Récemment j’ai acheté un téléphone ZTE Open fonctionnant sous Firefox OS et qui dispose d’un agenda. Etant donné que j’utilise Lightning dans Thunderbird avec mon ordinateur portable, j’ai souhaité pouvoir synchroniser les deux.Mon choix s’est alors porté sur Radicale qui est une solution pour serveur pour partager des calendriers (et contacts). L’idée était donc de publier mon agenda de Lightning, de le publier sur le serveur et ensuite de pouvoir le récupérer sur mon téléphone portable.

Installation de Radicale

Je l’ai effectuée sur un serveur dédié en utilisant les paquets disponibles dans l’utilitaire Python pip afin d’avoir la version la plus récente.
pip install radicale
Ensuite comme je ne souhaite pas que mon calendrier soit accessible par n’importe qui, je l’ai protégé par mot de passe. J’ai d’abord créé un répertoire de configuration pour Radicale :
mkdir /etc/radicale
Puis j’ai généré un mot de passe grâce à l’utilitaire htpasswd.
htpasswd -c /etc/radicale/users mirelsol
Ensuite il faut créer un fichier de configuration pour Radicale, qu’on place dans le fichier /etc/radicale/config. On peut utiliser le fichier de configuration par défaut défini dans la documentation de Radicale. J’ai ensuite modifié les options suivantes :

[server]
...
ssl = False
...
[auth]
type = htpasswd
...
htpasswd_filename = /etc/radicale/users

Enfin on lance simplement Radicale :
radicale
A noter que le port par défaut est le 5232, il faut donc éventuellement ajouter une règle dans le firewall.

Configuration de Lightning

J’ai d’abord publié mon agenda figurant sur mon ordinateur portable :
http://mon.adresse.ip:5232/mirelsol/perso.ics/
mirelsol est le nom d’utilisateur souhaité et perso.ics est un nom arbitraire.
Il faut alors s’authentifier avec le nom d’utilisateur et mot de passe qui ont été créés lors de l’installation de Radicale.
Ensuite pour qu’il y ait synchronisation possible, depuis Lightning j’ai créé un nouvel agenda « réseau » en choisissant le format CalDAV et en indiquant http://mon.adresse.ip:5232/mirelsol/perso.ics/ pour l’emplacement. A ce stade j’ai donc récupéré l’agenda que j’avais précédemment publié et j’ai ensuite pu supprimer l’agenda local.

Configuration de l’agenda de Firefox OS 1.0

Dans l’agenda j’ai créé un compte distant en choisissant le format CalDAV et en renseignant l’utilisateur et le mot de passe créés avec Radicale. Pour l’emplacement j’ai simplement précisé l’adresse :
http://mon.adresse.ip:5232
A partir de là Firefox OS m’a récupéré mon calendrier perso.ics. Ensuite il ne reste plus qu’à bien effectuer la synchronisation dans Firefox OS et de l’autre côté dans Lightning. A noter que dans l’agenda de Firefox OS, on ne voit pas d’un coup d’oeil les jours où un évènement est prévu… il faut d’abord sélectionner un jour…

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C’est une première qui ouvre de nouveaux horizons pour Firefox sur le marché Android. Mozilla vient d’annoncer sur son blog que des constructeurs de smartphones et de tablettes vont préinstaller Firefox, ce qui incitera d’autres à faire de même, espérons-le.

Il y a peu de temps encore, acheter un smartphone ou une tablette tactile Android signifiait utiliser le navigateur intégré. Ce navigateur, dérivé de Webkit, ne portait d’ailleurs même pas de nom dans les précédentes versions d’Android : c’était « Le navigateur Android ». Il s’appelle désormais Chrome dans les dernières versions. Quoi qu’il en soit, si l’on veut disposer d’une alternative, il faut installer soi-même Firefox pour Android sur Google Play, même si ce n’est pas gagné lorsqu’on dispose de très peu de mémoire intégrée (parfois largement squattée par des programmes fournis par l’opérateur téléphonique). Cela dit, Firefox remporte déjà un beau succès sur Android, puisqu’il a une note excellente sur Google Play, et ça ne devrait pas s’arrêter là avec cette nouvelle annonce de Mozilla.

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Ce qui suit est la traduction du message posté sur le site de Yorba, une organisation à but non lucratif qui développe entre autre, Geary, le client de courriels installé par défaut sur votre système elementaryOS.

Nous avons reçu beaucoup de plaintes des utilisateurs car Geary 0.4 n'est pas disponible pour Ubuntu 12.04 (Precise Pangolin) et elementaryOS Luna. Ce n'était pas une décision arbitraire de notre part. En développant Geary 0.4, nous avons découvert que de plus en plus de composants sur lesquels Geary s'appuie, ont changé ou sont tout simplement indisponibles sur 12.04/Luna. Il ya un coût d'ingénierie tangible à maintenir la compatibilité ascendante. À un certain moment, cet été, nous avons réalisé que c'était trop de travail pour maintenir la version 12.04/Luna ainsi que de nouvelles versions pour Ubuntu, Fedora, et tous les autres distributions.

Mais Ubuntu 12.04 et elementaryOS Luna ont une base de fans stables qui aimerait vraiment utiliser Geary 0.4. Donc, que faire ?

Nous avons des ressources limitées, mais nous ne voulons pas laisser les utilisateurs dans le besoin. Nous croyons que c'est un problème qu'à à la fois Yorba et la communauté peuvent résoudre. Nous avons donc créé une prime pour le problème :

Si quelqu'un (ou un groupe de personnes) résout ce problème pour nous (et donc tout le monde), il sera récompensé par des espèces sonnantes et trébuchantes. C'est aussi simple que cela.

Si vous êtes intéressé, lisez la suite :

Il ya deux pages que vous devriez lire : le billet sur la page du projet de Yorba (qui détaille les problèmes et les directives pour la collecte des primes) ainsi que la page sur Bountysource.com (où les fonds promis sont listés).

Si vous voulez voir Geary 0.4 fonctionné sur 12.04/Luna et que vous pouvez aider. Aller à la page de Bountysource.com et donnez ce que vous pouvez. Plus la communauté offre, plus les développeurs seront motivés pour relever ce défi. Ce n'est pas facile ce que nous demandons - quiconque s'occupera de ce défi mérite une récompense pour son temps, son énergie et son expertise. Qui plus est, si on ne résout pas ce problème, vous récupérerez votre argent (moins les frais de Bountysource.com).

Si vous avez les moyens de rétroporter Geary 0.4 pour Ubuntu 12.04 et elementaryOS Luna, allez y. Assurez-vous de lire ce billet où vous pourrez voir toutes les recommandations. Ce n'est pas une simple question de compilation de Geary sur Ubuntu 12.04. Vous devez vous assurer que toute personne installant Ubuntu ou elementaryOS peut installer Geary via le gestionnaire de paquets. Les développeurs de Yorba sont prêts à vous guider, offrir des conseils, à vous indiquer les ressources disponibles ou commits pouvant vous intéresser. Mais il est nécessaire que vous y arrivez.

Juste pour montrer que nous sommes sérieux à ce sujet, Yorba a déjà offert 500 $. Nous espérons que la communauté va offrir plus d'argent pour pimenter davantage le pot. Si tout le monde qui nous a demandé de backporter Geary 0.4 sur 12.04/Luna offre 10 $, 25 $ ou 50 $ pour le travail, il n'y aurait aucun problème à trouver quelqu'un pour faire le travail.

(Note:. Les Employés de Yorba ont l'interdiction de recueillir de l'argent pour les projets liés à Yorba)

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Paris, le 7 novembre 2013. Communiqué de presse.

Deux ans après la convocation d’une centaine d’inspecteurs de l’Éducation nationale au siège de Microsoft France, l’April, Framasoft, le CNLL, SavoirsCom1 et l’Aful s’étonnent d’une nouvelle entorse à la neutralité scolaire et à l’intérêt du service public d’éducation.

Le 19 novembre 2013, plusieurs responsables de l’Éducation nationale se déplacent au siège de la société Microsoft1. Michel Pérez, Inspecteur général de l’Éducation nationale, Catherine Becchetti-Bizot, Inspectrice générale, Directrice du Comité Stratégique pour le Numérique à l‘École ainsi que des représentations des associations de collectivités viennent découvrir une étude coordonnée par Ludovia Magazine, en association avec Microsoft, Intel et SFR2.

Le titre de l’étude se veut neutre : « Investissement des collectivités en matière de numérique à l’école ». Le dispositif de communication ne l’est pas. Par leur présence à la table ronde organisée par Microsoft, les Inspecteurs généraux légitiment l’appropriation de l’Éducation nationale par une société privée. Les signataires de ce communiqué dénoncent fermement cette nouvelle entorse à la neutralité scolaire et à la mission de service public de l’éducation nationale.

Les collectivités territoriales souhaitent-elles vraiment favoriser l’exploitation commerciale de l’école par quelques grandes sociétés pour lesquelles l’éducation est exclusivement un marché captif ?

Ce n’est pas la première fois que des responsables de l’Éducation nationale se déplacent au siège de la société Microsoft. Lors du salon Éducatec-Éducatice 2011, les inspecteurs de l’Éducation nationale chargés de mission nouvelles technologies (IEN-TICE) s’étaient vu convoqués par leur hiérarchie pour tenir leur journée annuelle au siège de la société Microsoft. L’April et Framasoft avaient déjà dénoncé « une véritable entorse à la neutralité scolaire et vivement regretté que les programmes de ces journées ne mentionnaient pas les logiciels et ressources libres3. Malgré la circulaire du premier ministre « Pour l’usage des logiciels libres dans l’administration »4.

Ce n’est pas non plus qu’un accident de parcours. Les services de l’Éducation nationale envoient depuis plusieurs mois des signaux inquiétants. Le rapport de l’Inspection générale sur « La structuration de la filière du numérique éducatif : un enjeu pédagogique et industriel »5 est très peu documenté sur les logiciels et ressources libres ou, au mieux minimise leur apport. Et le rapport n’aborde que très succinctement l’une des dispositions importantes du texte de loi pour la refondation de l’école qui recommande : « l’incitation au développement de ressources numériques se fera notamment en faveur de logiciels libres et de contenus aux formats ouverts »6. Les signataires de ce communiqué auraient pu, avec d’autres, aider les rédacteurs dans leur travail afin d’arriver à un rapport plus exhaustif.

« L’école ne doit pas être un marché captif des éditeurs privateurs du numérique. L’école que nous appelons de nos vœux, ne doit pas enseigner « avec  » le numérique sur des produits privateurs dans une approche de type B2i qui forme avant tout des consommateurs passifs » déclare Rémi Boulle, vice-président de l’April, en charge du groupe de travail Éducation. Dans la continuité des principes hérités du siècle des Lumières, elle doit former des futurs citoyens responsables, capables de réfléchir de façon libre, indépendante voire les créateurs de demain.

Stefane Fermigier, Vice-Président du CNLL, rappelle pour sa part « La place du logiciel libre dans le système éducatif français est un enjeu majeur pour la compétitivité de notre économie. Pour continuer d’être à sa place de leader mondial du logiciel libre, la France doit aussi se doter d’une politique éducative forte dans ce domaine, en privilégiant l’usage d’outils pédagogiques libres, en fondant l’apprentissage du numérique à l’École sur les logiciels libres, et en enseignant les technologies et méthodologies propres au logiciel libre dans les filières informatiques et scientifiques ».

Enseigner « avec  » le « numérique » dans toutes les disciplines nécessiterait a minima :

• un véritable enseignement de la science informatique ;
• d’authentiques cours de technologie qui ne seraient plus limités, en collège, à la seule étude d’objets physiques dans lesquels l’informatique qu’ils pourraient incorporer est ignorée et traitée comme une boîte noire  ;
• un authentique apprentissage raisonné des logiciels et de l’internet qui n’est actuellement enseigné nulle part ;
• un enseignement des technologies et méthodologies propres au logiciel libre dans les filières scientifiques et informatiques ;
• l’utilisation de logiciels libres et la diffusion sous licence libre des ressources utilisées dans le service public de l’éducation ;
• une réflexion opérationnelle (approfondie) sur les contenus de cet enseignement, dès l’école primaire.

C’est également enseigner l’apprentissage du travail collaboratif, incompatible avec des ressources privatrices DRMisées, des formats de fichiers non interopérables, des licences qui ne permettent pas la libre circulation et le libre partage des savoirs. L’École ne doit plus être contrainte dans des systèmes privateurs et fermés.

Nous nous tenons à la disposition de l’Inspection générale et de Mme Catherine Becchetti-Bizot pour toute information complémentaire sur les logiciels et ressources libres pour l’éducation et leur souhaitons un riche salon Éducatec-Éducatice.

À propos de l’April

Pionnière du logiciel libre en France, l’April est depuis 1996 un acteur majeur de la démocratisation et de la diffusion du Logiciel Libre et des standards ouverts auprès du grand public, des professionnels et des institutions dans l’espace francophone. Elle veille aussi, dans leurre numérique, à sensibiliser l’opinion sur les dangers d’une appropriation exclusive de l’information et du savoir par des intérêts privés.

L’association est constituée de plus de 3 600 membres utilisateurs et producteurs de logiciels libres.

Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre sur le site Web à l’adresse suivante : http://www.april.org/, nous contacter par téléphone au +33 1 78 76 92 80 ou par notre formulaire de contact.

Contacts presse :

• Rémi Boulle, vice-président de l’April, en charge du groupe de travail Éducation, rboulle@april.org>, 06 05 03 32 30
• Frédéric Couchet, délégué général, fcouchet@april.org +33 6 60 68 89 31
• Jeanne Tadeusz, responsable affaires publiques, jtadeusz@april.org +33 1 78 76 92 82

À propos de Framasoft

Issu du monde éducatif, Framasoft est un réseau d’éducation populaire consacré principalement au logiciel libre et s’organise en trois axes sur un mode collaboratif : promotion, diffusion et développement de logiciels libres, enrichissement de la culture libre et offre de services libres en ligne.

Pour plus d’informations, vous pouvez vous rendre sur le site Web à l’adresse suivante : http://www.framasoft.org/ et nous contacter par notre formulaire de contact.

Contact presse :

• Alexis Kauffmann, fondateur et chargé de mission, aka@framasoft.org +33 6 95 01 04 55

À propos du CNLL

Le Conseil National du Logiciel Libre est l’instance représentative, au niveau national, des associations et groupements d’entreprises du logiciel libre en France. Le CNLL représente 13 associations et groupements, et par leur intermédiaire plus de 300 entreprises françaises spécialisées ou avec une activité significative dans le logiciel libre.

Le CNLL a pour principale mission de représenter l’écosystème du logiciel libre auprès des pouvoirs publics et des organisations nationales et internationales existantes.

Contact Presse :

• Amélie Vaysse, chargée de communication, relations presse. 01 41 40 11 42 – info@cnll.fr

À propos de SavoirsCom1

SavoirsCom1 est un collectif qui s”intéresse aux politiques des biens communs de la connaissance. Son action vise à faire en sorte que les politiques publiques favorisent la création, la diffusion et la mise en partage de biens communs informationnels. SavoirsCom1 défend lespositions exprimées dans son Manifeste.

Contact presse :

• savoirscom1@gmail.com ou Lionel Maurel, co-fondateur du collectif SavoirsCom1 calimaq@gmail.com

À propos de l’Aful

Association Francophone des Utilisateurs de Logiciels Libres, l’AFUL a pour principal objectif de promouvoir les logiciels libres ainsi que l’utilisation des standards ouverts. Ses membres, utilisateurs, professionnels du logiciel libre, entreprises ainsi que d’autres associations, sont issus d’une dizaine de pays ou de régions francophones (France, Belgique, Suisse, Afrique francophone, Québec).

Interlocuteur de nombreux médias, l’AFUL est présente sur nombre de salons, conférences et rencontres. Elle agit notamment activement contre la vente liée (site Non aux Racketiciels, comparatif bons-vendeurs-ordinateurs.info et bons-constructeurs-ordinateurs.info), pour l’interopérabilité (membre de l’AFNOR, participation aux référentiels d’interopérabilité et d’accessibilité de la DGME, site formats-ouverts.org, etc.), intervient sur les problématiques du droit d’auteur ainsi que pour la promotion de l’utilisation de logiciels et ressources pédagogiques libres pour l’éducation entendue au sens large.

Contacts presse :

• Jean-Yves Jeannas, vice-président Éducation de l’AFUL, jean-yves.jeannas@aful.org
• Laurent Séguin, président de l’AFUL, laurent.seguin@aful.org +33 (0)6 63 94 87 16
• Relations presse - AFUL : presse@aful.org

Notes

1. Le Numérique à l’École : un enjeu partagé
2.Lancement de la deuxième édition de l’étude sur le numérique éducatif dans les collectivités territoriales
3.Les inspecteurs de l’éducation nationale convoqués chez Microsoft
4.Circulaire Ayrault sur le bon usage des logiciels libres dans l’administration française
5. Michel Pérez est le coordonnateur du rapport « La structuration de la filière du numérique éducatif : un enjeu pédagogique et industriel », 24/09/2013
6.Loi n° 2013-595 du 8 juillet 2013 d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République publiée au Journal Officiel le mardi 9 juillet 2013  : « L’incitation au développement de ressources numériques se fera notamment en faveur de logiciels libres et de contenus aux formats ouverts ».

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Parmi les logiciels dont j’aime bien parler et que j’aime présenter sur le blog, les lecteurs multimédia occupent une place de choix. Il y en a de toutes les sortes allant des plus complets au plus basiques, voir même certains qui ne s’utilisent qu’en ligne de commande. Budgie (perruche) est un nouveau lecteur multimédia qui vient de faire son apparition, venant ainsi s’ajouter à la longue liste des lecteurs déjà disponibles sur GNU/Linux. Celui-ci arbore une interface sobre (GKT+3) et minimaliste et n’embarque pour le moment que quelques fonctions de base, qui ne manqueront certainement pas d’être complétées avec le temps. Pour être un peu plus précis sur les caractéristiques de Budgie nous pouvons déjà dire qu’il s’appuie sur GStreamer 1.0, qu’il permet la lecture de fichiers audio et vidéo, qu’il possède un mode de lecture aléatoire et une fonction de recherche. Il n’est pas aussi complet que d’autres solutions comme VLC, Clementine, et j’en passe, mais pour ma part cela ne me dérange pas plus que ça. Je préfère un soft qui fasse son taff sans broncher, qu’une alternative bourrée de fonctions mais limite usine à gaz.

Dans tous les cas et si j’en crois les captures, Budgie a l’air très sympa. Si vous voulez en savoir un peu plus sur ce nouveau projet vous pouvez vous rendre sur la page du site officiel, où vous aurez accès en prime à la feuille de route pour les prochaines versions. On peut y apprendre entre autres que des options telles que la gestion des répertoires en mode persistant, l’affichage des pochettes, l’importation de bibliothèques et la prise en charge des iPods devraient bientôt être de la partie.

Si vous voulez le tester vous pouvez le faire sur Archlinux où il a déjà été inclus dans les dépôts (via git). Vous pouvez également tenter une compil via les sources, disponibles sur la page Github du projet. Quoi qu’il en soit si vous testez n’oubliez pas que le projet est encore jeune et peut souffrir de quelques bugs et imperfections. Donc ne râlez pas et si vous en avez envie, essayez de les reporter ;)

Amusez-vous bien.

source, crédits image

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