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Renault : Fin de vie de Fedora 28

mercredi 29 mai 2019 à 15:16

C'est en ce mardi 28 mai 2019 que Fedora 28 a été déclaré comme en fin de vie.

Qu'est-ce que c'est ?

Un mois après la sortie d'une version de Fedora n, ici Fedora 30, la version n-2 (donc Fedora 28) est déclarée comme en fin de vie.

Ce mois sert à donner du temps aux utilisateurs pour faire la mise à niveau. Ce qui fait qu'en moyenne une version est officiellement maintenue pendant 13 mois.

En effet, la fin de vie d'une version signifie qu'elle n'aura plus de mises à jour et plus aucun bogue ne sera corrigé. Pour des questions de sécurité, avec des failles non corrigées, il est vivement conseillé aux utilisateurs de Fedora 28 et antérieurs d'effectuer la mise à niveau vers Fedora 30 ou 29.

Que faire ?

Si vous êtes concernés, il est nécessaire de faire la mise à niveau de vos systèmes. Vous pouvez télécharger des images CD ou USB plus récentes.

Il est également possible de faire la mise à niveau sans réinstaller via DNF ou GNOME Logiciels.

GNOME Logiciels a également dû vous prévenir par une pop-up de la disponibilité de Fedora 29 ou 30. N'hésitez pas à lancer la mise à niveau par ce biais.

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RaspbianFrance : Apprenez à programmer avec Python 3 et la Raspberry Pi, cours d’introduction.

mercredi 29 mai 2019 à 13:00
Apprendre à programmer en Python avec la Raspberry Pi

Nous savons que nombre de nos lecteurs souhaitent apprendre à coder et créer leurs propres logiciels pour Raspberry Pi, mais ne savent pas comment s’y prendre ni par où commencer.

Ça tombe bien, la Raspberry Pi a justement été inventée pour permettre à tous d’apprendre à programmer !

Grâce à ce tutoriel, vous pourrez apprendre les bases du Python, ce qui vous permettra de créer des logiciels simples, notamment afin de contrôler des équipements branchés à la Raspberry Pi.

Le matériel nécessaire pour ce cours sur Python

Pour suivre ce cours, vous aurez simplement besoin du matériel suivant :

Vous aurez aussi besoin de pouvoir contrôler votre Raspberry Pi, soit via écran/clavier, soit à distance en SSH (voir notre tutoriel sur le sujet).

Pour qui est fait ce cours ?

Ce cours est plutôt à destination des débutants. Il ne rentre pas dans les détails d’une utilisation très avancée de Python, mais il vous permettra de découvrir les bases de ce langage.

Les connaissances ainsi acquises devraient tout de même vous permettre de réaliser la plupart des programmes dont vous pourriez avoir besoin, mais également de vous donner les bases vous permettant par la suite d’acquérir les connaissances complémentaires par vous même.

Ce cours a été créé à l’origine dans le but d’être donné à une classe d’étudiants en informatique de première année, afin de les initier à Python sur un volume horaire d’environ 8h.

Ce cours a été pensé dans l’optique de servir de support de présentation qui sera distribué en fin de séance afin de permettre aux élèves de l’utiliser comme une fiche complète de révision. Vous verrez d’ailleurs quelques phrases relatives à ce type de présentation, comme les règles de formation des groupes, nous les laissons pour d’éventuels professeurs qui souhaiteraient s’en inspirer.

Si vous devez former des personnes à l’utilisation de Python, notamment dans le cadre des spécialités Numériques et Sciences Informatiques, etc., vous pouvez réutiliser cette présentation sans problèmes de droits !

Nous vous demandons seulement de citer la source du cours !

Les points de Python vus dans ce cours

Dans ce cours, vous trouverez abordés les points suivants :

Petit lexique

Ce cours présente l’utilisation de notions de base de l’informatique, par exemple les variables, mais comme il est destiné à des étudiants ayant déjà quelques bases de programmation, leur intérêt n’est pas toujours abordé en détail.

Voici donc un petit lexique afin de vous permettre de comprendre l’intérêt de ces notions de base.

Introduction à Python avec la Raspberry Pi

Vous pouvez retrouver ce cours en plein écran à l’adresse suivante : https://raspbian-france.fr/cours/slides-python-introduction.html


Envie de pousser plus loin avec Python, besoin d’un tutoriel plus complet ? Allez voir le cours de notre partenaire Éléphorm pour apprendre Python !

Vous pouvez aussi vous procurer le livre de Patrice Clément « Python et Raspberry pi ».


Lire l'article complet : Apprenez à programmer avec Python 3 et la Raspberry Pi, cours d’introduction.

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Full Circle Magazine FR : Le PDF du 144

mercredi 29 mai 2019 à 09:45

Bonjour !

Aujourd'hui, notre petite équipe vous présente le numéro 144, celui d'avril 2019, numéro anniversaire (12 ans !) du magazine Full Circle. Il est disponible sur notre page Numéros ou directement en cliquant sur l'image de couverture ci-dessous.

issue144.png

Ce numéro est un tout petit peu moins perfectionné que d'habitude, suite à la défaillance de l'ordinateur de notre scribeur qui se relèvait tout juste d'un piratage ; il a l'impression que les malheurs le poursuivent. Les sources ne figurent actuellement pas sur la page Numéros, mais pourraient y paraître à un moment quelconque.

Ce mois-ci, outre les tutoriels et autres rubriques habituelles, il y a la critique du livre The Linux Command Line, disponible uniquement en anglais, mais un « must » pour les admins, et le début d'une nouvelle série sur la certification Linux. Enfin, dans Jeux Ubuntu, Battle for Westnoth nous appelle tous à l'aide.

Nous vous en souhaitons bonne lecture.

Bab (notre scribeur) et d52fr et moi, traducteurs et relecteurs.

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antistress : Mes extensions pour GNOME Shell (starring Clipboard Indicator)

lundi 27 mai 2019 à 14:49

Interface de gestion en ligne des extensions pour GNOME Shell

Petit billet en passant – je n'utilise que trois extensions pour GNOME Shell – principalement pour souligner la praticité de l'une d'entre elle qui s'est vite rendue indispensable : Clipboard Indicator.

BackSlide

BackSlide (site officiel), de p91paul, sous licence libre GNU GPL v3, est typiquement une extension qu'on installe et qu'on oublie immédiatement après. Sa fonction : elle s'occupe de changer automatique le fond d'écran à intervalle régulier.
Une fois installée, une icône s'ajoutera à la barre supérieure du Shell au cas où vous souhaiteriez modifier ses réglages par défaut ou ajouter des images au stock qu'elle propose. Pas indispensable, mais agréable et sans souci.

Suspend Button

Suspend Button (site officiel), de laser_b, sous licence libre GNU GPL v2, est encore une extension qu'on installe et qu'on oublie immédiatement après. Sa fonction : elle ajoute un bouton de mise en veille à côté du bouton « arrêt » de l’ordinateur.

Clipboard Indicator

Clipboard Indicator (site officiel), de Tudmotu, sous licence libre MIT, est une extension qui vous fait gagner du temps et vient fluidifier votre organisation de travail. C'est un gestionnaire de presse-papier évolué et pourtant très simple à utiliser.
Il ajoute une icône à la barre supérieure du Shell. En la faisant dérouler, vous verrez que vos précédents fragments de texte que vous avez copié y figurent, et vous pouvez sélectionner n'importe lequel dans l'historique, au clavier ou à la souris, pour pouvoir le coller.
Un interrupteur vous permet de passer en mode privé pour éviter qu'y figurent des choses confidentielles, et un bouton « Vider l'historique » vous permet de faire le ménage après-coup (une croix à côté de chaque entrée vous permet par ailleurs de faire un ménage sélectif).
À côté de chaque entrée figure également une étoile, qui vous permet de marquer les chaînes de caractères que vous utilisez régulièrement et qui resteront accessibles sans limite de temps : génial.
Enfin, dans les paramètres, très complets, vous pourrez notamment définir la taille de l'historique ou découvrir les raccourcis clavier du logiciel (ctrl + F9 à F12). Indispensable.

Bonus : Places Status Indicator

Places Status Indicator (site officiel), de fmuellner, sous licence libre GNU GPL v2, est encore une extension qu'on installe et qu'on oublie immédiatement après. Sa fonction : proposer sur la la barre supérieure du Shell un raccourci vers vos principaux dossiers (Documents, Musique, Téléchargements...). Celle-ci je l'ai installée sur le poste de mon père que j'administre : très rassurante pour les débutants.

Et vous, quelles extensions utilisez-vous ?

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Carl Chenet : Débuter avec Git partie 3 : un commit plus complexe

lundi 27 mai 2019 à 00:32

Après avoir réalisé notre premier commit, nous continuons cette série d’articles pour débuter avec Git en nous intéressant aux différentes opérations possibles pour réaliser un commit plus complexe que le simple ajout d’un fichier.

Objectif

Pour bien débuter avec Git, nous avons vu dans le précédent article comment réaliser un commit très simple, consistant à enregistrer un seul fichier. Nous irons aujourd’hui plus loin pour coller davantage à la complexité du monde réel en constituant un nouveau commit avec plusieurs modifications différentes issues de plusieurs fichiers.

État initial du dépôt

Nous allons commencer avec un dépôt Git contenant un seul fichier texte nommé README qui est assez long.

$ cd commit-complexe
$ ls
README
$ wc -l README 
19 README

Premiers changements

Nous allons ajouter sur la première ligne la phrase “do not forget to read the file foo!” et sur la dernière ligne la phrase “do not forget to read the file bar”.

Voyons maintenant les modifications par rapport au commit précédent :

$ cd commit-complexe
$ git diff
diff --git a/README b/README
index d012f47..737bc05 100644
--- a/README
+++ b/README
@@ -1,5 +1,7 @@
this is a README

+do not forget to read the file foo!
+
Lots of interesting stuff here

Let's work
@@ -17,3 +19,5 @@ These criteria eliminated every then-extant version-control system, so immediate
The development of Git began on 3 April 2005.[16] Torvalds announced the project on 6 April;[17] it became self-hosting as of 7 April.[16] The first merge of multiple branches took place on 18 April.[18] Torvalds achieved his performance goals; on 29 April, the nascent Git was benchmarked recording patches to the Linux kernel tree at the rate of 6.7 patches per second.[19] On 16 June Git managed the kernel 2.6.12 release.[20]

Torvalds turned over maintenance on 26 July 2005 to Junio Hamano, a major contributor to the project.[21] Hamano was responsible for the 1.0 release on 21 December 2005 and remains the project's maintainer.[22] 
+
+To finish, do not forget to read file bar!

Git nous indique les changements intervenus avec des + devant les ajouts. Nous avons donc rajouté deux lignes et deux sauts de lignes.

Choix de ce qu’on souhaite mettre dans son commit : l’index

Bien, il nous reste maintenant à écrire les nouveaux fichiers foo et bar. Mais il est 19h, je suis fatigué et je ne vais avoir le temps que d’écrire le premier fichier foo. Nous procédons comme suit pour écrire et ajouter le fichier foo :

$ echo "very interesting stuff" > foo
$ cat foo 
very interesting stuff

Une fois créé, nous indiquons à Git que nous souhaitons que ce nouveau fichier soit pris en compte au prochain commit. On appelle cette opération indexer un fichier :

$ git add foo

Une furieuse envie d’enregistrer le travail en cours en faisant un git commit -a est notre premier réflexe, mais le fichier README va donc évoquer un fichier bar qui n’existe pas encore dans le dépôt. Ce n’est pas propre, surtout si un collègue relit immédiatement mon travail.

Dans notre situation, la solution est de choisir ce que l’on veut ajouter au commit, c’est à dire le fichier foo (ce que nous venons de faire) et seulement une partie des modifications du fichier README. C’est possible avec l’option –patch ou -p de git add qui va nous permettre d’indexer seulement les modifications qui nous intéressent pour préparer le prochain commit.

$ git add -p README

La commande va identifier vos différentes modifications du fichier en question et vous demander lesquelles vous souhaitez indexer pour le prochain commit.

@@ -1,5 +1,7 @@
this is a README

+do not forget to read the file foo!
+
Lots of interesting stuff here

Let's work
Stage this hunk [y,n,q,a,d,j,J,g,/,e,?]? y

Cette commande nous présente notre première modification dans le fichier README. Un hunk est ici donc une modification unitaire identifiée par Git. Le contenu ajouté apparaît avec un symbole + en tout début de ligne. Nous acceptons d’indexer la première modification en appuyant sur y (yes).

+
+To finish, do not forget to read file bar!
Stage this hunk [y,n,q,a,d,K,g,/,e,?]? n

Git nous affiche ensuite la seconde modification identifiée dans le fichier. Nous refusons la seconde en appuyant sur n (no), que nous ajouterons demain quand nous aurons écrit le fameux fichier bar dans un futur commit, parce qu’il est 19h et qu’à chaque jour suffit sa peine.

L’index avant le commit

Bien, après cette sélection, où en sommes-nous ? Un git status va nous aider.

$ git status
On branch master
Changes to be committed:
(use "git reset HEAD ..." to unstage)

modified: README
new file: foo

Changes not staged for commit:
(use "git add ..." to update what will be committed)
(use "git checkout -- ..." to discard changes in working directory)

modified: README

La commande est très claire si on la lit rigoureusement : sur la branche master, les modifications suivantes sont prêtes à être committées : le fichier README a été modifié et un nouveau fichier foo a été créé.

Git nous indique également qu’un changement est survenu mais qu’il n’a pas été indexé (sous la phrase Changes not staged for commit) : c’est le fameux changement que nous souhaitons faire demain.

Le commit lui-même

Il est grand temps de valider nos modifications et de créer un commit. Il ne faut ici surtout pas utiliser l’option -a de git commit sous peine de valider indistinctement toutes les modifications présentes dans le dépôt, ce que nous ne voulons absolument pas faire.

On va vérifier puis valider notre commit grâce à la commande suivante :

$ git commit -v

Un éditeur de texte s’ouvre et nous affiche la sortie suivante :

# Please enter the commit message for your changes. Lines starting
# with '#' will be ignored, and an empty message aborts the commit.
#
# On branch master
# Changes to be committed:
# modified: README
# new file: foo
#
# Changes not staged for commit:
# modified: README
#
# ------------------------ >8 ------------------------
# Do not modify or remove the line above.
# Everything below it will be ignored.
diff --git a/README b/README
index d012f47..6c50e6b 100644
--- a/README
+++ b/README
@@ -1,5 +1,7 @@
this is a README

+do not forget to read the file foo!
+
Lots of interesting stuff here

Let's work
diff --git a/foo b/foo
new file mode 100644
index 0000000..7c50c6a
--- /dev/null
+++ b/foo
@@ -0,0 +1 @@
+very interesting stuff

Nous retrouvons ici le résultat du précédent git status et le détail des modifications qui vont être validées. Nous remarquons que seule la mention du fichier foo dans le README et la création de ce fichier foo y figurent. Nous avons donc réussi notre commit.

Si ça n’était pas le cas, vous pouvez quitter votre éditeur de texte sans enregistrer, cela annulera le commit. Si tout est bon, entrez simplement un message de commit pertinent comme “mention foo in README and add the foo file” et sauvegardez.

Le résultat de la commande est le suivant :

$ git commit -v
[master 077f1f6] mention foo in README and add the foo file
2 files changed, 3 insertions(+)
create mode 100644 foo

Nous voyons notre message de validation et également que deux fichiers ont été modifiés.

État de notre dépôt après ce commit

Dans quel état est notre dépôt après ce commit ? Encore une fois l’analyse de la commande git status va nous aider.

$ git status
On branch master
Changes not staged for commit:
(use "git add ..." to update what will be committed)
(use "git checkout -- ..." to discard changes in working directory)

modified: README

no changes added to commit (use "git add" and/or "git commit -a")

En effet nous avons la seconde modification du fichier README que nous avions faite qui n’a pas encore été enregistrée dans aucun commit. Nous n’avons pas indexé cette modification. Elle demeure donc dans notre dépôt en attente d’un prochain traitement.

Un git diff nous montre cette modification :

$ git diff
diff --git a/README b/README
index 6c50e6b..737bc05 100644
+
+To finish, do not forget to read file bar!

Il s’agit bien de la modification que nous ne souhaitions pas encore enregistrer (j’ai simplifié l’affichage de la commande précédente pour aller à l’essentiel).

Sauvegarde du travail

Nous avons un beau commit, mais il n’existe pour l’instant que sur notre ordinateur personnel. Un malheureux accident ou un vol est si vite arrivé, il est indispensable de sauver notre travail sur notre dépôt Git distant (voir la création du dépôt distant dans la partie 1). Nous procédons avec un simple git push vers notre dépôt distant:

$ git push

Conclusion

Bien débuter avec Git nécessite de comprendre ce que l’on fait et pour cela nous abordons les notions fondamentales une par une.

La notion essentielle abordée aujourd’hui est l’ajout de modifications à l’index. L’index constitue l’ensemble des modifications à prendre en compte dans le prochain commit. Nos modifications ont donc pour l’instant 3 statuts possible dans Git : non-indexées, indexées ou enregistrées dans un commit. À chaque statut correspond une palette d’opérations possibles et Git vous tient en permanence au courant du statut de vos différentes modifications en cours, en vous proposant souvent des actions possibles.

Nous aborderons bientôt dans un prochain article une autre notion fondamentale de Git : les branches.

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