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Noireaude : Tamanoir – Un petit soft sympa pour restaurer vos images numériques

mardi 8 octobre 2013 à 14:05
wallpaper-427300 Crédits image

Bon faire mumuse avec Manjaro et se coucher à « pas d’heure » c’est sympa, mais il va falloir quand même bosser un peu pour l’étable, sinon vous allez vous ennuyer et m’en vouloir. Nous allons donc parler dans ce billet de Tamanoir qui précisons le, n’est pas un fourmiller numérique (ça aurait été cool pourtant), mais un petit logiciel Libre et multi-plateforme, conçu dans le but de vous permettre de restaurer facilement vos photos/images numériques anciennes. Bien entendu Gimp peut parfaitement convenir pour ce genre de tâches, mais l’avantage de Tamanoir est qu’il est très simple à utiliser et qu’il ne demande pas de grandes compétences dans le domaine de la retouche d’image. Il va vous permettre en quelques clics seulement de supprimer la poussière et les rayures de vos images (jusqu’à 90%), avec apparemment de très bons résultats.

Son interface (Qt) est on ne peut plus facile à utiliser et se divise en deux parties, qui vont vous permettre d’observer le résultat avant de valider les changements. Après avoir importé votre image vous pouvez opter pour le mode automatique, qui après avoir analysé votre image à l’aide à divers filtres intégrés, va se charger d’appliquer les changements appropriés.

C’est simple, efficace et vraiment bien pensé.

tamanoir

Si ça vous tente Tamanoir est disponible au téléchargement pour Debian, Ubuntu et dérivés, depuis la page de téléchargement du site officiel. Vous y trouverez aussi les binaires pour Windows et OS X.

Vous pouvez aussi installer Tamanoir à l’aide du PPA suivant et de ces quelques lignes de commande :

Installer Tamanoir sur Ubuntu et dérivés :

sudo add-apt-repository ppa:dhor/myway
sudo apt-get update
sudo apt-get install tamanoir

Désinstaller Tamanoir :

sudo ppa-purge ppa:dhor/myway

ou

sudo add-apt-repository -r ppa:dhor/myway
sudo apt-get update
sudo apt-get remove tamanoir

Si vous le souhaitez vous pouvez également jeter un œil sur le wiki de Tamanoir, où vous trouverez une doc d’introduction en français.

Amusez-vous bien.

via

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yeKcim : Troll : elementaryOS pourquoi pas ?

mardi 8 octobre 2013 à 13:07

Je n'aime pas Gnome-Shell. Je n'aime pas Unity, l'interface de Ubuntu entre autre à cause de certains détails. J'aime elementaryOS♡. Je trouve Pantheon♡ très intéressant, le menu Applications♡ très bien pensé, le système rapide♡, simple♡, efficace♡,… mais je ne l'utilise pas ! Je l'ai mis sur un poste spécifique et je joue régulièrement avec dans une machine virtuelle mais je ne l'ai pas encore installé sur mes machines principales. Pourquoi ? Parce que j'attends que certains minuscules détails agaçants disparaissent :

eOS.jpg

Ce ne sont que quelques exemples de ce qui fait qu'au final, elementaryOS ne me donne pas satisfaction pour le moment. Patience donc… Et vous ? Je suppose que chacun dans les commentaires m'expliquera qu'il est pleinement satisfait de son système, vantant les mérites de Mate, de Cinnamon, de KDE, de XFCE, de LXDE, de Gnome-Shell, de Unity,… Il faut croire que je suis un râleur.

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Framablog : Ce que j'aime chez Mozilla

mardi 8 octobre 2013 à 10:25

Ce que j’aime chez Mozilla va bien au-delà du code… Le témoignage enthousiaste et caractéristique d’un contributeur.

Ce ne sont pas les développeurs sur des projets non libres qui peuvent en dire autant.


I love Mozilla


Ce que j’aime chez Mozilla

What I Love about Mozilla

Mihnea Dobrescu-Balaur - 6 octobre 2013 - Blog personnel
(Traduction : Asta, Penguin, goofy, Isammoc, FF255, nclm, GregR, greygjhart, Isammoc)

Je me suis pas mal impliqué pour Mozilla ces derniers temps et, entre mon dernier stage et le MozSummit de ce week-end, plusieurs pensées ont commencé à germer à propos de ce que j’aime le plus à son sujet. Ne perdez pas de vue que ces mots traduisent uniquement mes impressions.

Quand je parle de Mozilla aux gens, ils pensent en général « ah, Firefox ! ». Même si Firefox est notre projet le plus populaire actuellement, Mozilla représente bien plus que ça ; voici pourquoi j’écris cela.

Tout commence avec notre mission qui, comme Mitchell l’a expliqué au Summit, peut être réduite à trois principes de base :

  1. Le Web doit être ouvert : Internet est une source d’information publique qui doit être ouverte et accessible à chacun dans le monde entier.
  2. Le Web doit être interopérable : les gens ne doivent pas être enfermés dans un écosystème et doivent pouvoir utiliser la technologie qu’ils préfèrent pour accéder à Internet.
  3. Le Web doit être nôtre : les gens doivent avoir la possibilité de façonner leur expérience d’Internet et de contribuer à son contenu sans demander la permission à une instance centrale.

Il n’y a rien ici concernant les performances de JavaScript, le temps de démarrage des app, la fluidité du défilement ou d’autres mots à la mode ; bien que ceux-ci ne soient clairement pas ignorés, cela montre que Mozilla a des priorités différentes.

À chaque fois que je vois une démo ou que je lis un sujet sur un nouveau projet en cours, je suis impressionné de voir à quel point les gens recherchent la standardisation et maintiennent le choix de l’utilisateur au premier plan à tout moment. Cela montre encore que nous ne sommes pas dans une course à la fonctionnalité, essayant de nous démarquer au travers de fonctionnalités que les autres n’ont pas. Si vous avez fait attention aux principes, vous saurez que c’est en fait impensable… Le Web doit être interopérable, vous vous souvenez ?

La mission est ce qui guide la communauté. Je pense que nous avons là une communauté fantastique : développeurs, designers, testeurs, reps (NdT : des « représentants » Mozilla bénévoles qui organisent des événements), travaillant tous ensemble pour s’assurer, et là encore pour paraphraser Mitchell, qu’Internet soit ce que le monde a besoin qu’il soit. Contrairement à d’autres projets, où la communauté environnante ne joue qu’un (petit) rôle de soutien mineur, Mozilla telle qu’on la connaît ne serait pas pareille sans sa cohorte de volontaires.

Outre Firefox, nous travaillons sur d’autres projets qui rendent le Web plus accessible et le font avancer. Firefox OS et Webmaker me viennent à l’esprit. Firefox OS rapproche Internet des personnes qui n’ont pas actuellement de smartphone. En même temps, il fait avancer les technologies Web en procurant un support semblable à celui que les développeurs sur des plateformes fermées, propriétaires à travers des applications natives peuvent avoir. Webmaker a pour objet de forger notre Internet - il permet aux gens de contribuer au Web avec leur propre contenu.

Avec sa mission, ses super volontaires et ses projets tournés vers la communauté, Mozilla est différente. Elle est spéciale. C’est quelque chose que beaucoup n’auraient pas pensé possible. Il n’y a pas si longtemps, personne n’aurait pensé qu’un logiciel libre, gratuit et open source puisse atteindre une part de marché significative. Firefox l’a fait et c’est grâce à son influence déterminante que nous en sommes arrivés à disposer d’autres choix que seulement Internet Explorer pour naviguer sur le Web.

Notre communauté démontre qu’un groupe de gens dispersés à travers le monde peut faire du beau travail ensemble. Firefox OS amène le Web encore plus loin, plus proche des terminaux mobiles de plus en plus populaires. Tout cela et bien d’autres choses encore est réalisé en toute transparence par des contributeurs passionnés. Comment ne pas l’aimer !?

Crédit photo : Beyond the Code

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dada : ownCloud : Rescanner ses fichiers

mardi 8 octobre 2013 à 08:30


owncloud-logo.png

L'autre jour, j'ai éprouvé quelques difficultés à téléverser pas loin de 650 photos sur mon instance ownCloud. Firefox a fait des siennes et la connexion internet que j'ai à Manipal n'a rien de stable.

Bref, j'ai laissé l'upload tourner pendant 5h et en revenant, je n'étais pas certain du résultat. Il me fallait donc un truc pour voir si les fichiers étaient bons.

Avec la version 5 de ownCloud, on ne peut plus simplement faire scanFiles();. Cette commande permettait de forcer ownCloud à rescanner la totalité des fichiers.

Maintenant, la manipulation qu'on peut faire est moins subtile : il s'agit de vider la table "oc_filecache" de la base de données de votre instance.

Note : Cette manipulation fera sauter vos partages, n'oubliez pas de les remettre en place !

Pour les utilisateurs de MySQL, il suffit d’exécuter la commande suivante :

TRUNCATE oc_filecache;

C'est assez bourrin mais ça force ownCloud à refaire le tour de tout ce qui traine et de les remettre en ordre.

N'hésitez pas à faire un tour dans vos fichiers si le scan ne se lance pas tout de suite.

Aussi, la manipulation peut prendre du temps en fonction du nombre de fichiers à réanalyser.

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Noireaude : Une après-midi sous Manjaro 0.8.7

mardi 8 octobre 2013 à 01:28

manjaro-1

Comme vous pouvez le voir je n’ai pas fichu grand chose hier et ce n’est pas faute d’avoir vu passer quelques infos sympathiques, seulement voilà. Je n’avais pas envie de parler d’un énième noyau ou de Fotoxx 13.10 qui vient de sortir, et qui s’est avéré être un carnage sans nom chez moi (plantages sur plantages). Du coup je me suis dit que j’allais faire une pause et un truc dont j’avais envie depuis un moment, à savoir tester Manjaro. J’ai choisi la version 0.8.7, opté pour un desktop Mate et après avoir mis le tout sur Unetbootin je me suis lancé à l’arrache (comme d’hab). Même si c’est sans doute un peu inutile et que ça fait un brin « my life », j’avais envie de vous faire partager un peu mes premières impressions.

Installation :

Après avoir booté sur Manjaro je me suis retrouvé sur Mate et je ne vais pas vous le cacher, j’ai cru faire un bond de 10 ans en arrière. C’est néanmoins assez conforme à l’idée qu’on peut s’en faire et comme indiqué sur le site du projet, on se croirait vraiment sous Gnome2. Je décide donc d’y aller et de lancer l’utilitaire d’installation en mode graphique.

L’installation s’est très bien déroulée et la réputation de Manjaro qui se veut être une « Arch simplifiée » n’est pas erronée. J’ai pu accéder très facilement à la partoche que je réservais pour un autre système grâce à Gparted, je l’ai formatée en ext4 et j’ai lancé le bouzin. Rien de plus à signaler si ce n’est que c’est aussi facile que sur Ubuntu et assez similaire.

Premiers pas :

L’installation s’étant poursuivie sans accroc je suis arrivé sans encombres sur Mate et la première chose que j’ai cherché à faire c’est bien entendu la mise à jour du système. Quand j’avais testé Manjaro la première fois je n’avais pas eu de chance, car Pamac était bugé et je n’avais pas été plus loin. Dans cette nouvelle version de Manjaro Pamac est fonctionnel, mais j’ai préféré faire comme un grand et me familiariser tout de suite avec des commandes de base telles que pacman ou yaourt.

Je vous en ai mis quelque unes de côté si ça vous tente, à commencer par :

pacman -Sy

qui sert à mettre à jour la liste des paquets présents dans les dépôts officiels. Pour info la différence entre pacman et yaourt réside justement dans le fait que pacman pioche dans les dépôts officiels, tandis que yaourt va servir à installer des paquets via AUR par exemple. yaourt est donc à utiliser avec prudence dans le sens ou même si AUR est très utilisé, ça n’en reste pas moins un dépôt « officieux ». Un peu comme les PPA sur Ubuntu quoi.

Pour installer un paquet via Pacman vous pouvez utiliser ce type de syntaxe :

sudo pacman -S paquet_1 paquet_2

Vous pouvez également installer un paquet en indiquant le nom de son dépôt comme ceci :

sudo pacman -S dépôt/paquet

Ou encore depuis un paquet présent sur votre machine :

sudo pacman -U nom_du_paquet

Pour la mise à jour des paquets vous vous pouvez utiliser :

sudo pacman -Su si la synchro a été faite, ou sudo pacman -Syu pour effectuer une synchro et la mise à jour dans la foulée.

Pour désinstaller des paquets vous pouvez utiliser les commandes suivantes :

sudo pacman -R paquet_1 pour une suppression simple, ou sudo pacman -Rs paquet_1 pour supprimer également les dépendances.

Je pourrais continuer longtemps comme ça et vous présenter quelques commandes pour yaourt, mais vous pouvez retrouver bien plus d’exemples utiles en allant directement sur la page dédiée à pacman ou à yaourt, toutes deux issues du magnifique wiki Archlinux.

En tout cas j’ai été très emballé par ces deux outils, qui sont très largement à la hauteur de leur réputation. C’est souple, rapide et très efficace.

Le desktop :

Le desktop a été un peu une déception mais à vrai dire ce n’était pas vraiment une surprise.

Après avoir tenté Mate qui a quand même l’avantage d’être très léger, je n’ai pas vraiment pu m’y faire. C’est vraiment trop vieillot et bien que je ne sois pas difficile, je n’ai pas réussi à rester dessus. Je garderais donc Mate pour mon netbook et j’ai décidé de tester XFCE 4.10, installé à l’aide de ces deux commandes :

sudo pacman -S xfce4 pour l’environnement de base et sudo pacman -S xfce4-goodies pour profiter de certains greffons.

Après environ une heure je suis arrivée au même constat qu’avec Mate et bien qu’ayant tourné deux ans sur ce desktop, il m’a également paru à la ramasse. J’ai donc du me résoudre à installer mon bon vieux GNOME Shell à l’aide de ces deux commandes :

sudo pacman -S gnome et sudo pacman -S gnome-extra.

Une fois mon Gnome entre les pattes je me suis senti comme à la maison, à la différence que ce dernier ma paru bien plus complet et mieux intégré sur Manjaro que sur Ubuntu Gnome. Pas de lenteurs, pas de freezes, quelque paquets en plus et je n’ai eu que l’absence de Gnome Tweak Tool à déplorer. sudo pacman -S gnome-tweak-tool a cependant résolu bien vite le problème.

Pour le reste des application (mis à part Shutter) je n’ai pas eu de soucis particuliers, on trouve tout ce qu’il nous faut grâce à pacman et yaourt. J’ai pu installer mes applications habituelles comme, Skype, Chromium, P7zip, aircrack-ng etc…

Conclusion :

Je ne peux pas objectivement tirer de conclusions définitives de cet après-midi passé sur Manjaro, mais je dois bien avouer que le constat est plutôt très très positif pour le moment. Manjaro n’est peut-être pas encore tout à fait grand public mais si vous avez déjà bien roulé votre bosse sur Ubuntu (ou plus généralement GNU/Linux), vous ne serez pas du tout perdu. Ce n’est certes pas tout à fait la même chose au niveau des commandes mais c’est loin d’être insurmontable, en 30 minutes seulement vous ne ferez même plus différence. Manjaro est vraiment très facile à installer, à prendre en main et à utiliser, en plus d’être vraiment très légère et super réactive. Je lui met sans hésiter un 19 sur 20 (20 étant réservé à la perfection).

Le seul point noir que j’ai relevé ne réside pas dans l’utilisation de Manjaro, mais concerne Mate et XFCE. J’étais partit dans l’idée de ne pas prendre une version Gnome histoire de voir autre chose et de ne pas avoir deux distributions ayant le même desktop installé sur ma machine, mais c’est raté.  Ça faisait longtemps que je n’avais pas remis les pieds sur ce genre de desktop et j’ai été vraiment très déçu de voir à quel point (je me répète) ils étaient à la ramasse. Ce n’est juste plus possible de se trimbaler des trucs pareils en 2013, si ce n’est à la limite pour des questions de ressources.

Pour le reste je vais profiter de mes vacances pour continuer à prendre mes marques en testant Manjaro en production et si tout se passe bien, je pense qu’elle va devenir ma distribution de base. Si vous ne l’avez pas encore testée je vous conseille vraiment de vous y mettre, vous ne serez pas déçus. Vous pouvez vous procurer Manjaro depuis la page de téléchargement du site officiel.

Amusez-vous bien et c’est décidé, l’année prochaine je passe sur une vraie Arch :)

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