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Framablog : Comment créer sa première Framacarte ? (Tutos uMap 2/4)

vendredi 4 mars 2016 à 13:05

Juste avant Noël, nous vous présentions Framacartes, un service de création de cartes personnalisées pour vos sites web, communautés, randos, chasses au trésor… Framacartes est basé sur le logiciel Umap, qui permet d’ajouter des points, tracés et polygones sur les fonds de cartes d’OpenStreetMap.

C’est alors qu’Antoine Riche, ingénieur informatique, Contributeur et Formateur OpenStreetmap, nous a contactés pour nous présenter sa série de tutoriels (libres, eux aussi) pour apprendre à maîtriser uMap (et donc Framacartes) à toute la famille Dupuis-Morizeau.

C’est avec son autorisation (et de chaleureux remerciements) que nous reproduirons sur le framablog les quatre premiers tutos (le niveau « débutant ») afin d’en faire profiter le plus grand nombre.

La semaine dernière nous nous sommes familiarisés avec uMap pour profiter pleinement d’une Framacarte

Cette semaine, voyons comment créer sa première Framacarte 😉

Je crée ma première carte uMap

Ce que nous allons apprendre

  • distinguer le mode édition du mode consultation
  • identifier les étapes nécessaires pour créer une carte
  • produire une première carte et la diffuser !

Procédons par étapes

L’objet de notre première carte est simple : positionner un ou plusieurs lieux (domicile, vacances, travail, etc.). Procédons par étapes.

1. Le mode édition

Rendez-vous sur le site https://framacarte.org et cliquez sur le bouton Créer une carte. Apparaît alors sur votre navigateur une carte qui se présente ainsi :

umap_edition

 

Nous retrouvons à gauche les boutons disponibles lors de la consultation d’une carte. Plusieurs éléments visibles au-dessus et à droite de la carte sont visibles uniquement lorsque l’on crée ou modifie une carte, c’est-à-dire dans le mode édition :

  • le nom de la carte en haut à gauche
  • les boutons Annuler et Enregistrer en haut à droite
  • à droite une série de 3 boutons permettant d’ajouter des éléments à la carte : marqueurs, lignes et polygones
  • en-dessous une série de 5 boutons permettant de configurer la carte

2. Nommer la carte

umap_parameters

umap_set_nameUne carte doit porter un nom qui renseigne sur ce que représente la carte. Pour définir le nom de la carte, cliquez sur le bouton Éditer les paramètres.

Un panneau apparaît sur la droite de la carte, il contient en haut un champ de saisie pour le nom de la carte, qui contient le texte Carte sans nom : placez le curseur dans ce champ, supprimez le texte existant et saisissez le nom de votre carte, par exemple Mon domicile.

Notez que le nom en haut à gauche de la carte est immédiatement modifié. Vous pouvez également saisir un texte plus long dans le champ description, qui apparaîtra dans le panneau de légende – nous y reviendrons.

Maintenant sauvegardez la carte avec le bouton Enregistrer : un texte en anglais est affiché en haut de la carte, comme celui ci-dessous.

umap_create_anonymous

Ce texte explique que vous venez de créer une carte anonyme et vous donne un lien (une URL) pour pouvoir modifier la carte. En effet la carte que vous avez créée n’est associée à aucun compte, et uMap considère que seules les personnes ayant ce lien secret peuvent la modifier. Vous devez donc conserver ce lien si vous souhaitez pouvoir modifier la carte. Nous verrons dans le prochain tutoriel comment créer son catalogue de cartes en utilisant un compte, il n’est alors pas nécessaire de conserver de lien secret.

3. Ajouter un marqueur

Commencez par déplacer et zoomer la carte pour visualiser l’endroit précis de votre domicile, lieu de vacances ou de travail.

umap_point Cliquez ensuite sur le bouton Ajouter un marqueur. Le curseur prend la forme d’un signe + et est accompagné d’un marqueur de couleur bleue. Déplacez le curseur sur le lieu que vous voulez marquer et cliquez avec le bouton gauche de la souris : le marqueur est déposé à cet endroit et un panneau apparaît à droite.

umap_marqueurCe panneau vous permet d’associer un nom et une description au marqueur :

  • le nom sera affiché au survol du marqueur par la souris
  • le nom et la description seront visibles dans une fenêtre dite popup qui apparaîtra lors d’un clic sur le marqueur.

Nous verrons plus loin l’utilité des calques, et comment modifier les propriétés du marqueur : forme, couleur, pictogramme, etc.

Répétez l’opération pour ajouter les marqueurs que vous jugez utiles à votre carte.

4. Définir l’emprise de la carte

Il est important de définir l’emprise initiale de la carte, c’est-à-dire la partie du planisphère qui sera affichée lors de la consultation de la carte.

Cette emprise doit inclure votre marqueur et permettre de situer la carte. Il convient de trouver un compromis entre un zoom trop éloigné et un zoom trop rapproché. Le bon compromis dépend essentiellement du contenu de la carte : la majorité des marqueurs, lignes et polygones doivent être visibles et utiliser au mieux l’étendue de la carte.

Vous pouvez aussi considérer le public de la carte : une carte expédiée à votre voisin peut être très zoomée, une carte envoyée un correspondant étranger doit permettre de reconnaître le pays où se trouve votre carte.

umap_extentPour définir l’emprise, déplacez et zoomez la carte afin d’afficher l’emprise souhaitée puis cliquez sur le bouton Enregistrer le zoom et le centre actuels.

uMap enregistre en réalité le centre et le niveau de zoom. Selon la taille de la fenêtre où est affichée la carte, la partie visible pourra varier. Il est utile de prévoir une marge autour du contenu de la carte.

5. Enregistrer la carte

Toute modification de la carte doit être sauvegardée sur le serveur uMap en cliquant sur le bouton Enregistrer en haut à droite. Cette opération enregistre toutes les modifications depuis la dernière sauvegarde : vous pouvez donc réaliser plusieurs modifications à la suite puis les enregistrer. A l’inverse le bouton Annuler permet de supprimer toutes les modifications depuis la dernière sauvegarde.

Après avoir enregistré les modifications, le bouton Annuler est remplacé par Désactiver l’édition. Cela vous permet de quitter le mode édition pour voir la carte en mode consultation. Vous pouvez alors tester votre carte : cliquez sur le marqueur pour afficher la popup et vérifier son nom et sa description.

Félicitations ! Vous avez créé votre première carte uMap. Vous pouvez la diffuser à votre entourage en copiant son URL dans la barre d’adresse du navigateur, ou en copiant son URL courte disponible dans le menu Partager vu dans le tutoriel Je consulte une carte uMap.

Faisons le point

Votre première carte est créée, en quelques étapes. L’opération est assez simple, mais le résultat est somme toute assez sommaire. Le tutoriel de la semaine prochaine nous permettra de créer une jolie carte.

Liens utiles :

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La vache libre : MComix – Une visionneuse d’images personnalisable pour vos mangas et comic books

jeudi 3 mars 2016 à 20:45

[1 - 32] Walking-Dead-Issue149.zip_005

J’ai eu pas mal de passions dans ma vie, à commencer par la lecture de comics. J’en ai dévoré un bon paquet et ceux-ci trônent dans mes bibliothèques depuis ma plus tendre enfance. Je les ai trimbalé partout. J’ai une nette préférence pour les éditions papier (j’en achète encore d’ailleurs), mais n’ayant pas un grand appartement il a bien fallu que je passe au format numérique, afin de ne pas être totalement envahi. Comme le test d’applications est une autre de mes grandes passions, j’ai essayé pas mal de visionneuses, dont certaines se sont avérées êtres pas mal du tout. YACReader pour n’en citer qu’une.

MComix est une autre alternative multiplateformes (GNU/Linux/Windows) de ce type, conçue dans le but de fournir aux utilisateurs une visionneuse d’images customizable et spécifiquement dédiée à la lecture de comics ou de mangas. Écrite en Python (2.5) et s’appuyant sur GTK+/ PyGTK, MComix dispose d’une interface agréable, du support d’un certain nombre de formats (CBR, CBZ, CB7, CBT, LHA, PDF, etc) et de quelques autres fonctions intéressantes.

Outre la lecture des formats d’images classiques, MComix est capable de prendre en charge un certain nombre d’archives compressées (.TAR, .ZIP, .7z, .RAR, .LHA), vous permettant ainsi de lire vos fichiers sans avoir à les décompresser au préalable. Très pratique pour une feignasse comme moi :)

MComix permet aussi d’ajuster l’image (largeur/hauteur), propose un mode double pages et dispose d’une option « manga » assez intéressante, optimisant l’affichage pour les comics se lisant de droite à gauche.

La lecture peut se faire au mulot (scrolling) ou au clavier (barre espace ou flèches directionnelles) avec un défilement doux, ou encore à l’aide d’un mode diaporama entièrement paramétrable.

Comme le montrent les images ci-dessous vous disposerez de quelques outils, dont une loupe :

[7 - 32] Walking-Dead-Issue149.zip_008

et une fenêtre d’options vous permettant d’améliorer la visibilité de vos images.

Amélioration de l'image_006

Vous pourrez également effectuer et mémoriser quelques opérations de transformations basiques (miroirs, rotations), utiliser un système de signets pour marquer vos pages ou vos albums, importer et gérer vos albums ou vos bibliothèques et cerise sur le gâteau, vous pourrez agrémenter le tout de vos commandes externes.

Je n’ai pas encore fini de faire le tour de cette application, mais le peu que j’en ai vu m’a paru assez intéressant pour venir vous en parler. Alors comme je l’ai précisé plus haut il existe bien d’autres softs de ce type et je me garderai bien de les mettre en compétition. En gros à vous de voir si ça peut vous convenir…

Si vous voulez tester MComix, vous trouverez ce qu’il vous faut sur la page de téléchargement du site officiel.

Si vous tournez sur Ubuntu et dérivés vous pouvez au choix, télécharger la version présente dans les dépôts (1.00) à l’aide de la commande suivante :

sudo apt-get install mcomix

ou choper la dernière mouture (1.2.1) à l’aide du PPA suivant et de ces quelques lignes de commande :

sudo add-apt-repository ppa:nilarimogard/webupd8
sudo apt-get update
sudo apt-get install mcomix

Si vous souhaitez revenir en arrière et supprimer le PPA entrez ceci dans votre terminal :

sudo add-apt-repository -r ppa:nilarimogard/webupd8
sudo apt-get update
sudo apt-get remove mcomix

Amusez-vous bien.

via

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Philippe Scoffoni : La (pré)comptabilité avancée pour Dolibarr a une documentation

jeudi 3 mars 2016 à 08:28

Vous vous souvenez de cet appel à financement lancé il y a quelques mois et qui avait suscité de la perplexité chez certains ? Son objectif était de financer la finalisation du module de (pré) comptabilité avancée de Dolibarr.

Ce module est accessible en activant les fonctionnalités dites « expérimentales » de Dolibarr. À ce jour, ce sont plus de 30 entreprises qui se sont cotisées pour financer environ 3 000 € de développement. La somme peut sembler ridicule pour certains, et à l’échelle de l’usage de Dolibarr, elle l’est probablement. Quand bien même, elle a permis d’avancer.

Toute la partie concernant la ventilation des factures fournisseurs et clients et leur déversement dans le grand livre est terminée et en cours de test. Le grand livre a été amélioré pour faciliter au maximum la saisie. Actuellement, les travaux portent sur les exports pour différents logiciels de comptabilité.

Comme vous l’aurez remarqué dans le titre de l’article, c’est le terme pré-comptabilité qui est utilisé afin de lever toute ambiguïté. Dolibarr n’est pas encore un logiciel permettant de tenir une « véritable » comptabilité au sens où l’entend l’administration fiscale. Pour cela, il reste encore du chemin à parcourir côté conformité, notamment avec l’entrée en application des modalités de la loi de finances 2016 en 2018.

Pour simplifier, Dolibarr permet de tenir votre grand livre comptable et de l’exporter pour votre expert-comptable où vers un logiciel de comptabilité « conforme ». Vous ou votre comptable pourrez ainsi produire les fameux fichiers FEC (fichiers d’écritures comptables) en évitant toute ressaisie.

Comme souvent un schéma vaut mieux qu’un long discours, voici le flux de travail tiré de la documentation tel que le permet le module de pré-comptabilité.

Sélection_214

Le prochain volet d’évolution concerne la gestion de la TVA. Pour cela, l’appel à financement est toujours ouvert. Retrouvez toutes les informations sur le site d’Olivier et ainsi que le manuel Dolibarr de pré-comptabilité en téléchargement.

D’autres modules à financer

En effet, un site de financement participatif a été mis en place : dolipro.org pour regrouper tous les appels à financement concernant Dolibarr. Il y a eu pour l’instant deux appels lancés, dont le premier qui n’a pour l’instant pas abouti. Le second est encore en cours et concerne le développement d’une application Dolibarr dédiée aux smartphones et tablettes sous Android, et pouvant fonctionner hors connexion.

Pour l’instant hélas, les financeurs ne semblent pas se bousculer. Problème de communication probablement… Il faut que l’information infuse et se diffuse. Le crowfunding c’est cela avant tout. Le rôle des intégrateurs Dolibarr est primordial. S’ils ne poussent pas l’information auprès de leurs clients, effectivement ça ne va pas marcher.

Reste, tous ces utilisateurs « indépendants », ne faisant pas appel à des prestataires. Ont-ils eu l’information ? Mais contribueraient-ils ? Ce n’est pas évident non plus. En plus pas d’information poussée sur le sujet via le site de l’association Dolibarr…

Dolibarr souffre à ce jour d’un gros déficit en terme d’image et de notoriété. Il y a une sacrée pente à (re) monter. Pourtant la matière est là et des propositions ont été faites, mais pour l’instant laissées de côté. Mais comme toujours, je suis bien trop impatient :-)

Quant au projet de fond de dotation qui serait un outil de plus pour le financement de logiciels libres, j’en suis toujours au point de départ. Les volontés manquent pour faire avancer ce dossier. Pour ceux que ça intéresse; ils savent où me trouver 😉

Et je finis par un coup du pub sur mes petites affaires, avec une formation sur Dolibarr d’une journée interentreprise organisée à Lyon le 15 mars et une offre de support toujours pour Dolibarr à base de pack d’heures valables un an. Profitez-en, il y a des bonus sur ces offres dont le manuel de Romain Deschamps sur Dolibarr.


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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 03/03/2016. | Lien direct vers cet article

Cette création est mise à disposition sous un contrat Creative Commons BY à l'exception des images qui l'illustrent (celles-ci demeurent placées sous leur mention légale d'origine).

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Angristan : Sortie de Solus 1.1

mercredi 2 mars 2016 à 16:39

Sortie de Solus 1.1

Je vous avais parlé de Solus lors de la sortie de la Beta 2, il a 8 mois. La première version stable est sortie pout Noël, après énormément de travail de la part des développeurs. Je n'en n'avais pas parlé parce que je n'en n'avais pas eu l'occasion mais également parce que l'installation EFI ne fonctionnait pas pour mon PC. Cependant, si ça vous intéresse, Frederic Bezies s'en est chargé ;)

Aujourd'hui c'est la version 1.1 qui sort, et comme son nom ne l'indique pas, il y a encore plein de nouveautés !

C'est ce que j'apprécie avec cette distribution, il n'y a pas 1 nouvelle feature qui sort tous les 6 mois, mais on voit vraiment que le développement est actif et constant sur leur page Google +.

Sortie de Solus 1.1

On y voit au jour le jour les bugs résolus, les nouvelles fonctionnalités, les améliorations...

En ce qui concerne cette nouvelle version, il y a des changements un peu partout :

Il y a aussi quelques petites choses qui sont apparues depuis la Beta 2, notamment l'intégration d'un panneau à Budgie (il est totalement fait maison, j'ai pu suivre le développement sur Google +)

[caption id="attachment_2412" align="aligncenter" width="461"]Sortie de Solus 1.1 Calendrier, gestion sonore et accès rapides.[/caption]

On peut aussi accéder aux notifications en un clic, ça rappelle un peu Windows 10, mais en tout cas c'est déjà mieux que la quasi-totalité des environnements de bureau sous GNU/Linux.

[caption id="attachment_2413" align="aligncenter" width="476"]Sortie de Solus 1.1 Gestions des notifications.[/caption]

On peut accéder directement aux réglages graphiques depuis le petit rouage en haut à droite.

Solus utilise le thème Arc par défaut, qui est magnifique et qui est mieux intégré qu'il y a quelques mois, notamment avec Firefox :

Sortie de Solus 1.1

En 8 mois, Solus a beaucoup évolué, mais elle n'a pas pris un gramme !

Sortie de Solus 1.1

Il y a de plus en plus de paquets, Steam est enfin présent. D'ailleurs leur nouveau serveur de compilation est chez OVH, le premier hébergeur de France et d'Europe.

Solus est de plus en plus stable, de plus et plus propre et de plus en plus intéressante. Je l'ai sûrement déjà dis, mais ça fait du bien de voir un projet sérieux, qui n'est pas juste un remake sale sur une base d'Ubuntu.

Personnellement, j'adore, et ce n'est que le début !

L'article Sortie de Solus 1.1 a été publié sur Angristan

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genma : Plus malin sur le Web par Mozilla

mercredi 2 mars 2016 à 09:30

Plus malin sur le Web est une initiative de Mozilla.
Considérez cette série comme un petit guide pour rester maître de votre Internet : c'est ici que sont réunies les astuces et les finesses qui vous sont proposées par les spécialistes et les programmeurs de Mozilla.

C'est une série de mini-cours. Il faut se Posez-vous des questions, trouvez comment y répondre et gagnez en expertise. Parlez-en ensuite autour de vous.

Actuellement il y a 3 thèmes :
- Pistage : votre activité en ligne ne regarde que vous, et ça ne doit pas changer ;
- Sécurité en ligne : regardez de chaque côté, restez à jour et assurez-vous que vos mots de passe soient aussi résistants que vous ;
- Surveillance générale : c'est vous qui tracez la ligne rouge - et qui empêchez les intrus de la franchir.

Chaque cours est découpez en 4 étapes :
1. S'interroger
2. Apprendre
3. Agir
4. En parler

C'est bien expliqué, c'est clair et ce sont là des sortes de fiches que je recommanderai à mes proches, amis et familles, pour les aides à comprendre et acquérir des bases d'hygiène numérique.

Merci Mozilla pour Plus malin sur le Web »

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