  • Qu’il soit en priorité dans l’apprentissage de l’informatique et les autres en second.
  • Que tout les pays du sud lancent un plan de migration nationale.
  • Qu’il devienne plus accessible sur les tablettes & mobile
  1. Pourrais-tu nous donner ta cotation sur 10 des différents systèmes d’exploitation et/ou distributions qui sont passés entre tes mains ?
  • Mandrake : 7/10
  • Ubuntu : 9/10
  • Debian : 8/10
  • Tails : 8/10
  • Kaly : 8/10
  • Windows : 3/10
  1. Pourrais-tu nous montrer une capture d’écran de ton bureau ?

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Journal du hacker : Liens intéressants Journal du hacker semaine #15

lundi 17 avril 2017 à 00:01

Pour la 15ème semaine de 2017, voici 10 liens intéressants que vous avez peut-être ratés, relayés par le Journal du hacker, votre source d’informations pour le Logiciel Libre francophone !

Pour ne plus rater aucun article de la communauté francophone, voici :

De plus le site web du Journal du hacker est « adaptatif (responsive) ». N’hésitez pas à le consulter depuis votre smartphone ou votre tablette !

Le Journal du hacker fonctionne de manière collaborative, grâce à la participation de ses membres. Rejoignez-nous pour proposer vos contenus à partager avec la communauté du Logiciel Libre francophone et faire connaître vos projets !

Et vous ? Qu’avez-vous pensé de ces articles ? N’hésitez pas à réagir directement dans les commentaires de l’article sur le Journal du hacker ou bien dans les commentaires de ce billet :)

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