PROJET AUTOBLOG


Planet-Libre

source: Planet-Libre

⇐ retour index

Monnaie libre : Russie, Masse Monétaire et TRM

lundi 14 avril 2014 à 13:15

Après avoir traité récemment du Vénézuela puis de l’Ukraine (nous traitons déjà de la même façon l’euro tous les mois depuis 2009…), faisons aujourd’hui un zoom relativiste sur la Russie.

Fédération de Russie 2014

Fédération de Russie 2014

Tout d’abord voyons sa masse monétaire publiée par sa Banque Centrale (en milliards de roubles = RUB).

Monnaie Russie 2014

Monnaie Russie 2014

Premier constat, la croissance relative de la masse monétaire semble à première vue à peu près bonne depuis 2007, avec un rebond-exception durant « la crise » (le faux en écriture, le hold-up, l’esclavagisme, le péremptoire, l’illégitime, l’incohérent, l’inacceptable, le condamnable, le pustch, ce qui réclame patience et vigilance, ce qui ne sera pas emporté au paradis, ce qui ne sera pas oublié, etc…) 2009 – 2011.

Maintenant étudions les éléments relativistes (le taux de Dividende Universel csym , la double masse monétaire, le calcul du DU) sachant que l’espérance de vie y est d’environ 69 ans, la population étant de 144 millions d’individus.

On redécouvre le fait démontré par la TRM que csym varie peu avec l’espérance de vie, et on est toujours aux alentours de 10% / an.

On en déduit donc que si le Rouble était une monnaie libre, chaque citoyen Russe devrait participer de sa monnaie véritablement commune, de sa naissance à sa mort, à un niveau proche de 1 DU mensuel = 1 114 roubles par mois en 2014 (environ 200 € / mois au taux de change officiel).

(Visited 54 times, 6 visits today)

Gravatar de Monnaie libre
Original post of Monnaie libre.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Tasse de Café : Internationaliser un plugin WordPress avec gettext

lundi 14 avril 2014 à 11:00

Si vous avez déjà utilisé des plugins WordPress, vous n’êtes sûrement pas passé à côté de certains détails comme une langue différente de celle présente sur les captures d’écran que vous aviez pu voir avant de l’installer. Évidemment, ça n’a rien de mystérieux : l’internationalisation est passée par là, et si nous avons déjà vu comment internationaliser un site quelconque grâce à gettext et sa déclinaison PHP, il est maintenant temps de passer à l’internationalisation d’un plugin WordPress.

Internationaliser un plugin WordPress

Comme vous pourrez le constater, il y a quelques différences avec ce que nous faisions auparavant sans WordPress, ce dernier ayant quelque peu simplifié la démarche. Vous pourrez par exemple vous permettre de mettre tous vos fichiers de langues dans un seul et unique dossier, voire même dans le seul dossier qui contient votre plugin, même si ça fera un peu bordel.

Préparation du plugin

Pour commencer, comme sans WordPress, nous devons créer le domaine et demander à WordPress de le charger. Cela se fait en une seule ligne, que nous insérerons dans une fonction, comme par exemple :


function charger_mes_langues() {
	load_plugin_textdomain('mon-plugin', false, dirname(plugin_basename(__FILE__)) . '/lang/');
}
?>

Vous l’aurez compris, la chaîne dans le premier argument n’est autre que le nom du domaine, que vous allez devoir choisir unique pour ne pas interférer avec les autres plugins utilisés. Le nom du plugin peut être une bonne idée. Le second argument, qui vaut ici false, vaudra toujours false : il s’agit d’un ancien argument utilisé dans les vieilles versions de WordPress et qui est aujourd’hui déprécié. Le troisième argument est lui beaucoup plus important puisqu’il indique à WordPress où chercher les fichiers de langues.

Pour cette troisième valeur, utiliser la syntaxe décrite ici est vivement recommandé puisqu’il s’agit de la plus adaptative. Le chemin attendu par WordPress est un chemin relatif par rapport au dossier contenant votre plugin, et ces fonctions nous permettent justement de faire ça sans connaître à l’avance le nom du dossier ou l’emplacement exact du fichier utilisé.

Ainsi, plugin_basename() est une fonction WordPress qui renvoie le chemin, relatif à partir du dossier de base de votre plugin, vers le fichier indiqué en argument, d’où la constante PHP __FILE__ qui donne justement le chemin vers le fichier actuel. La fonction dirname() nous vient elle directement de PHP et permet de supprimer le nom du fichier qui traîne toujours, pour ne récupérer que le nom du dossier que l’on voulait. Enfin, on concatène ici le sous-dossier lang qui est l’endroit où j’ai choisi de mettre mes fichiers de langues.

Bon, maintenant il faut appeler la fonction charger_mes_langues(). Si vous avez l’habitude de WordPress, vous devez sûrement vous demander quelle action nous devons utiliser ici, et vous avez bien raison. Le nom de l’action en question est ici « plugins_loaded » qui est appelée après que les plugins activés aient été chargés :


add_action('plugins_loaded', 'charger_mes_langues');
?>

Et c’est tout pour la création du domaine. Comme quoi, c’était plus simple sous WordPress. La suite des opérations diffère encore quelque peu de nos habitudes puisqu’il va falloir utiliser les fonctions de WordPress et non celles de gettext. Bon, que l’on se rassure tout de même, ce n’est pas franchement plus compliqué : au lieu d’utiliser la fonction _(), nous allons utiliser _e() qui affiche automatiquement la chaîne sans avoir à faire un echo. Cette fonction s’utilise comme ceci :

_e('Hello World!', 'mon-plugin'); ?>

Comme vous pouvez le voir, elle attend deux arguments, faciles à deviner : le premier est la chaîne à traduire et le second est le nom du domaine créé pour votre plugin. Notez que, comme pour gettext seul, WordPress nous fournit plusieurs fonctions, utiles ou non selon les cas. Ainsi, si vous voulez récupérer la chaîne traduite sans qu’elle ne soit affichée par défaut, c’est possible en utilisant la fonction __() (notez les deux underscores à la place d’un seul) qui attend les mêmes arguments que _e().

Traduction

Côté WordPress, nous en avons fini : il faut maintenant passer à la partie traduction qui, pour le coup, est quasiment identique au cas général. Hormis quelques détails.

Premièrement, l’utilisation de xgettext va différer un peu : nous n’utilisons pas de fonctions gérées nativement par gettext, et il va donc falloir indiquer à xgettext dans quelles fonctions il doit aller chercher les informations. C’est on ne peut plus simple puisqu’il suffit d’utiliser l’option –keyword qui demande en valeur le nom de la fonction :
xgettext --keyword="_e" mon-plugin.php -o lang/mon-plugin.pot

Une fois ce *.pot créé, il faut maintenant le traduire, ce qui se fait exactement de la même façon que dans le cas général. Le seul détail qui va encore différer est le nom des fichiers qui doit contenir le nom du domaine suivi du code de langue, comme par exemple « mon-plugin-fr_FR.po » (ou *.mo c’est pareil).

C’est tout !

Et voila ! Votre plugin est maintenant prêt à être internationalisé. Ce n’était franchement pas compliqué et ça peut vous faire gagner plus d’utilisateurs, alors il ne faut surtout pas s’en priver !

Gravatar de Tasse de Café
Original post of Tasse de Café.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Progi1984 : Réussir son développement avec Github

lundi 14 avril 2014 à 10:30

Cet article est une traduction de l’article « Successful GitHub Development » publié par Randall Degges. J’ai jugé intéressant de traduire cet article suite à un partage par Nicolargo. Pour note :

Octocat : la mascotte de GitHub

J’utilise GitHub depuis plusieurs années maintenant, et cela a drastiquement changé ma manière de développer, mon état d’esprit et mes efforts de participation. Au fil du temps, j’ai utilisé GitHub, j’ai contribué à de nombreux projets, débuté plusieurs de ma propre iniative, et eu l’opportunité d’échanger avec un large panel de développeurs (du novice au professionnel).

Cet article est ma tentative d’expliquer les meilleurs pratiques pour Github que vous pourrez appliquer dans votre développement quotidien, et qui fera de vous :

Pour de la clarté, cet article est divisé en deux parties séparées : les mainteneurs et les contributeurs.

La section sur les mainteneurs explique les meilleurs pratiques pour faire tourner votre projet open source sur GitHub. Si vous avez déjà publié votre propre librairie, vous devriez y jeter un coup d’oeil.

La section sur les contributeurs explique comment contribuer au mieux à des projets open source existants.

Je vous recommande, quelque soit si vous maintenez ou si vous contribuer, de lire les deux sections. Le développement open source est une des bases de notre société moderne, et afin d’assurer que l’éco-système open source reste accueillant, ouvert et efficace, nous – les développeurs, avons besoin de faire tout ce que nous pouvons pour promouvoir les meilleurs pratiques et une collaboration efficace.

Mainteneurs

Maintenir des projets open source est dur — cela requiert du temps, de l’énergie et une bonne communication. Les principes soulignés ici devraient être appliqués à tous les projets open-source (petits et grands), car ils feront en sorte que votre vie (et la vie de vos contributeurs) soit aussi simple que possible.
Toutes les pratiques mentionnées ci-dessous s’appliquent seulement aux projets une fois qu’ils ont une leur première release. Si vous êtes encore en train de travailler sur l’implémentation des fonctionnalités de base de votre logiciel, vous pouvez choisir d’ignorer l’une de ces règles et travailler de la manière la plus efficace pour vous.
J’ai essayé de lister ces règles par ordre d’importance, donc en tant que mainteneur de projet, vous pouvez utiliser cette liste comme une sorte de checklist pour vos nouveaux projets que vous barrerez au fur et à mesure jusqu’à ce que votre projet soit pleinement conforme.

1. Ecrire une documentation officielle

La première exigence pour tout projet opensource est d’avoir une bonne documentation pour tous les utilisateurs potentiels. Il n’y a absolument aucune excuse pour ne pas avoir une bonne documentation.
Votre documentation officielle devrait inclure, au minimum :

Avoir une bonne documentation est probablement la seule chose la plus importante que vous devez faire (en tant que mainteneur) pour assurer le succès à long terme de votre projet. Une bonne documentation encourage les nouveaux utilisateurs à utiliser votre code, encourage les contributeurs à contribuer à votre projet, et vous donner une réputation positive dans la communauté des développeurs.

Quelques notes à prendre en compte :

2. Utiliser Git Flow

git-flow est un workflow populaire de Git (et un add-on) qui fournit une manière simple de fonctionner avec des projets stables. L’idée derrière git-flow est que chaque projet devrait avoir deux branches tout le temps : une branche master qui contiendrait la version stable, prête pour la production du code, et une branche develop qui contiendrait la dernière version du code en développement.
En utilisant git-flow, cela devrait inciter à :

En acceptant un modèle de workflow Git, vous pouvez vous assurer que vos utilisateurs ne confondront pas :

Pour en apprendre plus au sujet de git-flow, voici quelques articles à lire (dans l’ordre) :

3. Publier vos résultats de tests

Si vous n’écrivez pas de tests pour votre code, lisez ceci avant d’aller plus loin. Comme je suis sûr que vous le savez, les tests sont sans valeurs si vous ne les lancez pas — après tout, quel est l’intérêt d’avoir des tests si personne ne s’en inquiète ?
Pour les projets open source, simplement lancer vos tests n’est pas assez. En plus de les lancer, vous devez aussi publier vos résultats de tests pour que vos utilisateurs et contributeurs connaissent le statut de la suite de tests.
Bien que ce ne soit pas une pratique courante, publier les résultats de tests est une bonne manière de :

Si possible, vous devriez toujours utiliser Travis CI pour lancer des tests sur votre projet. Travis CI est “un service hébergé d’intégration continue pour la communauté open source”. Au moment où j’écris, Travis CI supporte une large gamme de langages de programmation, frameworks, bases de données, services de cache, et d’autres composants d’infrastructure qui vous permettent de lancer votre suite de tests avec succès, indépendamment de la complexité.
Pour débuter avec Travis CI, lisez leur documentation officielle
NOTE : Si vous utilisez Travis CI pour lancer vos tests, soyez sûr que vous utilisez leur fonctionnalité de partage en embarquant le statut du build de votre projet dans votre documentation officiel. La manière recommandée pour le faire est d’embarquer le code Markdown de Travis CI dans le fichier README.md de votre projet. De cette manière, GitHub l’aaffichera en évidence sur la page de votre projet.
Si vous n’utilisez pas Travis CI pour une autre raison, vous pouvez utilisez Jenkins. Jenkins est un simple serveur d’intégration continue qui peut facilement être configuré pour lancer vos projets. Si vous utilisez Jenkins, soyez sûr de diriger les utilisateurs (de votre documentation) vers la page web de Jenkins afin qu’ils puissent voir vos résultats de tests.

4. Utiliser les tickets de GitHub

Les tickets de GitHub sont la meilleur manière pour suivre les tickets de votre projet, et vous devriez encorager vos utilisateurs (et contributeurs) à les utiliser pour :

Avoir tous les tickets d’un projet à un seul endroit rend cela plus facile que ce soit pour les utilisateurs ou pour les contributeurs pour soumettre des problèmes, commenter les problèmes des autres, trouver des choses à faire, et en général rester organisé.
Assurer que votre gestionnaire de tickets est toujours à jour et bien maintenu encorage fortement aussi les nouveaux contributeurs à travailler sur le projet, comme ils peuvent facilement trouver des bugs et les corriger pour vous.

Contributeurs

Contribuer au code de projets open source peut être difficile, excitant, effrayant et une récompense. Cette section a pour but de vous aider à contribuer avec succès au code de projets que vous aimez, tout en minimisant les chances d’échecs le long du chemin.
Si vous respectez ces conseils, cela devrait aller. Comme avec la section sur les mainteneurs, les astuces ci-dessous sont ordonnées par importance et peuvent être suivies comme une checklist.

1. Lire la documentation du projet

Si le projet auquel vous voulez contribuer a une documentation officielle, soyez sûre de la lire de bout en bout avant de soumettre du code. Souvent, le code que vous voulez soumettre et que vous avez à l’esprit fait déjà partie du projet et peut être trouvé quelque part dans la documentation.
Lire toute la documentation officielle vous donnera généralement une bonne idée sur le but, l’étendue et les idéaux du projet. Cela peut être incroyablement important, puisque le facteur critique pour que votre code soit accepté dans projet soit qu’il s’intégre bien avec la base du code existant. Il est hautement improbable, par exemple, que le mainteneur d’un bot IRC accepte un pull request contenant du code qui ajoute le support de Skype, puisque le projet se concentre entièrement sur IRC.

2. Regarder le gestionnaire de tickets

Avant d’écrire votre première ligne de code, assurez-vous de parcourir le gestionnaire de tickets du projet.
Si vous planifiez de corriger un bug, et que vous ne le voyez pas pour l’instant lister dans le gestionnaire de ticket, créez un nouveau ticket pour cela ! Le meilleur type de code est le code qui n’a jamais été écrit. Le bug que vous vous apprêtiez à corriger peut être un autre problème non-relatif au projet, donc remplir un ticket avant de soumettre du code est généralement une bonne idée puisque cela sauvera à vous (et au gestionnaire du projet) beaucoup de temps et de trouble.
Si vous souhaitez soumettre une nouvelle fonctionnalité au projet, créez un ticket en premier, et expliquez la fonctionnalité que vous aimeriez soumettre et pourquoi vous pensez que cela peut être utile. Cela donne au gestionnaire du projet la possibilité de discuter avec vous de la fonctionnalité, et de trouver la meilleure manière de l’implémenter. Souvent, avoir des discussions sur les fonctionnalités avant de soumettre du code augmente grandement les chances que votre code soit accepté, puisque le mainteneur attend que vous soumettiez le code, et aura une idée d’où chercher et quoi inspecter.

3. Se conformer aux règles

Presque chaque projet a un style de code distinct. Chaque fois que vous soumettez du code à un projet, soyez sûr que votre code se conforme aux règles de code pré-existantes.
Non seulement l’écriture du code dans le même style que celui du projet rendra le code plus facile à comprendre pour vous, cela le rendra plus facile pour le mainteneur de projet pour l’examiner, l’accepter et le publier !
Peu importe si vous aimez ou non le style du code existant, se conformer aux styles de l’auteur rend tout le monde plus content puisque tout le code sera uniforme, plus facile à parcourir, plus facile à débugguer, et plus facile à maintenir dans le temps.

4. Incertain ? Demandez !

Si vous n’êtez pas sûr à propos de quelque chose — que ce soit du style de code, du workflow de développement, d’une formulation ou quoique ce soit — n’essayez pas de faire des suppositions, demandez !
Probablement le plus grand des bénéfice dans les logiciels open source est qu’il rassemble les gens pour créer des choses étonnantes. Si vous n’êtes pas sûr à propos de quelque chose, discutez avec un des mainteneurs du projet — ils vont probablement être content de discuter avec vous.
Les mainteneurs de projet ne veulent pas gâcher de temps (que ce soit le leur ou le vôtre), et seront généralement plus content d’expliquer pourquoi telle chose est une bonne idée (ou pas). Discuter des questions avant de soumettre le code est une excellente manière de se faire de nouveaux amis, apprendre de nouvelles choses, et généralement profiter encore plus de votre expérience dans l’open source.

Amusez vous

Maintenir et contribuer à des projets open source apporte beaucoup de plaisir. Il n’y a rien d’identique à l’élan que vous avez en créant quelque chose de nouveau, et en le partageant avec le monde. Si vous commencez un projet ou contribuez à un autre, savourez votre travail, rencontrez de nouvelles personnes, et amusez-vous.
Si vous vous trouvez dans une situation où vous ne vous amusez pas, arrêtez ce que vous êtes en train de refaire et re-pensez les choses.
J’espère que ces lignes directrices ci-dessus vous ont été utiles. Si vous avez des questions ou des suggestions, n’hésitez pas à laisser un commentaire et je mettrez à jour l’article au besoin.

Cet article Réussir son développement avec Github est apparu en premier sur RootsLabs.

Gravatar de Progi1984
Original post of Progi1984.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Articles similaires

Planet Libre : Brèves du Planet Libre - lundi 14, avril 2014

lundi 14 avril 2014 à 00:00

Comment récupérer les sous-titres d'un enregistrement de la TNT : mini-tuto - LinuxFR.org

tips linux montage vidéo TNT sous-titres


antistress : Un petit tuto pour "expliquer comment récupérer les sous-titres DVB des chaînes télé françaises et les convertir sous forme d'un fichier texte srt".


Le CSA veut un label "site de confiance" pour censurer le Web - Numerama

filtrage censure internet Web CSA institution


antistress : "Le CSA confirme dans son dernier rapport sa volonté d'attribuer un label "site de confiance" aux sites qui s'engageraient à respecter certaines règles d'auto-censure, et d'imposer aux logiciels de contrôle parental qu'ils bloquent l'accès aux sites non labellisés. "


[EN] Heartbleed Explanation - xkcd

openssl ssl chiffrement

thumbnail
antistress : Pour tout comprendre en un coup d’œil sur la faille de sécurité OpenSSL.


Robin Seggelmann, l'homme par qui l'énorme faille Heartbleed est arrivée - 01net

openssl ssl chiffrement


antistress : "Un développeur allemand est à l’origine de la faille de sécurité OpenSSL. Mais il assure ne pas l’avoir introduit de manière délibérée, et encore moins pour une agence de renseignement. "


Numérisation cassette Video VHS - debian-fr.org

tips linux montage vidéo VHS


antistress : "Budget 20€ en gros. But: Récupérer une video sur K7 vieille de 19 ans"


Rétention des données : La CJUE dénonce le fichage systématique des communications - La Quadrature du Net

pistage institution europe


antistress : "Dans un arrêt rendu ce matin, la Cour de Justice européenne (CJUE) vient de s'opposer au fichage systématique de nos communications en ligne en invalidant la directive européenne sur la rétention des données adoptée en 2006. En plein débat sur la surveillance de masse, cette nouvelle jurisprudence représente une étape importante dans la reconquête de notre droit fondamental à la vie privée et à la protection de nos données personnelles."


Gravatar de Planet Libre
Original post of Planet Libre.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Articles similaires

Tuxicoman : Request Policy

dimanche 13 avril 2014 à 18:12

« Request Policy » est une extension pour le navigateur web Firefox qui bloque les requêtes inter-domaines.

Le tracking de la vie privée des internautes passe majoritairement par les informations envoyées lors de requetes inter-sites.

Exemple simple: Je visite une page web qui intègre au choix:

Dans chaque cas, une requête est envoyée au service externe. Cette requête contient votre IP, diverses informations sur votre matériel (version du navigateur, OS) l’adresse web de la page que vous consultez, un cookie vous identifiant personnellement (sous couvert de stocker vos préférences) et si la requête mène à un script peut être encore d’autres infos.

Vous pouvez désactiver l’envoi du cookie dans les préférences de Firefox (« ne jamais accepter les cookies tiers ») mais pour le reste, vous êtes la proie du tracking de ces services.

Il est aisé de pour Facebook ou Google de dresser la liste de la grande majorité de sites que vous avez visité aujourd’hui.

Un bon moyen d’empêcher cela est de bloquer les requêtes inutiles vers des sites externes. Ce que fait Request Policy

Vous pouvez bien sûr autoriser au cas par cas les requêtes externes pour afficher les vidéos intégrées, fonts, etc.. quand vous le voulez.

Quand aux webmasters, soyez respectueux de la vie privée de vos lecteurs et réduiser au maximum les requêtes vers les sites externes connus pour avoir le tracking des utilisateurs comme coeur de métier (Disqus, Facebook, Google, etc..)

Related Posts:

Gravatar de Tuxicoman
Original post of Tuxicoman.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Articles similaires