PROJET AUTOBLOG


Planet-Libre

source: Planet-Libre

⇐ retour index

Yopland : Tester le débit de son réseau local

vendredi 30 janvier 2015 à 23:14

Suite à des ralentissements sur des vidéos en streaming, j’ai voulu vérifier le débit réseau entre deux postes. Après quelques recherches sur le Web, je suis tombé sur cette page.

Pour ma part, j’ai effectué mes tests avec iperf. La démarche est très simple. De plus l’outil à l’avantage d’exister aussi bien sous Linux que sous Windows.

Sur une machine (adresse IP : 192.168.1.24) lancer la commande suivante :

iperf -s -d

Sur une autre machine lancer la commande suivante :

iperf -c 192.168.1.24

Après quelques secondes, les résultats tombent :

------------------------------------------------------------
Client connecting to 192.168.1.24, TCP port 5001
TCP window size: 23.5 KByte (default)
------------------------------------------------------------
[  3] local 192.168.1.20 port 48969 connected with 192.168.1.24 port 5001
[ ID] Interval       Transfer     Bandwidth
[  3]  0.0-10.1 sec   115 MBytes  95.8 Mbits/sec

Il semblerait que la prise que je soupçonnais poser problèmes ne va pas si mal que ça !

Gravatar de Yopland
Original post of Yopland.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

La vache libre : Hedgewars – Un jeu de stratégie au tour par tour, peuplé de hérissons roses complètement barges

vendredi 30 janvier 2015 à 19:17

Hedgewars_002

Nous vous avons parlé il y a peu de temps de Battle For Wesnoth dans ce billet, qui pour ceux qui ne le savent pas est un jeu de stratégie au tour par tour. Si vous avez aimé ce style de jeu, je ne peux que vous conseiller de tester Hedgewars. Il s’agit également d’un jeu de stratégie au tour par tour, mais dont l’univers est totalement différent. Exit le côté médiéval et place à une armée de hérissons roses complètement barges, armés jusque aux dents.

Comme tous les jeux de ce style le principe est simple et consiste à jouer à tour de rôle, dans le but de déquiller le chef du camp adverse. Vous aurez pour cela votre team de hérissons et tout un panel d’armes (dynamite, bazooka, grenades, bombe pastèque, fusil, fusil de sniper, batte de baseball et j’en passe,) qu’il vous faudra utiliser judicieusement pour parvenir à la victoire. Certaines armes peuvent être utilisées pour occasionner des dégâts directs à un autre hérisson, ou pour creuser ou déformer le terrain, dans le but de vous frayer un chemin jusqu’à l’ennemi.

Vous pourrez jouer au choix en ligne, sur un réseau local, ou contre l’IA, avec en prime un mode de jeu aux règles et aux maps aléatoires.

Les cartes sont assez souvent farfelues et la tenue des hérissons (entendez par là leur chapeaux) change à chaque fois. Ils peuvent être déguisés en clowns, en escargots, en magiciens (Merlin), voir même en Pikachu Oo…

Les bruitages et l’ambiance sont à l’image du reste, avec des petites voix bien sympathiques et certaines actions donnant lieu à des messages assez loufoques. Quand un hérisson tombe à l’eau (ce qui est mortel pour lui) par exemple.

Bref, il y aurait plein d’autres choses à dire sur ce jeu que je ne connaissais pas encore et qui m’a bien branché, mais le mieux pour vous c’est de vous lancer et de le tester. C’est totalement barré et bien que la prise en main soit un peu délicate, c’est vraiment très rigolo. En résumé j’ai adoré!

Si ça vous tente vous pouvez en savoir plus sur Hedgewars en vous rendant sur cette page, où vous trouverez en prime ce qu’il vous faut pour l’installer sur votre distribution GNU/Linux, MS Windows, Mac OS X et même Android.

Amusez-vous bien et pas de quartiers !!!

via

Gravatar de La vache libre
Original post of La vache libre.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Dimitri Robert : GIMP : choisir facilement une police de caractères

vendredi 30 janvier 2015 à 15:33

GIMP dispose d’un outil Texte pour insérer des calques de texte dans vos compositions. Même s’il est loin des capacités de son équivalent dans Inkscape, il peut se rendre utile. Mais, comme me le soumet un lecteur, il n’est pas aisé de choisir facilement une police de caractères.

GIMP 2.8 intégre un certain nombre de polices de caractères, présentées sous forme de liste, avec deux caractères encadrés suivi du nom de la police, nom de la police ne reprenant pas le « style » de la police.

De ce fait, il est difficile de se représenter le style de la police, sauf à les utiliser successivement en y consacrant un temps important pour se faire une idée précise de leur représentation.

D’où ma question : existe-t-il une représentation graphique des polices de caractères de GIMP 2.8 présentée sous forme de liste, comme cela est le cas dans WORD ?

Il existe donc bien une liste, mais pas comme dans un traitement de texte où l’on peut voir un rendu sur les caractères en direct. Cependant, la solution vient de la fenêtre ancrable Polices qui nous permet de parcourir toutes les polices tout en ayant un rendu sur le calque de texte actif. Voici comment faire en vidéo.

L’image à la une de cet article est une photo de Dimitri Robert prise au musée Plantin-Moretus d’Anvers. Comme le reste de ce site elle est diffusée sous licence CC By-SA 4.0.

Cet article GIMP : choisir facilement une police de caractères est apparu en premier sur Formation logiciel libre.

Gravatar de Dimitri Robert
Original post of Dimitri Robert.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Articles similaires

Ilphrin : Neobot: Un bot en ligne de commande pour les Unix-Like

vendredi 30 janvier 2015 à 13:03

Salut tout le monde

Alors tout d'abord pour ceux qui ne le savent pas, qu'est-ce qu'un bot en informatique? C'est un programme qui va se gérer tout seul pour accomplir une ou des tâches voulues par les développeurs du bot. Leurs utilisation est vaste, cela va du jeu vidéo (les ennemis d'un jeu de FPS contrôlés par l'ordinateur par exemple) à la gestion des salons de discussion IRC en passant par les bien connus spambots, vous savez les faux comptes inscris sur les forums de discussions simplement pour balancer de la pub en vrac... Pour en savoir plus, je vous invite à lire la page wikipédia sur les bot informatique.

Il existe une catégorie de bot qui ont pour but de tenir une conversation en ayant l'air le plus possible humain, connu sous le nom de Chatbot. C'est sur cette catégorie de bot que l'on va s'attarder aujourd'hui avec Neobot. C'est un logiciel développé par Devyn C. Johnson (dont j'ai déjà parlé ici, rappelez-vous les articles sur le Kernel Linux), dont le coeur du programme est développé en Python3, pour quelque détails supplémentaires sur les outils utilisé, vous pouvez regarder ICI.

Neobot est portable, c'est-à-dire qu'il n'a pas besoin d'être installé pour être lancé. Une fois téléchargé et dezippé, vous pouvez lancer directement l'executable appelé Betabot. Il faut attendre quelques secondes pour que le Neobot soit totalement lancé. Lorsque que c'est le cas il devrait vous afficher un message de bonjour. Voilà vous pouvez commencer à discuter avec lui (uniquement en anglais pour le moment)

Je trouve ce bot particulièrement intéressant pour deux raisons principalement: la première est que, malgré le fait que ce soit écrit en python qui est un langage haut niveau, Neobot est assez performant. Il utilise un format de base de données crée spécialement pour cette catégorie de bot appelé Xaiml.

La deuxième est que vous pouvez poser des questions sur votre pc a Neobot et il pourra vous repondre. Par exemple si vous lui demandez de lancer Firefox et bien il ira chercher Firefox et le lancera pour vous. Vous pouvez aussi demander des inforomations sur votre système. Par exemple si vous lui demandez "Where am I" il vous repondra par le dossier courant dans lequel vous êtes dans votre temrinal.

Si vous souhaitez voir un peu les autres projets sur lesquels Devyn C.Johnson a travaillé ou même en discuter, vous pouvez aller jeter un coup d'oeil sur http://dcjtech.info.

Bonne journée à tous!

Gravatar de Ilphrin
Original post of Ilphrin.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Dimitri Robert : Scribus : lier des cadres de texte

jeudi 29 janvier 2015 à 23:09

Dans Scribus, pour insérer du texte vous êtes obligés de créer des cadres de texte au préalable. Lorsque le texte est trop long pour être contenu dans un cadre, on peut créer d’autres cadres et les lier pour que le texte coule de l’un à l’autre, en suivant les liens.

J’ai reçu cette question récemment sur le formulaire de contact (n’hésitez pas à poser vos questions).

Comment peut-on lier tous les cadres de texte en même temps (et non un par un) sous Scribus ? L’idée étant de gagner du temps quand on veut transformer en Pdf un bouquin par exemple. Si oui, existe-t-il une procédure qui créée le nombre de cadres de texte nécessaires pour le volume de caractère collés ?

Voici la réponse en vidéo. Prenons comme exemple le livre Contes choisis de la famille des frères Grimm diffusé dans le domaine public par le projet Gutenberg.

La première méthode consiste à créer un document avec l’option Cadres de texte automatique. Dans ce cas, chaque nouvelle page créée le sera avec un cadre de texte lié à celui de la page précédente.

La seconde méthode part du cas d’un document classique et montre comment créer deux cadres de texte et les lier. Puis nous utiliserons la fonction Insérer → Cadres pour créer le nombre souhaité de cadres de texte, liés entre-eux.

L’image à la une de cet article est diffusée sous licence CC By 2.0 par ms.akr.

Cet article Scribus : lier des cadres de texte est apparu en premier sur Formation logiciel libre.

Gravatar de Dimitri Robert
Original post of Dimitri Robert.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

I'm richer than you! infinity loop