Comme pour tout bon logiciel, avant de le publier, mieux vaut le soumettre à quelques tests afin de voir sa robustesse et sa résistance à la charge. Et vous le savez, j’ai beaucoup travaillé sur le Bilboplanet ces derniers mois et j’espère que vous serez content de la nouvelle version qui va bientôt prendre la place de l’ancienne. Je suis donc en train de le tester avec la base de donnée du Planet-Libre pour le soumettre à une charge assez importante.

Malheureusement, je ne suis pas un grand graphiste et le graphisme que vous pouvez-vous sur les captures d’écran ci-dessus a été fait par votre humble serviteur. Si vous avez quelques connaissances en HTML et CSS et que ça vous dirait de faire un beau thème pour le Bilboplanet (qu’on pourrait éventuellement utiliser sur le Planet-Libre par exemple), je suis prenneur de vos coups de mains, aussi petit soit-ils. Quelques simples corrections par rapport au thème actuel sont déjà les bienvenues.

Suite à l’article précédent qui présentait dans les grandes lignes les nouvelles fonctionnalités du Bilboplanet. Permettez-moi de vous présenter ici quelques captures d’écran de cette première version. Vos remarques sont bien entendu les bienvenues.

Voici pour commencer la page de Portail qui permet d’avoir une vue globale sur tous les articles :

La page affichant tous les articles est évidement toujours disponible, mais tend à disparaitre avec l’arrivée des tribus (tous les flux affichés dans la colonne de gauche)

Vous pouvez évidement avoir une vue globale sur toutes les tribus qui ont été crée sur le planet ainsi qu’un apercu des tags les plus utilisés.

Voici également un aperçu de tous les membres du planet qui publient régulièrement. Vous y trouverez aussi des informations aux sujets de ces membres (nom, site, nombre d’articles, date du dernier article, shaarli, …)

Chaque utilisateur a désormais la possibilité de gérer lui-même son compte via son interface utilisateur. Il peut via cette interface ajouter des nouveaux tags sur ses articles. Il peut également désactiver ou ré-activer lui-même des articles s’il souhaite modifier leur visibilité.

La grand nouveauté de cette nouvelle version sont bien sur les tribus. Les tribus sont des flux spécifiques qui filtres uniquement les articles qui correspondent à certains critères. Ces critères sont basés sur des tags, des utilisateurs ou des mots de recherche.

Dans l’interface utilisateur vous avez aussi la possibilité d’activer les réseaux sociaux que vous souhaitez utiliser sur le Bilboplanet. Donc si vous êtes un utilisateur de Twitter, de StatusNet, de Google+ ou de Shaarli, vous serez heureux de découvrir que les liens de partage seront automatiquement ajoutés sur les articles si vous l’activez dans votre configuration.

Original post of Bilboplanet.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Juste un mot pour vous parler brièvement de l’Ubuntu-Party qui a lieu les samedi 17 et dimanche 18 novembre 2012 de 11h à 19 à la Cité des sciences à Paris.

 L’Ubuntu-Party est une super occasion de mieux se familiariser avec l’un des plus populaire des OS GNU/Linux – particulièrement avec la récente sortie de sa version 12.10 Quantal Quetzal . Envie de tester? Des installations d’Ubuntu y seront proposés (amenez donc votre PC perso) ainsi que des ateliers techniques en plus de cours et conférences. Notamment un conférence qui se promet très intéressante avec la CNIL qui permettra de réfléchir aux questions que soulève de l’intégration des adds Anamzon à Unity.

Voila le programme de cette Ubuntu-Party (téléchargeable ici en pdf) :

Conférences du samedi (salle Agora)

• 11h00 – Pourquoi Ubuntu sur des PC Asus ? par Karim Ouahioune (Asus France)
• 12h15 – Ubuntu et vie privée
• 13h30 – Qu’est-ce qu’un hacker ? par Fo0 et Tom
• 14h45 – Ubuntu et les logiciels libres en entreprise par Sylvain Cardine
• 16h00 – Les grands dangers auxquels doit faire face le Logiciel Libre par Jeanne Tadeusz
• 17h15 – Action pour une réforme positive du droit d’auteur et des politiques culturelles liées par Philippe Aigrain

Conférences du dimanche (salle Agora)

• 11h00 – Histoire d’Ubuntu par Frédéric Mandé
• 12h15 – Jouer sous Ubuntu par Sébastien Bernery
• 13h30 – Informatique libre et économie politique par Luc Fievet
• 14h45 – Formats Ouverts par Thierry Stœhr
• 16h00 – Les quatre libertés du logiciel Libre par Luc Fievet
• 17h15 – L’Internet doit être neutre par Benjamin Bayart

Exposés du samedi (salle Studio)

• 11h00 – Racketiciel
• 11h45 – Traduire Ubuntu
• 12h30 – Le Loop
• 13h15 – TOSDR
• 14h00 – French Mozilla
• 14h45 – Telecomix
• 15h30 – OpenStreetMap
• 16h15 – Le Libre à Paris
• 17h00 – Linuxfr.org
• 17h45 – Debian

Exposés du dimanche (salle Studio)

• 11h00 – Emmabuntus
• 11h45 – April transcription
• 12h30 – April diversité
• 13h15 – April accessibilité
• 14h00 – OrgMode
• 14h45 – La Quadrature du Net
• 15h30 – Framasoft
• 16h15 – Les activités d’Ubuntu-fr
• 17h00 – April sensibilisation
• 17h45 – ElectroLab de Nanterre

Initiations samedi et dimanche (salle Atelier)

• 11h15 – Contribuer à Ubuntu
• 12h30 – Utiliser Ubuntu, premiers pas
• 13h45 – Faire cohabiter Windows et Ubuntu
• 15h00 – Maîtriser Ubuntu
• 16h15 – Utiliser Ubuntu, premiers pas
• 17h30 – Maîtriser Ubuntu

Ateliers avancés du samedi (salles EF)

• 11h15 – OpenStack par Nicolas Barcet
• 13h45 – Contribuer à Wikimedia par David Crochet
• 16h15 – Contribuer à OpenStreetMap

Ateliers avancés du dimanche (salles EF)

• 11h15 – Auto-hébergement par Benjamin Sonntag
• 13h45 – Devenir conférencier, pour promouvoir le logiciel Libre 

Toutes les infos sur cette Ubuntu-Party sont ICI.

Je dois avouer qu’habitant trop loin de Paris, je ne pourrai pas y assister – à regret – mais je persiste à penser que ces événements font du bien à l’image du libre, de GNU/Linux et d’Ubuntu. Si vous y allez, faites le moi savoir, vous pourriez ici partager votre avis sur cette Ubuntu-Party.

Original post of Geek de France.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

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urxvt terminal perl font

Modifier la taille des polices d'Urxvt

Le 14 novembre, 2012 - 17:19 | Ulhume

La taille des polices dans un terminal n'est généralement jamais la bonne. Tantôt il faut l'augmenter pour lire du code par exemple. Tantôt la réduire pour afficher un maximum de logs. Voici un petit plugin sans prétention pour UrXVT qui réalise ce travail.

Construction du plugin

Comme nous l'avons déjà vu lors de nos tentatives de redéfinition de palette, URxvt (mais pas que lui, cela fonctionne aussi avec Xterm ainsi que les terminaux basés sur libvte) est capable de modifier un paquet de chose à la volée en se basant sur les séquences OSC (Operating System Control).

Comme nous le montre Simon dans son papier il est déjà possible de modifier la police directement au sein du terminal à grand coup de commande echo.

Pour faire la même chose de manière plus intégrée, nous allons devoir réaliser un petit plugin à sauvegarder dans ~/.urxvt/perl/font-size (une suggestion hein :-) :

#!/usr/bin/perl
my %original_size = ();

sub on_start {
  my($term) = @_;
  if ($term->resource('font') =~ /size\\=(\\d+)/) {
    $original_size{$term->vt} = $1;
  }
}

sub on_user_command {
  my($term, $command) = @_;

  my $font = $term->resource('font');
  if ($font =~ /size\\=(\\d+)/) {
    my $new_size = my $current_size = $1;
    if ($command eq "font-increase") {
      $new_size++;
    } elsif ($command eq "font-decrease") {
      $new_size--;
    } elsif ($command eq "font-reset") {
      $new_size=$original_size{$term->vt};
    } else {
      return;
    }
    if ($new_size<6) {
      $new_size = 6;
    }
    $font =~ s/size\\=$current_size/size\\=$new_size/;
    $term->cmd_parse( "\\033]710;$font\\007");
  }
}

Plugin pour changer la taille de la police

Le principe est assez simple et reprend quelques un des concepts de plugin de gestion du focus. Tout d'abord on a une liste globale qui va mémoriser la taille de la police par terminal. La liste est surtout utile pour ceux qui utilisent UrXVT en mode démon (merci à Maethor pour m'avoir pointé ce bug).

Paramétrage

Ensuite nous avons un hook dont le but est de fournir des commandes qui pourront être rattachées à des raccourcis clavier via ~/.Xdefaults. Rien de surprenant ici, une commande pour zoomer d'un cran, dézoomer d'un cran et enfin une dernière pour remettre le terminal à son état initial. Cela nous donne dans ~/.Xdefault quelque chose comme ceci :

URxvt.perl-lib : /home/yoran/.urxvt/perl

URxvt.perl-ext-common: font-size

URxvt.keysym.M-plus: perl:font-increase
URxvt.keysym.M-minus: perl:font-decrease
URxvt.keysym.M-equal: perl:font-reset

perl-lib va nous permettre de déclarer un chemin pour nos plugins custom. Chemin qui va aller s'ajouter en interne à celui des scripts qui viennent avec le paquet. Ensuite perl-ext-common pour ajouter notre plugin. Si ce n'est pas votre coup d'essai il y a de fortes chances que vous en ayez d'autres de présent ici.

Viennent enfin les trois mappings, Alt + pour Zoomer, Alt - pour Dézoomer et enfin (merci à Hylobates de m'avoir fait débugger cela ;-) Alt = pour rétablir la taille d'origine.

Il ne reste plus qu'à sauver, éventuellement recherche ~/.Xdefaults avec un coup de xrdb -load ~/.Xdefaults puis de lancer un terminal pour juger du résultat.

Conclusion

Souvent on me demande l'avantage d'URxvt sur l'ensemble des terminaux existant, et machin-chose sait qu'il y en a un certain nombre. Déjà ils ne sont pas si nombreux car beaucoup sont des "coquilles" autours de libvte. Ensuite peu d'entre eux offrent une telle capacité à être littéralement programmé, ici avec du simple code Perl, tout en étant aussi rapide. Si vous voulez voir jusqu'où cela peut aller, je vous conseille d'aller jeter un oeil dans le dossier /usr/lib/urxvt/perl/, vous risquez d'être surpris :).

:t urxvt :t

Original post of Artisan Numérique.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Le projet Lightdm-ChromeOS-login  de dz0ny  vous permet d’installer  ChromiumOS et son gestionnaire de fenêtres Aura dans votre Ubuntu et vous offre deux possibilités, soit d’utiliser cette distribution dans une fenêtre  soit à partir de l’écran de connexion de votre Ubuntu.

Attention, ChromeOS n’étant pas dans les dépôts officiels d’Ubuntu, vous ne devez l’installer qu’en toute connaissance de cause.

Lightdm-ChromeOS-login est disponible pour Ubuntu 12.04 et 12.10 mais ne fonctionnera que sur les versions 64 bits d’Ubuntu. Ceci étant précisé, la première étape consistera à télécharger le fichier DEB puis à l’exécuter.

Une fois Lightdm-ChromeOS-login installé, appuyez simultanément sur les touches [Alt] et [F2] de votre clavier et entrez la commande

chromeos

Une nouvelle fenêtre s’ouvre.

Choisissez la langue et le clavier. En ce qui concerne le réseau, peu importe car c’est votre connexion Ubuntu qui est utilisée.

Entrez ensuite votre adresse “gmail” et votre mot de passe ou créez-vous un compte.

Choisissez l’image qui personnalisera votre compte parmi celles qui vous sont proposées. Si votre compte gmail utilise un avatar, celui-ci fait partie des propositions.

Une fois votre avatar choisi, vous arrivez sur une fenêtre expliquant les diverses fonctionnalités de l’OS.

Cette version de ChromeOS n’ayant pas de fond d’écran, faites un clic droit sur le fond gris et choisissez “Définir un fond d’écran”.

Le tableau de bord situé en bas à droite vous permet d’accéder au menu de connexion. Les paramètres d’autonomie indiqués sont bidon et ne sont présents qu’au titre de la démonstration.

Celui de gauche vous donne accès aux fichiers, aux applications ainsi qu’au Chrome Web Store…

à partir duquel un simple clic permet d’installer l’application Web de votre choix.

L’accès aux fichiers ne permet pas d’accéder aux fichiers de votre Ubuntu mais à ceux que vous avez crées ou sauvegardés dans Google Drive, c’est le cloud computing dans toute sa splendeur !!! De plus, il ne s’agit que d’une application de démonstration de ChromeOS et toutes les fonctionnalités du véritable OS ne sauraient être activées dans cette expérience. Vous ne pourrez donc pas bénéficier des mises à jour, ni connecter un appareil par le biais d’un port USB, ni utiliser le mode “invité”, etc.

Lorsque vous lancez l’application une deuxième fois ou plus, un mot de passe de connexion vous est demandé, il s’agit de celui de votre compte gmail.

Vous pouvez si vous le souhaitez poursuivre l’expérience en vous déconnectant de votre session Ubuntu et en choisissant ChromeOS depuis l’écran de connexion pour un essai “hors fenêtre” donc plus réaliste même si les fonctionnalités connaissent exactement les mêmes limites qu’en mode “fenêtre”.

Dans tous les cas, Lightdm-ChromeOS-login permet de réaliser une belle expérience de ChromeOS et de cloud computing.

Amusez-vous bien.

Source : OMG Ubuntu

Original post of Clapico.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Vous vous souvenez de GDM 2.20 et comment on pouvait le personnaliser grâce aux nombreux thèmes qu’on trouvait sur le web ? Si vous n’êtes pas trop de content du nouveau GDM ou de LightDM et que vous êtes nostalgique du vieux GDM 2.20, alors vous pouvez installer MDM, le fork de GDM réalisé par Linux Mint (encore eux).

À noté tout de même, que si vous avez installé Gnome Shell, vous ne devez pas installé mdm, car ce dernier entre en conflit avec GDM et le supprime ainsi que Gnome Shell.

MDM peut être installé en ajoutant le PPA monté et maintenu par WebUpd8 :

sudo add-apt-repository ppa:nilarimogard/webupd8 
sudo apt-get update 
sudo apt-get install mdm mint-mdm-themes

source

Cet article Installer MDM, le fork de GDM 2.20 sur Ubuntu 12.04 et 12.10 est apparu en premier sur crowd42.

Original post of crowd42.Votez pour ce billet sur Planet Libre.