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La vache libre : FlightGear 2.12.1 disponible – En route pour la 3.0 maintenant

mardi 10 décembre 2013 à 02:43

Je pense que vous avez dû voir passer quelques news ces derniers jours, relatant la sortie de FlightGear en version 2.12.1. Celle-ci ne contient pas de nouveautés à proprement parler, mais corrige diverses bugs concernant entre autres le moteur de rendu 2D et certains scripts, en plus de faciliter la création de nouveaux instruments et boîtes de dialogues. Ceci étant dit et après avoir un peu fouiné sur le site officiel, on commence à en savoir un peu plus sur la prochaine version 3.0 de ce simulateur de vol très populaire sous GNU/Linux, qui promet d’être plutôt sympathique.

Alors la liste est assez longue, comme c’est souvent le cas pour les versions majeures. Pour résumer on pourra quand même signaler l’arrivée d’une nouvelle génération de paysages, utilisant les données européennes CORINE et Open Street Map. Tout ceci devrait avoir selon les développeurs, un réel impact sur l’apparence visuelle des paysages (et postulat perso sur la précision des données).

On notera également l’utilisation d’une carte référençant la profondeur des eaux partout dans le monde, afin d’adapter la couleur de l’eau en fonction de l’endroit que vous survolez. Ainsi l’eau n’aura logiquement pas la même couleur si vous survolez la mer, les abords des côtes ou d’une île. La météo, la teneur en algues, en boue et très certainement d’autres facteurs encore, auront également un impact significatif sur la couleur des eaux pour plus de réalisme.

Le mode marcheur est comme son nom l’indique une nouvelle possibilité qui vous est offerte et qui va vous permettre de quitter votre avion afin d’explorer les paysages à pied. On n’en sait pas beaucoup plus sur ce mode, mais l’annonce du site officiel stipule qu’il vous sera possible par exemple d’entrer dans le bar de votre aéroport de prédilection. Il est également indiqué qu’il vous sera possible d’interagir avec les paysages, mais je ne saurais vous en dire plus à ce sujet, si ce n’est que ça a l’air plutôt intéressant :)

Pour le reste on notera en vrac :

Je ne sais pas pour vous, mais en ce qui me concerne et si j’en crois ce qu’il y a d’écrit sur le papier, ça a l’air juste énorme. J’ai vraiment hâte d’y être. Vous pouvez consulter l’article dédié sur le site officiel de FlightGear, pour en savoir un peu plus sur cette future version.

Si ça vous branche vous pouvez vous procurer Flightgear sur GNU/Linux, BSD, Windows et MAC OS X, depuis la page de téléchargement du site officiel. La version 2.12.1 est quant à elle déjà disponible dans les repos Archlinux.

Si vous souhaitez profiter de versions plus récentes sur Ubuntu et dérivés, vous pouvez également passer par le PPA suivant, à l’aide de ces quelques lignes de commande :

sudo add-apt-repository ppa:saiarcot895/flightgear
sudo apt-get update
sudo apt-get install flightgear

Si enfin vous vous sentez prêts à tenter la grande aventure, la version 2.99 de FlightGear est d’ores et déjà disponible via le PPA (Edge), mais attention!!! Il ne s’agit en aucun cas d’une version stable et vous l’utilisez à vos risques et périls. De plus étant à l’arrache je ne l’ai pas testé avant de le proposer ici, comme j’en ai l’habitude, donc je ne peux pas vous confirmer que tout est ok (au moins chez moi).

Si vous voulez quand même tenter le coup, entrez ceci dans votre terminal :

sudo add-apt-repository ppa:saiarcot895/flightgear-edge
sudo apt-get update ENTER
sudo apt-get install flightgear

Amusez-vous bien et bon vol :)

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alterlibriste : Réflexion un peu nostalgeek

lundi 9 décembre 2013 à 20:48

En écoutant l’émission Place de la Toile de cette semaine dans laquelle l’invité Jean-Noël Lafargue, dit JeanNo sur son blog, parlant de son histoire avec l’informatique, je me suis laissé allé à une petite réflexion.

Les personnes nées entre 1950 et 1990 ont vu croître l’ère informatique durant leur jeunesse. C’est-à-dire que ceux qui ont voulu s’intéresser au phénomène ont dû se taper des écrans noirs et des lignes de code avant d’avoir quelque chose qui se passe. Sans vouloir offenser les générations précédentes, il y a peut-être eu quelques fous du clavier mais il ne doit pas y en avoir beaucoup.
Mon père qui est né en 1948 s’est fadé la mise en place du réseau et des outils informatique dans sa boîte. Il s’est mangé pas mal d’autoexec.bat et a des souvenirs douloureux d’Unix (si bien qu’il n’a pour l’instant pas voulu passer à Linux) ; il sait aller voir comment marche une machine mais les lignes de codes ça n’a jamais été son truc.
Pour les enfants nés après 1990, les ordinateurs démarraient tout seuls sur une interface graphique et l’accès à du code n’est pas si évidente (pour en voir, il faut le chercher car tout peut se faire en mode graphique).

Tout cela pour dire qu’une seule génération a été confrontée au code pour faire fonctionner des appareils, les plus vieux n’ont pas été éduqués à s’y frotter et les plus jeunes n’y verront pas l’intérêt puisque tout fonctionne sans que l’on ait besoin d’aller voir comment ça marche.

Bien sûr, je généralise un peu, je suis sûr que des papys codeurs existent et que nous verront encore des petits génies de l’informatique mais ce que je veux dire, c’est que personne d’autres que cette génération n’aura été plongé dans le bain sans avoir à devenir développeur.
Quelques exemples :

Tout ça pour dire que, pour ceux qui ont voulu s’intéresser à la technologie, il a toujours fallu baigner dans le code, les autres ne s’y sont pas intéressé ou ont décroché en faisant confiance à ceux qui savaient. Maintenant, tout le monde se jette sur les smartphones et tablettes et n’a plus besoin de savoir ce qui se cache dessous puisque ça marche juste en appuyant sur un bouton.
Je ne veux pas dire que c’était l’âge d’or car la vie est bien plus facile lorsqu’il n’y a pas besoin de taper startx et se taper le montage de tous les périphériques à la main. Ce que j’essaie d’exprimer, c’est que notre génération est la seule qui aura eu la capacité de s’immerger dans la technologie pour la faire fonctionner et qu’il va falloir sacrément bien faire comprendre à nos enfants que s’ils ne veulent pas se faire contrôler par les machines et ceux qui les commandent, il va falloir apprendre à mettre les mains dans le cambouis.

Malgré tout, il y a toujours de l’espoir car des bidouilleurs ont toujours existé, que ce soit avec de la mécanique, de l’électronique, de l’informatique, ... et que c’est grâce à eux que la technique est rendu au service de l’homme et non l’inverse.

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Jonathan Le Lous : L' Open data vu du Cloud computing : une architecture comme une autre ?

lundi 9 décembre 2013 à 17:53

Voici ma présentation lors du petit déjeuner "De l'Open Data à l'Open Cloud !" du 9 décembre 2013 en compagnie de Romain Lalanne, Responsable SNCF Open Data, et de Benjamin Jean, Inno3.

La présentation se démarque de l'approche commerciale cloud computing public, privé et hybride (dont on nous rebat les oreilles) par une autre axée sur les besoins en terme d'utilisation. En effet comme je le publiai dans ce post "Cloud privé , public, hybride etc : et si la vérité était ailleurs Mr Gartner ?", l'approche produit proposé initialement par Gartner a eu pour avantage majeur d'initier un marché à l'époque inexistant mais aujourd'hui souffre d'un maque de réalisme sur l'utilisation concrète du Cloud en entreprise.

Cloud computing open data Ma présentation est ici !

Pour ma part je préfère utiliser les notions de cloud variable (ou à pics d'activité) ou de cloud linéaire (à évolution constante) on peut sans doute améliorer avec des termes plus pertinent mais l'essentiel est là: l'utilisation de l'infrastructure (oui oui c'est de cela dont on parle ) est-elle constante ou alors subit-elle des fluctuations ? Ce n'est pas anodin car les choix technologiques ne vont pas être les mêmes. En effet OpenStack sera particulièrement adapté à un usage Cloud variable alors qu'une solution comme oVirt correspondra mieux à un cloud linéaire (ne compter pas sur moi pour faire de la pub aux solutions propriétaires ;-) ).

Il est aussi important de rappeler que le cloud c'est aussi, et même surtout, une opportunité de passer à l'approche DevOps qui consiste à faire travailler plus étroitement les développeurs (d'application ou web) avec les administrateurs (Architecte et DBA) et d'améliorer ainsi l'agilité globale du projet ! DevOps

En ce qui concerne l'Open Data les différents principes se concentreront sur la partie gestion des données et la flexibilité que l'on souhaite avoir. Au simple traditionnel backup, on ajoutera la possibilité de découper et de redonder les données afin de les rendre plus scalable et hautement disponible grâce à des solutions comme Ceph. Le cas échéant il faudra aussi choisir pour une infrastructure qui prend en charge, ou non, les pics d'activités notamment en fonction de la saisonnalité des données, de leur quantité et de la possibilité de télécharger celles-ci. Bref beaucoup d'éléments qui ne différencient en rien l'open data d'un autre type d'architecture. D'autres sujets sont aussi important comme la nature des bases de données et le choix entre SQL et NoSQL...Mais là je risque de dire encore plus de bêtises ;-)Flexibilité des données

En conclusion la réalité est comme d'habitude mixte, elle sera un mélange de SQL, NoSQL, de redondance, de cloud variable ou linéaire en fonction de la nature des besoins des utilisateurs !

Je vous invite à me faire part de votre point de vue et critiquer ce post !

A bientôt,

Jonathan

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mozillaZine-fr : Firefox dépasse Internet Explorer en France, selon le JDN

lundi 9 décembre 2013 à 15:35

Selon le Journal du Net, Internet Explorer a été « rattrapé par Firefox et presque par Safari » au mois de novembre, en France. Rappelons que cela semblait totalement futuriste il y a presque 10 ans quand Firefox a été lancé. À cette époque, IE était considéré comme « le seul et unique navigateur » par de nombreux DSI. Revers de la médaille : si Firefox dépasse IE, c’est en partie grâce à l’ascension fulgurante de Chrome. D’un côté, on peut donc sourire de voir Firefox prendre une revanche sur son vieux rival. De l’autre, en forçant un peu le trait, on a l’impression qu’on passe d’un monopole à un autre. Et Firefox, dans tout ça ? Il résiste… Mais il ne s’agit pas de s’endormir. Fans de Firefox, faites du bruit ! Continuez de convaincre autour de vous que seul Firefox porte en lui les valeurs d’un Web vraiment libre, et souhaitons nous retrouver l’an prochain avec une courbe qui remonte pour fêter les 10 ans !

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Nicolas Lœuillet : De retour à Dotclear pour mon blog

lundi 9 décembre 2013 à 15:28

Après quelques semaines à utiliser pelican pour ce blog (au moment où je pensais coder poche v2 en python en fait), me revoici à utiliser Dotclear.

+ simple, + souple que pelican, surtout en mobilité ou dans le canapé.

Question design, pas de changement, j'ai adapté pure (reste quelques coups de pinceaux ça et là à passer, comme la page des catégories, ou la page d'accueil lorsqu'il y a la pagination).

Je vais p'tet pouvoir me remettre à écrire par ici. En tout cas, vous pouvez aussi me trouver sur bookmarks.cdetc.fr où je partage des liens + ou - intéressants.

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