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Nizar Kerkeni : Migration vers le Logiciel Libre : Quelques projets pilotes

vendredi 6 décembre 2013 à 09:42

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L’association pour la Culture numérique Libre – CLibre en collaboration avec la Faculté des Sciences de Monastir – FSM & l’École Nationale d’Ingénieurs de Monastir – ENIM organisent un séminaire intitulé “Migration vers le Logiciel Libre : Quelques projets pilotes” et ce le vendredi 13 décembre 2013 à 15h00 – Amphithéâtre N°1 de l’ENIM.

Intervenants

La migration vers le logiciel libre dans le secteur public comporte des répercussions importantes tant au plan technique, juridique, financier que humain. Vincent J.-Painchaud, employé-étudiant à la Direction des Orientations Technologiques au Gouvernement du Québec présentera à titre personnel les principaux défis auxquels le Gouvernement fut confronté. La présentation aura pour objectif de d’outiller l’auditoire afin qu’il puisse sensibiliser à l’aide de concepts-clés ses collègues sur les principaux enjeux de la migration vers le logiciel libre.

Programme

15h00 – 15h45 : M. Vincent J. Painchaud : Migration vers le logiciel libre dans le secteur public au Québec.
15h45 – 16h00 : Débat
16h00 – 16h20 : M. Rached Alaya : Migration vers le logiciel libre de l’office des œuvres universitaires pour le centre.
16h20 – 16h40 : M. Ali Bel Hadj Khlifa : Solution à base de logiciels libres et clients légers pour les travaux pratiques d’informatique
16h40 – 17h00 : Débat

Présence libre et ouverte à tous …

Source : Migration vers le Logiciel Libre : Quelques projets pilotes

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Etenil : Je ne suis plus SDF!

vendredi 6 décembre 2013 à 09:12

Cela faisait maintenant quelques années que j'étais SDF, comprendre Sans Desktop-environment Fixe, ou même Sans Distribution Fixe; au choix. Tout a commencé avec le basculement des distributions de Gnome2 à Gnome3, que je pense aussi responsable de l'exil de nombreux libristes vers Mac OS.

Quoi qu'il en soit, je ne parvenais pas à trouver d'environnement de bureau aussi mature que Gnome2 (et Mate contenait des bugs et incompatibilités ennuyeux). J'oscillais donc régulièrement entre Unity, Gnome et KDE, avec quelques passages culottés sur XFCE.

KDE4, étant le plus ancien du trio de tête m'attirait bien, mais il comportait trop de manques. Pas de navigateur premium en qt, gestion d'énergie trop basique, utilitaire de configuration d'écrans vétuste, intégration nalfichue des applications GTK, même si c'est la faute de GTK...

Puis vînt KDE4.11 et Kubuntu 13.10.

KDE remplit enfin mes attentes, et gère correctement mes options d'énergie (luminosité écran et clavier), kscreen est un grand pas en avant pour le multiécran. Enfin, j'ai trouvé une extension pour que Firefox utilise les dialogues standard qt, et même pour s'intégrer avec kwallet! Coté distro, Kubuntu fournit un packaging de qualité avec un installeur en qt et un pseudo-appstore (muon).

Donc pour tous ceux qui comme moi ne savaient plus où donner de ls tête, jetez donc un oeil à KDE et Kubuntu, peut être y trouverez-vous aussi votre bonheur.

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mozillaZine-fr : Le projet Electrolysis arrive dans Nightly

vendredi 6 décembre 2013 à 09:09

Fans de Firefox, en cinq tweets hier, Mozinet vous a mis l’eau à la bouche à propos du projet Electrolysis qui arrive dans Nightly (version en développement de Firefox). Cet article reprend ces tweets :

Pour essayer Electrolysis #e10s (multiprocessus) dans @FirefoxNightly : dans about:config, changez la préférence browser.tabs.remote et redémarrez (à vos risques et périls). Utiliser e10s fera disparaître vos onglets actuellement ouverts : la restauration de session échouera (Merci à @bjvandrews pour le rappel).

Pour essayer Electrolysis #e10s (travail en cours), il est fortement conseillé d’utiliser un profil ad hoc.

État, enjeux et difficultés de l’implémentation du multiprocessus dans Firefox par Bill McCloskey billmccloskey.wordpress.com/2013/12/05/multiprocess-firefox/

C’est expérimental, vous êtes prévenus !

Mais qu’est-ce qu’Electrolysis ? Ce projet vise à modifier le fonctionnement interne de Firefox en séparant le processus de gestion de l’interface, du processus de gestion du contenu des pages web. Comme le résume bien cet article de ghacks.net paru en avril dernier, cela rapprochera Firefox de Chrome en termes de réactivité et de stabilité. Le modèle multi-processus est un vieux débat chez Mozilla depuis plus de 10 ans pour deux raisons : D’abord, les développeurs ont réussi jusqu’ici à optimiser Firefox pour le rendre plus réactif sans changer de modèle. Ensuite, changer de modèle demande beaucoup de travail avec de nombreuses répercussions, notamment sur les extensions. On pourra dire qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis, et nous souhaitons donc bonne chance à Mozilla pour ce chantier qui pourrait changer complètement la donne dans la comparaison permanente entre Chrome et Firefox.

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SckyzO : Les captures d'écran de la semaine

vendredi 6 décembre 2013 à 08:49

Antonin

Bureau

 

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Aldrik

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Daniel

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Frederic

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Timothée

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Muadlib

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Framablog : Pourquoi les banques entrent en guerre contre la monnaie Bitcoin

vendredi 6 décembre 2013 à 01:01

La Banque de France a publié ce jeudi 5 décembre une note sur le bitcoin « monnaie non régulée qui n’offre aucune garantie ». Cela a été repris dans tous nos grand médias, d’autant que la banque centrale chinoise s’y est mise à son tour, interdisant officiellement à ses institutions d’utiliser cette drôle de monnaie (conséquence directe : chute momentanée de son cours en yuans de près de 35%).

Or, quand on lit les articles de la presse nationale, on est frappé par le long exposé anxiogène des risques que représente bitcoin, reprenant ainsi les arguments dans la Banque de France, trop rarement (litote) contrebalancé par ses avantages.

Or ils sont nombreux, à commencer par, tiens, tiens, pouvoir (enfin) se passer des banques… CQFD

Maintenant que le bitcoin a grandi et que de plus en plus d’organismes l’acceptent comme mode de paiement, la guerre est ouvertement déclarée. Parce que se passer des banques, c’est tout simplement révolutionnaire par les temps qui courent où l’économique a pris le pas sur la politique…

PS tout à fait personnel : Les banques (avec la complicité des gouvernements) ont quand même beau jeu de nous faire la leçon après la crise des subprimes. 2 infos récentes du mois dernier qui intéressent beaucoup moins les médias que les pseudo-problèmes sociétaux (et surtout pas sociaux) du mariage, du racisme ou de la prostitution : une rallonge de 1,5 milliard d’euros aux collectivités pour qu’elles renoncent à tout contentieux contre les banques et Euribor, Libor : la manipulation des taux coûtera 1,7 milliard d’euros d’amende à six banques européennes (mais minimisées selon leur ordre d’arrivée). On nous prend vraiment pour des cons !


Bitcoin accepted here


Pourquoi les banques déclarent la guerre au Bitcoin

Why Banks are Declaring War on Bitcoin

Mark Maunder - 5 décembre 2013 - Blog personnel
(Traduction : Goofy, crendipt, Shanx, Jérémie, Jérémie, Tr4sK, Asta, Omegax, Sky + anonymes)

Et si nous vivions dans un monde où toutes les transactions se faisaient de personne à personne et ne coûtaient quasiment rien ?

Et si nous vivions dans un monde où la valeur de l’argent épargné augmentait petit à petit, non pas grâce aux intérêts, mais simplement parce que, avec le temps qui passe, vous pouvez acheter plus de trucs avec la même somme ?

Et si s’endetter devenait une très mauvaise idée parce que, si vous détenez 10 unités de monnaie aujourd’hui, et que la valeur de celle-ci augmente lentement, alors vous devrez graduellement de plus en plus d’argent ? Ainsi, personne ne voudrait s’endetter.

Et si s’endetter devenait une très mauvaise idée parce qu’épargner devient une très bonne idée, parce que quelle que soit la somme que vous possédez, elle vaut de plus en plus à mesure que le temps passe ? Elle augmente non pas parce qu’elle est exploitée par une banque, mais parce que plus de gens veulent la même somme.

C’est le monde vers lequel nous nous dirigeons, car c’est ainsi que Bitcoin fonctionne. Un univers en parallèle des banques qui laisse celles-ci en position de faiblesse.

Bitcoin n’est pas une banque centrale où l’afflux d’argent peut-être régulé par une charte, charte pouvant être contrôlée par les lobbys et manipulée par les grands industriels. L’apport de la monnaie Bitcoin est gouverné par un algorithme, et cet algorithme assure que le Bitcoin sera toujours sujet à la déflation. Cela signifie que le rythme auquel la monnaie Bitcoin est créée ralentira progressivement pour complètement s’arrêter tôt ou tard. Par conséquent, aussi longtemps que l’activité économique (qui dicte la demande monétaire) augmente doucement, cette devise vaudra progressivement un peu plus.

Traditionnellement, la déflation, pendant laquelle la monnaie vaut plus et les prix des denrées et services chutent, est le pire cauchemar des économistes. Ceci parce que lorsque vous êtes en déflation, les salaires baissent. La plupart des consommateurs sont endettés d’une façon ou d’une autre. Si vous devez 100 000 dollars pour votre maison et que votre salaire passe de 50 000 à 30 000 dollars par an, vous avez un gros problème. Vous commencez à dépenser moins, l’activité économique ralentit et cela alimente une déflation plus forte. Une économie peut ainsi entrer dans une spirale déflationniste.

Dans l’économie Bitcoin, la déflation est au cœur de la devise. Cela signifie que c’est une très mauvaise idée d’emprunter de l’argent en Bitcoin parce que vous devrez de plus en plus au fur et à mesure que le temps passe et que vous ne serez jamais en mesure de le rembourser. En revanche, si vous ne vous endettez jamais et que vous décidez d’épargner, l’argent que vous conservez vaudra un peu plus chaque jour.

C’est un cauchemar pour les banques parce qu’elles veulent que vous empruntiez toujours plus afin que vous payiez des intérêts sur vos emprunts. Elles veulent ainsi maintenir un écart entre les intérêts que vous payez, et ceux qu’elles paient pour emprunter l’argent qu’elles vous ont prêté.

C’est un plus grand cauchemar encore parce que les banques veulent que vous ouvriez un compte d’épargne et y déposiez de l’argent afin que vous puissiez percevoir des intérêts dessus et rester en phase avec l’inflation. Si vous ne déposez pas suffisamment d’argent à la banque dans un contexte inflationniste, votre argent perdra de la valeur. Mais si vous déposez de l’argent dans une banque, elle l’investira à votre place, percevra des intérêts, vous reversera des intérêts à un taux plus bas et conservera la différence. Donc si vous n’alimentez pas un compte d’épargne parce que votre argent prend de la valeur automatiquement par la déflation, les banques perdent.

Pour résumer, vous n’empruntez pas et vous ne déposez pas votre argent dans un compte d’épargne ou un compte d’investissement pour suivre le rythme de l’inflation, par conséquent les banques perdent les revenus des prêts et des dépôts qui leur permettent d’emprunter peu et de prêter beaucoup, qui est un de leurs modèles économiques de base.

Donc, que reste-t-il à faire aux banques ? Eh bien, elles pourraient seulement passer leur temps à faciliter les transactions comme le font Visa, Mastercard, le réseau SWIFT, Western Union Money Transfer et d’autres. Mais on a déjà dit que les transactions Bitcoin sont faites de personne à personne et coûtent très peu. Les banques ne perçoivent même pas ce revenu.

Et c’est pour cela que les banques travaillent très, très dur en coulisse pour essayer de tuer Bitcoin avant qu’il ne les tue. Voilà quelques exemples :

Les banques qui sont le plus effrayées sont celles qui se développent dans les pays comme l’Afrique du Sud, où les frais de transactions sont bien plus élevés que dans les pays développés. Ces frais sont élevés car les déposants ont tendance à être en moins bonne santé et épargnent de plus petites sommes, donc pour contrebalancer le fait qu’il y ait moins d’argent pour que les banques puissent investir, celles-ci assomment leurs clients avec de gros frais de transactions. Les pays développés ont tendance à avoir de nombreuses populations migrantes qui envoient de l’argent dans leurs familles à l’aide de services tels que Instant Money qui permet l’envoi d’un code par SMS à une personne qui peut ensuite aller dans un supermarché local afin de recevoir la somme associée. Les frais de transactions pour de tels services sont élevés et si Bitcoin devient un mode de transfert et de stockage d’argent plus efficace en terme de coûts, les banques des pays développés vont perdre un business très lucratif.

La guerre contre le Bitcoin vient tout juste de commencer. Les banques traditionnelles ont un gros stock de munitions pour la mener car leurs munitions c’est l’argent.

L’Internet des débuts était plus libre que celui d’aujourd’hui. Les monnaies chiffrées sont peut-être plus libres aujourd’hui qu’elles ne le seront jamais.

Annexe

On pourra relire à l’occasion ces 3 articles du Framablog :

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