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alterlibriste : Bases du podcasting

lundi 15 juillet 2013 à 21:36

J’ai commencé à entamer mes revues de podcast sans parler de la façon dont il faut procéder pour les écouter et s’abonner.
Encore une fois, il s’agira sans doute de banalités pour les habitués mais cela pourra être utiles aux moins expérimentés.

Pour écouter un podcast, outre l’ordinateur qui va servir au téléchargement, si on ne veut pas (comme moi) l’écouter devant son écran ou à proximité, il faut un lecteur mobile. Pour ma part, j’ai commencé par un lecteur USB sur lequel je branchais un jack relié à mon autoradio. Maintenant, j’ai un lecteur mp4 dont je parlerai plus longuement à l’avenir toujours branché avec une prise jack sur une vieille chaîne hi-fi. Bien sûr, pour les solitaires et transports en commun, le casque est aussi une possibilité.

Ensuite, il s’agit de trouver les podcast qui nous intéressent en fonction du temps de libre que l’on a pour en écouter (inutile de s’abonner à 15 émissions si on n’a que 2h par semaine de dispo, personnellement, j’ai une bonne dizaine d’heure et autant de podcast par semaine). Au début, il faut essayer et trouver ce qui nous intéresse puis hiérarchiser les plus intéressantes et éventuellement garder quelques émissions sous le coude en cas de creux.

Dans un premier temps, on va donc à la pêche, on télécharge une émission de radio qu’on aime bien ou dont on a entendu parlé en allant directement sur le site. Ensuite, si on accroche, on peut s’abonner ; deux façons de le faire :

Icône à rechercher pour choper le lien à copier dans le logiciel choisi pour gérer les podcasts ou les liens rss que l’on souhaite suivre :

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Noireaude : Créer un réseau maillé avec Babel (retour sur ma soirée au HackStub)

lundi 15 juillet 2013 à 16:30


Comme nous vous l'avions annoncé, Mercredi soir le HackStub accueilli par La plage digitale proposait une soirée hacking et comme d'habitude, les participants étaient libres de proposer des thèmes et de les exposer. Le principe est ensuite que si dans l'assemblée certains sont branchés et veulent voir de plus près de quoi il s'agit, un groupe se forme et c'est partit.

J´aimerai préciser que sur la quinzaine de personnes présente ce soir-là, nous avions un niveau de connaissances hétéroclite. Personnellement j´étais un peu perdu lors de la mise en place du réseau maillé, mais à plusieurs reprises j´ai demandé de l´aide et la personne interrogée a pris le temps de m´expliquer pour que nous puissions avancer ensemble. C´est exactement l´idée que je me faisais de l´esprit du hacking et des hackers en général, où le partage des connaissances et l'égalité entre les membres fait partie des principes. Ça fait vraiment plaisir de voir que c´est une réalité (en tout cas au HackStub).

Déroulement de la soirée :

Pour lancer la soirée, Alex est venu avec une présentation faite à l´arrache (selon lui), basée sur les différents types de chiffrements existant, avec pour chacun d'entre-eux une description de son fonctionnement.

Ensuite, Mathieu nous a proposé de traduire de l'anglais au Français différents ouvrages publiés sur Framalang sous licence(s) Libre(s). S'agissant d'un travail communautaire la traduction a été lancée sur un pad en ligne, sur lequel les participants peuvent se connecter et choisir une partie du texte n´ayant pas encore été traitée. Pour exemple ce soir-là nous pouvions y trouver en cours de traduction (débutée au RMLL à Bruxelles) un ouvrage traitant de la cryptographie, ainsi que d'autres ouvrages traitants de sujets divers, comme dans l'exemple suivant. Si vous avez un don (ou pas) pour les langues et la traduction allez-y, c´est une expérience vraiment enrichissante.

Au boulot :

Finalement nous avons poursuivi l´étude et l´expérimentation du fonctionnement d´un réseau Wifi maillé, que nous avions entamé lors de notre dernière rencontre. N'étant pas super calé (enfin pas encore :)) dans ce domaine, je vous propose un extrait du wiki, qui résume très bien de quoi il s'agit :

"Le réseau maillé (ou maillage en réseau) est une topologie réseau qualifiant les réseaux (filaires ou non) dont tous les hôtes sont connectés pair à pair sans hiérarchie centrale, formant ainsi une structure en forme de filet. Par conséquence, chaque nœud doit recevoir, envoyer et relayer les données. Cela évite d'avoir des points sensibles, qui en cas de panne, coupent la connexion d’une partie du réseau. Si un hôte est hors service, ses voisins passeront par une autre route. Un réseau en maille peut relayer les données à l'instar d'une déluge ou une itinéraire, mais dans le second cas le réseau doit prévoir des connexions sans interruption ou calculer une déviation..."

Pour construire un réseau Mesh il est donc nécessaire de s’appuyer sur un protocole de routage. Il en existe plusieurs dont B.A.T.M.A.N. (développé par la communauté Freifunk), mais pour construire notre réseau nous avons préféré utiliser Babel.

Pour participer au réseau il faut commencer par paramétrer son ordinateur afin qu'il puisse se connecter à la maille, alors j'ai tout d'abord ouvert un terminal (obligatoire pour le moment), installé babeld (présent dans la plus part des dépôts officiels) et stoppé Networkmanager (impératif).

Pour se connecter chaque nœud doit faire fonctionner :

# iwconfig wlan0 mode ad-hoc channel 11 essid "Hackstub-Mesh " (configuration de la carte réseau)

# ip link set up dev wlan0 (edit : activer l'interface réseau)

# ip addr add 198.168.18.1.23/24 dev wlan0 (edit : chacun choisi une adresse pour se connecter j'ai pris le 23 connexion sur le port le 24 étant le masque de sous réseau /24)
# babeld wlan0 (connexion à Mesh Babel)

Pour vérifier que l'on fait partie du réseau, il suffit d'ouvrir un nouveau terminal et de taper la commande :

route -n (trouver le chemin)

Si tout s'est bien passé la commande renverra la liste des utilisateurs qui sont connectés et comme vous pouvez le voir sur la copie suivante, à ce moment-là nous étions 9 à surfer sur notre réseau wifi Mesh.

Voici une autre vue de la maille avec l'application BabelWeb

S'amuser à connecter des ordinateurs sur une maille c'est bien, mais avec un accès à internet c'est encore mieux.

C'est ce que nous avons fait en utilisant un des nœuds pour créer un pont vers internet et c'est à partir de là que cela ne fonctionnait plus pour moi, par manque de temps je n'ai pas pu reconfigurer ma machine. Par contre ceux qui ont réussi à emprunter ce pont (dont nous nous posions des questions sur la rapidité), ont même pu visionner une vidéo en 320p sur Youtube :)

Puisque nous sommes joueurs nous avons aussi lancé un test de connexion (désolé pour la qualité de l'image), qui a atteint 8,83 Mbps. Chez moi et branché sur ma Freebox, je viens d'atteindre 9,42Mbps.

Conclusion le débit était bon!

Ce que je viens d'écrire c'est juste mon expérience d'utilisateur qui vient se raccorder à un réseau WIFI maillé, entendez par là la vue côté "client". La partie serveur était gérée par une personne, un Archer et je n'ai pas vu comment il a paramétré sa machine. Tout ce que je voyais c'était son écran qui ressemblait plus à un screensaver Matrix et il lisait couramment ce qui s'y affichait. Mais la prochaine fois promis, j'irai voir ça de plus près.

Nous en sommes encore au début et je trouve que ce que nous avons expérimenté est déjà très prometteur. Il est tout à fait possible de créer un réseau Mesh à l'échelle d'une ville comme cela se fait déjà en Allemagne ou au Canada. Je vous propose une vidéo qui présente le travail de l'association reseaulibre, qui a déployé une infrastructure WIFI Mesh sur la ville de Montréal.

Impressionnant non ?

En tout cas j'ai hâte d’être à notre prochaine rencontre au HackStub, d'ici là, bon hack ;)

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Progi1984 : Firefox OS : Dev Tips #6

lundi 15 juillet 2013 à 10:30

Les Dev Tips passent mais ne se ressemblent pas. Dans ce 6ème épisode de la série sur Firefox OS, nous allons voir :

Firefox OS : Différences entre applications packaged et applications hosted

Après avoir discuté dans l’épisode 4 des différents niveaux d’applications, nous allons parler des deux types d’applications que sont les applications hébergées (hosted) et les applications empaquetées (packaged).
Simplement, une application hébergée est une application qui est stockée sur votre serveur avec un fichier manifest.webapp. Alors qu’une application empaquetée est un fichier ZIP avec le fichier manifest.webapp, les différents fichiers CSS, JS et HTML et autres fichiers statiques tels que les images et le son, qui est envoyé et hébergé sur le Marketplace.

De nombreux points avantagent les applications packaged aux applications hosted :

Lien : Mozilla Marketplace : Applications packaged
Lien : Mozilla Marketplace : Applications hosted

Firefox OS : Étude du marché des mobiles sous Firefox OS

Voici une liste des différents mobiles accueillant Firefox OS que ce soit nativement ou sous forme de port depuis Android.
N’hésitez pas à me contacter ou laisser un commentaire si vous en connaissez d’autres.

Alcatel

One Touch Fire

Informations :

Ce mobile est fourni en natif sous Firefox OS.
Il sera disponible en trois couleurs : orange Mozilla, vert et blanc.
Il sera disponible en France pour 99€ dans le courant de l’été.
Il sera aussi disponible dans le reste de l’Europe et en Amérique Latine.

Source : Alcatel

GeeksPhone

Keon

Informations :

Ce mobile est fourni en natif sous Firefox OS.
Contrairement aux autres, il est vendu pour les développeurs a.k.a. “developer preview”. Il n’est pas prévu pour le grand public.

Tutoriel : Mozilla Hacks : Mettre à jour et Customiser son GeeksPhone
Source : Geeksphone

Peak

Informations :

Ce mobile est fourni en natif sous Firefox OS.
Contrairement aux autres, il est vendu pour les développeurs a.k.a. “developer preview”. Il n’est pas prévu pour le grand public.

Tutoriel : Mozilla Hacks : Mettre à jour et Customiser son GeeksPhone
Source : Geeksphone

HTC

HTC Explorer (A310E)

Informations :

Ce mobile a un port d’Android vers Firefox OS.

Tutoriel : Firefox OS Guide
Source : Wikipedia : HTC Explorer

Huawei

Ascend G300

Informations :

Ce mobile a un port d’Android vers Firefox OS.

Tutoriel : Modaco

LG

Leo

Informations :

Ce mobile est fourni en natif sous Firefox OS.

Source : Firefox OS Guide

Motorola

Defy+

Informations :

Ce mobile a un port d’Android vers Firefox OS.

Tutoriel : Firefox OS Guide
Source : Wikipedia : Motorola Defy

Samsung

Galaxy Gio S5660

Informations :

Ce mobile a eu un port d’Android vers Firefox OS, mais le développement a été stoppé à cause du grand nombre de bugs. (Merci Nefzaoui)

Tutoriel : Forum SAM
Source : Wikipedia : Samsung Galaxy Gio

Galaxy Nexus

Informations :

Ce mobile a un port d’Android vers Firefox OS.

Tutoriel : XDA Developpers
Tutoriel : Mozilla Developer Network
Source : Wikipedia : Galaxy Nexus

Sony

Xperia E

Informations :

Ce mobile a un port d’Android vers Firefox OS.

Tutoriel : SonyMobile
Source : Wikipedia : Sony Xperia E

ZTE

Open

Informations :

Ce mobile est fourni en natif sous Firefox OS.
Il est disponible en Espagne pour 69€ sous la marque Movistar.

Source : ZTE Devices

Firefox OS : WebAPI WebFM

Cette WebAPI va vous permettre d’implémenter une radio FM dans votre application web.

Pour récupérer un objet FMRadio :

var oFM = navigator.fm || navigator.mozFMRadio || navigator.mozFM;

Pour récupérer l’état de la radio :

// Booléen : indique si la radio est en train de jouer
console.log(oFM.enabled);
// Booléen : indique si une antenne est branchée et disponible
console.log(oFM.antennaAvailable);
// Double : retourne la fréquence radio courante
console.log(oFM.frequency);
// Double : retourne la fréquence maximum jusqu'à laquelle la méthode search ne dépassera pas
console.log(oFM.frequencyUpperBound);
// Double : retourne la fréquence minimum jusqu'à laquelle la méthode search ne dépassera pas
console.log(oFM.frequencyLowerBound);
// Double : retourne l'espace entre deux fréquences radio, en MHz
console.log(oFM.channelWidth);

Pour modifier ou lancer des actions sur la radio :

// Active la radio
oFM.enable()
// Désactive la radio
oFM.disable()
// Change la fréquence de la radio entre oFM.frequencyUpperBound et oFM.frequencyLowerBound
oFM.setFrequency()
// Lance une recherche de nouvelle fréquence vers le haut (à partir de la fréquence courante)
oFM.seekUp()
// Lance une recherche de nouvelle fréquence vers le bas (à partir de la fréquence courante)
oFM.seekDown()
// Annule la recherche de nouvelle fréquence
oFM.cancelSeek()

Pour observer les changements via différents listeners :

function fnFMRadio_enabled() {
  console.log('La radio est activée');
} 
oFM.addEventListener('enabled', fnFMRadio_enabled);

function fnFMRadio_disabled() {
  console.log('La radio est désactivée');
} 
oFM.addEventListener('disabled', fnFMRadio_disabled);

function fnFMRadio_antennaavailablechange() {
  if(oFM.antennaAvailable){
    console.log('Une antenne radio est branchée');
  } else {
    console.log('Une antenne radio est débranchée');
  }
} 
oFM.addEventListener('antennaavailablechange', fnFMRadio_antennaavailablechange);

function fnFMRadio_frequencychange() {
  console.log('La fréquence radio change');
} 
oFM.addEventListener('frequencychange', fnFMRadio_frequencychange);

Lien : MDN : WebFM API
Lien : MDN : FMRadio

[EDIT du 16/07/2013 10:30] MAJ du Samsung Galaxy Gio S5660 suite au commentaire de Nefzaoui

Cet article Firefox OS : Dev Tips #6 est apparu en premier sur RootsLabs.

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Noireaude : Firefox OS Simulator 4.0 disponible (sympa)

lundi 15 juillet 2013 à 10:30

ffos-1

La team Mozilla a publié récemment et ce en coordination avec le lancement des ventes de Firefox OS en Pologne, la version 4.0 de Firefox OS Simulator. Pour ceux qui ne le savent pas encore il s’agit d’un add-on avec lequel vous pouvez tester Firefox OS dans le navigateur Firefox, sous GNU/Linux, Windows et MAC. Ça permet de tester et de suivre un peu l’évolution de l’Os mobile de Mozilla en pouvant jouer avec les menus et les différentes applications depuis votre desktop.

Firefox 4.0 OS Simulator embarque diverses optimisations et corrections de bugs, ainsi que de nouvelles options intéressantes concernant le Marketplace, qui vous permet désormais de simuler l’achat de nouvelles applications. Celui-ci embarque désormais trois options, Achat validé, non validé et Remboursement (dans le cas où l’application ne vous conviendrait pas ou ne serait pas conforme à la description).

Cette nouvelle version améliore également la gestion de la souris, la rendant plus proche d’une utilisation tactile au niveau du comportement. J’ai testé plusieurs fois ce simulateur et à vrai dire je n’ai jamais vraiment été convaincu, bien que l’idée de ce procédé m’ait toujours plutôt branché. Cela dit il faut relativiser, car je ne saurai pas dire si les plantages et les soucis que j’ai rencontré lors de mes autres tests était liés au simulateur ou à l’OS en lui-même.

Quoi qu’il en soit dans le contexte actuel, vu la tronche et la direction que prennent Android et Ubuntu Touch , je n’ai pas baissé les bras et j’ai eu envie de tester à nouveau ce fameux simulateur (et bien entendu Firefox OS). Bilan de la course un gros boulot a été fait et je dois dire que tout ça va plutôt dans le bon sens, je vous laisse voir ces quelques captures :

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C’est vraiment propre et ça tourne très bien, reste à voir si Mozilla arrivera à choper une part de marché significative avec son OS mobile. Étant pessimiste de nature j’aurais dit non il y’a encore quelques temps, mais comme leur stratégie le montre et comme on me l’a fait remarquer sur IRC lors d’une discussion à ce sujet (je ne sais plus qui), en ciblant les marchés émergeants en premier ça peut le faire. Espérons le…

Si ça vous tente vous pouvez installer Firefox OS simulateur sur votre navigateur Firefox en vous rendant sur cette page, il ne vous en coûtera que 60 et quelques Mo.

J’ai vraiment hâte d’avoir un téléphone équipé de cet OS entre les pattes.

Bon test et amusez-vous bien.

source

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Noireaude : Le noyau Linux 3.11-RC1 disponible sur Ubuntu et Linux Mint

lundi 15 juillet 2013 à 07:35

Kernel

Linus Torvalds a annoncé la sortie de la première version du Noyau Linux 3.11-RC1, qui constitue le lancement de cette nouvelle branche du Kernel Linux. Les changements relatifs à cette nouvelle version du noyau sont en accord avec l’article précédent. La liste des changements étant tellement longue et ayant évoqué les principaux axes de cette nouvelle branche dans le billet précédent, je ne vais pas faire le petit résumé habituel et vous renvoyer tout de suite sur cette page que vous pourrez décortiquer pour en savoir plus.

Comme ce billet n’était pas prévu et s’est fait sur le pouce, nous allons la faire courte et passer directement à l’avertissement habituel dont il faudra tenir compte encore plus que d’habitude. Vous l’avez bien compris il ne s’agit pour le moment que d’une version RC et par conséquent, ne l’utilisez surtout pas en production mais à des fins de test uniquement (j’insiste bien là-dessus et vous êtes doublement prévenus). Pas de bêtises mes poussins.

Avertissement!

Avant de vous lancer sachez que cette manipulation n’est pas sans risques. Si vous n’êtes pas un familier des environnements GNU/Linux, que vous ne savez pas récupérer un système endommagé ou devenu instable, passez votre chemin… Dans tous les cas pensez à effectuer une sauvegarde de votre système avant de commencer. La team lvl.

Donc si vous voulez tester cette version RC1 du noyau Linux 3.11, il suffit de vous procurer les archives DEB relatives à votre architecture en vous rendant sur cette page.

Amusez-vous bien.

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