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Antistress : Les bases du montage vidéo : exemple avec Pitivi

vendredi 20 décembre 2013 à 04:25

Capture d'écran de Pitivi
Pitivi 0.92

Je parle souvent de Pitivi sur ce blogue. Pitivi est un logiciel destiné au montage vidéo.

Les grandes lignes de son interface sont très classiques pour un logiciel de montage vidéo. Là où Pitivi innove c'est qu'il est conçu pour simplifier les choses au maximum, en suivant la maxime selon laquelle le mieux est l'ennemi du bien (en anglais : less is more).

Pourtant certains n'ont jamais approché un logiciel de montage vidéo. Je propose donc de vous en présenter les bases.

L'agencement général de l'interface

La capture d'écran en tête de ce billet vous montre à quoi ressemble l'interface d'un logiciel de montage vidéo comme Pitivi.

Décomposons ensemble ses principaux éléments – un peu de couleur nous aidera à y voir plus clair :

Capture d'écran de Pitivi

Nous pouvons distinguer quatre éléments principaux :

Le premier élément de l'interface (panneau de gauche coloré en vert) est la bibliothèque des médias (1) : c'est ici que vous répertorierez les séquences dont vous aurez besoin pour le montage. Il s'agira principalement de vidéos, mais il peut s'agir aussi de sons (pour ajouter une mélodie ou des bruitages à votre film) ou d'images (pour insérer des images fixes dans votre film – par exemple pour créer un générique).

Le deuxième élément de l'interface (partie inférieure colorée en bleu) est la piste de montage (2) (en anglais : timeline) où vont s'effectuer les opérations de montage. Celle-ci se comporte comme une frise chronologique horizontale, se déroulant de la gauche vers la droite. Ajoutez une séquence vidéo B à droite d'une séquence existante A pour obtenir un film dans lequel s'enchaîneront les séquences A puis B.

Le troisième élément de l'interface (panneau de droite coloré en jaune) est le lecteur (3) : il agit comme un moniteur vidéo qui va vous permettre de visualiser le résultat de l'assemblage réalisé sur la piste de montage (2).

Enfin le quatrième élément de l'interface (panneau du centre coloré en rouge) vous offre un choix de transitions (4). Nous avons vu qu'à l'aide de la piste de montage (2) il était très facile de faire se succéder deux séquences : il suffit de les placer l'une après l'autre sur ladite piste de montage. Mais vous pouvez préférer ajouter un effet animé entre ces deux séquences, afin par exemple que la première s'efface doucement en laissant apparaître la seconde par transparence, ou bien que la première laisse la place à la seconde à la façon d'une page qui se tournerait et dévoilerait ainsi la suivante.

Démarrer avec Pitivi

Capture d'écran de Pitivi

Ci-dessus, l'interface qui s'affiche lorsque vous lancez Pitivi. Un écran de bienvenue vous accueille que je vous propose de fermer pour cette première fois (à l'aide de la croix à droite du message de bienvenue) afin de retrouver l'interface décrite dans le paragraphe précédent.

Capture d'écran de Pitivi

Vous voici donc aux commandes de l'interface précédemment décrite. Cliquez sur le bouton « Importer » (entouré en rouge dans l'image ci-dessus) de la bibliothèque des médias (1) pour ajouter les séquences qui constitueront la « matière première » de votre ouvrage. Dans l'exemple ci-dessus, j'en ai ajouté deux.

Capture d'écran de Pitivi

Il est possible que les séquence s'affichent sous forme de grosses icônes placées les unes à côté des autres plutôt que sous forme de petites icônes en ligne comme précédemment : le choix de l'affichage se fait en utilisant le bouton entouré de rouge dans la capture ci-dessus.

Capture d'écran de Pitivi

Ci-dessus : double-cliquer sur l'icône d'une séquence de la bibliothèque des médias (1) ouvre une fenêtre permettant de visualiser ladite séquence.

Capture d'écran de Pitivi

Pour positionner des séquences de la bibliothèque des médias (1) sur la piste de montage (2) il suffit de sélectionner chacune des séquences, dans l'ordre dans lequel vous souhaitez les voir apparaître dans votre film, et de presser pour chacune le bouton entouré de rouge dans la capture ci-dessus : alors Pitivi positionnera précisément pour vous les séquences sur la piste de montage, les unes après les autres, sans que vous n'ayez à vous soucier de les ajuster.

On continue avec le réglage des paramètres du projet

Capture d'écran de Pitivi

Tout à l'heure nous avons décidé d'ignorer l'écran de bienvenue. Or celui-ci permettait de configurer précisément votre projet, c'est à dire principalement de choisir la résolution et la cadence (en nombre d'images par seconde) de votre film. Vous pouvez retrouver cet écran de configuration en déroulant le menu « Édition » jusqu’à l'entrée « Paramètres du projet ». Mais si vous souhaitez utiliser les mêmes paramètres pour votre projet que ceux d'une des séquences déjà présentes dans la bibliothèque des médias (1), il vous suffit de sélectionner ladite séquence et d'actionner le bouton de la bibliothèque des médias entouré en rouge sur la capture ci-dessus pour faire apparaître une fenêtre regroupant les paramètres de ladite séquence, puis de cliquer sur le bouton « Appliquer au projet » au bas de cette fenêtre pour demander à Pitivi de configurer automatiquement le projet en fonction de cette séquence.

Capture d'écran de Pitivi

Dans mon cas, les deux séquences avaient chacune leur propre résolution. Dans la capture ci-dessus j'ai demandé à Pitivi de régler automatiquement le projet en fonction de la première séquence (de résolution 640×272)...

Capture d'écran de Pitivi

...et dans la capture ci-dessus j'ai demandé à Pitivi de régler automatiquement le projet en fonction de la deuxième séquence (de résolution 720×400). Notez que le format du lecteur (3) s'est adapté en conséquence dans chacun des deux cas (il est plus haut sur la deuxième capture).

Réaliser des transitions

Capture d'écran de Pitivi

La possibilité de réaliser facilement des transitions spectaculaires fait partie des satisfactions ressenties lorsque l'on commence à faire du montage vidéo assisté par ordinateur. Pour réaliser une transition, il vous suffit de faire chevaucher vos deux séquences vidéo : pour cela, dans la piste de montage (2), ramenez la séquence de droite vers celle de gauche jusqu'à ce que celle de droite empiète visiblement sur celle de gauche (n'ayez pas peur, les modifications que vous effectuez sur la piste de montage n’altèrent pas votre matériau de base) ce qui se matérialise par une zone grisée à la jonction des deux séquences. Bravo : vous venez de réaliser une transition très utilisée au cinéma, nommée « fondu enchaîné » (en anglais : crossfade), qui consiste à faire en sorte que la séquence en cours s'efface doucement pour laisser apparaître une nouvelle séquence par transparence. C'est la transition par défaut. D'autres transitions plus sophistiquées sont à votre disposition : cliquez sur la transition (la zone grisée marquant le chevauchement des deux séquences sur la piste de montage) pour activer le panneau de choix des transitions (4) et sélectionnez celle qui vous plaît le plus (utilisez le lecteur (2) pour découvrir le rendu de chacune).

Le rendu

L'étape finale du rendu consiste simplement à demander à Pitivi de réaliser effectivement le film tel que nous le lui avons décrit dans la piste de montage (2) et de l'enregistrer dans le format de notre choix. Utilisez le bouton « Effectuer le rendu... » situé dans la barre d'outils supérieure du logiciel, au dessus de la bibliothèque des médias (1).

Astuce finale et conclusion

Si vous bénéficiez d'un écran de taille confortable, voire de plusieurs écrans, vous avez la possibilité de détacher le lecteur (2) du reste de l'interface pour le positionner et l'agrandir comme bon vous semble (menu « Affichage », entrée « Détacher le lecteur »). Utiliser ensuite la croix de fermeture située en haut à droite du lecteur pour lui faire regagner sa place.

Nous avons vu ensemble le fonctionnement général de Pitivi. Lorsque vous serez bien à l'aise avec ces bases, vous pourrez ensuite utiliser les outils à droite de la piste de montage (2), pour recouper des séquences par exemple. Puis vous pourrez vous amuser avec des effets que vous trouverez dans l'onglet attenant à la bibliothèque des médias (1). Enfin vous découvrirez les courbes de niveau audio et vidéo en surimpression des séquences de la piste de montage (2)... Mais ceci est une autre histoire. D'ici là, bon montage vidéo !

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jesuislibre : github-summary, je contribue au logiciel libre

vendredi 20 décembre 2013 à 00:00
github-summary

Il m'est arrivé par le passé de contribuer modestement à certains projets libres dont j'en ai oublié les noms. Auparavant, les projets étaient dispersés sur les sites des auteurs ou sur des forges comme Sourceforge ou Savannah. Habituellement pour participer à un projet il fallait soit patcher les sources du projet soit être membres d'un projet.

Puis vint Github, son point fort est qu'il vous oblige à forker le projet avant d'effectuer la moindre modification. Au premier abord, on pourrait penser que trop de fork aurait pour conséquence de tuer le projet initial, mais il n'en est rien !

Grâce à Git et Github il est beaucoup plus facile pour moi de contribuer d'avantage au logiciel libre. La prochaine étape serait d'apporter mon savoir faire dans une société Opensource.

Revenons à nos moutons :) Pour résumer mes contributions sur la page principale de mon blog, j'ai créé un outil qui permet de générer sous divers formats un condensé de mes projets github auxquels j'ai participés.

Installation

Pour installer github-summary, vous avez 2 possibilités:

Soit l'installer depuis PyPI

$ pip install github-summary

Ou directement depuis le dépot GitHub :)

$ pip install git+git://github.com/badele/github-summary.git

Utilisation

Modifier le fichier de configuration ~/.github-summary.py ou config.py. Pour des raisons de sécurité je vous conseille de modifier vos paramètres dans le fichier ~/.github-summary.py afin d'y stocker vos identifiants Github (token).

Puis il suffit de lancer la commande ci-dessous.

githubsummary -t rst/index-en.rst -j example_projects.json -s example.rst

Ceci génèrera une page au format RST (pour le blog Pelican) en utilisant les options JSON

Options

Vous pouvez apporter des options pour chaque projet, le paramétrage se fait au format JSON. Pour l'instant, il est possible de modifier les heures passées sur un projet (grâce à org2json), comme par exemple le temps passé sur la contribution d'un projet (Pour cela j'utilise l'excellent Org mode d'emacs).

{
 "fabrecipes": {
     "hours": "89",
     "description": "A overwriting description text for fabrecipe."
 },
 "JobCatcher": {
     "hours": "108",
     "description": "Another overwriting description text for JobCatcher."
 },
 "gitcheck": {
     "hours": "15",
     "url": "http://bruno.adele.im/projets/gitcheck",
     "description": "Check multiple git repository in one pass."
 },
 "github-summary": {
     "coveralls": "True",
     "description": "Python tool for generate github summary in multiple formats (TXT, RST, HTML, ...)",
     "pypi": "True",
     "pydownload": "True",
     "hours": "30",
     "travis": "True"
 }
}

Comme expliqué précédemment, il est possible avant d'appeler github-summary de surcharger le fichier de configuration avec les heures passées sur un projet, pour cela il suffit d'exécuter la commande suivante

org2json -o project.org -s example_projects.json

Voici un exemple pour la génération d'une page example.rst

githubsummary -t rst/index-en.rst -j example_projects.json -s example.rst

Vous pouvez visualiser le résultat sur la capture ci-dessous ou sur mon site personnel

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Articles similaires

wilfried caruel : Call Meter 3G : l'application android open source de la semaine

jeudi 19 décembre 2013 à 22:23

Présentation Call Meter 3G


Je vais vous présenter une application dont je me suis demandé si cela avait un intérêt avec les forfaits actuels.

L'application Android s'appelle  "Call Meter 3G"

Cette application vous servira à savoir où vous en êtes dans votre consommation de votre forfait téléphonique.

Je me suis demandé l'intérêt de vous présenter ce genre d'application du fait que beaucoup de forfaits sont avec internet illimité avec réduction de la bande passante,

Mon forfait m'offre 5Go donc je n'ai pas ce souci , ça dépend des fois.

Mais en plus de connaître votre consommation data il sera utile pour :



Ce logiciel est sous licence GNU GPL v3


Présentation (Play Store)



L'application open source a été développée par Felix Bechstein

Il est à votre écoute pour les suggestions , améliorations et si vous avez les capacités à le traduire dans une langue ou deux , il vous remerciera.

La vidéo



L'application est déjà disponible en 15 langues.

Mon avis : 


Même si je n'ai pas l'utilité d'une telle application étant en forfait illimité, je l'avais utilisée avant d'avoir mon forfait en illimité.

Même si elle est simple il faut la configurer correctement car cela dépend de votre forfait (date de remise en route  et le data autorisé etc).

Je trouve les widgets un peu limite (j'ai oublié de vous les montrer).
Le graphisme des widgets me fait penser à la 1ére version d'android par contre l'interface est plutôt jolie donc cela n’enlève rien à ses fonctionnalités et son utilité.

Les widget ne reflete pas la qualité de l'application.

Le devs comme souvent (mais eux ne l'indiquent pas) travaille dessus pendant leur temps libre.
Je vous invite à le tester et à laisser un commentaire.

Je l'ai moi-même contacté (il ne parle pas français) ce week-end car dans sa description sur le play store il a rajouté un g dans une URL contenant google.

Je vous la recommande (si vous en avez l'utilité)
Je n'ai pas tester l'autre version de cette application "Call Meter ng".

Il y a les explications sur le pourquoi de ces autorisations sur le play store.

Les autorisations :



voir les messages texte (SMS ou MMS)
recevoir des messages texte (SMS)


bénéficier d'un accès complet au réseau
afficher les connexions réseau


voir l'état et l'identité du téléphone


Modifier ou supprimer le contenu de la mémoire de stockage USB


voir les contacts
lire le journal d'appels
modifier le journal d'appels


Tester l'accès à la mémoire de stockage protégée


empêcher la mise en veille de l'appareil


s'exécuter au démarrage



Lien :

Site Officiel

Téléchargement

Page GitHub

Page F-droid

Musique : Pieresis - Blue Life

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SckyzO : Gérer sa corbeille avec Trashindicator

jeudi 19 décembre 2013 à 21:12

Voici un indicator que je trouve assez utile, il s'agit de Trashindicator. Ce dernier permet en un clic de voir le nombre d’éléments dans la corbeille.

trashindicator

Le paquet deb se trouve à cette adresse: https://code.google.com/p/trashindicator/downloads/list

Après l'avoir installé, relancez la session et vous devriez voir apparaître le nouvel indicator sur wingpanel. L'application n'a pas l'air d'avoir été mise à jour depuis 2011, en même temps, c'est juste un indicator pour pouvoir vider rapidement sa corbeille sans avoir à démarrer pantheon-files. Une traduction en français aurait été un plus.

Source: http://eos-snippets.blogspot.nl/2013/12/manage-trash-with-trashindicator.html

The post Gérer sa corbeille avec Trashindicator appeared first on elementary OS Fr.

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Framablog : Un livre libre pour mieux comprendre les contrats pétroliers

jeudi 19 décembre 2013 à 18:20

Il y a un peu moins d’un an était rédigé collaborativement, lors d’un booksprint le livre Oil Contracts - How to read and understand them à l’initiative d’Open Oil.

En forçant un peu le trait on pourrait dire qu’il a pour objectif d’aider les autochtones à ne pas se faire arnaquer par les compagnies pétrolières (et leurs gouvernements), ce qui a pu se produire par le passé.

Ce livre est accessible à tous sous licence libre CC By-SA et est en cours de traduction en plusieurs langues dont le français.


Oil Contracts - Cover


Voici un livre qui n’existait pas il y a une semaine : « Comment comprendre un contrat pétrolier »

Here is to a book that did not exist a week ago – “How to understand an oil contract”

Mirko Boehm - Novembre 2012 - Creative-Destruction.me
(Traduction : Mogmi, Sphinx, mokas01 + anonymes)

Cette semaine, le projet « Open Oil » (NdT : Open Pétrole) a réalisé un véritable exploit : le « booksprint » des contrats pétroliers.

Johnny West, Zara Rahman et ceux qui les soutiennent ont réuni des experts de contrats pétroliers du monde entier à Schloss Neuhausen pour parvenir à quelque chose qui n’a jamais été fait auparavant : créer un livre qui explique comment comprendre un contrat pétrolier. Non seulement un tel livre n’existait pas, mais ils ont aussi publié ce livre sous licence Creative Commons CC By-SA. Et comme cela ne représentait pas un défi suffisant, ils ont fait tout ça en une semaine.

Les contrats pétroliers déterminent les parts respectives de revenus liés au pétrole attribuées aux compagnies pétrolières, au pays qui possède le pétrole et aux autres parties. Un extrait du livre explique ce fonctionnement :

« Ce sont les contrats sur le pétrole qui expriment la façon dont l’argent est partagé et qui expliquent qui en tirera des bénéfices. Dans ces mêmes contrats, on déterminera qui devra gérer les opérations, comment sera géré l’environnement, le développement économique local, et les droits des communautés. Le cours des actions ExxonMobil, la responsabilité de l’affaire Deepwater Horizon, la faculté de l’Ouganda à stopper ses importations pétrolières, le coût nécessaire au chauffage ou à l’éclairage de millions de foyers… Toutes ces questions dépendent directement des clauses de ces contrats, signés entre les gouvernements du monde et les compagnies pétrolières. Pendant plus de 150 ans de production pétrolière, ces contrats sont restés dans l’ombre, maintenus dans un secret touchant chaque facette de l’industrie. Ils ne sont pas rendus publics, soit parce que les gouvernements invoquent la sécurité nationale, soit parce que les entreprises veulent défendre un atout stratégique. »


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Les personnes ayant déjà participé à un hackathon Open Source remarqueront que le bureau sur la photo ressemble assez à un des leurs. Un « booksprint » applique les outils et techniques de l’Open Source au monde de la rédaction de livres. Réunir les personnes adéquates, les placer dans un environnement limitant les distractions, et leur permettre de se concentrer sur la production de quelque chose qui les passionne. Comme pour les logiciels, les résultats sont impressionnants. Les outils d’édition collaborative sont utilisés pour coordonner les auteurs, les éditeurs et les illustrateurs, de la même façon que le contrôle de versions. Il est également intéressant de noter que parmi les experts ayant participé, tous l’ont fait sur une base de volontariat ou comme une part de leur métier.

Le livre « Comment comprendre un contrat pétrolier » est une bonne lecture même pour les personnes qui ne s’intéressent que de loin à la politique du pétrole. La manière dont le livre a été créé est un bon exemple de la méthode Open Source adoptée par d’autres secteurs moins liés à la technologie. Et si le livre contribue à rendre les contrats pétroliers plus compréhensibles et plus comparables, le monde en sera devenu un peu meilleur.

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