J'ai évolué ces derniers temps dans ma façon de réaliser des dons aux projets en lien avec les libertés numériques (que ce soit des associations d'aide ou de lobbying, ou des projets de logiciels ou autres ressources libres).
Auparavant j'effectuais des dons ponctuels, lorsque j'y pensais. J'en ai fait parfois état sur ce blogue.
En octobre 2017, je décidais de passer à une formule de don mensuel pour Wikipédia (Wikimédia France, pour être précis). En février 2018, je passais le même cap en faveur de Framasoft. Et il y a quelques jours, je viens de faire de même pour La Quadrature du Net (dont j'adore la chaîne vidéo à laquelle je suis abonné par flux RSS : c'est d'une grande richesse intellectuelle, je vous la recommande).
Mes dons mensuels
Mes dépenses mensuelles pour mon usage d'Internet et du Web sont donc actuellement les suivantes :
15,99€ pour mon FAI Bouygues Telecom qui gère mon accès à Internet en ADSL et ma ligne fixe de téléphone (je n'en suis pas fier) ;
5€ pour soutenir Wikipédia (j'y contribue en temps également) ;
5€ pour soutenir financièrement Framasoft (j'y ai contribué également en donnant de mon temps mais ce n'est plus le cas) ;
5€ pour soutenir financièrement La Quadrature du Net (c'est ma seule contribution à l'association).
Le tout est matérialisé graphiquement dans le magnifique camembert en tête de ce billet (réalisé avec LibreOffice).
En réalité cela me coûte réellement 24,32€ par mois (et non 30,99€) car, en tant que résident fiscal français, je bénéficie d'un crédit d'impôt de 66% sur mes dons à Wikipédia et Framasoft (ainsi les 5€x12mois=60€ que je donne annuellement à chacun d'entre Wikipédia et Framasoft ne me coûtent en fait que 20€). Cela ne marche pas avec toutes les organisations toutefois.
C'est à peu près mes seules dépenses budgétisées, car je ne me suis pas encore résolu à payer pour bénéficier des services d'un fournisseur de courriels éthique (je suis chez laposte.net…), et je suis resté sur des dons ponctuels à Toile Libre, l'hébergeur à prix libre de ce blogue.
Mes dons ponctuels
Je n'ai pas abandonné la formule des dons ponctuels pour autant ; mes derniers dons ponctuels (depuis mon dernier billet en la matière) ont été pour :
ZeMarmot 10€ le 28/02/18 pour leur travail sur GIMP ;
La Quadrature du Net : 20€ le 07/01/19 (je n'étais pas encore passé au don mensuel, mais des réalisations comme celle-ci m'ont donné l'envie d'un don ponctuel) ;
Toile-Libre, mon hébergeur à prix libre : 20€ le 10/01/19.
Ce tutoriel est la seconde partie d’un dossier consacré à la découverte de l’électronique avec la Raspberry Pi. Si vous ne l’avez pas lu, je vous conseils de consulter le premier tutoriel pour contrôler une LED avec la Raspberry Pi.
Que ce soit pour des systèmes d’identification, de gestion d’inventaire, de paiement, ou pour de la domotique, les puces RFID sont de plus en plus utilisées.
Dans ce tutoriel nous allons voir comment lire des cartes RFID avec la Raspberry Pi et un lecteur RFID RC522.
À la fin du tutoriel, vous serez capable de lire un badge RFID, vérifier si c’est bien celui attendu, et allumer une LED verte ou rouge, selon le résultat. Il ne vous restera plus qu’à adapter cet exemple de base pour le projet de votre choix !
Le matériel nécessaire
Pour réaliser ce tutoriel, vous aurez besoin du matériel suivant :
Quand vous recevez le module RFID RC522, vous pouvez constater qu’il est livré avec un jeu de 2 fois 8 pins. La première étape va donc être de souder 8 de ces pins sur le lecteur RFID. Pas de panique, souder c’est très facile !
Vous devez donc insérer les PINs dans les emplacements prévus sur la carte RFID et les souder avec votre fer.
Connecter le lecteur RFID et les LED à la Raspberry Pi
Avant de passer à l’écriture du code qui nous permettra de lire des badges RFID et de contrôler les LEDs, nous devons en premier lieu connecter tout les composants à la Raspberry Pi.
Pour rappel, le fait de brancher et débrancher des composants doit toujours se faire Raspberry Pi éteinte.
Brancher le lecteur RFID RC522 sur la Raspberry Pi
Le premier composant que nous allons brancher est le lecteur RFID.
Pour contrôler le lecteur RFID nous allons utiliser une bibliothèque externe. Hélas, celle-ci est écrite avec les ports GPIOs directement renseignés dans le code. Cela signifie que nous ne pouvons pas les configurer différemment et que nous sommes donc contraints d’utiliser exactement les mêmes ports que ceux prévus dans la librairie.
Voici un tableau listant les ports du lecteur et le port GPIO de la raspberry pi auquel vous devrez le relier.
Après le lecteur RFID, connectons les LEDs à la Raspberry Pi.
Nous allons faire un montage très simple. Chaque LED aura son anode (la patte allongée) reliée à un port GPIO et les deux LEDs auront leur anode reliée à la même résistance, elle même reliée à un port GPIO de type Ground de la Raspberry Pi.
Ainsi, nous utilisons une seule résistance pour deux LEDs, et on limite le nombre de câbles.
Au final, une fois la carte RFID et les LEDs reliées à la Pi, vous devriez avoir un montage ressemblant à celui-ci.
Écrire le programme pour lire un badge RFID.
Nous avons un circuit fonctionnel, il ne nous reste plus qu’à activer les ports SPI de la raspberry pi, nécessaires pour utiliser le lecteur RFID, et écrire le programme qui permettra de lire un badge RFID.
Comme dans le tutoriel précédent, le programme sera écrit en Python. Ce tutoriel n’est pas un cours de Python, et nous ne ferons qu’expliquer de façon sommaire le programme. Si vous voulez en apprendre plus sur Python, nous avons publié un cours d’introduction à la programmation avec Python.
Activer le protocole SPI de la Raspberry Pi
Avant d’écrire le programme, activons le protocole SPI sur notre Raspberry Pi afin de pouvoir utiliser le module RFID.
Pour l’activer, il vous suffit de lancer la commande sudo raspi-config, sur votre raspberry, puis de choisir Interfacing Options, SPI, Yes et enfin Finish.
Installer la librairie pi-rc522
Dernière pré-requis, nous allons installer la librairie Python3 « pi-rc522 » qui permet de contrôler le lecteur RC522.
Nous allons utiliser Pip3, un gestionnaire de librairie pour Python.
Il vous suffit de lancer la commande :
sudo pip3 install pi-rc522
Écrire le programme pour lire l’identifiant d’un badge RFID
Chaque badge RFID possède un identifiant unique. C’est en lisant cet identifiant et en le comparant à une liste d’identifiants autorisés que l’on peut savoir si un badge est autorisé.
Nous allons donc écrire un programme nous permettant de lire un l’identifiant unique d’un badge RFID.
Comme nous l’avions fait dans le tutoriel précédent, nous allons écrire le programme dans le dossier /home/pi/electronic (si vous ne l’avez pas déjà fait, créez le dossier).
Dans ce dossier, créez un fichier read_rfid_uid.py et mettez-y le code suivant :
#!/usr/bin/env python3.5
#-- coding: utf-8 --
import RPi.GPIO as GPIO #Importe la bibliothèque pour contrôler les GPIOs
from pirc522 import RFID
import time
GPIO.setmode(GPIO.BOARD) #Définit le mode de numérotation (Board)
GPIO.setwarnings(False) #On désactive les messages d'alerte
rc522 = RFID() #On instancie la lib
print('En attente d\\'un badge (pour quitter, Ctrl + c): ') #On affiche un message demandant à l'utilisateur de passer son badge
#On va faire une boucle infinie pour lire en boucle
while True :
rc522.wait_for_tag() #On attnd qu'une puce RFID passe à portée
(error, tag_type) = rc522.request() #Quand une puce a été lue, on récupère ses infos
if not error : #Si on a pas d'erreur
(error, uid) = rc522.anticoll() #On nettoie les possibles collisions, ça arrive si plusieurs cartes passent en même temps
if not error : #Si on a réussi à nettoyer
print('Vous avez passé le badge avec l\\'id : {}'.format(uid)) #On affiche l'identifiant unique du badge RFID
time.sleep(1) #On attend 1 seconde pour ne pas lire le tag des centaines de fois en quelques milli-secondes
Une fois le fichier enregistré, on en autorise l’exécution avec la commande :
Nous pouvons maintenant démarrer le programme en l’appelant avec la commande :
/home/pi/electronic/read_rfid_uid.py
À chaque fois que vous passerez un badge RFID devant le lecteur, son identifiant unique sera affiché !
Écrire un programme qui permet d’afficher si un badge est valide ou non.
Maintenant que nous pouvons lire l’identifiant unique d’un badge, il ne nous reste plus qu’à adapter le code précédent pour comparer l’identifiant lu à un identifiant écrit dans le programme.
Nous allons donc modifier un peu le programme précédent pour qu’il compare l’uid lu à celui écris dans le programme, et allumer la led rouge ou verte selon le résultat.
Copiez donc le fichier précédent, dans un nouveau fichier verify_rfid.py et modifier le pour le code ci-dessous :
Modifiez la ligne RFID_UID pour mettre l’identifiant de votre tag RFID !
#!/usr/bin/env python3.5
#-- coding: utf-8 --
import RPi.GPIO as GPIO #Importe la bibliothèque pour contrôler les GPIOs
from pirc522 import RFID
import time
GPIO.setmode(GPIO.BOARD) #Définit le mode de numérotation (Board)
GPIO.setwarnings(False) #On désactive les messages d'alerte
LED_RED = 3 #Définit le numéro du port GPIO qui alimente la led rouge
LED_GREEN = 5 #Définit le numéro du port GPIO qui alimente la led verte
RFID_UID = [21, 35, 5, 43, 57] #Définit l'UID du badge RFID
#Définit la fonction permettant d'allumer une led
def turn_led_on (led) :
GPIO.setup(led, GPIO.OUT) #Active le contrôle du GPIO
GPIO.output(led, GPIO.HIGH) #Allume la led
#Définit la fonction permettant d'éteindre une led
def turn_led_off (led) :
GPIO.setup(led, GPIO.OUT) #Active le contrôle du GPIO
GPIO.output(led, GPIO.LOW) #Eteind la led
#Définit la fonction permettant d'allumer la rouge et éteindre la verte
def turn_red_on () :
turn_led_off(LED_GREEN) #Eteind la led verte
turn_led_on(LED_RED) #Allume la led rouge
#Définit la fonction permettant d'allumer la verte et éteindre la rouge
def turn_green_on () :
turn_led_off(LED_RED) #Eteind la led rouge
turn_led_on(LED_GREEN) #Allume la led verte
rc522 = RFID() #On instancie la lib
print('En attente d\\'un badge (pour quitter, Ctrl + c): ') #On affiche un message demandant à l'utilisateur de passer son badge
#On va faire une boucle infinie pour lire en boucle
while True :
rc522.wait_for_tag() #On attnd qu'une puce RFID passe à portée
(error, tag_type) = rc522.request() #Quand une puce a été lue, on récupère ses infos
if not error : #Si on a pas d'erreur
(error, uid) = rc522.anticoll() #On nettoie les possibles collisions, ça arrive si plusieurs cartes passent en même temps
if not error : #Si on a réussi à nettoyer
if RFID_UID == uid :
print('Badge {} autorisé !'.format(uid))
turn_green_on()
else :
print('Badge {} interdit !'.format(uid))
turn_red_on()
time.sleep(1) #On attend 1 seconde pour ne pas lire le tag des centaines de fois en quelques milli-secondes
Il ne vous reste plus qu’à lancer le programme et tester !
Vous pouvez ensuite adapter le code pour vos propres projets, comme créer un serrure connectée, ou encore un jukebox utilisant des tags RFID !
Ce tutoriel est la seconde partie d’un dossier consacré à la découverte de l’électronique avec la Raspberry Pi. Si vous ne l’avez pas lu, je vous conseils de consulter le premier tutoriel pour contrôler une LED avec la Raspberry Pi.
Que ce soit pour des systèmes d’identification, de gestion d’inventaire, de paiement, ou pour de la domotique, les puces RFID sont de plus en plus utilisées.
Dans ce tutoriel nous allons voir comment lire des cartes RFID avec la Raspberry Pi et un lecteur RFID RC522.
À la fin du tutoriel, vous serez capable de lire un badge RFID, vérifier si c’est bien celui attendu, et allumer une LED verte ou rouge, selon le résultat. Il ne vous restera plus qu’à adapter cet exemple de base pour le projet de votre choix !
Le matériel nécessaire
Pour réaliser ce tutoriel, vous aurez besoin du matériel suivant :
Quand vous recevez le module RFID RC522, vous pouvez constater qu’il est livré avec un jeu de 2 fois 8 pins. La première étape va donc être de souder 8 de ces pins sur le lecteur RFID. Pas de panique, souder c’est très facile !
Vous devez donc insérer les PINs dans les emplacements prévus sur la carte RFID et les souder avec votre fer.
Connecter le lecteur RFID et les LED à la Raspberry Pi
Avant de passer à l’écriture du code qui nous permettra de lire des badges RFID et de contrôler les LEDs, nous devons en premier lieu connecter tout les composants à la Raspberry Pi.
Pour rappel, le fait de brancher et débrancher des composants doit toujours se faire Raspberry Pi éteinte.
Brancher le lecteur RFID RC522 sur la Raspberry Pi
Le premier composant que nous allons brancher est le lecteur RFID.
Pour contrôler le lecteur RFID nous allons utiliser une bibliothèque externe. Hélas, celle-ci est écrite avec les ports GPIOs directement renseignés dans le code. Cela signifie que nous ne pouvons pas les configurer différemment et que nous sommes donc contraints d’utiliser exactement les mêmes ports que ceux prévus dans la librairie.
Voici un tableau listant les ports du lecteur et le port GPIO de la raspberry pi auquel vous devrez le relier.
Après le lecteur RFID, connectons les LEDs à la Raspberry Pi.
Nous allons faire un montage très simple. Chaque LED aura son anode (la patte allongée) reliée à un port GPIO et les deux LEDs auront leur anode reliée à la même résistance, elle même reliée à un port GPIO de type Ground de la Raspberry Pi.
Ainsi, nous utilisons une seule résistance pour deux LEDs, et on limite le nombre de câbles.
Au final, une fois la carte RFID et les LEDs reliées à la Pi, vous devriez avoir un montage ressemblant à celui-ci.
Écrire le programme pour lire un badge RFID.
Nous avons un circuit fonctionnel, il ne nous reste plus qu’à activer les ports SPI de la raspberry pi, nécessaires pour utiliser le lecteur RFID, et écrire le programme qui permettra de lire un badge RFID.
Comme dans le tutoriel précédent, le programme sera écrit en Python. Ce tutoriel n’est pas un cours de Python, et nous ne ferons qu’expliquer de façon sommaire le programme. Si vous voulez en apprendre plus sur Python, nous avons publié un cours d’introduction à la programmation avec Python.
Activer le protocole SPI de la Raspberry Pi
Avant d’écrire le programme, activons le protocole SPI sur notre Raspberry Pi afin de pouvoir utiliser le module RFID.
Pour l’activer, il vous suffit de lancer la commande sudo raspi-config, sur votre raspberry, puis de choisir Interfacing Options, SPI, Yes et enfin Finish.
Installer la librairie pi-rc522
Dernière pré-requis, nous allons installer la librairie Python3 « pi-rc522 » qui permet de contrôler le lecteur RC522.
Nous allons utiliser Pip3, un gestionnaire de librairie pour Python.
Il vous suffit de lancer la commande :
sudo pip3 install pi-rc522
Écrire le programme pour lire l’identifiant d’un badge RFID
Chaque badge RFID possède un identifiant unique. C’est en lisant cet identifiant et en le comparant à une liste d’identifiants autorisés que l’on peut savoir si un badge est autorisé.
Nous allons donc écrire un programme nous permettant de lire un l’identifiant unique d’un badge RFID.
Comme nous l’avions fait dans le tutoriel précédent, nous allons écrire le programme dans le dossier /home/pi/electronic (si vous ne l’avez pas déjà fait, créez le dossier).
Dans ce dossier, créez un fichier read_rfid_uid.py et mettez-y le code suivant :
#!/usr/bin/env python3.5
#-- coding: utf-8 --
import RPi.GPIO as GPIO #Importe la bibliothèque pour contrôler les GPIOs
from pirc522 import RFID
import time
GPIO.setmode(GPIO.BOARD) #Définit le mode de numérotation (Board)
GPIO.setwarnings(False) #On désactive les messages d'alerte
rc522 = RFID() #On instancie la lib
print('En attente d\\'un badge (pour quitter, Ctrl + c): ') #On affiche un message demandant à l'utilisateur de passer son badge
#On va faire une boucle infinie pour lire en boucle
while True :
rc522.wait_for_tag() #On attnd qu'une puce RFID passe à portée
(error, tag_type) = rc522.request() #Quand une puce a été lue, on récupère ses infos
if not error : #Si on a pas d'erreur
(error, uid) = rc522.anticoll() #On nettoie les possibles collisions, ça arrive si plusieurs cartes passent en même temps
if not error : #Si on a réussi à nettoyer
print('Vous avez passé le badge avec l\\'id : {}'.format(uid)) #On affiche l'identifiant unique du badge RFID
time.sleep(1) #On attend 1 seconde pour ne pas lire le tag des centaines de fois en quelques milli-secondes
Une fois le fichier enregistré, on en autorise l’exécution avec la commande :
Nous pouvons maintenant démarrer le programme en l’appelant avec la commande :
/home/pi/electronic/read_rfid_uid.py
À chaque fois que vous passerez un badge RFID devant le lecteur, son identifiant unique sera affiché !
Écrire un programme qui permet d’afficher si un badge est valide ou non.
Maintenant que nous pouvons lire l’identifiant unique d’un badge, il ne nous reste plus qu’à adapter le code précédent pour comparer l’identifiant lu à un identifiant écrit dans le programme.
Nous allons donc modifier un peu le programme précédent pour qu’il compare l’uid lu à celui écris dans le programme, et allumer la led rouge ou verte selon le résultat.
Copiez donc le fichier précédent, dans un nouveau fichier verify_rfid.py et modifier le pour le code ci-dessous :
Modifiez la ligne RFID_UID pour mettre l’identifiant de votre tag RFID !
#!/usr/bin/env python3.5
#-- coding: utf-8 --
import RPi.GPIO as GPIO #Importe la bibliothèque pour contrôler les GPIOs
from pirc522 import RFID
import time
GPIO.setmode(GPIO.BOARD) #Définit le mode de numérotation (Board)
GPIO.setwarnings(False) #On désactive les messages d'alerte
LED_RED = 3 #Définit le numéro du port GPIO qui alimente la led rouge
LED_GREEN = 5 #Définit le numéro du port GPIO qui alimente la led verte
RFID_UID = [21, 35, 5, 43, 57] #Définit l'UID du badge RFID
#Définit la fonction permettant d'allumer une led
def turn_led_on (led) :
GPIO.setup(led, GPIO.OUT) #Active le contrôle du GPIO
GPIO.output(led, GPIO.HIGH) #Allume la led
#Définit la fonction permettant d'éteindre une led
def turn_led_off (led) :
GPIO.setup(led, GPIO.OUT) #Active le contrôle du GPIO
GPIO.output(led, GPIO.LOW) #Eteind la led
#Définit la fonction permettant d'allumer la rouge et éteindre la verte
def turn_red_on () :
turn_led_off(LED_GREEN) #Eteind la led verte
turn_led_on(LED_RED) #Allume la led rouge
#Définit la fonction permettant d'allumer la verte et éteindre la rouge
def turn_green_on () :
turn_led_off(LED_RED) #Eteind la led rouge
turn_led_on(LED_GREEN) #Allume la led verte
rc522 = RFID() #On instancie la lib
print('En attente d\\'un badge (pour quitter, Ctrl + c): ') #On affiche un message demandant à l'utilisateur de passer son badge
#On va faire une boucle infinie pour lire en boucle
while True :
rc522.wait_for_tag() #On attnd qu'une puce RFID passe à portée
(error, tag_type) = rc522.request() #Quand une puce a été lue, on récupère ses infos
if not error : #Si on a pas d'erreur
(error, uid) = rc522.anticoll() #On nettoie les possibles collisions, ça arrive si plusieurs cartes passent en même temps
if not error : #Si on a réussi à nettoyer
if RFID_UID == uid :
print('Badge {} autorisé !'.format(uid))
turn_green_on()
else :
print('Badge {} interdit !'.format(uid))
turn_red_on()
time.sleep(1) #On attend 1 seconde pour ne pas lire le tag des centaines de fois en quelques milli-secondes
Il ne vous reste plus qu’à lancer le programme et tester !
Vous pouvez ensuite adapter le code pour vos propres projets, comme créer un serrure connectée, ou encore un jukebox utilisant des tags RFID !
Depuis quelques années j'utilise une Dédibox pour
héberger mes machines virtuelles sous VMWare ESXi6.5
J'ai deux types de VM
- Des VM portant directement une IP Failover Online
- Des VM portant une IP dans un réseau Privé
derrière un Firewall PFSense ( aussi une VM)
Cela est assez pratiques, les VM portant des IP Failover sont des
serveurs accessibles en direct
sur Internet portant des services Open.
L'avantage est que je peux porter des multiples services Web sur les
port 80 et 443 sans faire du NAT
Sauf que le problème est que ces VM sont très peu
protégées ( seulement le pare feu Linux)
A contrario des VM derrière le PFSense qui
bénéficie de toutes les protections.
Actuellement
J'ai donc étudié la possibilité de
pouvoir passer toutes mes VM derrière le PFSENSE
Cela permettra d'avoir un filtrage Fin et de
bénéficier de tous les services PFSENSE ( IPS par
exemple)
Pour Cela plusieurs prérequis qui'il a fallut lever:
- Comment porter plusieurs IP Failover sur une seule interface de mon
PFSENSE???
- Comment porter 1 seul adresse MAC avec plusieurs IP Failover
- Comment paramétrer PFSENSE pour assigner des IP
Failover à certaines VM et pas d'autres.
La Cible
Modifier l'adresse MAC de votre IP Failover pour utiliser une
MAC Partagée qui sera porté par une VM
- Eteindre votre VM
- Se connecter sur l'interface Online
- Editer votre mac adress actuelle
- Supprimer votre Mac address
- Une fois suprimée et mise à jour
- Editer la mac et choisissez "Utiliser une Adresse Mac Existante
- Chosir la mac adresse qui porte déjà la patte
WAN de votre VM PFSENSE
A partir de là tous paquet à destination de votre
IP Failover sera dirigé vers l'adresse MAC
partagée portée par votre VM PFSENSE.
Sur PFSENSE:
- Ajouter une IP Virtuelle de type
IP Alias ( Votre IP Faiolver que vous voulez migrer) en /32 sur le WAN
- On voit ici 2 IP failover portées par mon
pfsense ( en plus de l'ip failover assignée
à l'interface WAN)
Occupons nous du NAT :
- Notre VM ne portera plus directement l'IP Failover mais une ip
Privée dans le réseau LAN PRIV ( 192.168.100.0/24)
- Nous allons choisir l'adresse IP 192.168.100.130
NAT ENTRANT
Pour cela nous allons dire à PFSENSE que tout ce qui arrive
à destination de l'IP Failover sera redirigé vers
192.168.100.130
- Dans Firewall / NAT / 1:1
NAT SORTANT
Pour cela nous allons dire à PFSENSE que tout ce qui sort
depuis 192.168.100.130 est natté avec l'IP Failover
- Dans Firewall / NAT / Outbound
Ici on voit que 192.168.100.130 et 192.168.100.110 sortiront avec 2 ip
failover différentes
Le reste sortira avec l'adresse WAN par défaut ( qui est
aussi une failover)
Le Filtrage
Pour commencer faire une règle de filtrage Simple qui ouvre
tout sur l'IP privée de la VM
Sur la Machine
Virtuelle qui portait auparavant l'ip Failover
- Sur votre VM qui portait auparavant votre IP Failover.
- Modifier son paramétrage pour etre dans le
réseau Privé et ne plus utiliser le Vswitch public
- Redemarrer la VM
- Modifier ces paramètres IP pour ne plus porter l'IP
failover mais une IP Privée 192.168.100.130
- Avant
- Après
-Redémarrer la VM
- Après le reboot tout ping aussi bien l'adresse
Pivée que Publique ( failover)
- On peut même tester le NAT Unbound
Exemple d'un wget sur un serveur apache externe, on voit bien notre ip
publique failover s'afficher dans les logs
Voilà , il vous reste à affiner vos
règle de filtrages ( souvenez vous nous avions tout ouvert
!! )
N'ouvrez que le necessaire. ( pour ma part par exemple SSH et HTTP)
Je vous conseille d'utiliser les ALIAS qui permettent de relier un
objet à une adresse IP
Pratique, pas besoin de se rappeler des IP