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Framablog : Non à la privatisation du domaine public par la Bibliothèque nationale de France !

samedi 19 janvier 2013 à 20:22

L’association COMMUNIA, l’Open Knowledge Foundation France, La Quadrature du Net, Framasoft, Regards Citoyens, Veni Vidi Libri, le Parti Pirate, Libre Accès et SavoirsCom1 publient ce jour un communiqué dénonçant la signature par la BNF, le Commissariat aux investissements d’avenir et le ministère de la Culture et de la communication d’accords qui privatisent l’accès numérique à une part importante de notre patrimoine culturel.

Massimo Barbieri

Paris, le 18 janvier 2013 — Le ministère de la Culture a annoncé hier la conclusion de deux accords, signés entre la Bibliothèque nationale de France et des firmes privées, pour la numérisation de corpus de documents appartenant pour tout (livres anciens) ou partie (78 et 33 tours) au domaine public. Les fonds concernés sont considérables : 70 000 livres anciens français datant de 1470 à 1700, ainsi que plus de 200 000 enregistrements sonores patrimoniaux. Ces accords, qui interviennent dans le cadre des Investissements d’avenir et mobilisent donc de l’argent public, vont avoir pour effet que ces documents ne seront pas diffusés en ligne, mais uniquement sur place à la BnF, sauf pour une proportion symbolique.

Ces partenariats prévoient une exclusivité de 10 ans accordée à ces firmes privées, pour commercialiser ces corpus sous forme de base de données, à l’issue de laquelle ils seront mis en ligne dans Gallica, la bibliothèque numérique de la BnF. Les principaux acheteurs des licences d’accès à ces contenus seront des organismes publics de recherche ou des bibliothèques universitaires, situation absurde dans laquelle les acteurs du service public se retrouveront contraints et forcés, faute d’alternative à acheter des contenus numérisés qui font partie du patrimoine culturel commun.

Les conditions d’accès à ces éléments de patrimoine du domaine public seront restreintes d’une façon inadmissible par rapport aux possibilités ouvertes par la numérisation. Seule la minorité de ceux qui pourront faire le déplacement à Paris et accéder à la BnF seront en mesure de consulter ces documents, ce qui annule le principal avantage de la révolution numérique, à savoir la transmission à distance. Partout enFrance et dans le monde, ce sont les chercheurs, les étudiants, les enseignants, les élèves, les amateurs de culture, les citoyens qui se trouveront privés de l’accès libre et gratuit à ce patrimoine.

La valeur du domaine public réside dans la diffusion de la connaissance qu’il permet et dans la capacité à créer de nouvelles œuvres à partir de notre héritage culturel. Sa privatisation constitue une atteinte même à la notion de domaine public qui porte atteinte aux droits de chacun. Ces pratiques ont été condamnées sans ambiguïté par le Manifeste du domaine public, rédigé et publié par le réseau européen COMMUNIA financé par la Commission européenne :

Toute tentative infondée ou trompeuse de s’approprier des œuvres du domaine public doit être punie légalement. De façon à préserver l’intégrité du domaine public et protéger ses usagers de prétentions infondées ou trompeuses, les tentatives d’appropriation exclusive des œuvres du domaine public doivent être déclarées illégales.

Les institutions patrimoniales doivent assumer un rôle spécifique dans l’identification efficace et la préservation des œuvres du domaine public. (…) Dans le cadre de ce rôle, elles doivent garantir que les œuvres du domaine public sont accessibles à toute la société en les étiquetant, en les préservant et en les rendant librement accessibles.

À titre de comparaison, les partenariats validés par le ministère de la Culture aboutissent à un résultat encore plus restrictif pour l’accès à la connaissance que celui mis en œuvre par Google dans son programme Google Livres, dans lequel les ouvrages restent accessibles gratuitement en ligne sur le site des institutions partenaires. La mobilisation de l’emprunt national n’aura donc en aucun cas permis de trouver une alternative acceptable aux propositions du moteur de recherche.

Le ministère de la Culture affirme dans son communiqué que ces partenariats sont compatibles avec les recommandations du Comité des sages européens « A New Renaissance ». C’est à l’évidence faux, le rapport du Comité des sages admettant que des exclusivités commerciales puissent être concédées à des firmes privées pour 7 ans au maximum, mais insistant sur la nécessité que les documents du domaine public restent accessibles gratuitement en ligne, y compris dans un cadre transfrontalier. Plus encore, les accords sont en flagrante contradiction avec la Charte Europeana du Domaine Public (pdf) alors même que l’un de ses signataires occupe aujourd’hui la présidence de la fondation Europeana.

Par ailleurs, le rapport du Comité des sages énonce comme première recommandation que les partenariats public-privé de numérisation soient rendus publics afin de garantir la transparence, ce qui n’est pas été fait ici. L’opacité a régné de bout en bout sur la conclusion de ces partenariats, au point qu’une question parlementaire posée au ministère de la Culture par le député Marcel Rogemont est restée sans réponse depuis le 23 octobre 2012, alors même qu’elle soulevait le problème de l’atteinte à l’intégrité du domaine public. Enfin, les partenariats publics-privés ont été récemment dénoncés par l’Inspection générale des finances dans un rapport commandé par le ministre de l’Économie, Pierre Moscovici, et par celui du Budget, Jérôme Cahuzac. Ces partenariats sont jugés trop onéreux, trop risqués, trop complexes et trop profitables aux seuls intérêts privés.

Nous, associations et collectifs signataires de cette déclaration, attachés à la valeur du domaine public et à sa préservation comme bien commun, exprimons notre plus profond désaccord à propos de la conclusion de ces partenariats et en demandons le retrait sans délai. Nous appelons toutes les structures et personnes partageant ces valeurs à nous rejoindre dans cette opposition et à manifester leur désapprobation auprès des autorités responsables : BnF, Commissariat général à l’investissement et ministère de la Culture. Nous demandons également la publication immédiate du texte intégral des accords.

Contacts presse

Crédit photo : Massimo Barbieri (Creative Commons By-Sa)

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Stéphane Laborde : Monnaie Libre n°25 Frédéric Bosqué Revenu de Base et Monnaies Citoyennes

samedi 19 janvier 2013 à 18:19

Monnaie Libre reçoit Frédéric Bosqué entrepreneur, co-fondateur du SOL Violette, monnaie ciotyenne locale qui se développe près de Toulouse et militant du Revenu de Base. Un triple engagement qui nous permet de comprendre comment un citoyen impliqué depuis longtemps dans la production et l’échange l’économique perçoit le lien avec l’outil monétaire tant du point de vue de sa gouvernance, de son code, que de son aspect économique et politique.

Frédéric Bosqué détaille sa position contraire à l’approche du « salaire à vie » qu’il a détaillé sur le site Français du revenu de base. Des analyses relativistes lui sont proposées dans l’émission comme des défis face auxquels il précise les tenants et aboutissants tant théoriques que pragmatiques de son approche globale.

Frédéric Bosqué

Frédéric Bosqué co-fondateur du SOL

Musique lovely, de Tryad Creative Common by sa.

Pour en savoir plus :
- Son dernier livre :  »Alternatives Humanistes, ensemble vers l’autonomie », www.alternativeshumanistes.info
- le site du mouvement sol : www.sol-reseau.org
- le site du sol-violette : www.sol-violette.fr
- le film qui présente le sol-violette (50 mn) : http://leszoomsverts.fr/index.php/productions/93-sol-violette-le-film

Monnaie libre est diffusée sous Licence Creative Commons Attribution 3.0

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Artisan Numérique : Tester les performances d'un terminal avec ttyrec

samedi 19 janvier 2013 à 16:08

Alors évidemment si vous n'utilisez le terminal que pour taper trois lignes de commandes à chaque lune bleue, la vitesse de ce denier importe peu au fond. N'importe quel machin basé sur libvte fera l'affaire.

En revanche pour ceux qui comme moi utilisent leur terminal de manière intensive et permanente, la vélocité de cet émulateur est un facteur important de choix. Mais plutôt que de vous balancer la nième liste de chiffres, déclenchant la nième guerre des trolls sur le thème "mon terminal il déchire plus que le tien", je vais vous proposer ici une manière simple de faire vous-même le test. Et ainsi de bencher votre usage.

Méthodologie

Le problème d'un bench en général est qu'il est difficile de savoir quoi tester exactement pour refléter au mieux un usage réel. Sur le net on trouve un paquet de tests basés sur des trucs aussi exotique que des cat de docs monstrueuses. Mais au final ce type d'approche ne teste qu'une partie du système (ici la capacité à sortir du caractère monochrome au kilomètre et le système de scrolling). Je ne blâme personne, je m'y suis moi aussi essayé ;-)

Pour faire un véritable test objectif, quoi de mieux au fond que de simuler son propre usage. Pour un environnement graphique ce serait chose complexe, il faudrait enregistrer clavier, souris et tout le tintouin pour rejouer les sessions. Mais pour un terminal, il suffit finalement de capturer le flux de séquences d'échappements. Laissez moi donc vous parler d'un utilitaire bien sympathique, ttyrec.

Enregistrement de vos habitudes de travail

ttyrec n'est pas outil de bench, mais un système permettant d'enregistrer, puis de rejouer (commande ttyplay) une session en mode texte. Cela permet de créer des tutoriaux, mais aussi de se connecter sur une session distante lorsqu'un ami veut vous montrer comment faire telle ou telle chose. Nous, nous allons l'utiliser ici pour capturer une session et la rejouer à fond la caisse.

En interne, ce petit utilitaire va capturer les séquences jouées dans un terminal pendant que vous travailler. Pour se faire, il faut déjà installer le paquet ttyrec et simplement lancer ttyrec. Cela fonctionne un peu comme un shell. L'utilitaire vous rend la main immédiatement mais ne vous y trompez pas. Tout ce qui se passe à partir de maintenant est enregistré dans le fichier ttyrecord dans le dossier où vous vous trouvez.

À partir de là faite ce que vous avez à faire. Moi j'ai lancé une session vim avec plein de panneaux (nerdtree, tagbar, etc.) et bien évidement un code source bien long avec la coloration syntaxique activée. J'ai scrollé, déplié les pliages, navigué dans les symboles par popup, pour finalement sortir de vim et taper exit ce qui clôture l'enregistrement. Au final j'ai obtenu un fichier ttyrecord de près d'un méga.

Ça joue !

Maintenant reste à rejouer cela avec la commande ttyplay ttyrecord. Lancée telle quelle, la commande va lire le fichier ttyrecord à la vitesse normale. C'est à dire à votre vitesse à vous. C'est très pratique pour montrer à quelqu'un comment fonctionnent des commandes, mais peu utile dans notre cas.

Heureusement il y a une option -n qui va débrider l'outil et ignorer toutes le temps d'attentes. ttyplay -n ttyrecord va donc jouer les séquences à pleine vitesse poussant le terminal à son maximum. Il ne nous reste alors plus qu'à ajouter un coup time pour bencher le tout :

gaston$time ttyplay -n ttyrecord
....
0,00s user 0,05s system 13% cpu 0,354 total%

Ce qui nous donne 0.354 seconde pour jouer 1mo de séquence ANSI. Pas si pire :-)

Conclusion

Voilà il ne vous reste plus qu'à faire de même et à tester vos prétendants terminaux. Pour info les 0.354s sont obtenues avec URXVT qui gère donc l'unicode, avec un fond pixmap et une police TTF. À titre de indicatif xterm avec une police TTF, mais sans fond pixmap prend 16s... Je précise "à titre indicatif" car j'imagine qu'il doit y avoir des choses optimisables côté xterm.

Dans tous les cas, ce type d'approche permet d'apprécier correctement je pense la vélocité réelle d'un terminal, hors toute subjectivité, en se basant sur son usage. Ainsi quelqu'un qui testera la même chose avec top et juste des commandes, aura j'imagine des chiffres entre XTerm et Urxvt beaucoup plus proche rendant le choix entre les deux probablement inutile.

Dans mon cas cependant, cela m'a permis de corriger pas mal de choses tant dans le réglages d'urxvt que dans les options de compilation. À titre d'exemple, je laissais le terminal "fabriquer" les polices grasses, italic, etc à partir d'une police de base. En faisant cela, le test prenait 3 secondes et non 0.3, une paille ;-).

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Cenwen : Getdeb et Playdeb, c’est fini !

samedi 19 janvier 2013 à 13:52

Tout est dans le titre et vous avez bien lu. Extrêmement populaire, Getdeb (et sa déclinaison Playdeb pour les jeux) est un dépôt fait par des membres de la communauté pour les utilisateurs de la distribution Ubuntu. Sa création a pour objet de proposer les dernières versions de logiciels et de nouveaux logiciels non présents dans les dépôts officiels de chaque version. Ainsi de nombreux logiciels sont disponibles notamment dans la vidéo mais pas seulement. Par exemple, il sera bientôt impossible d’installer 2ManDvd sous Ubuntu, sauf si un PPA est ouvert entre temps. Et cela sera le cas pour de nombreux et talentueux projets. Mais comment en est-on arrivé là ?

Si Getdeb est un dépôt par et pour la communauté, il a un défaut auquel nous avons tous été confronté à un moment donné. Je parle de sa disponibilité. Maintenir un espace de stockage sur le Web demande de l’argent ou des dons. Et nous savons tous que les gens ne sont pas très généreux. Getdeb change souvent de prestataires (ceux-ci étaient mis en avance sur la 1ère page du site !), au gré de ce qui lui est proposé. Tout ceci pour dire que la disponibilité du dépôt est aléatoire. Est-ce lié au problème suivant ? Je ne saurais l’affirmer mais, à mon avis, cela n’a rien arrangé. Mais malgré ces problèmes, il en est un autre qui est certainement le pire pour un Webmaster : la perte de ces données. Et c’est ce qui s’est passé.

En effet, le serveur web a crashé et les données ont été perdues. Tout est perdu ? Non, car une copie avait été réalisée. Heureusement. Car ce dépôt contient plus de 84 Go de données. Je trouve cela énorme. Quel travail.

A ce problème technique s’ajoute un autre qui est, lui, humain. Une seule personne gère tout ceci : le serveur et surtout la création des binaires. De très nombreuses heures passées, qui ne cessent de croître, font que cette personne ne peut plus assuré ce service. C’est triste mais c’est ainsi. De nombreuses personnes évoluent bénévolement dans le libre. D’ailleurs, l’auteur remercie toutes les personnes qui l’ont aidé pendant toutes ces années.

L’auteur mets librement à disposition tous les outils qui l’ont aidé dans cette tache.

Je mets enfin l’intégralité du message du créateur de Getdeb (en Anglais)

GetDeb and PlayDeb discontinue

After the server crash where also the GetDeb and PlayDeb database was lost and given the fact that GetDeb and PlayDeb now have too many packages to be handled as a one-man-project I decided to discontinue GetDeb and PlayDeb.
In the last years I have spent so many hours in the project that now it is just too much for me to maintain beside my usual job.

But this does not mean that all the work in GetDeb and PlayDeb is lost. The repository is still completely mirrored, e.g.: http://mirror.informatik.uni-mannheim.de/pub/mirrors/getdeb/ubuntu/pool/ (Google search: ‘quantal-getdeb-testing intitle: »Index of »‘ should give you a good list).
Also all the package script (i.e. the debian directory) for every package in the precise and quantal repository are available in my GitHub repositories:
* https://github.com/ckorn/GetDeb
* https://github.com/ckorn/PlayDeb
* For special upstream watchers there is this repository: https://github.com/ckorn/Upstream-watchers

The web interface of both GetDeb and PlayDeb is called apt-portal which is specialised for viewing the information in an apt repository:
* https://code.launchpad.net/apt-portal

And finally there are the scripts and little helpers of the automated build process:
* https://code.launchpad.net/debfactory

The entire repository of Debian packages can be downloaded with this script:
* http://pastebin.com/raw.php?i=JaVkvFFZ

It is currently 84GiB in size so please only download it if you really want all the packages. If you just want some simply use a mirror.

Let me also thank everybody of you for the trust you had in GetDeb and PlayDeb as an unofficial repository. I think GetDeb and PlayDeb were one of the greatest unofficial repositories for Ubuntu packages.
I think to spend some time to bring some of the packages in the official repository.

Thank you and bye!

 

Bye et merci pour le travail énorme que vous avez fait pendant ces nombreuses années. Thanks a lot.

 

 


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Clapico : Mechanig est mort ? Vive Unity Tweak Tool

samedi 19 janvier 2013 à 13:22

Pour ceux qui ne le sauraient pas déjà, Mechanig était un outil permettant de configurer votre Ubuntu au niveau du dash, du dock et de l’apparence. Les développeurs ayant décidé de modifier son appellation, bienvenue à Unity Tweak Tool.

UTT01

 

Même si l’application n’est pour l’instant pas traduite en Français, la simplicité de son interface et la clarté des icônes permettent de se débrouiller même si l’on ne maîtrise pas la langue de nos amis d’outre-Manche.

L’écran de départ est divisé en quatre parties permettant d’accéder aux réglages d’Unity, au gestionnaire de fenêtres, à l’apparence générale et enfin aux réglages système.

UTT02

Il est par exemple possible dans la rubrique “Launcher” d’Unity de modifier le comportement du dock comme du dash tant au niveau des effets de transparence et d’animation. Vous pourrez également changer la taille des icônes, activer ou non l’affichage du dock, etc.

UTT03

L’onglet “Workspace” de la rubrique “Windows manager” permet de modifier le nombre de bureaux.

UTT04

La rubrique “Appearance” concerne la modification des thèmes, icônes, etc.

UTT05

Enfin, la rubrique “System” gérera la présence d’icônes sur le bureau, les barres de scroll, etc.

En conclusion, Unity Tweak Tool est un outil de paramétrage et de personnalisation facile d’utilisation qui ne présente à mon sens qu’un seul défaut, ne pas être traduit en français.

Comme cette application n’est pas disponible dans les dépôts officiels d’Ubuntu, vous ne pouvez l’installer qu’en toute connaissance de cause d’une part et qu’à partir de la version 12.10 d’Ubuntu en ouvrant un terminal et en entrant la commande :

sudo add-apt-repository ppa:freyja-dev/unity-tweak-tool-daily

afin d’indiquer l’adresse du PPA puis :

sudo apt-get update

afin de mettre notre liste de sources à jour et enfin

sudo apt-get install unity-tweak-tool

afin d’installer l’application.

Une fois cette installation terminée, ouvrez votre dash et recherchez Untiy Tweak Tool.

UTT07

Amusez-vous bien.

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