Comme je l'ai déjà dit à de nombreuses reprises sur ce blog, j'ai assisté au SSTIC cette année, et j'ai eu l'occasion de faire une présentation des conférences à mon boulot.

Même si le SSTIC est passé depuis 1 mois, je partage quand même mes slides! C'est peut être plus simple à lire pour avoir un aperçu des présentations qui ont été données. Attention toutefois, ces slides sont prévues pour être accompagnées d'explications orales, il manque donc beaucoup de détails sur celles-ci ;-)

• Slides en pdf.
• Slides en odp (Libre Office).

Puisque je suis inscrit sur Slideshare, j'en ai profité pour y déposer les slides ;-)

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De nombreux défis attendent Ubuntu dans son projet de convergence entre diverses plateformes. L'un de ceux-ci est le développement et l'adoption d'un nouveau serveur d'affichage graphique, nommé Mir, qui atterrira dans la distribution dès la prochaine version au mois d'octobre. Construire sur du neuf plutôt que modifier l'historique serveur graphique X.org permet de créer une pile plus légère et plus performante dans un environnement convergeant. Mir a aussi la capacité d'exploiter les pilotes conçus pour Android, ce qui le rend particulièrement intéressant en prévision d'un déploiement sur mobiles. Une première version du couple Mir/Unity 8 a été démontrée à la fin du mois de mai, dans un environnement de test dans un ordinateur portable et dans un Galaxy Nexus. Cependant, si l'adoption de ce nouveau serveur graphique sera sans doute moins douloureuse sur mobiles, de nombreuses applications pour postes de travail dépendent directement de la pile graphique déjà existante. Pensons entre autre aux environnements de bureau. Certes, ils peuvent être adaptés pour utiliser les technologies de Mir, mais ceci demande du temps et de la volonté. Pour palier à ce problème, XMir a été développé. XMir est un greffon permettant de faire fonctionner un serveur X.org au-dessus de Mir, de manière à ce que toutes les applications nécessitant X.org fonctionnent malgré la présence de Mir. Thomas Voß, développeur d'Ubuntu travaillant sur le projet Mir, a récemment publié des captures d'écran démontrant GNOME Shell, KDE, Xfce et LXDE fonctionnant avec XMir, donc dans un environnement où Mir est le principal serveur graphique ; Jono Bacon a plutôt opté pour une vidéo de démonstration.  

Les objectifs pour octobre 2013

Afin de le tester et le peaufiner davantage dans un pléthore de configurations, il est prévu que Mir devienne le serveur d’affichage par défaut dans Ubuntu 13.10. Les objectifs pour octobre, tels qu'annoncés par Oliver Ries, ingénieur de Mir chez Canonical, sont les suivants :

• dans Ubuntu Touch, Mir avec Unity 8 seront de la partie ;
• dans Ubuntu pour postes de travail, Unity 7 sera l'interface par défaut et fonctionnera avec XMir lorsque la puce graphique utilise un pilote libre (intel, nouveau ou radeon, par exemple) ;
• toujours dans Ubuntu pour postes de travail, Unity 7 fonctionnera au-dessus d'un serveur X.org traditionnel lorsque la puce graphique utilise un pilote binaire non-libre (les pilotes nvidia et fglrx, par exemple).

Dans un premier temps, Mir est installable à partir d'un PPA dans Saucy Salamander. Les ingénieurs de Mir discutent actuellement avec les personnes en charge de l'expérience utilisateur chez Ubuntu pour définir une date à partir de laquelle Mir remplacera X.org dans les images de développement. La transition devra être transparente pour l'utilisateur final. Cette première itération stable sera aussi l'occasion de publier une première version de l'API de Mir pour permettre à d'autres projets d'utiliser Mir.  

Kubuntu et Lubuntu n'adopteront pas XMir

Suite à l'annonce de ce plan de déploiement dans Ubuntu, les personnes en charge des projets communautaires Kubuntu et Lubuntu ont déclaré que leurs variantes n'adopteront pas Mir. Jonathan Riddell a publié un billet dans les blogs de KDE dans lequel il indique que Kubuntu demeurera fidèle à X.org dans Kubuntu 13.10. L'équipe de Kwin (le gestionnaire de fenêtres de KDE) n'a aucun plan pour un jour prendre en charge Mir ; du coup, il n'est pas dans l'intérêt de Kubuntu d'adopter Mir (même s'il a été démontré que KDE peut fonctionner au-dessus de Mir avec XMir). Kubuntu compte suivre les plans de l'équipe de Kwin, à savoir rester avec X.org jusqu'au passage à Wayland. Du côté de Lubuntu, Julien Laverge a posté dans la liste de diffusion ubuntu-devel l'intention de la variante de conserver aussi X.org pour la prochaine version. Considérant les mauvaises performances de certains équipements lorsqu'elles utilisent un compositeur -- et ces équipements sont la cible principale de Lubuntu --, l'équipe préfère simplement observer l'avancée de Mir et XMir sans procéder à un changement officiel. Xubuntu, Edubuntu et Ubuntu GNOME n'ont pas encore fait d'annonce à ce sujet.  

Les plans pour l'après-Saucy

Pour la prochaine version LTS (14.04), Ubuntu pour postes de travail fonctionnera encore avec une solution basée sur XMir mais, cette fois-ci, ce sera aussi bien pour les pilotes libres que pour les pilotes propriétaires. Ces derniers devraient en effet prendre en charge Mir. Avec la version 14.10 qui suivra, on devrait voir pour la première fois le serveur Mir fonctionnant sans l'aide de XMir pour afficher Unity dans l'édition pour postes de travail. La convergence graphique sera enfin attente entre les éditions bureautique et mobile. Kubuntu sera fournie avec X.org pour Kubuntu 14.04. Jonathan Riddell espère ensuite que Wayland sera assez mature et deviendra le serveur d'affichage par défaut à partir de Kubuntu 14.10 -- en phase avec les choix faits par l'équipe de Kwin de ne prendre en charge que Wayland. Lubuntu sera aussi fournie avec X.org pour Lubuntu 14.04. Cependant, cette variante est tout d'abord observatrice des avancées de Mir et reste ouverte à l'idée d'adopter Mir à partir de Lubuntu 14.10 si les performances sur des équipements moins récents sont au rendez-vous.  

Xmir, des performances en retraits... Pour le moment

À la demande de Canonical, Phoronix a réalisé une première série de tests avec une puce graphique Intel en 3D et en 2D, ainsi qu'avec le pilote Nouveau pour les cartes graphiques Nvidia, le tout sur la version de développement de XMir. Visiblement, sans trop de surprise, les performances restent en retrait par rapport à un serveur X.org seul. Dans un article récent, Christopher Halse Rogers, l'un des développeurs principaux de Mir, explique quels sont les points à améliorer pour offrir des performances au niveau de celles de X.org :

• activer le contournement du compositeur lorsqu'une application fonctionne en mode plein écran (tel que les jeux ou les films) ;
• optimiser la communication entre Mir et X.org ;
• quelques problèmes liés à la gestion du pointeur de la souris.

D'autres points pourraient également impacter positivement les performances avec certaines puces graphiques, comme la prise en charge par SNA de l’accélération 2D dans les GPU Intel. Toutes ces optimisations devraient arriver avant la sortie d'Ubuntu 13.10 en octobre prochain. On restera donc attentif quant à l'évolution des performances, point important si les développeur souhaitent proposer XMir rapidement aux utilisateurs.

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Midnight Commander est un gestionnaire de fichiers open source complet, qui arbore une interface pourvue d’une vue divisée en deux panneaux et surtout, qui fonctionne au sein du terminal. Que les allergiques se rassurent car si vous pouvez l’utiliser en ligne de commande, la souris est également reconnue et pourra servir à effectuer quasiment toutes les actions de base.

Au niveau des fonctionnalités Midnight Commander inclut donc le support de la souris, mais fournit également une foule d’autres options comme par exemple, un sous Shell visant à faciliter l’exécution des commandes, une visionneuse intégrée supportant les fichiers binaires et virtuels, un éditeur de coloration syntaxique, la création/copie/déplacement/suppression de fichiers (en lot), la gestion des fichiers compressés (rar, zip, tar, etc), le support de l’extraction des fichiers deb, rpm et la gestion de fichiers en ligne via FTP ou SSH.

Outre le fait que ce genre de soft soit parfait pour passer pour « LE » geek de la soirée, il est surtout très utile si vous utilisez une machine ancienne aux ressources modestes, ou encore sur Raspberry PI sur lequel il peut s’avérer très intéressant utiliser. La version 4.8.9 de Midnight Commander vient d’être publiée récemment, embarquant son lot d’améliorations, de nouveautés et de corrections de bugs.

On notera par exemple l’introduction du soutien d’UnRAR 5, diverses améliorations relatives à l’écriture des images ISO, l’amélioration du support pour les fichiers de grande taille, le support de la gestion des options de copies, qui peuvent désormais être mises en pause pour une reprise ultérieure. On notera également l’utilisation de Xorisso pour l’écriture des images ISO, le support des noms fichiers de taille illimitée et bien d’autres choses encore…

Si vous voulez en savoir un peu plus ou vous procurer Midnight Commander, vous pouvez vous rendre sur la page officielle du projet. Vous pouvez également consulter le changelog et si vous n’êtes pas tout à fait convaincu, je vous laisse jeter un œil sur ces quelques captures, qui vont vous en montrer un peu plus sur les différentes options disponibles dans Midnight Commander.

Magnifique non ?!!

On précisera enfin pour les utilisateurs d’Ubuntu et dérivés qui le désirent, qu’ils peuvent utiliser le PPA suivant (webupd8) et ces quelques lignes de commandes pour installer Midnight Commander.

Installer Midnight Commander sur Ubuntu et dérivés :

sudo add-apt-repository ppa:nilarimogard/webupd8
sudo apt-get update
sudo apt-get install mc

Désinstaller Midnight Commander :

sudo add-apt-repository -r ppa:nilarimogard/webupd8
sudo apt-get update
sudo apt-get remove mc

Pour installer Midnight Commander sur Archlinux, entrez ceci dans votre terminal :

pacman -S mc

Amusez-vous bien.

source

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Depuis que l’affaire PRISM a éclaté au grand jour, les gens ont -enfin- commencé par prendre au sérieux les problèmes liés au respect de leurs vies privées sur Internet. Ainsi par exemple, quelques semaines après les premières révélations de Snowden, le moteur de recherche duckduckgo.com a vu son trafic explosé, contrairement à Google, qui a connu une baisse du nombre de recherches effectués sur son moteur, dans des pays comme l’Espagne ou la France.

Même sur ce modeste blog, les statistiques parlent d’eux même, mes articles qui traitent de l’anonymat et la vie privée sur le réseau, sont parmi les plus fréquentés. Et c’est tant mieux si les gens s’intéressent de plus en plus aux logiciels qui ne violent par leurs vies privées, ou permettent aux agences de renseignements d’avoir un accès complet à leurs données personnelles.

Et parmi les logiciels que j’encourage vraiment les possesseurs d’un smartphone android à installer et utiliser, il y a Orweb. C’est un navigateur web qui permet de naviguer sur Internet en toute sécurité et de façon anonyme grâce à Orbot, une application proxy qui utilise Tor. Tous les deux sont développés par The Guardian Project. À vrai dire, Orweb est l’équivalent de Tor Browser Bundle !

Cliquer ici pour voir la vidéo.

Certains vont peut-être se plaindre de la lenteur d’affichage des pages, dites-vous que c’est un tout petit prix à payer et que la protection de votre vie privée en vaut ce petit sacrifice.

Cet article Orweb, le navigateur Web à installer sur votre smartphone android est apparu en premier sur crowd42.

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Les CMS ou Content Management System appelés plus communément en français logiciel de gestion de contenu font désormais parti des “must have” dans les entreprises, associations ou encore le secteur public. C’est un marché désormais largement dominé par les logiciels libres ou open source. Voici un état des lieux en la matière basé sur les différentes interviews que j’ai réalisées sur le salon Solution Libres et Open Source 2013 ainsi que les CMSDay 2013.

Un an après la réalisation d’un premier panorama, en voici sa mise à jour. Globalement, il n’y a pas de grand chamboulement dans les acteurs présents. Nous commencerons par une interview de Grégory Bécue  de chez Smile . Grégory et les CMS c’est un peu l’interview immanquable sur le sujet.

Un échange qui vous permettra de savoir où en est aujourd’hui le monde des CMS et les grandes tendances et évolutions comme la prise en compte de la mobilité. Grégory illustre notamment les différentes approches de la mobilité par les CMS. Vous apprendrez aussi quels sont les CMS qui montent en ce moment comme Ametys, Concrete 5 qui m’avait séduit par sa facilité de prise en main ou encore Rubedo utilisant une base de données NoSQL.

Ce panorama ne vise à pas à l’exhaustivité, mais présente les principaux acteurs de ce secteur. Il existe en effet une quantité d’autres CMS plus ou moins utilisés. Il manque également une interview ce SPIP, mais je n’ai pas eu d’intervenant de leur part.

Panorama des CMS libres ou open source

Cette année encore, je vais classer ses CMS par technologie. Deux grandes familles s’affrontent : celles basées sur le langage PHP et celles écrites en Java. Le choix n’est pas neutre. Les solutions basées pour Java sont en général taillées pour les “Grands comptes”. Ces derniers disposent des équipes techniques et surtout des infrastructures nécessaires au fonctionnement de ce langage. Un choix souvent guidé par les problématiques de déploiement à grande échelle.

PHP se veut plus léger et plus simple de mise en œuvre. De plus il existe un très grand nombre d’offres d’hébergements mutualisés supportant ce langage. Un ticket d’entrée donc très faible et qui caractérise ses solutions. La montée en charge est tout à fait réalisable, mais demande de faire appel à des spécialistes de ce type d’infrastructure.

Il ne faut pas oublier non plus la famille des outils développés en Python comme Plone par exemple. Ils sont cependant plus rares.

Comme vous le constaterez, certaines interviews ont été réalisées en “duo”. De fait certains CMS ne se trouvent pas forcément dans leur bonne famille de langage de développement. Ce point est signalé dans les commentaires qui suivent le cas échéant.

Famille PHP

CMS MADE SIMPLE : CMS Made simple met l’accent sur la légèreté et l’économie en ressources matérielles présentée par Kevin DANEZIS, French community manager. En savoir plus…

DRUPAL : Ce CMS aujourd’hui doté d’une forte communauté professionnelle connaît un succès certain auprès des entreprises et dispose de nombreuses déclinaisons sous forme de “distributions”. Interview de Cyril Reinhard et Olivier Friesse, respectivement Regional Director Southern Europe d’Acquia et Président de l’Association Drupal France. En savoir plus…

eZ PUBLISH : Un logiciel né en 1999 en Norvège et qui met aujourd’hui l’accent sur la gestion de l’expérience utilisateur en proposant des extensions permettant de personnaliser le contenu proposé aux visiteurs en fonction de leur parcours sur un site. Emilie DANTZIKIAN, Responsable marketing eZ System France nous présente l’actualité de ce CMS. En savoir plus…

HIPPO & TYPO3 : Type3 est un projet qui date des années 2000 et qui nous vient du Danemark. Un CMS à destination des entreprises permettant de construire d’importants portails. Il est présenté par Ben Van’t Ende, TYPO3 Community Manager.Hippo est un projet mettant en œuvre le langage Java. Il met l’accent sur la publication des contenus sur tous les canaux de diffusion existant aujourd’hui comme les sites web, les smartphones et les tablettes. Présentation par Steven Fockema Andreae, Partner Management chez Hippo. En savoir plus sur Hippo et Typo3.

RUBEDO & NOVIUS OS : Ce sont les deux petits “jeunes” de ces CMSDay. Rubedo a fait le choix de NoSQL pour sa base de données et NoviusOS mise sur une interface graphique de type “Desktop” qui en fait une plateforme d’application. Ils sont présentés respectivement par Didier Fanchon CEO Rubedo et Antoine Lefeuvre Chief Innovation Officer Chez Novius. En savoir plus sur Rubedo et Novius OS…

RBS CHANGE : Un logiciel qui évolue en apportant des fonctionnalités de e-commerce à la gestion de contenu pour offrir une solution unifiée.Interview d’Eric Voltzenlogel, Ingénieur avant-vente RBS Change. En savoir plus…

SPIP : Pas d’interview cette année, malgré la présence du CMS français dans la liste des participants. Vous pouvez regarder la vidéo 2012 et vous reporter au site du projet.

WORPRESS & JOOMLA : réunis dans une même interview les deux poids lourd du CMS. Interview d’Amaury Balmer, représentant de la communauté WordPress et Directeur Technique chez BE API, et Yann Gomiero, Président de l’AFUJ représentant Joomla. En savoir plus sur Joomla et sur Worpdress…

Famille Java

AMETYS : Ce logiciel a pour particularité d’être issu du monde industriel et de “technologues” et qui cherche aujourd’hui a élargir sa notoriété auprès des collectivités notamment territoriales. Un CMS 100% français. Sylvie SUCHET, Présidente d’Anyware Service, la société d’éditrice d’Ametys nous le présente. En savoir plus…

JAHIA : Un CMS qui axe son développement sur la convergence entre les besoins de gestion de site et de gestion de portails applicatifs. Il intègre un outil nommé Jahia Studio qui permet de réaliser de façon simple et graphique la mise en forme du site. Il est présenté par Elie AUVRAY, CEO de Jahia Solution Group. En savoir plus…

LIFERAY : Un CMS développé en Java et orienté systèmes d’informations des entreprises qui permet de bâtir des portails d’application métier présenté par Marc BRASSIER, Alliance manager chez Liferay. En savoir plus

LUTECE : A l’origine de ce projet, la ville de Paris qui en 2001 développa une plate-forme web pour l’ensemble des mairies d’arrondissement avec la contrainte de n’utiliser que des logiciels libres. Cet outil permet également le développement d’application métiers. Interview de Pierre Lévy, Manager and senior open source software architect at City of Paris. En savoir plus…

MURA : un nouveau également sur ce CMSDay 2013. Ce logiciel a été créé par une société Californienne Blue River Interactive Group. Présentation par de Grant Shepert. En savoir plus…

X-WIKI : positionné à l’origine sur la gestion de la connaissance avec une approche basée sur le concept de wiki, le logiciel évolue pour se positionner comme un CMS à part entière. Il est vrai que d’un point de vue fonctionnel, la proximité est forte.  Interview de Guillame Lerouge, Sales & Client Projects Manager at XWiki SAS. En savoir plus…

Famille Python

PLONE : Plone est un CMS s’appuyant sur l’environnement de développement Zope mettant en œuvre le langage de développement Python, c’est Michaël Launay, Gérant fondateur d’Ecréall qui nous le présente. En savoir plus…

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Article original écrit par Philippe Scoffoni le 16/07/2013. | Lien direct vers cet article

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