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citizenz7 : Feren OS : la distribution Gnu/Linux qui va vous faire quitter Windows

samedi 20 mai 2017 à 09:37

Feren OS est une distribution Gnu/Linux de type "desktop" basée sur Linux Mint.
Feren OS est livré avec l'environnement de bureau Cinnamon et comprend la couche de compatibilité WINE pour l'exécution des applications Windows. La distribution est également livrée avec WPS (traitement de texte, tableur, ... compatible avec Microsoft Office) et le navigateur Web Vivaldi.

Feren OS est une distribution Linux esthétiquement sympa et bien fournie en applications (c'est le moins qu'on puisse dire) et qui se positionne comme un remplaçant idéal pour Microsoft Windows ou MacOS.
En fait, Feren OS est ... "impressionnant" et pourrait bien séduire nombre d'utilisateurs, y compris les linuxiens.

A mon sens, le seul inconvénient de cette distrib est qu'on ne choisit pas son environnement de bureau : c'est Cinnamon. Point barre.
Evidemment vous aurez le choix par la suite d'installer un autre environnement de bureau... mais encore faut-il savoir le faire...

Feren OS est également très facile à installer. Quelques étapes suffisent à faire tourner la distrib... Cela la rend adaptée à ceux qui migrent vers Linux ou du moins vers ce système d'exploitation.
Feren OS propose une bonne liste d'applications dans tous les domaines. La distrib dispose de plusieurs lanceurs spécialisés pour installer et configurer des applications en un seul clic de souris.

Feren OS 2017.0 "Murdock" a été publié ce mois-ci. Elle est basée sur l'édition Linux Mint (donc ... Ubuntu).
Feren est un nouvel arrivant sur le terrain des distributions Gnu/Linux, apparu fin de 2015. Depuis, Feren OS a acquis une maturité importante.
On pourrait même dire que cette distribution possède sa personnalité propre, plutôt agréable dans l'ensemble et donc vous n'aurez pas l'impression d'utiliser un énième clone de Mint.
La personnalisation l'environnement de bureau Cinnamon lui confère une atmosphère vraiment atypique, vraiment différente de celle de Linux Mint Cinnamon.

Feren OS est directement utilisable après l'installation - mais il y a un Hic ! Il va vous falloir un bon PC, c'est à dire assez costaud en RAM, CPU et carte graphique (compter 8 Go de RAM pour être tranquille. Sous Virtualbox, lors de mes tests, je dépassais les 6 Go de RAM). Vous aurez également besoin d'au moins 20 Go d'espace disque dur pour l'installation. 8 Go de RAM ne seront pas superflus pour faire tourner l'ensemble de manière fluide.

Déjà, le fichier ISO est d'une bonne taille (3,6 Go). Pas vraiment plus que la normale comparé aux autres distrib "tout compris", mais il va falloir vous armer de patience si vous avez une connexion "standard".

Feren OS est complet (drivers, applications pour tous types de travaux, etc.). Cela en fait une plate-forme très intéressante.
On pourrait dire que Feren OS est une distribution "de transition" depuis Windows 10 (Win 7, ...). WINE vient compléter les atouts de cette distrib permettant l'exécution d'applications Windows.

Comme vu plus haut, la distribution est livrée avec WPS (suite office). Elle propose également Vivaldi par défaut (navigateur) mais vous pouvez utiliser l'outil Zorein Web Browser Manager pour désinstaller facilement le navigateur Vivaldi et le compléter ou le remplacer par plusieurs autres navigateurs.
Zorein Web Browser Manager parait très utile pour les utilisateurs inexpérimentés de trouver. Il évite de mettre les mains dans le Software Center, Synaptic Package Manager ou de faire le boulot manuellement... PlayOnLinux et Steam vous attendent également dans le menu.

Et là on découvre que Zorin Linux a constitué une base solide pour cette distrib. De plusieurs façons, Feren OS est plus proche de Zorin Linux que de Linux Mint. Feren OS n'est pas une copie de Zorin non plus. Zorin exécute le Zorin Desktop 2.0, une intégration interne du shell GNOME. L'apparence de GNOME 3 est loin de l'apparence de Cinnamon dans Feren OS.

Si vous n'êtes pas familier avec le bureau Cinnamon (c'est mon cas : j'utilise XFCE), vous ne devriez pas avoir beaucoup de mal à vous y retrouver. Le bureau Cinnamon est facile à utiliser, en particulier grâce à toutes les fonctionnalités personnalisées ajoutées par le développeur de Feren OS.

C'est assez sympa (en ce qui me concerne) d'avoir accès au "Themer" de Feren OS (icone sur le bureau). Vous pouvez passer d'un look windows 10 à windows 3.1 (!), d'un traditionnel Numix à Chrome OS ou même Mac OS. La distribution télécharge les icones "qui vont bien" juste après l'installation, au premier démarrage.

Bref, Feren OS n'est pas une révolution en soit mais peut permettre à pas mal de monde de franchir le pas de Windows vers Gnu/Linux.

J'ai eu oui dire que ces derniers temps avec le virus Wanacrypt, pas mal de monde voulait changer de crèmerie (j'ai déjà 2 demandes dans ma famille).

Merci Wanacrypt ???

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Okki : En bref : HiDPI, documentation et Builder

samedi 20 mai 2017 à 07:47

Endless OS, le système basé sur GNOME aussi simple qu’Android, a réussi à créer un Flatpak fonctionnel de Steam, désormais proposé dans leur logithèque. Vivement l’ouverture du Flathub tant attendu pour qu’on puisse centraliser tous les Flatpak.

Jusqu’à présent, les possesseurs d’un écran HiDPI étaient limités à une mise à l’échelle de 1:1 ou 2:1 et ne pouvaient rien choisir entre les deux. Dans un billet de blog, Matthias Clasen annonce la prochaine prise en charge des mises à l’échelle fractionnées (qui arriveront sans doute pour GNOME 3.26), ainsi que l’organisation d’un hackfest (sponsorisé par Canonical) qui aura lieu à Taipei début juin.

L’équipe en charge de la documentation annonce elle aussi l’organisation d’un hackfest, qui se tiendra du 14 au 16 août à Cincinnati. Fait intéressant, depuis l’annonce d’Ubuntu d’abandonner Unity au profit de GNOME, ils auraient d’ores et déjà constaté une augmentation du nombre de contributions en provenance d’Ubuntu.

Christian Hergert vient d’annoncer dans un billet de blog certaines des nouveautés à venir dans Builder, l’environnement de développement du projet GNOME. Des améliorations notables ont été apportées au moteur qui gère les différents panneaux qui composent l’interface, étape nécessaire à l’implémentation de futures fonctionnalités. Un nouveau système de raccourcis clavier offrant bien plus de possibilités (thèmes clavier, remplacements personnalisés…) a également été implémenté. Mais le gros morceau, c’est surtout l’arrivée du débogueur.

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Mathieu Ignacio : Pelican : installer des thèmes et des commentaires Disqus

samedi 20 mai 2017 à 00:00

Alors vous allez me dire que vous n'avez pas vu passer d'article sur l'installation et la configuration de Pelican, et c'est normal puisque je n'ai pas encore écrit un tel article. Mais il se trouve que j'ai installé un système de commentaire Disqus sur ce blog et que j'ai préféré en faire un article tant que c'était encore frais. Dans la foulée, je me suis également occupé des thèmes, je vous ai mis cela dans la même fournée.

Note de version : Je suis sur une debian 8 et la version de pelican utilisée est la 3.4

Les thèmes

Installer et utiliser les thèmes pelican ce n'est pas très compliqué... quand on trouve la bonne info. Tout d'abord nous allons installer les thèmes Pelican sur le poste de travail à partir de github. Pour info, cela fait 320Mo. Avec la commande suivante les thèmes seront copiés dans votre répertoire utilisateur dans le sous-répertoire "pelican-themes" :

git clone --recursive https://github.com/getpelican/pelican-themes/ ~/pelican-themes/

Ensuite, vous allez vous balader sur le site PelicanTheme pour voir les thèmes en action. Une fois le thème voulu choisi, il vous faut éditer votre fichier de configuration pelicanconf.py afin d'y ajouter la variable THEME comme ceci :

THEME="/home/matou/pelican-themes/blueidea/"

Ici "blueidea" est le nom du thème choisi sur ce blog. Dans le répertoire défini ci-dessus doivent normalement se trouver deux répertoires : static et template. Je vous précise cela car certains thèmes sont parfois placés différement et vous aurez besoin de chercher un peu. Par exemple pour "alchemy" le chemin est en fait "alchemy/alchemy".

Une fois le thème choisi il vous faut regénérer le site et le tester :

make html
make devserver

La commande make devserver démarre un mini serveur web sur votre poste de travail afin que vous puisser consulter une version locale de votre site web via l'url http://localhost:8000/. Une fois satisfait vous pouvez arrêter le serveur et diffuser le site web (ici en ssh) avec la commande :

make stopserver
make ssh_upload

Les commentaires Disqus

Si le thème choisi sait gérer Disqus, alors cela sera extrèmement simple. Sinon, il vous faudra chercher ou changer de thème :) Je pourrais vous dire que je compte faire un article dessus, mais si le jour ou je me mets à faire mon propre thème je n'utilise déjà plus Disqus, vous allez attendre longtemps...

Alors pour Disqus il vous faut tout d'abord aller vous créer un compte sur leur site puis sélectionner la création de discussion pour un blog. Je ne vous ferai pas le service après-vente de Disqus, mais il faut bien que vous renseigniez le "WebSite Name" et le "WebSite URL". Pour le mien j'ai mis "matoublog" et mon url de base.

Une fois cela fait, il faut éditer le fichier pelcanconf.py et ajouter la variable suivante :

DISQUS_SITENAME = 'matoublog'

Remplacez bien évidemment "matoublog" par votre propre "WebSite Name". Après cela regénérez et republiez votre site pour vérifier le résultat. Et c'est tout.

Note : N'essayez pas de visualiser la partie commentaire localement avec un "make devserver" cela ne fonctionne pas.

Notes à propos de Disqus

Je n'apprécie pas les services en ligne dit "sociaux" car ils sont peu soucieux (c'est peu de le dire) de notre vie privée. Je fais donc une exception que j'espère très temporaire le temps de trouver une alternative communautaire.

J'avais dans un premier temps pensé aux frama-trucs, mais ils n'ont pas d'outil pour répondre à ce besoin. J'ai également regardé sur planet-libre voir s'il était possible de profiter des commentaires liés aux articles partagés... mais il n'y a pas de système de commentaire, juste de notation (poisson rouge inside). En voyant passer un de mes articles sur le journal du hacker j'ai vu qu'il y avait un système de commentaire, mais j'apprécierai avoir un système de commentaire pour l'ensemble de mes articles et pas uniquement sur ceux sélectionnés sur le journal ;)

Donc si vous avez connaissance d'un système de commentaire communautaire, ou bien d'une initiative qui va dans ce sens, n'hésitez-pas à commenter !

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Cenwen : Nouvelle version Openshot QT 2.3.3

vendredi 19 mai 2017 à 19:55

Cette version fait suite à la version de correction de bogues 2.3.2, publiée il y a quelques jours (8 jours). Elle introduit un nouveau site web et de grosses corrections afin d’améliorer la stabilité à la fois pour Openshot et pour libopenshot.

Survolons tout ceci tout de suite. Et c’est parti.

Nouveau site Web:

Il devient plus rapide et responsive (cad adapté à tous les types de matériels utilisé que ce soit un pc, portable, tablette, mobile).

Démarrer le mois dernier, il est construit sur le trio Python/Django/PostgreSQL et tourne sur Amazon EC2. Je n’ai pas encore vérifié mais j’espère qu’il a utilisé la dernière version de Django, à savoir la 1.11 qui est une LTS pour 3 ans. !!!!! Cela lui donnera plus de temps pour se consacrer à Openshot. La migration de toutes les petites fonctions (intégration de Playpal, Bitcoin, Patréon, Github, Slack, les donations, les contributions, et plus…) que je qualifie ainsi et la MAJ de l’interface du site (qui va avec) plus structurée prend pas mal de temps. C’est bien connu, les finitions prennent plus de temps que le gros œuvre. Bref, cela devenait un peu urgent de remettre de l’ordre dans tout ça.

 

Analyse en profondeur des erreurs:

Durant les 2 dernières semaines, Jonathan a regroupé toutes les erreurs reportées pour Openshot et libopenshot. Il a identifié un ensemble de 25 erreurs et crash et les a corrigés avec cette nouvelle version. Le graphique ci-dessous est un exemple/une partie de l’analyse qu’il a fait.

 

Détail du travail réalisé:

Comme d’habitude, l’accès à la version anglaise de cet article se trouve ici. Testez, amusez-vous, travaillez avec et si vous constatez quelque chose qui ne vas pas ou bien qui manque, n’hésitez pas à reporter sur Github. Et si le cœur vous en dis (et si vous avez aussi du temps libre), pourquoi ne pas aider plus le projet en contactant directement Jonathan. Et même si vous n’êtes pas un développeur.


Classé dans:Edition Vidéo, framework, Logiciels, Multimédia, News, OpenShot, Planet-Libre Tagged: Libopenshot, Logiciels, Multimédia, News, OpenShot, Python

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citizenz7 : [TUTO] Sauvegardes journalières et accès à distance sur votre serveur MySQL 

vendredi 19 mai 2017 à 15:00

Le défi est simple : sauvegarder de manière journalière sur un serveur A, une (ou plusieurs) base(s) MySQL située(s) sur un serveur B (distant).

Nous utiliserons l'utilitaire mysqldump.

Mysqldump : c'est quoi ?
Sources : https://dev.mysql.com/doc/refman/5.7/en/mysqldump.html
L'utilitaire client mysqldump effectue des sauvegardes logiques, produisant un ensemble d'instructions SQL qui peuvent être exécutées pour reproduire les définitions d'objets et les données de table d'origine de la base de données.
Il peut "sauvegarder" une ou plusieurs bases de données MySQL et les "transférer" vers un autre serveur SQL.
La commande mysqldump peut également générer des résultats dans CSV, d'autres textes délimités ou au format XML.

En gros, en utilisant la commande mysqldump avec certains arguments, on peut se connecter directement sur le serveur distant et rapatrier les bases voulues.

ETAPE 1 : PREPARATION
On va préparer le terrain sur le serveur distant où nous allons créer un utilisateur "spécial", chargé exclusivement des sauvegardes (pour ce cas précis).

Postulats de départ : 
- MySQL est installé et fonctionne sur vos deux serveurs
- phpmyadmin est installé et focntionnel sur votre serveur distant
On travaillera donc avec phpMyadmin plutôt qu'en ligne de commande.

Création d'un "remote-user" :

  1. Se connecter sur phpMyadmin
  2. Aller sur Utilisateurs puis Ajouter utilisateur
  3. Création d'un utilisateur : choisissez un nom (Exemple : remote-user)
  4. Client : choisissez "tout client" ou symbole %
  5. Entrez un mot de passe (solide si possible !)
  6. Privilèges globaux : cochez la case "tout cocher"
  7. Validez

Vous aurez ainsi un utilisateur qui s'appellera "remote-user" avec des privilèges sur tout le serveur / toutes les bases.

ETAPE 2 : CONFIGURATION
On va configurer MySQL pour écouter sur l'adresse IP publique :

  1. Ouvrez /etc/mysql/my.cf
  2. Commentez la ligne bind-address 127.0.0.1 (en ajoutant un # devant, soit : #bind-address 127.0.0.1)
  3. Ajoutez juste en-dessous : bind-address xx.xx.xx.xx (xx.xx.xx.xx étant l'adresse IP publique de votre serveur)
  4. Sauvegardez
  5. Relancez MySQL : /etc/init.d/mysql restart

Désormais vous pourrez vous connecter "à distance" sur le serveur MySQL.

/!\\ : Si vous avez un firewall, pensez à ouvrir le port 3306 sur le serveur distant !

ETAPE 3 : SYNTAXE
Pour faire une sauvegarde journalière des bases MySQL du serveur distant avec la date et l'heure de sauvegarde (soyons fous !), nous allons utiliser mysqldump avec certaines options :
- h : hote distant (ou adresse IP)
- u : utilisateur distant ("remote-user" dans notre exemple)
- p : mot de passe de l'utilisateur distant créé à l'étape 1

Ce qui donne la commande complète suivante :

/usr/bin/mysqldump -h mon.serveur-distant.com -u remote-user -p'MonMotDePasse' ma-base-mysql > /home/moi/backup/mabase-`date +%Y%m%d`-`date +%H%M`.sql

/!\\ : Il n'y a pas d'espace entre -p et le mot de passe qui se trouve entre les guillemets simples : c'est normal !
Evitez donc d'utiliser un mot de passe qui possède des guillemets simples. Perso, j'ai galéré à en devenir chèvre à cause de ce... détail.

ETAPE 4 : AUTOMATISER LA TACHE AVEC CRON
On va utiliser Cron pour une sauvegarde journalière "automatique" :

  1. Tapez crontab -e
  2. On va y mettre la ligne suivante (bas de fichier) : @daily /usr/bin/mysqldump -h mon.serveur-distant.com -u remote-user -p'MonMotDePasseQuilEstBeau' ma-base-mysql > /home/moi/backup/mabase-`date +%Y%m%d`-`date +%H%M`.sql (c'est en gros la même commande que précisée plus haut avec l'option @daily qui précise à Cron de se déclencher chaque jour... à 00:00 en l'occurrence).
  3. Sauvegardez

ETAPE 5 (facultatif) : SUPPRIMER LES SAUVEGARDES VIEILLES DE 7 JOURS
Effacer automatiquement les sauvegardes vieilles de 7 jours (ou 15 jours, ou 4 jours, ... si vous voulez !) : ça permet de faire un peu de ménage dans les sauvegardes... et de s'y retrouver.
Vous pouvez aussi choisir de ne pas supprimer vos sauvegardes (là, il vaut mieux avoir suffisamment d'espace de stockage), de garder une seule sauvegarde journalière, une sauvegarde par semaine, une sauvegarde mensuelle, etc. Tout dépend de vos besoins.

  1. crontab -e
  2. On va ajouter la ligne suivante : @daily find /mon/repertoire/desauvegarde -type f -mtime +6 -delete (ce qui aura pour effet de supprimer tout fichier dans le répertoire vieux de 7 jours au moins).

Et voila votre/vos base(s) sauvegardée(s) !

Cette article est certainement complémentaire de l'article : https://www.citizenz.info/utilser-rsync-ssh-et-sudo-pour-copier-facilement-vos-donnees
 

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