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Martin T. : StatusNet vs Twitter, quelques statistiques personnelles

jeudi 3 janvier 2013 à 12:15

On considère souvent que StatusNet est un échec. Communauté trop petite, peu d’interaction, plateforme non agréable,… On voit de nombreuses personnes abandonner leur instance, @clochix étant le dernier à déclarer son intention de quitter StatusNet. Et pourtant Twitter est loin de faire des heureux, la version 1.1 de son API entrant en activité le mois prochain, de nombreux clients devraient fermer, ne respectant plus les nouvelles conditions draconiennes (nombre d’appel vers l’API fortement réduit ou interdiction de mixer les flux de Twitter et un autre réseau social par exemple). Il semblerait logique de déménager vers des cieux plus libres et cléments et pourtant… J’avais eu il y a quelques mois une réflexion concernant app.net, clone payant de Twitter, comme étant une réponse surprenante et assez déprimante (l’aspect libre n’intéresserait-il pas grand monde ?). J’ai personnellement créé un compte StatusNet sur une instance perso (mart@dotzero.me) début 2012. Après un an d’utilisation (et comme il est de bon gout de faire des récapitulatifs à la nouvelle année), voici quelques stats personnelles de mon utilisation des deux réseaux.

J’ai fait un script python pour récupérer ses stats (digression: c’est vraiment pas pratique à utiliser les API OAuth) et ai réussi avec, pas mal de difficultés avouons le, a récupérer quelques chiffres. J’aurais voulu obtenir quelques statistiques supplémentaires comme le nombre de messages favoris, répétés etc. mais l’API StatusNet ne le permet pas. Le nombre de personne suivie est également un peu faussé car est le total, pas spécifiquement pour 2012 (pas trouvé comment filtrer cette info sur aucun des deux réseaux). J’aurais aimé connaitre le nombre de personnes présentes sur les deux réseaux mais cela nécessiterait un passage en revue manuel des deux listes (peut être plus tard). Donc sur l’année 2012 nous avons eu :

Status postés : 1174 StatusNet, 796 Twitter
…dont sont des répétitions (aka RT) : 112 StatusNet, 205 Twitter
Mentions directes : 591 StatusNet, 90 Twitter
Nombre de personnes suivies : 98 StatusNet, 203 Twitter
Nombre de personnes me suivant : 67 StatusNet, 49 Twitter
…dont suivi réciproque : 45 StatusNet, 28 Twitter

dancing

Moi à chaque alerte d’un nouveau follower

Le seul point où Twitter fait vraiment mieux que StatusNet chez moi est le nombre de personnes que je suis. On peut expliquer cela par :

Par contre, il n’y a pas photo, je poste plus et il y a plus d’interaction sur StatusNet que sur Twitter. J’ai plus souvent tendance à avoir une discussion de quelques status avec des gens sur StatusNet (cela peut sans doute s’expliquer à la limite de 140 caractères sur Twitter que j’ai augmenter à 256 sur StatusNet). Le taux de suiveurs réciproques (personnes que je suis et qui me suivent) est beaucoup plus faible sur Twitter. Je vois plusieurs explications :

Le nombre de répétition de status supérieur sur Twitter peut s »expliquer par le fait que j’aurai plus tendance à répéter un message d’une société, organisation ou personnalité qui sont plus présents sur Twitter.

Le troisième point soulève quand même un problème : StatusNet est une communauté peuplée principalement de geeks et libristes quand Twitter est plus généraliste. @Lydie_F a mentionné hier sur Twitter que 75% des chefs d’Etat disposent d’un compte Twitter. Combien possède un compte StatusNet ? Sans doute zéro. Combien savent ce qu’est StatusNet ? Sans doute zéro également. StatusNet n’arrive toujours pas à capter le grand public.

Évidement ceci n’est que mon expérience personnelle, d’autres auront surement des retours différents. Mes sujets de conversations sont sans doute plus orientés geek-libriste mais l’expérience StatusNet est une réussite pour moi. A l’heure actuelle, je ne pense pas supprimer un compte sur aucun des deux réseaux en raison de leur utilisation différente que j’en fais. Twitter reste plus orienté actualité/découverte de nouvelles choses tandis que StatusNet a plus un aspect communautaire. Si Twitter venait à m’obliger d’utiliser son site internet, il se pourrait cependant que je ferme mon compte sur ce dernier mais c’est clairement se couper un public différent (il reste des personnes avec qui j’ai envie de continuer à avoir un contact). Attendons de voir comment vont évoluer ces réseaux, tout cela sera surement fort différent dans un an, il ne s’agira sans doute même plus des même réseaux (pump ?).

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K-Tux : iperf: diagnostic de bandwidth

jeudi 3 janvier 2013 à 10:59
Bonjour à tous et avant toute chose Bonne Année 2013 ! Aujourd'hui, je vous propose un petit rappel sur un outil incontournable et pourtant facilement occulté par d'autres s'appuyant sur des GUI. Iperf est un outil de diagnostic de performance et de qualité de la bande passante entre 2 hosts. Ayant prouvé son utilité, il est le plus souvent présent sur les dépôts officiels des distributions et s'utilise en ligne de commande.

 Utilisation

Iperf offre plusieurs alternatives pour la mesure : port sur lequel opérer la mesure (par défaut le 5001 en TCP), TCP ou UDP, intervalle entre les requêtes, en ipv6 ou pas, bref un éventail satisfaisant d'option pour triturer convenablement le lien. Le fonctionnement de base s'appuie sur le dialogue entre 2 instances, une sur le noeud client et une sur le noeud serveur. Ici pour l'exemple, le client, c'est-à-dire celui qui initie la requête, sera lab-client, en 192.168.133.103/24. Le serveur, un autre noeud sur lequel on enverra les requêtes sera identifié en tant que lab-server, IP 192.168.133.101. On commence par démarrer iperf en mode foreground server sur lab-server, afin qu'il puisse ouvrir et écouter le port 5001, qui est celui utilisé par défaut. On peut choisir un autre port, il suffit de l'indiquer à iperf.
[root@lab-server~]# iperf -s
------------------------------------------------------------
Server listening on TCP port 5001
TCP window size: 85.3 KByte (default)
------------------------------------------------------------
Le service attend une requête. Pou rcela, il faut démarrer de manière similaire iperf sur lab-client afin qu'il requête lab-server en mode client sur le bon port :
root@lab-client:~# iperf -c lab-server
------------------------------------------------------------
Client connecting to lab-server, TCP port 5001
TCP window size: 16.0 KByte (default)
------------------------------------------------------------
[ 3] local 192.168.133.103 port 45579 connected with 192.168.133.101 port 5001
[ ID] Interval Transfer Bandwidth
[ 3] 0.0-10.0 sec 114 MBytes 94.9 Mbits/sec
L'échange est fait et les statistiques sont visibles sur lab-client. Sur lab-server, les informations tombent dès la connexion de lab-client :
[root@lab-server~]# iperf -s
------------------------------------------------------------
Server listening on TCP port 5001
TCP window size: 85.3 KByte (default)
------------------------------------------------------------

[ 4] local 192.168.133.101 port 5001 connected with 192.168.133.103 port 45579
[ ID] Interval Transfer Bandwidth
[ 4] 0.0-10.1 sec 114 MBytes 93.9 Mbits/sec
Dans le principe, si le port sur lequel on veut taper est écouter il n'y as pas besoin de lancer iperf en mode client sur la target, on aura quand même nos statistiques.
root@lab-client:~# iperf -f M -m -c lab-server -p 22
------------------------------------------------------------
Client connecting to lab-server, TCP port 22
TCP window size: 0.02 MByte (default)
------------------------------------------------------------
[ 3] local 192.168.133.103 port 37228 connected with 192.168.133.101 port 22
[ ID] Interval Transfer Bandwidth
[ 3] 0.0-10.0 sec 17592186044377 MBytes 1759212799036 MBytes/sec
[ 3] MSS size 1448 bytes (MTU 1500 bytes, ethernet)
Le --help renvoie un listing complet et succinct des options à votre disposition si vous voulez jouer davantage.
[root@lab-client ~]# iperf --help
Usage: iperf [-s|-c host] [options]
iperf [-h|--help] [-v|--version]

Client/Server:
-f, --format [kmKM] format to report: Kbits, Mbits, KBytes, MBytes
-i, --interval # seconds between periodic bandwidth reports
-l, --len #[KM] length of buffer to read or write (default 8 KB)
-m, --print_mss print TCP maximum segment size (MTU - TCP/IP header)
-o, --output  output the report or error message to this specified file
-p, --port # server port to listen on/connect to
-u, --udp use UDP rather than TCP
-w, --window #[KM] TCP window size (socket buffer size)
-B, --bind  bind to , an interface or multicast address
-C, --compatibility for use with older versions does not sent extra msgs
-M, --mss # set TCP maximum segment size (MTU - 40 bytes)
-N, --nodelay set TCP no delay, disabling Nagle's Algorithm
-V, --IPv6Version Set the domain to IPv6

Server specific:
-s, --server run in server mode
-U, --single_udp run in single threaded UDP mode
-D, --daemon run the server as a daemon

Client specific:
-b, --bandwidth #[KM] for UDP, bandwidth to send at in bits/sec
(default 1 Mbit/sec, implies -u)
-c, --client  run in client mode, connecting to 
-d, --dualtest Do a bidirectional test simultaneously
-n, --num #[KM] number of bytes to transmit (instead of -t)
-r, --tradeoff Do a bidirectional test individually
-t, --time # time in seconds to transmit for (default 10 secs)
-F, --fileinput  input the data to be transmitted from a file
-I, --stdin input the data to be transmitted from stdin
-L, --listenport # port to receive bidirectional tests back on
-P, --parallel # number of parallel client threads to run
-T, --ttl # time-to-live, for multicast (default 1)
-Z, --linux-congestion  set TCP congestion control algorithm (Linux only)

Miscellaneous:
-x, --reportexclude [CDMSV] exclude C(connection) D(data) M(multicast) S(settings) V(server) reports
-y, --reportstyle C report as a Comma-Separated Values
-h, --help print this message and quit
-v, --version print version information and quit

[KM] Indicates options that support a K or M suffix for kilo- or mega-

The TCP window size option can be set by the environment variable
TCP_WINDOW_SIZE. Most other options can be set by an environment variable
IPERF_, such as IPERF_BANDWIDTH.

Report bugs to 

Conclusion

Iperf est un outil indispensable et démontre son utilité dans tous les cas, que cela soit dans une optique de troubleshooting ou bien d'évolution d'infrastructure.

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Tasse de Café : Le jour où on m’a demandé de supprimer un article

jeudi 3 janvier 2013 à 10:00

Le 5 octobre dernier, j’ai présenté sur ce blog une police de caractères open source : Open Dyslexic, une police qui, comme son nom l’indique, a été créé dans le but d’aider les personnes atteintes de dyslexie. Ceux qui lisent régulièrement ce blog savent que j’aime parfois présenter des services, des outils utiles (ou pas) et de préférence libres ou au moins open-source. Open Dyslexic rentre dans cette catégorie et c’est donc tout naturellement que j’ai décidé de présenter cette police après en avoir entendu parler.

Article sur Open Dyslexic

Jusque-là l’histoire n’est pas très passionnante, mais il fallait poser le décor. Et c’est le vendredi 21 décembre dernier que j’ai reçu un mail qui provenait de l’entreprise AuxiliDys qui s’est présentée comme étant l’unique distributeur (dans les pays francophones) de la police de caractères Dyslexie créée par Christian Boer. Cette police, qui partage le même but que Open Dyslexic, à savoir aider les dyslexiques, n’est pas, contrairement à elle, open source et est soumise au droit d’auteur.

Et c’est là que ça se gâte. Selon AuxiliDys, la police Open Dyslexic porte atteinte aux droits d’auteur de la police Dyslexie, ce qui fait que, du coup, nous n’avons ni le droit de la distribuer, ni le droit d’inciter à l’utiliser. Ces raisons ont donc amené AuxiliDys à me contacter pour demander le retrait de mon article concernant Open Dyslexic et l’écriture d’un article présentant la police Dyslexie. Ne savant trop que faire, j’ai supprimé temporairement l’article en attendant d’avoir plus de détails et ai contacté le Planet-Libre sur lequel mon article a également été diffusé.

C’est donc Valentin Villenave, modérateur sur le Planet-Libre, qui a été le premier à me répondre et à m’aider en me conseillant et surtout en me rassurant (parce que, mine de rien, c’est la première fois et ça fait quelque chose sur le coup). C’est grâce à Valentin que j’ai pu avoir un premier avis sur la question : l’atteinte aux droits d’auteur n’est pas prouvée et rien ne m’interdit de parler d’Open Dyslexic, un avis que j’ai donc transmis à AuxiliDys en demandant par la même occasion des preuves possédant une valeur juridique.

La réponse est venu le lundi 24 décembre dernier, une réponse qui ne contenait donc aucune des preuves demandées mais plutôt une lettre qui ne faisait que répéter les demandes déjà faites. J’ai donc, toujours sur les conseils de Valentin, contacté l’April et Framasoft afin de leur demander conseil également. Les réponses sont donc arrivées dont celle de Benjamin Jean qui m’a donné plus de précisions.

Il apparaît donc que cette situation soit en fait une intimidation pure et simple sans aucun fondement juridique. La police Open Dyslexic n’a rien d’illégal : elle ne se base absolument pas sur Dyslexie mais sur Bitstream Vera Sans qui est une police libre. De plus, même s’il y avait effectivement contrefaçon, rien n’interdit de parler de la police en question. J’ai donc remis mon article en ligne et prévenu AuxiliDys dont je n’ai depuis et pour le moment plus de nouvelles.

Bref, je jugeais intéressant de vous faire part de toute cette histoire, rien que pour expliquer la disparition soudaine d’un article (même s’il est revenu). Pour finir, je tiens donc à remercier tous ceux qui m’ont aidé et que j’ai cité dans cet article.

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Tasse de Café : Quelques publicités créées avec Blender

jeudi 3 janvier 2013 à 09:00

Blender est un logiciel pouvant permettre beaucoup de choses et si c’est ce que des projets comme Elephants Dream, Big Buck Bunny, Sintel ou, plus récemment, Tears of Steel, cherchent à prouver, certains pourraient penser que le logiciel n’est prêt à être utilisé dans le milieu professionnel. Vous vous en doutez à la vue de cet article : ces gens se trompent et quelques studios font déjà suffisamment confiance au logiciel libre pour l’utiliser dans leurs commandes.

Une publicité réalisée avec Blender

C’est Libre Graphics World qui s’est occupé de lister quelques-unes de ces publicités créées grâce à Blender, certaines complètement, d’autres non. Vous allez voir que, quoiqu’on en dise, la différence de qualité d’image entre ces publicités et d’autres créées avec des logiciels propriétaires est inexistante (si on reste dans le même type d’image évidemment). Et si vous pensiez que les publicités faites avec Blender ne pouvaient pas vanter de grandes marques, détrompez-vous car on commence avec une publicité pour Hugo Boss et plus particulièrement pour leur boutique de Londres. Blender y a été utilisé pour créer les simulations de fluides et d’océans.

On continue dans la réalité, mais une réalité légèrement altérée avec une publicité pour une boisson russe. La publicité qui suit celle-ci a subi elle aussi une altération de la réalité mais sévère ce coup-ci… enfin sévère surtout pour l’acteur qui devient un véritable poisson rouge.

Les projets dont on parlait au début de cet article (Big Buck Bunny et tout ça si vous avez déjà oublié) ont montré que Blender se débrouille très bien dans le domaine des films d’animation et justement les trois publicités qui suivent sont entièrement animées et créées avec Blender.

On finira par une dernière publicité, pour IBS celle-ci, qui possède une petite particularité bien sympathique : elle est le résultat de l’alliance de Blender, Gimp et Inkscape, une belle brochette pour un résultat plutôt sympathique.

Ce ne sont là que des exemples de ce que peut faire Blender mais ces publicités sont une nouvelle preuve que le logiciel libre s’installe de plus en plus dans le monde professionnel (il était temps).

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Articles similaires

Tasse de Café : Les nouveautés de Piwik 1.10

jeudi 3 janvier 2013 à 08:00

La version 1.9 de Piwik est sortie en octobre dernier et la version 1.10 de l’outil de web analytique est déjà pour bientôt. Comme pour beaucoup de logiciels, nous savons déjà à quoi nous attendre et nous avons quelques captures d’écran de nouvelles fonctionnalités qui seront présentes dans Piwik 1.10. Et tandis que la version 1.9 apportait son lot de nouveautés, cette dernière mouture n’est pas moins intéressante !

Les annotations dans Piwik

Nous commençons donc avec Annotations, une fonction qui va nous permettre d’ajouter des… annotations (comme quoi le sens du suspense, on l’a ou on l’a pas). Ces annotations sont en fait des petites notes que vous créez vous-même à des dates bien spécifiques. Ces textes que vous ajoutez pourront par exemple servir à marquer la date à laquelle vous avez changé le design de votre site ou bien celle à laquelle un nouveau rédacteur est arrivé sur votre blog.

Les possibilités sont nombreuses et, quoi que vous en fassiez, les annotations devraient s’avérer bien utiles pour visualiser en situation réelle l’impact des nouveautés que vous ajoutez à votre site. Et si vous aviez envie d’automatiser la chose… C’est vrai, vous avez peut-être un certain type d’événement qui se produit souvent et que vous aimeriez annoter à chaque fois et s’il se produit vraiment souvent cela peut s’avérer fastidieux. C’est pourquoi il sera possible d’automatiser l’ajout d’annotations grâce à l’API de Piwik qui permettra d’en ajouter mais aussi d’en modifier ou encore d’en supprimer.

Page Overlay

Page Overlay maintenant. C’est une nouvelle fonctionnalité qui devrait elle aussi plaire à pas mal de monde étant donné qu’elle permettra de voir directement sur votre site les données recueillies par Piwik. L’accès à Page Overlay se fera via une icône présente sur chaque rapport de page et qui vous amènera sur la page en question, une page modifiée pour afficher les données en question grâce à des petites bulles. Sur la capture visible ici, nous pouvons donc voir le pourcentage de clics sur un même lien (et si vous vous demandez comment on peut avoir plusieurs « 80%« , c’est parce que ces liens pointent tous vers la même page).

GeoIP a été amélioré : la fonctionnalité est intégrée nativement à Piwik depuis la version 1.9 et vous permet de savoir d’où viennent vos visiteurs exactement, une information qui se base sur des données présentes sur votre base de données qui doit être mise à jour régulièrement pour que les informations délivrées restent exactes. Cette mise à jour n’est actuellement pas automatique et la chose est donc assez lourde… Mais c’est fini avec la version 1.10 qui vous permettra d’automatiser la chose.

Les réseaux sociaux dans Piwik

Enfin, les référents intégreront un nouveau type : les réseaux sociaux. Ce type de site est devenu quasiment inévitable et il nous sera désormais possible de voir plus clairement de quel réseau viennent nos visiteurs.

Via GeekMonkey (d’où viennent également les captures présentes dans cet article)

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