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crowd42 : PrivacyFix : réglez les paramètres vie privée de Facebook et Google, et découvrez qui vous traque sur le Web

samedi 20 octobre 2012 à 04:37

Je vous ai parlé dans un récent article de Privacy Manager, l’extension pour le navigateur Chromium (Google Chrome) qui permet d’affiner les réglages des paramètres de la vie privée du navigateur. Aujourd’hui c’est au tour de PrivacyFix, une extension disponible pour Firefox et Chromium, qui vous permettra d’ajuster cette fois-ci les réglages de Facebook et de Google. Mais ce n’est pas tout, si vous êtes du genre parano, PrivacyFix vous foutra une belle trouille.

Une fois que vous aurez installé l’extension, cette dernière généra une sorte de rapport qui vous donnera un aperçu global de la façon dont vous êtes traqué en ligne par Facebook et Google, ainsi que d’autres sites. Par exemple l’onglet Facebook, vous aidera à régler le niveau de confidentialité de vos paramètres sur le réseau social. Mais ça permet aussi de s’apercevoir d’une autre sombre réalité, Facebook pollue vraiment le Web :

Je n’ose même pas imaginé le résultat si j’avais un compte sur ce réseau ! Idem pour Google. Et si vous pensez que vous êtes épargné car vous n’utilisez aucun de leurs services, et que vous bloquez leurs boutons, il serait peut-être temps que vous changez d’avis :

Alors, vous pensez toujours que votre vie privée est assez protégé sur le web ?

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PostBlue : Présentation de mes sphères (mise à jour)

vendredi 19 octobre 2012 à 23:00

Maintenant qu’à peu près tout tourne et roule, et même de mieux en mieux l’expérience aidant, qu’importe les déboires, voici une mise à jour de ce que je fais tourner dans mon univers autonome, mes « sphères » comme je les appelles ; voici la liste (comme j’aime en faire) des gestionnaires de contenu que j’héberge sur ma petite parcelle d’internet – et en lien ce que j’ai écrit à ce propos.

Prolégomènes à tout déploiement futur

Après une phase de déploiement quelque peu excessif, je m’en rends compte maintenant, j’ai tâché de stabilisé et d’utiliser au mieux les services qu’il m’était possible d’essayer. La liste présente se dote donc d’un lot plutôt conséquent de “bannis”, de services dont je n’avais in fine que très peu l’usage. Certains seront peut-être remplacés un jour, ou tout simplement rétablis (je garde les bases de données au chaud), mais pour l’instant, je suis ravi par ce dont je dispose. Concernant la base logicielle de ma machine, c’est une Debian avec l’outillage suivant : LEMP : Linux Engine-X MariaDB PHP-FPM.

Le journal, le blog : postblue.info

Propulsé par WordPress, simplement, c’est où l’on peut me lire sinon le plus souvent, au moins le plus longuement. Petit espace d’expression que j’affectionne, c’est aussi un jouet à thèmes et autres (l’actuel est Murmur). Voir ici pour une liste non exhaustive des modules que j’utilise pour WordPress, ou ce que j’ai écrit à propos de sa prise en main. Malgré une entière satisfaction de mes besoins, j’avoue être assez curieux de solutions telles que Jekyll (à l’instar de la Sheevaboite qui me bluffe par sa réactivité), un projet supplémentaire à ajouter à une liste déjà longue.

D’ailleurs à ce propos, le souci idéologique que me posait la possibilité d’un journal statique était une relative absence de solutions efficaces d’hébergement des commentaires – si ce n’est en passant par un service qui m’est intolérable du genre de Disqus. J’ai trouvé mon bonheur avec Talka.tv, un gestionnaire de commentaires open-source écrit en python, puissent d’autres y trouver une voie intéressante.

Microblog : sn.postblue.info

À l’instar d’un compte Twitter pour avoir un « microblog social », connecté à une communauté, j’ai établi à cette adresse ma propre instance StatusNet. N’hésitez pas à créer votre propre instance ou à m’y suivre ! Pour en lire plus, voilà tout ce que j’ai écrit à propos de StatusNet. Ça reste ma plate-forme sociale de prédilection : j’ai tour à tour supprimé les comptes que j’ai sur des serveurs qui ne sont pas le mien et dont je n’ai pas l’utilité, mais cela met du temps quand on a pu y tisser des liens ou que, pour certains, ils sont utilisés presque exclusivement par des personnes de ma promotion pour s’échanger des informations sur les cours.

Jappix : jappix.postblue.info

Instance Jappix surtout utilisée pour me connecter à mon compte Jabber quand je suis en déplacement. Pour les quelques évolutions de la plateforme, voir mon article à ce sujet. Afin de mener une comparaison complète, je compte dans les temps qui viennent tenter une installation de Movim, un client “concurrent” qui a le malheur, si je ne m’abuse, de nécessiter l’utilisation de MySQL – chose que j’essaie d’éviter le plus possible pour que ça ne me prenne pas des ressources affolantes.

PasteBin : bin.postblue.info

Plateforme de libre collage propulsée par Haste dont j’ai présenté l’installation dans ces lignes sur une Debian, il s’agit d’un programme en node.js relativement léger, totalement fonctionnel avec le client en ruby qui va bien. Haste me permet d’héberger plus ou moins durablement du texte, à la discrétion de l’hébergeur qui peut définir une date de péremption à ce qui est hébergé chez lui (lui laissant néanmoins la possibilité de garder des fichiers indéfiniment). Notez également que c’est actuellement encore le seul service qui me résiste pour être lancé au démarrage, mais nom de Moi, j’y arriverai.

Galerie : media.postblue.info

Je me suis très rapidement détourné des ténors du genre de Piwigo, ZenPhoto ou Gallery pour jeter mon dévolu premièrement sur iGalerie. remplacé par après par la version de Bobotig de MiniGal, rapide, légère, où la configuration se borne à un peu de CSS et… c’est tout. Après de multiples tâtonnements (que c’est obscène !), j’ai adopté GNU MediaGoblin. L’installation n’était finalement pas si compliquée, il suffit de suivre le guide, et chercher un peu sur les internets de petites choses utiles, comme un processus de démarrage pour Debian.

EtherPad : pad.postblue.info

J’ignore de le savoir s’il faut encore présenter EtherPad Lite, le petit frère maousse costaud d’EtherPad. Pour l’installation, j’ai tout simplement suivi ce tutoriel de Jeyg en changeant Apache pour NGinx, et en chargeant quelques plugins de plus.


Statistiques :

Utilisant Piwik exclusivement et essentiellement pour gérer les statistiques de mes différentes sphères, j’ai fait le pari de les mettre en libre accès afin que quiconque puisse y voir la même chose que moi. De plus, tout le monde a la possibilité (bien que les adresses IP soient anonymisées) de ne pas être suivi via un cookie (opt-out), en plus de mon respect du DoNotTrack.Finalement la maintenance de Piwik était plus fastidieuse que bénéfique, j’ai préféré désactiver le sous-domaine en attendant de trouver un intérêt réel à la collecte de statistiques.

Raccourcissement d’URL :

Basée sur YOURLS, cette sphère me servait au travers des autres, afin de centraliser les liens « raccourcis » que je pourrais donner à l’intérieur ou à l’extérieur de mon petit monde. Rapidement inintéressant, quand j’ai pris l’habitude d’échanger des liens “propres”.

Tumblelog :

Un peu fourre-tout, c’est là que je regroupais mes liens utiles ou pas du tout, des images trouvées éparses sur les Internets. J’utilisais pour cela le CMS Asaph déjà utilisé par Alt-Tab.org, mais l’activité m’a assez rapidement lassée. Le gestionnaire de contenu reste, j’estime, d’excellent facture.

Agrégateur de flux :

Se reposant sur RSSLounge, cette partie là était celle où je trainais le plus souvent, à faire ma petite veille du web, lire les nouvelles et me maintenir au courant d’une partie du monde. La remarque m’avait été faite par gardfieldairlines, mais oui, il était tout à fait normal et intentionnel de ma part de laisser mes flux publics. Libre à mes lecteurs de choisir parmi ceux-ci, je n’avais rien à cacher là-dessus (et ce même pour le NSFW, pas mon problème).

Après réflexion, très peu d’agrégateurs me satisfont :

J’attends de trouver encore l’agrégateur parfait, celui que je pourrai héberger sur mes sphères – ce pourquoi je compte éditer l’un ou l’autre de sorte qu’il convienne au mieux à mes besoins. Notons que pour l’instant, celui intégré à Opera fait totalement l’affaire, est souple et agréable à l’œil. Si jamais vous désirez accéder à la liste de mes flux, en voici la liste (en opml).

Agrégateur de liens :

C’était Shaarli, de Sebsauvage. Léger, puissant, évolutif, et pratique. Dans mes projets j’aurais aimé avoir les compétences nécessaires à l’autopublication sur StatusNet, dans ce genre mais en gardant la forme d’un « favori » sur le réseau social (dans le genre – en anglais -, mais sans devoir cliquer). Quiconque s’y dévouerait qu’il aurait ma reconnaissance éternelle. Ça a été résolu par un retour strict à StatusNet : le Bookmarklet (domain.tld/doc/bookmarklet) couplé au plugin BookmarkList codé par chimo.

Autoblog :

Grâce à la version de BohwaZ de VroumvroumBlog (plus complète, plus rapide, et à mon sens plus simple pour une ferme à effet Streisand, je répliquais quelques blogueurs (hélas je n’ai pas pu aider Cyrille BORNE, suite à la perte de mes contenus). Il faudra que je réfléchisse à une remise en œuvre cohérente de cet ensemble (qui m’a laissé assez insatisfait, dans l’ensemble).

DropCenter :

Sorte de Dropbox publique, cette sphère est propulsée par DropCenter, un script qui permet de faire – sur un vrai navigateur, donc pas IE – un simple « glisser – déposer » et téléverser un fichier, gérant même de multiples utilisateurs. Pratique pour les envois ponctuels et publics, non rétabli au bénéfice d’Owncloud à qui je veux laisser une chance de me séduire.

Mais aussi :

À venir ou en gestation :

En dehors de tout ce qu’il me faudrait plus ou moins rétablir (pas tout, déjà, je compte rationaliser mes usages, même si je suis chez moi), je compte bien configurer nœud TOR, un service VPN, un node Seeks, … N’hésitez pas à me proposer des services utiles, j’en suis friand !

Projects, projects everywhere.

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Clapico : HY-Desktop, la prochaine Hybryde va faire mal !

vendredi 19 octobre 2012 à 22:32

Vous souvenez vous de cette étrange distribution nommée Hybryde ? Celle qui permet de tester depuis un étrange bureau et ce sans avoir à se déconnecter plusieurs environnements de travail comme Kde, Gnome3, Unity, E17, XFCE, LXDE, OPENBOX et FVWM ?

Si Hybryde NirvanOS et EldoradOS fonctionnaient avec Cairo-Dock, si Hybryde Évolution nous a fait découvrir le HY-Menu, la version qui devrait débarquer sur vos écrans courant Novembre vous réserve une nouvelle surprise: le HY-Desktop.

J’ai eu le privilège de pouvoir tester ce HY-Desktop en avant première et je dois bien avouer qu’une fois de plus, j’ai été bluffé par le concept. Vous pouvez indifféremment faire apparaître le dock, le menu des applications, le gestionnaire de thèmes et fond d’écran…

…et l’accès aux différents environnements proposés avec une déconcertante fluidité.

Bien entendu, le travail n’est pas encore achevé mais l’équipe d’Hybryde se donne corps et âme à ce projet afin de pouvoir le “livrer” dans les délais annoncés.

Une chose est sûre, le bébé se présente bien, comme vous le montre la vidéo ci-dessous.

Pour conclure, je trouve cet environnement tellement pratique et agréable à l’utilisation que je dois avouer que je n’utilise même plus les autres environnements proposés par cette atypique distribution, ce qui est un comble puisque Hybryde reste un outil permettant de découvrir et d’utiliser une multitude d’environnements de bureau sans avoir à se déconnecter pour passer de l’un à l’autre.

Si vous souhaitez en savoir plus sur Hybryde ou si vous voulez tester la version actuelle (qui ne dispose pas du HY-Desktop), n’hésitez pas à leur rendre une petite visite sur le site officiel. En ce qui me concerne, je ne manquerai pas de vous informer de la sortie de la prochaine version.

Merci à toute la Team Hybryde de m’avoir donné l’opportunité d’essayer ce beau projet.

Amusez-vous bien

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Tanguy Ortolo : apt-get install mini-debconf goodies-debian

vendredi 19 octobre 2012 à 19:28

Vous avez peut-être entendu parler de la mini-DebConf à venir. Une mini-DebConf, c'est un rassemblement de debianistes avec des conférences et des ateliers. Et donc, il va y en avoir une à Paris, le week-end des 24 et 25 novembre.

Si vous venez, voici ce que vous pourrez trouver :

Un parapluie blanc avec une spirale Debian rouge dessus

Nous ne sommes pas encore au niveau d'OpenBSD avec leurs CD de musique et leurs posters, mais venez quand même avec un peu d'argent, et vous pourrez repartir avec :

Contrairement à ce que semble suggérer mon illustration fallacieuse, nous n'aurons pas de parapluies Debian à ma connaissance… Voilà, si vous ne saviez pas quoi faire le dernier week-end de novembre, maintenant vous savez. :-)

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Christophe Brand : Ubuntu 12.10 Quantal Quetzal

vendredi 19 octobre 2012 à 16:33

La nouvelle version de Ubuntu est sortie, Ubuntu 12.10 Quantal Quetzal, issue de 6 mois de développement après la sortie de la version 12.04, cette nouvelle version nous apporte son lot de nouveautés et de correction de bugs.

La nouveauté la plus évidente est l'apparition de Unity Web Apps, une fonction innovante qui est un ensemble d'environ 30 sites web populaires à intégrer dans votre bureau comme si c'était des applications classiques, une fois ajoutées et intégrées, ces applications comme Gmail, Facebook, Amazon, Youtube ou autre s'ouvriront chacune dans leur propre fenêtre et vous recevrez les notifications dans le HUD (menu vertical de Unity)

D'autres nouveautés ont fait leur apparition comme la possibilité de se connecter à un bureau distant et sa notification dans le panel, quelques nouveautés au niveau des "Comptes en Ligne", il y a maintenant une "session invité", le gestionnaire de connexions LightDM qui prend en charge les protocoles d'accès à distance RDP, Wmware View et ICA, les icônes sponsorisés "Amazon", "Ubuntu One", et "Ubuntu One Music"  font maintenant partie du lanceur, quelques modifications au niveau de l'apparence etc…etc….je vous laisse les découvrir par vous-mêmes.

Cette nouvelle mouture est une version à support à court terme (2 ans) contrairement à la version 12.04 qui est une LTS (Long Time Support 5 ans), si vous êtes sur 12.04 il n'est pas indispensable d'upgrader vers la 12.10 puisque son support s'arrêtera avant votre version 12.04, de ce fait, si vous êtes sur 12.04, le système ne vous proposera pas de passer à la version supérieure.

D'ailleurs il vaut mieux ne pas mettre à jour tout de suite car vous risquez de vous retrouver avec un système qui ne reconnaît pas votre carte graphique, c'est le cas sur mon PC portable, le système m'affiche "Carte Graphique Inconnue" donc ça peut poser de nombreux problèmes.
Espérons que les pilotes de carte graphique arriveront rapidement, personnellement je suis sur 12.04 KDE et je ne ferai pas l'upgrade car mon système fonctionne à merveille je ne voudrais pas risquer de me retrouver avec un truc bancale.

Si vous souhaitez quand même faire l'upgrade vous devez configurer vos sources de logiciels de manière à prendre en compte toutes les versions et pas seulement les versions LTS…..

Pour cela vous devez choisir dans le menu déroulant toutes les versions (Normal Releases), une fois que ce sera fait le système synchronisera la liste des paquets et vous proposera le passage à la version supérieure, il vaut mieux aussi choisir le serveur principal plutôt que le serveur français.

Si vous choisissez d'upgrader pensez quand même à sauvegarder vos donnée importantes (documents, musique, vidéos, photos etc….etc….)

Si vous choisissez de faire une installation fraîche alors vous verrez que 12.10 propose de nouvelles options d'installation:

Bien sur vous pouvez toujours configurer vos partitions vous mêmes, le LVM ça peut être bien mais si un des volumes physiques devient HS, alors c'est l'ensemble des volumes logiques qui utilisent ce volume physique qui sont perdus, il vaut mieux utiliser LVM sur des disques raid par exemple.

Il y a un point important à connaître: Les versions CD et Alternate ont disparu, le fichier ISO de la distribution ne peut plus être gravé sur un simple CD car la taille du fichier dépasse la capacité d'un CD il faut donc le graver sur un DVD ou créer une clé USB bootable sur laquelle on mettra Ubuntu 12.10.

Si vous choisissez de crypter votre disque au moment de l'installation il vaut mieux je pense prendre l'habitude de faire des sauvegardes régulières de vos travaux car en cas de gros plantage il sera peut être impossible de récupérer vos données en branchant votre disque dur sur une autre machine par exemple. (j'ai bien dit "peut-être impossible")

L'installation dure environ 15/20 minutes et si vous connectez internet avant de commencer alors le système téléchargera les fichiers de langue et les éventuelles mises à jour durant le processus (si vous avez coché les cases bien sur)

L'outil de partitionnement est toujours présent et vous pourrez organiser vos partions comme bon vous semble

Si vous avez plusieurs disques et un autre système d'exploitation sur votre machine, pensez à bien choisir le disque sur lequel vous allez installer Ubuntu, c'est important car par défaut c'est le premier disque dur déclaré dans le BIOS qui est choisi par le système et si vous ne faites pas attention vous risquez de supprimer involontairement votre autre système (si vous en avez un)

Si vous avez plusieurs disques durs pensez à vérifier et modifier le cas échéant l'emplacement du menu de démarrage (GRUB) si par exemple vous avez un disque sur lequel est installé Windows et que vous ne voulez pas le modifier alors il vous faudra mettre le menu de démarrage sur le disque où sera installé Ubuntu et modifier l'ordre des disques dans le menu BOOT de votre BIOS, de cette manière votre disque Windows ne sera pas altéré.

Si vous n'avez qu'un seul disque et que vous avez l'intention de faire un dual-boot alors vous n'aurez pas le choix, vous serez sans doute obligé de placer le GRUB sur ce disque.
Il est peut-être possible de placer ce menu de démarrage sur clé USB, car comme on le voit sur la copie d'écran ci-dessous ma clé Verbatim apparaît dans les choix proposés mais je n'ai pas essayé, de plus ça obligerait à brancher cette clé à chaque démarrage du PC pour lancer Ubuntu et si cette clé venait à être endommagée il faudrait alors avoir recours à une réparation du GRUB qui est un peu compliquée.

Si vous voulez avoir seulement Ubuntu sur votre ordinateur alors ne vous préoccupez-pas de l'emplacement du GRUB et laissez le système choisir lui-même.

Bon alors, après quelques tests je trouve que dans l'ensemble c'est parfait, même si je n'aime pas du tout Unity mais alors il y a un truc qui est particulièrement gonflant c'est toutes ces publicités déguisées qui viennent polluer votre Dash, heureusement qu'on peut désactiver ça en tapant dans un terminal:

sudo apt-get remove unity-lens-shopping

Une fois le système installé pensez à:

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