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Noireaude : PhotoQt 1.0 – Une visionneuse d’images pas comme les autres

jeudi 22 août 2013 à 07:30

photoqt-1

PhotoQt est une visionneuse d’images pas comme les autres dont nous avons déjà parlé plusieurs fois dans l’étable et qui sans exagérer, a été un de mes plus gros coup de cœur depuis que je présente des applications sur ce blog. Elle dispose d’une interface un peu particulière, que l’on pourrait un peu comparer aux modes lightbox que vous pouvez retrouver sur les blogs lorsque vous visualisez des images.

PhotoQt dispose en prime de pas mal d’options de configuration, qui vont vous permettre d’en paramétrer l’interface aux petits oignons. Au niveau des fonctions PhotoQt permet de faire pas mal de choses comme pivoter, retourner, renommer, supprimer, déplacer, copier vos images et effectuer un zoom. Vous pourrez également profiter d’un mode diaporama, afficher les données EXIF de vos images et paramétrer les raccourcis clavier de votre choix.

Une nouvelle version de PhotoQt vient d’être publiée récemment, embarquant pas mal de nouveautés intéressantes dont un nouveau mode fenêtré qui est assez sympa. Jusqu’à présent l’application était accessible uniquement en plein écran, ce qui n’était pas forcément super pratique. Outre le nouveau mode fenêtré on notera également l’utilisation de GraphicsMagick, qui porte le nombre de formats pris en charge à plus de 80.

Pour le reste on pourra signaler en vrac :

Et bien d’autres choses encore…

Si ça vous tente vous pouvez vous rendre sur cette page du site officiel du projet pour consulter la liste des changements.

Avant de vous indiquer les liens de téléchargement et la procédure d’installation pour Ubuntu et dérivés, je vous propose de jeter un œil sur ces quelques captures qui vont vous en montrer un peu plus sur les différentes options disponibles.

Paramètres d’apparence de l’application :

photoqt-2

Paramètres concernant les informations à afficher pour les images :

photoqt-3

Paramètres relatifs à l’affichage des vignettes :

photoqt-4

Vue globale en utilisation :

photoqt-5

Sympa non ?!!

Si vous voulez installer PhotoQt sur Ubuntu et dérivés, vous pouvez utiliser le PPA suivant à l’aide de ces quelques lignes de commande.

Installer PhotoQt sur Ubuntu et dérivés :

sudo add-apt-repository ppa:samrog131/ppa
sudo apt-get update
sudo apt-get install photoqt

Désinstaller PhotoQt :

sudo ppa-purge ppa:samrog131/ppa

ou

sudo add-apt-repository -r ppa:samrog131/ppa
sudo apt-get update
sudo apt-get remove photoqt

Si vous voulez installer PhotoQt sur les autres distributions GNU/Linux, vous pouvez vous procurer les sources ou les paquets Debian en vous rendant sur cette page. PhotoQt est également disponible sur Archlinux via AUR et sur Chakra via CCR.

Si enfin vous rencontrez des bugs et que vous voulez les remonter, c’est sur cette page que cela se passe.

Amusez-vous bien.

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T. BRIOLET : Mises à jour KDE avec KDE SC 4.11, Marble, digiKam et Amarok

mercredi 21 août 2013 à 20:29
Il s’en est passé des choses dans l’univers KDE pendant mes vacances, du coup voici quelques news pour présenter tout ça.

 

KDE SC 4.11

 

La dernière version de l’environnement KDE vient de sortir en version 4.11.
plasma-4.11

 

Après 6 mois de développement, les développeurs continuent de préparer la transition vers KDE Frameworks 5 qui constitue le passage des bibliothèques KDE vers Qt5.
En attendant cette version, KDE 4.11 reçoit un support long terme en tant que dernière version vraiment solide de la branche KDE 4.x.

 

Coté améliorations on trouvera plusieurs petites choses.

 

Une mise à jour des Plasma Workspaces avec :

  • KScreen qui permet de gérer intelligemment le multi-écran,
  • l’évolution du plasmoid qui gère l’énergie avec la prise en compte de plusieurs batteries et la luminosité d’écran (cf image ci-dessous),
  • une amélioration du mixeur de sons,
  • KWin est fourni avec plusieurs améliorations et commence à supporter Wayland.

Plus d’infos ici : [en] http://www.kde.org/announcements/4.11/plasma.php

 

plasma-4.11

Une mise à jour des applications KDE avec :

  • KDE PIM qui reçoit d’importantes améliorations de performances et plusieurs nouvelles fonctionnalités,
  • Kate possède de nouvelles extensions pour le python et le javascript,
  • Dolphin est plus rapide.

Plus d’infos ici : [en] http://www.kde.org/announcements/4.11/applications.php

De meilleurs performances avec une amélioration globale de la fluidité et tout particulièrement une optimisation du framework Nepomuk, qui devient plus rapide et consomme moins de ressources.
Plus d’infos ici : [en] http://www.kde.org/announcements/4.11/platform.php

 

Cette 4.11 est la dernière version basée sur KDE4 Workspaces, les développeurs vont maintenant se consacrer entièrement sur le futur KDE Framework 5.

 

Vous pouvez installer KDE SC 4.11 sur votre openSUSE à partir des dépôts indiqués ici : http://en.opensuse.org/KDE_repositories#Upstream_release_aka._KR411_.28KDE_SC_4.11.29
Attention à bien supprimer vos anciens dépôts KDE.

 

La prochaine version 4.12 est prévue pour le 18 décembre 2013. (retrouvez le planning complet ici : http://techbase.kde.org/Schedules/KDE4/4.12_Release_Schedule )

 

Annonce officielle : [en] http://dot.kde.org/2013/08/14/411-release-plasma-workspaces-applications-and-development-platform
 
 

Marble 1.6

Cette version 1.6 du visionneur de globe terrestre est livrée avec ce nouveau KDE.

marble1.6

D’importantes modifications sont apportées avec notamment :

  • La possibilité d’afficher les étoiles, les lignes formant les constellations et leurs noms,
  • Les panneaux à gauche de la fenêtre ont encore été améliorés avec de nouvelles options,
  • L’outil de navigation (zoom et déplacement) a été redessiné,
  • Des nouvelles fenêtres d’informations basées sur Webkit ont été ajoutées,
  • La fenêtre pour ajouter de nouvelles cartes a été réécrite.
Retrouvez les informations détaillées ici : [en] http://marble.kde.org/changelog.php#v16

 
 

digiKam 3.3.0

La version 3.3.0 de digiKam, le gestionnaire de photos, est sorti peu de temps avant KDE SC 4.11.

digiKam-3.3.0
  • La détection des visages devient une véritable reconnaissance faciale car elle est complétée par une fonction de gestion des visages qui permet de retrouver automatiquement une personne dans vos photos.
  • L’interopérabilité des tags a été améliorée avec Picasa photo manager.
De nombreux bugs ont ensuite été corrigés. Retrouvez l’annonce officielle ici [en] : http://www.digikam.org/node/701

 

Amarok 2.8

Cette nouvelle version du lecteur audio Amarok, intitulée « Return To The Origin », semble être un très bon cru. Un nombre impressionnant de modifications ont été effectuées et plusieurs nouvelles fonctionnalités sont de la partie. Il vise à fournir une expérience utilisateur tout aussi aboutie que lors de ses versions 1.x.

amarok_2.8
Parmi les nouveautés nous avons :
  • Un nouveau module de visualisation d’analyse audio,
  • Un décrescendo lors de la mise en pause,
  • Plusieurs améliorations de l’interface incluant un meilleur support de thème de couleur alternatifs,
  • Une amélioration significative du remplissage des tags par MusicBrainz (reconnaissance automatique des musiques),
  • Amélioration du plugin Last.fm,
  • Plusieurs nouvelles options dans le gestionnaire d’énergie,
  • Le support du format audio Opus en lecture et en transcodage,
  • Améliorations des performances.
Sources :
http://amarok.kde.org/en/releases/2.8
http://linuxfr.org/news/amarok-2-8
http://strohel.blogspot.com/2013/08/amarok-28-released-mtp-android-gsoc.html

Syvolc

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Ploum : La première guerre civile mondiale

mercredi 21 août 2013 à 19:55

Chaque jour qui passe apporte son lot de confirmation sur une vérité que beaucoup voudraient ignorer : nous sommes en guerre. Une guerre larvée, relativement calme mais une guerre tout de même.

Contrairement à une guerre traditionnelle, une guerre civile n’a pas de front bien tracé, de belligérants clairement identifiables à la couleur de leur uniforme. Chaque camp est partout, au sein d’une même ville, d’un même quartier, d’une même famille.

D’un côté, nous avons une classe de pouvoir. Riches, puissants, ils ont l’habitude de contrôler, ils ne connaissent pas le doute. Ils décident et sont intimement persuadés de le faire dans l’intérêt général. Beaucoup, ni riches ni puissants, les soutiennent. Par peur du changement. Par habitude. Par intérêt personnel. Par crainte de perdre certains acquis. Ou par incapacité intellectuelle de comprendre la révolution à l’œuvre.

De l’autre, voici la génération numérique. Issus de tous les sexes, tous les âges, toutes les cultures, tous les emplacements géographiques. Ils discutent entre eux, s’échangent des expériences. Découvrant leurs différences, ils se cherchent des points communs en remettant tout en question, jusqu’à la foi et aux valeurs profondes de leurs parents.

Cette population a développé des valeurs qui lui sont propres mais également une intelligence analytique hors du commun. Les outils dont elle dispose lui permettent de pointer très vite les contradictions, de poser les questions pertinentes, de soulever le voile des apparences. À travers des milliers de kilomètres de distance, ses membres peuvent ressentir de l’empathie pour tous les humains.

Un fossé grandissant

Longtemps, j’ai été persuadé qu’il ne s’agissait que d’une question de temps. Que la culture numérique imprégnerait de plus en plus chaque individu et que les plus réfractaires finiraient par disparaître, au fil des générations et du renouvellement naturel.

Malgré la popularisation des outils tels que le smartphone ou Twitter, cette fracture ne s’est pas résorbée. Au contraire, elle n’a fait que s’empirer. L’ancienne génération n’a pas adopté la culture numérique. Elle s’est contenté de manipuler aveuglement les outils sans les comprendre, en une parodie désespérée du culte du cargo. Résultats : des musiciens qui insultent leurs propres fans, des journaux dont le site web, envahi de publicités, semble être une copie conforme de la version papier, des jeunes politiciens qui utilisent Facebook ou Twitter comme une machine à publier des communiqués de presse sans jamais tenter de communiquer avec leur électorat.

Il y a 40 ans, deux journalistes révélaient au monde que le président de la nation la plus puissante utilisait les services secrets pour mettre sur écoute ses adversaires politiques. Ce travail d’investigation leur vaudra le prix Pulitzer et mènera à la démission du président.

Aujourd’hui, des acteurs imprégnés de culture numérique révèle au monde que le président à mis le monde entier sur écoute ! Qu’il envoie des hommes massacrer cyniquement des civils. Ces révélations leur vaudront 35 ans de prison pour l’un et une traque à travers le monde entier pour l’autre. Le président en question est, quand à lui, titulaire d’un prix Nobel de la paix.

La mort du journalisme

Contrairement au Watergate, il n’est plus possible de compter sur la presse. Une grand partie des journalistes ont tout simplement cessé tout travail de fond ou d’analyse. Les journaux sont devenus des organes de divertissement ou de propagande. Un esprit un peu critique est capable de démonter la majorité des articles en quelques minutes de recherches sur le web.

Et lorsque certains journalistes commencent à creuser, ils voient leur famille se faire arrêter et détenir sans raison, ils reçoivent des menaces politiques et sont forcés de détruire leur matériel. Le site Groklaw, qui fut un site déterminant dans la publication d’actualités liées à des grands procès industriels, vient de fermer car sa créatrice a pris peur.

La classe dirigeant a décidé que le journalisme devait se contenter de deux choses : faire craindre le terrorisme, afin de justifier le contrôle total, et agiter le spectre de la perte d’emplois, afin de donner une impression d’inéluctabilité face aux choix personnels.

Bien sûr, tout cela n’a pas été mis en place consciemment. La plupart des acteurs sont intiment persuadés d’œuvrer pour le bien collectif, de savoir ce qui est bon pour l’humanité.

On vous fera croire que l’espionnage des mails ou l’affaire Wikileaks sont des détails, que les questions importantes sont l’économie, l’emploi ou les résultats sportifs. Mais ces questions dépendent directement de l’issue du combat qui est en train de se jouer. Les grandes crises financières et les guerres actuelles ont été crées de toutes pièces par la classe actuellement au pouvoir. La génération numérique, porteuse de propositions nouvelles, est bâillonnée, étouffée, moquée ou persécutée.

L’état de panique

En 1974, pour la classe dirigeante il est plus facile de sacrifier Nixon et de faire tomber quelques têtes avec lui. Le parallèle avec la situation actuelle est troublant. La classe dirigeante a peur, elle est dans un état de panique et n’agit plus de manière rationnelle. Elle cherche à faire des exemples à tout prix, à colmater les fuites en espérant qu’il ne s’agit que de quelque cas isolés.

Ils n’hésitent plus à utiliser les lois anti-terroristes de manière inique, contre les journalistes eux-mêmes. Ceux qui prédisaient de telles choses il y a un an étaient traités de paranoïaques. Mais les plus pessimistes ne les avaient probablement pas imaginées aussi rapidement, aussi directement.

La destruction des disques durs du Guardian est certainement l’événement le plus emblématique. Son inutilité, son absurdité totale ne peuvent masquer la violence politique d’un gouvernement qui impose sa volonté par la menace à un organe de presse reconnu et réputé.

Cet épisode illustre la totale incompréhension du monde moderne dont fait preuve la classe dirigeante. Un monde qu’elle pense diriger mais qui échappe à son contrôle. Se drapant dans la ridicule autorité de son ignorance, elle déclare ouvertement la guerre aux citoyens du monde entier.

Une guerre qu’elle ne peut pas gagner, qui est déjà perdue. Mais qu’elle va tenter de faire durer en entraînant dans leur chute de nombreuses victimes qui seront injustement emprisonnées pendant des années, torturées, arrêtées, harcelées, détruites moralement, poussées au suicide, traquées à travers le monde.

C’est déjà le cas aujourd’hui. Et parce que vous aurez eu le malheur d’être sur le mauvais avion ou d’avoir envoyé un email à la mauvaise personne, vous pourriez être le prochain sur la liste. Il n’y a pas de neutralité possible. Nous sommes en guerre.

 

Photo par Jayel Aheram

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SckyzO : Regrouper les applications dans Plank

mercredi 21 août 2013 à 17:32

Plank, le dock d’elementary, peut grouper des applications. C'est simple et pratique (gain de place !)

gingerbread_theme_for_plank_by_cassidyjames-d3jrza4

En cliquant dessus vous avez tous les raccourcis contenus dans le dossier.

Folder


Folder+Open

Pour se faire, aller dans /usr/share/applications avec « Files ».Vous trouverez la plupart de vos raccourcis d'applications, ceux-là même qui sont dans le menu "Applications" (Slingshot). Sélectionner toutes les applications que vous souhaitez grouper, et copier les (Ctrl + C).

Copy_Files

Après les avoir copiés, rendez-vous dans votre dossier personnel, puis créer un dossier nommé Plank.

Puis, à l'intérieur de ce dossier, créer un autre nouveau dossier que vous nommerez du nom du groupe que vous voulez voir apparaître dans Plank (par exemple si vous voulez un groupe Multimédia, appelez le Multimédia).

Enfin, dans ce nouveau dossier, coller les raccourcis précédemment copiés. Ensuite il vous suffira de glisser/déposer le dossier que vous avez créé directement dans Plank. Voilà, le tour est joué !

J'espère cela dit que les développeurs intégreront prochainement une façon plus facile de le faire (un glisser déposer directement dans plank ?).

 

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SckyzO : Activer la fonction TRIM sur un disque SSD

mercredi 21 août 2013 à 16:49

ssd840-1b

 

Qu'est ce que la fonctionnalité TRIM

TRIM est une commande qui permet à un système d’exploitation d'indiquer à un contrôleur de disque de type mémoire flash (SSD) quels blocs de données ne sont plus utilisés et peuvent donc être effacés. Cette commande améliore les performances d'accès aux disques SSD.

Activer la fonction TRIM

Ce tuto n'est pas spécifique à eOS mais plutôt à la famille Ubuntu/Debian. Il peut donc être utilisé avec un disque SSD qui dispose de cette fonction. Avant tout, on vérifie que le disque supporte cette fonctionnalité. Taper la commande suivante dans votre terminal:

sudo hdparm -I /dev/sda | grep "TRIM supported"

Ou "/dev/sda" sera votre disque SSD. La commande devrait vous retourner quelque chose comme « Data Set Management TRIM supported (limit 8 blocks) ». C’est que l'OS supporte bien cette fonctionnalité. Si vous ne connaissez pas votre disque SSD, taper alors la commande ci-dessous pour lister les disques dur :

sudo fdisk -l

Pour activer la fonctionnalité TRIM nous allons mettre en place un CRON (planificateur des tâches) qui s'exécutera quotidiennement. Pour cela nous allons créer un fichier en tant qu'utilisateur root avec l'éditeur de texte par défaut d'elementary OS.

gksu scratch-text-editor /etc/cron.daily/trim

Puis copier le contenu ci-dessous dans l'éditeur de texte:

#!/bin/sh
LOG=/var/log/trim.log
echo "*** $(date -R) ***" >> $LOG
fstrim -v / >> $LOG
fstrim -v /home >> $LOG

Puis sauvegarder le fichier. Noter bien que dans cet exemple, les partitions / et /home sont séparées et se trouvent sur le disque SSD.

Avant d'enregistrer vous pouvez tester que la fonction TRIM fonctionne correctement avec la commande:

sudo fstrim -v /

La commande devrait vous retourner quelque chose comme :

$ sudo fstrim -v /
/: 8158715904 bytes were trimmed

Enfin, rendez exécutable notre tache cron:

sudo chmod +x /etc/cron.daily/trim

Vous pouvez voir le log /var/log/trim.log afin de vérifier si la tache s’exécute bien une fois par jour.

 

Pour les partitions cryptées

Si vous avez une partition cryptée, il faut alors passer par des étapes supplémentaires pour faire fonctionner correctement la fonctionnalité TRIM (non testé car je n'ai pas de partitions cryptées).

Editer /etc/default/grub en tant que root:

gksu scratch-text-editor /etc/default/grub

Et ajouter la ligne suivante après l'option GRUB_CMDLINE_LINUX=" " (vers la ligne 12):

"allow-discards root_trim=yes"

Après avoir édité le fichier, vous devriez avoir quelque chose comme:

GRUB_DISTRIBUTOR=`lsb_release -i -s 2> /dev/null || echo Debian`
GRUB_CMDLINE_LINUX_DEFAULT="quiet splash"
GRUB_CMDLINE_LINUX="allow-discards root_trim=yes"

Sauvegarder le fichier et mettre à jour grub avec la commande :

sudo update-grub

Maintenant éditer le fichier /etc/crypttab en tant que root:

gksu scratch-text-editor /etc/crypttab

Et ajouter l'option "discard" pour la partition SSD comme dans l'exemple ci-contre:

# var UUID=01234567-89ab-cdef-0123-456789abcdef none luks,discard

Puis finalement lancer la commande suivante :

sudo update-initramfs -u -k all

 

Profiter maintenant de votre SSD avec tout son potentiel :-)

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