Post-installation automatisée sur une base Debian minimal avec mon environnement de bureau personnel codé (presque) entièrement en python. Bonjour, Cela fait longtemps que je n'avais pas rédigé de billet de blog, tout du moins sur mon sujet favori, les zordinateurs. Oh! Je ne vais pas vous le cacher... La raison de ce tarissement intellectuel était [...]
Aujourd'hui, ce vendredi 5 avril, est une journée dédiée à un test précis :
sur Silverblue. En effet, durant le cycle de développement, l'équipe
d'assurance qualité dédie quelques journées autours de certains composants ou
nouveautés afin de remonter un maximum de problèmes sur le sujet.
Elle fournit en plus une liste de tests précis à effectuer. Il vous suffit
de les suivre, comparer votre résultat au résultat attendu et le notifier.
En quoi consiste ce test ?
Silverblue est le nom de code pour Fedora Workstation à la sauce Atomic. Jusque là seulement
la variante Cloud en bénificiait.
L'objectif de cette version est de proposer en somme une Fedora Workstation
ayant des bases différentes de la version traditionnelle. En effet, l'objectif
est que les applications soient dans des conteneurs via Kubertenes, Flatpak ou
gérées via rpm-os-tree. Ce dernier permet de versionniser le système lors des
installations et mises à jour de paquets. En cas de problème, il est facile de
demander un retour en arrière au système pour retrouver un système stable. Le
système devient majoritairement en lecture seule également pour améliorer sa
fiabilité et sa sécurité. Sécurité qui comme poun une Fedora traditionnelle est
supervisée par SELinux.
Les tests à effecuer sont :
Démarrer et se connecter sans erreurs ;
Démarrer et arrêter des services comme le serveur SSH ;
Vérifier que SELinux est bien activé ;
Vérifier si GNOME Logiciels envoie des notifications de mises à jour ;
Vérifier si GNOME Logiciels tourne correctement : installer ou supprimer
des paquets ;
Installer un logiciels sous forme de Flatpak.
Des tests qui sont pour le coup assez faciles et rapides à mettre en
œuvre.
Comment y participer ?
Vous pouvez vous rendre sur la page des
tests pour lister les tests disponibles et rapporter vos résultats. La
page wiki récapitule les modalités de la journée.
Si vous avez besoin d'aide lors du déroulement des tests, n'hésitez pas de
faire un tour sur IRC pour recevoir un coup de main sur les canaux
#fedora-test-days et #fedora-fr (respectivement en anglais et en français) sur
le serveur Freenode.
De plus, si une journée est dédiée à ces tests, il reste possible de les
effectuer quelques jours plus tard sans problème ! Les résultats seront
globalement d'actualité.
Après un changement majeur d'interface en v2.0.0, KooZic se socialise avec la prise en charge des événements musicaux. C'est aussi la première version avec l'intégration de LDAP.
Concerts et événements
La grosse nouveauté de cette version est l'ajout d'une partie sociale à KooZic via la récupération des concerts des artistes. Il est possible de mettre à jour les événements liés à un artiste à partir de sa fiche, dans l'onglet "Événements". De plus, chaque utilisateur peut suivre les artistes de son choix via le bouton "Suivre", en haut à droite.
Les événements liés aux artistes suivis sont agrégés dans le menu supérieur "Événements". Par défaut, ils sont groupés par mois, ce qui permet d'avoir une vue d'ensemble assez rapidement.
Finalement, il est également possible de définir la distance maximale à laquelle un événement se produit pour qu'il soit affiché dans cette liste. Chaque utilisateur peut modifier ses préférences (à partir du menu tout en haut à droite), et indiquer son emplacement et la distance maximale autorisée.
Amélioration de l'UI
Un des problèmes d'interface de KooZic est le nombre de clics nécessaire avant de jouer un titre. Il faut ajouter les piste dans une liste de lecture, puis lancer. C'est parfois pénible, mais jusqu'à présent je n'avais pas trouvé de bonne solution. C'est maintenant chose faite, des boutons "Ajouter et jouer" on été introduits un peu partout.
Un tel bouton a pour effet d'ajouter les pistes de l'album à la liste de lecture courante, et lancer sa lecture.
Intégration avec LDAP
Il est possible d'intégrer les utilisateurs KooZic avec un annuaire LDAP. Pour cela, il faut tout d'abord installer le module approprié via le menu "Applications" : "Authentification via LDAP".
Ensuite, il faut configurer le serveur dans les Paramètres, menu "Utilisateurs et sociétés > Serveurs LDAP". Un exemple de configuration est présenté ci-après avec un serveur de test.
Autres Nouveautés
Le lecteur vidéo Clappr a été mis à jour, avec une nouvelle gestion des sous-titres (support des SRT et WEBVTT).
Mise-à-jour d'une installation existante
La v2.1.0 est compatible avec la version précédente. Pour mettre à jour :
Une nouvelle librairie est nécessaire : sudo pip3 install webvtt-py==0.4.2
Pour installer le module LDAP, il faut tout d'abord recharger la liste des modules manuellement. Aller à http://localhost:8069/web?debug, puis "Applications" et "Mettre à jour la liste des Applications"
N'hésitez pas à soumettre un problème sur Github si nécessaire !
Après un changement majeur d'interface en v2.0.0, KooZic se socialise avec la prise en charge des événements musicaux. C'est aussi la première version avec l'intégration de LDAP.
Concerts et événements
La grosse nouveauté de cette version est l'ajout d'une partie sociale à KooZic via la récupération des concerts des artistes. Il est possible de mettre à jour les événements liés à un artiste à partir de sa fiche, dans l'onglet "Événements". De plus, chaque utilisateur peut suivre les artistes de son choix via le bouton "Suivre", en haut à droite.
Les événements liés aux artistes suivis sont agrégés dans le menu supérieur "Événements". Par défaut, ils sont groupés par mois, ce qui permet d'avoir une vue d'ensemble assez rapidement.
Finalement, il est également possible de définir la distance maximale à laquelle un événement se produit pour qu'il soit affiché dans cette liste. Chaque utilisateur peut modifier ses préférences (à partir du menu tout en haut à droite), et indiquer son emplacement et la distance maximale autorisée.
Amélioration de l'UI
Un des problèmes d'interface de KooZic est le nombre de clics nécessaire avant de jouer un titre. Il faut ajouter les piste dans une liste de lecture, puis lancer. C'est parfois pénible, mais jusqu'à présent je n'avais pas trouvé de bonne solution. C'est maintenant chose faite, des boutons "Ajouter et jouer" on été introduits un peu partout.
Un tel bouton a pour effet d'ajouter les pistes de l'album à la liste de lecture courante, et lancer sa lecture.
Intégration avec LDAP
Il est possible d'intégrer les utilisateurs KooZic avec un annuaire LDAP. Pour cela, il faut tout d'abord installer le module approprié via le menu "Applications" : "Authentification via LDAP".
Ensuite, il faut configurer le serveur dans les Paramètres, menu "Utilisateurs et sociétés > Serveurs LDAP". Un exemple de configuration est présenté ci-après avec un serveur de test.
Autres Nouveautés
Le lecteur vidéo Clappr a été mis à jour, avec une nouvelle gestion des sous-titres (support des SRT et WEBVTT).
Mise-à-jour d'une installation existante
La v2.1.0 est compatible avec la version précédente. Pour mettre à jour :
Une nouvelle librairie est nécessaire : sudo pip3 install webvtt-py==0.4.2
Pour installer le module LDAP, il faut tout d'abord recharger la liste des modules manuellement. Aller à http://localhost:8069/web?debug, puis "Applications" et "Mettre à jour la liste des Applications"
N'hésitez pas à soumettre un problème sur Github si nécessaire !
Cela faisait longtemps que nous n’avions pas écrit d’article sur le site. Aujourd’hui, nous reprenons la plume pour vous parler d’un (petit) évènement dans le monde de la Raspberry Pi, histoire de remettre le pied à l’étrier.
En effet, après l’écran, le boîtier et l’alimentation, la Raspberry Pi Foundation a annoncé le 2 avril la commercialisation de sa souris et de son clavier officiels pour la Raspberry Pi, aux alentours de 9 € et 20 €.
Par ailleurs, la technologie utilisée semble être celle de la LED optique, par opposition à la technologie lazer, la seconde ayant surtout l’avantage d’être utilisable sans problèmes sur les surfaces réfléchissantes, mais la première étant relativement moins onéreuse.
Sans surprise, la fondation a donc fait le choix du prix sur celui de la haute performance, un choix d’autant plus cohérent que cette souris n’est absolument pas destinée à une utilisation de type gaming qui, à priori, est la seule à justifier l’utilisation d’une souris laser.
Au delà de ce choix presque exclusivement technique, deux points plus importants sont à noter.
Tout d’abord, le choix fait par la fondation de conserver une souris très simple, avec seulement trois boutons, clic droit, gauche et molette centrale. La molette centrale est physique, aucune gestion tactile, bref rien de très ambitieux.
Ensuite, plus surprenant et, à mon sens un peu regrettable, la fondation a choisi de ne pas offrir de connexion bluetooth à sa souris. Un choix qui, encore une fois, s’explique très probablement par des questions de coûts, mais qui limite un peu les cas d’usage.
Enfin, niveau ergonomie, nous n’avons pas eu la souris en main, mais les images et schémas montrent une souris bombée, relativement généreuse en main, et qui devrait donc être tout à fait satisfaisante.
Passons au clavier.
Un clavier simple mais efficace
Reprenant les couleurs rouges et blanches de la fondation, le clavier est disponible en 6 langues, Anglais US et UK, Français, Italien, Espagnol et Allemand
Comme pour la souris, le clavier ne peut pour l’instant être acheté en France que chez Kubii, aux alentours de 20€. Là encore, nous nous attendons à le voir très rapidement débarquer chez Amazon.
Concernant le clavier, celui-ci est également sans grandes surprises, mais présente l’avantage d’être simple, de bon goût, semble avoir décidé de garder les touches à leur emplacement normal (merci mon Dieu, ils n’ont pas inversé les touches Fn, Ctrl et Alt, ni fait une touche entrée horizontale, ni déplacé la touche des chevrons, doigt d’honneur virtuel spécial aux Thinkpad Lenovo, et autres PC gamers MSI qui font la joie des étudiants en informatique et le malheur de leurs enseignants…).
Le clavier est un 79 touches, c’est à dire un clavier sans pavé numérique, ce qui pourrait en dérouter certains, mais s’explique bien évidemment par une question de coût et surtout d’encombrement.
Si dans l’ensemble ce clavier ne propose lui non plus rien de révolutionnaire, il offre en revanche l’énorme avantage d’inclure 3 ports USB qui viendront donc étendre ceux de la Raspberry Pi ! Il est donc possible de brancher la souris directement sur le clavier plutôt que sur la Raspberry Pi, ce que la fondation ne manque pas de souligner dans ses schémas.
Grâce à ce petit détail, cela signifie donc la Raspberry Pi dispose de l’équivalent de 5 ports USB disponibles, une fois le clavier et la souris branchés.
Autre point à noter, la connectique du clavier. En effet, pour brancher le clavier à la Raspberry Pi cela se fait via un cable USB vers mini-usb
Au final, bonne idée ou pas ?
Personnellement je n’utiliserai pas ces accessoires pour une raison assez simple, j’ai déjà un stock de clavier et de souris à la maison. Et je présume que c’est le cas pour nombre d’entre nous.
Cependant, il existe un réel intérêt pour la fondation et les utilisateurs moins confirmés. En effet, en ajoutant la souris et le clavier à la liste de ses périphériques officiels, la fondation propose désormais directement tous les accessoires nécessaires à l’utilisation complète d’une Raspberry Pi.
Cela devrait donc permettre à la fondation de proposer un pack officiel complet à destination des débutants, de quoi, peut-être, attaquer un nouveau marché.