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Framablog : Apollinaire, domaine public et... Romaine Lubrique !

mardi 1 octobre 2013 à 11:33

Hier, Apollinaire est (enfin) entré dans le domaine public !

Personne, ou presque, n’était au courant. Du coup, l’article Rebonds paru dans Libération du 30 septembre, et reproduit ci-dessous, a pour ainsi dire fait l’actu en étant repris par de nombreux autres médias : Le Point, Le Nouvel Observateur, Télérama, L’Express ou encore France Inter.

Ils ont cependant des excuses car il n’était pas évident de savoir que Guillaume Apollinaire s’élèverait dans le domaine public très exactement 94 ans et 272 jours après sa mort (sic !). Et d’en profiter au passage pour s’interroger sur le pourquoi du comment d’une si longue attente.

L’article de Libération a été co-signé par Lionel Maurel (Calimaq), Véronique Boukali et moi-même.

L’occasion également de vous présenter brièvement une nouvelle initiative soutenue par Framasoft[1] : le projet « Romaine Lubrique », qui comme son nom l’indique plus ou moins, s’intéresse à la valorisation culturelle du domaine public, vaste zone à dépoussiérer où le piratage n’existe plus et devient pleinement partage.

Vous y trouverez déjà une sélection de films, de photographies et évidemment une rubrique dédiée à Apollinaire avec un ePub d‘Alcools spécialement créé pour l’événement ainsi qu’une lecture audio des… Onze mille verges ! Romaine Lubrique a également récemment participé à deux émissions radios : Apollinaire’s not dead ! de Polémix et La Voix Off et une spéciale domaine public sur Divergence FM.

Une affaire à suivre donc, et pas seulement sur Twitter ;)


Apollinaire enfin dans le domaine public - Libération


Apollinaire enfin dans le domaine public !

URL d’origine du document

De l’eau a coulé sous le pont Mirabeau depuis la disparition de Guillaume Apollinaire. Et nous aurions pu patienter quelques années supplémentaires pour fêter en 2018 le centenaire de sa mort. Mais il nous semble plus opportun de célébrer comme il se doit ce 29 septembre 2013 car cela correspond très précisément à son entrée dans le domaine public.

On parle beaucoup plus en France du droit d’auteur que du domaine public. Pourtant, l’entrée d’une œuvre dans le domaine public constitue un événement d’importance, qui ouvre de larges possibilités en termes d’appropriation et de diffusion de la culture.

Durant leur période de protection, les œuvres font en effet l’objet de droits exclusifs, appartenant aux auteurs et à leurs ayants droit. Avec l’entrée dans le domaine public, l’extinction des droits de reproduction et de représentation va permettre à tout un chacun de citer, copier, diffuser et adapter l’œuvre d’Apollinaire. Un tel accès simplifiera la vie des enseignants et des chercheurs. Ses œuvres pourront faire l’objet de nouvelles éditions et traductions. De telles productions seront facilitées et pour cause : il ne sera plus nécessaire de demander une autorisation ni de verser de droits pour les faire. L’adaptation sous toutes ses formes devient également possible, qu’il s’agisse d’interpréter musicalement ses poèmes, de mettre en scène ses pièces de théâtre ou de réaliser des films à partir de ses contes et romans. Au-delà, les écrits d’Apollinaire pourront être librement diffusés sur Internet et c’est tout le champ de la créativité numérique qui s’ouvre pour son œuvre.

Contrairement à des idées reçues, l’arrivée dans le domaine public est souvent l’occasion de redécouvrir des œuvres et de leur donner une nouvelle vie. On ne « tombe » pas dans le domaine public, on y entre… voire on s’y élève. Nul doute que le passage dans le domaine public assurera à l’œuvre vaste et composite d’Apollinaire un nouveau rayonnement.

« Zone », « La Chanson du mal-aimé », « Le Pont Mirabeau » , les Poèmes à Lou, quelques uns de ses Calligrammes… Voilà à peu près ce que nos souvenirs d’adolescence nous ont laissé d’Apollinaire. Des formes nouvelles, un rythme si particulier, des images à la fois simples et saisissantes… Ce qui a fait de cet auteur le « poète de la modernité ». À partir de lundi, il sera plus aisé d’explorer l’étendue de son œuvre mais aussi de découvrir derrière l’Apollinaire des manuels scolaires une personnalité fascinante et polymorphe.

Certes, Apollinaire est bien sûr un poète, mais, on le sait moins, c’est aussi un journaliste chroniqueur, un critique d’art qui se rend aux expositions de ses contemporains, et même un scénariste de cinéma (La Bréhatine). Certes, Apollinaire a écrit une pièce d’avant-garde annonçant et baptisant le Surréalisme (Les Mamelles de Tirésias), mais il est aussi l’auteur de petits vaudevilles (À la cloche de bois). Certes, Apollinaire fut un amoureux transi réinventant le lyrisme poétique, mais c’était aussi un infatigable promeneur, observateur amusé se passionnant pour tout ce qui s’offrait à ses yeux gourmands (Le Flâneur des deux rives). C’était même l’auteur de plusieurs romans érotiques pleins de fantaisie et de drôlerie (on pourra relire, entre autres, le début réjouissant des Onze mille verges).

Mais pourquoi aura-t-il fallu attendre si longtemps ici ? Le cas Guillaume Apollinaire montre bien la situation complexe de la législation en la matière.

Aujourd’hui en France un auteur passe dans le domaine public le 1er janvier suivant les 70 ans de sa mort. Il n’en a pas toujours été ainsi, sans remonter au début du XIXe siècle avec son droit d’auteur réduit à 14 ans après la publication d’une œuvre, la période précédente était plus raisonnablement fixée à 50 ans post mortem (comme rien n’est simple le Canada en est resté lui à 50 ans, ce qui explique qu’on trouve déjà par exemple sur des sites québécois des œuvres d’Apollinaire que ne peuvent être légalement téléchargés depuis la France). En 2006, allongement de la peine donc, une directive européenne a fait passer la durée de protection de 50 à 70 ans… Mais ce n’est pas fini : il peut en outre y avoir des exceptions. On accorde ainsi un bonus à vos ayants droits si la période d’exploitation des œuvres traversent l’une ou les deux guerres mondiales (comme rien n’est simple cette prorogation repose sur l’ancienne durée légale de 50 ans) et si vous êtes « mort pour la France ».

Apollinaire fut blessé au front en 1916 par un éclat d’obus à la tempe alors qu’il était en train de lire dans sa tranchée. Il succomba deux ans plus tard de la terrible grippe de 1918. Jugeant que sa blessure l’avait affaibli, on reconnut cependant le sacrifice fait à la Nation. Résumons donc : né d’une mère polonaise et d’un père italien, Apollinaire est mort pour la France d’une grippe espagnole !

Et l’on obtient ainsi la longue somme suivante : 50 ans (durée classique) + 30 ans (mort pour la France) + 6 ans et 152 jours (1ère Guerre mondiale) + 8 ans et 120 jours (2nde Guerre mondiale). Soit un total de 94 ans et 272 jours qui s’en vont pour qu’enfin sonne l’heure de ce dimanche 29 septembre 2013. Ouf, il était temps…

L’œuvre du grand poète est désormais déposée dans le bien commun de notre patrimoine culturel : profitons-en pour la découvrir, la redécouvrir, la partager et s’en inspirer, comme le fait le site RomaineLubrique.org, et comme le feront bien d’autres à sa suite. Mais une question reste posée : celle de l’équilibre bien fragile entre le droit des auteurs (et de leurs héritiers) et ceux d’un public qui, à l’ère d’Internet, souhaite légitimement accéder plus facilement et rapidement à leurs œuvres.

Un domaine public plus vivant pour nos morts ? Le rapport Lescure, remis au ministère de la Culture en mai dernier, recommande de consacrer davantage la notion de domaine public et de favoriser son application. Fier d’avoir été in extremis naturalisé français, Apollinaire afficherait certainement la même volonté, et avec lui tous nos anciens, connus ou moins connus, qui attendent leur renaissance numérique.

Véronique Boukali, professeur de lettres modernes et co-fondatrice de RomaineLubrique.org
Alexis Kauffmann, professeur de mathématiques et fondateur de Framasoft.org
Lionel Maurel, auteur du blog S.I.Lex, co-fondateur du collectif SavoirsCom1 et membre de la Quadrature du Net

Notes

[1] Parmi les autres projets soutenus par Framasoft, il y a Veni Vidi Libri et le Geektionnerd.

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Yannig : Quelques benchs sur Logstash et ElasticSearch

mardi 1 octobre 2013 à 10:02
Voilà, je n'ai pas pu y résister. L'autre jour, j'étais tranquillement en train de traîner dans la tribune de rédaction de linuxfr et j'ai aidé à rédiger un article sur ma nouvelle lubie : Logstash, ElasticSearch et Kibana. L'article est relativement pédagogique mais ne pousse pas la réflexion plus loin que la mise en place. Il aurait été intéressant d'ajouter quelques benchs.

Comme de mon côté, je n'avais pas vraiment eu l'occasion de trop pousser le produit non plus (juste au travers un petit POC pas super poussé en terme de volumétrie) je me suis dit qu'après tout ça serait l'occasion de le faire.

Les conditions du test

Comme vous savez sûrement, j'attache énormément d'importance à la pensée Cartésienne. Pour se faire je me dois de vous donner quelques caractéristiques sur la machine sur laquelle je travaille. En voici quelques-unes (ne pas hésiter à me signaler des manquements) :
  • Processeur : AMD Phenom(tm) II X4 965 Processor ;
  • Mémoire : 8 Go - Swap : 8 Go ;
  • Java : OpenJDK (IcedTea 2.3.10) (7u25-2.3.10-1ubuntu0.13.04.2) ;
  • Taille du fichier : 167997125 (~ 160 Mo) ;
  • Nombre de ligne : 1354848.
Attention : les benchs qui vont être réalisés plus loin sont fait par un néophyte sur ces produits. Si vous pensez que j'ai pu faire des erreurs, n'hésitez pas à me les signaler !

Quelques benchs

Les premiers pas

Pour me faire une idée de la capacité de traitement de logstash, j'ai voulu démarrer par un test très simple : en entrée une socket d'écoute simple et la sortie dans un fichier sans aucun traitement dessus. Pour mémoire, voici le fichier de configuration (bench.conf) que j'ai utilisé :

# Écoute sur le port 2048 de la machine
input {
  tcp {
    port => 2048
  }
}
# Balance le JSON obtenue dans un fichier
output {
  file {
    path => "./bench.json"
  }
}

Le lancement de logstash se fait avec la commande suivante :

java -Xms256m -jar logstash-1.2.1-flatjar.jar agent \\
     -f bench.conf

Il ne me reste plus qu'à injecter le contenu de mon fichier dans la socket - ce que je fais à l'aide de la commande nc (netcat) - précédé par la commande time pour avoir une idée du temps que je mets :

time cat /var/log/syslog.1 | nc localhost 2048

Grosso modo, j'arrive donc à un temps de traitement de 41 secondes (soit environ 4 Mo/s ou encore 33045 lignes/s).

Voyons maintenant quelque chose de plus proche de la réalité.

Injection dans un moteur ElasticSearch

J'ai tout d'abord utilisé le moteur ElasticSearch embarqué. La configuration était la suivante :

output {
  elasticsearch {
    embedded => true
  }
}

En lançant le bench, j'obtiens une injection en environ 144 secondes.

Injection dans un moteur ElasticSearch externe

Ici, on va simplement configurer un moteur ElasticSearch afin de le faire tourner dans un process séparé. La configuration est relativement simple puisque nous allons reprendre celle par défaut. Une fois décompresser, le lancement se fait donc avec la commande suivante :

./bin/elasticsearch -f

NB : On procédera également à la suppression des données du moteur entre deux lancements du bench afin d'éviter une influence sur le résultat.

Enfin, du côté de logstash, nous allons simplement modifié la section output de la configuration de la manière suivante :

output {
  elasticsearch {
    host=> "robert"
    cluster => "elasticsearch"
    embedded => false
  }
}

En relançant le traitement, nous obtenons 113 secondes. Bonne nouvelle, c'est mieux.

Quelques modifications de paramètres sur Logstash

Essayons de buffuriser un peu nos écritures afin de voir l'impact que ça pourrait avoir. Le premier sera le paramètre flush_size (nombre maximum d'événement à flusher, par défaut 100). Voici l'impact sur le temps de traitement en fonction de sa valeur :
  • 200 : 114 secondes ;
  • 1000 : 110 secondes ;
  • 10000 : 105 secondes ;
  • 100000 : 101 secondes ;
  • 1000000 : 105 secondes.
Le gain est relatif et on peut voir que nous arrivons à un plafond au delà duquel, nous n'avons plus du tout d'impact sur les performances.

On va maintenant se pencher sur le paramètre idle_flush_time (temps maximum d'attente entre deux flushs, par défaut à 1 seconde). Ici encore, voyons l'impact sur les performances (avec un flush_size à 100000) :
  • 2 s : 104 secondes ;
  • 4 s : 107 secondes.
Bref, ça s'améliore pas. Donc de ce côté ci, on va arrêter les recherches !

Quelques modifications sur ElasticSearch

On va tout d'abord essayer d'espacer les flushs sur disque en bougeant le paramètre index.translog.flush_threshold_period (temps entre deux commits, par défaut 30m). En le passant à 5 s, nous baissons le temps de traitement à 99 secondes.

J'ai ensuite essayé divers modifications en suivant le document suivant : https://gist.github.com/duydo/2427158. Malheureusement, je n'ai jamais trouvé d'autre levier suffisamment efficace pour améliorer les choses. Il semblerait que ma machine manque de puissance pour pouvoir aller plus loin.

Pour conclure

Le but de ce bench était de se faire une idée de la capacité de traitement de notre ami Logstash et de son copain ElasticSearch sur une machine seule. Pour résumer, il faut tout de même se dire qu'on est en mesure de traiter environ 16 000 lignes / secondes ou 1,6 Mo / secondes (ce qui n'est pas mal du tout !). Même si j'ai déjà vu des choses particulièrement atroces qui devait pas être loin de cette volumétrie, je pense que ces produits ont du potentiel.

Autre point, nous sommes sur une infrastructure non distribué avec l'indexeur et le shipper sur la même machine. Je pense qu'il aurait été intéressant de distribuer la charge sur plusieurs machines (notamment pour ElasticSearch). Je vais essayer de voir si je ne pourrais pas récupérer quelques machines pour aller un peu plus loin dans mes tests. Mais en l'état, je pense que je vais arrêter mes tests pour l'instant.

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Noireaude : ScreenRuler – Une petite règle d’écran aussi inutile qu’indispensable

mardi 1 octobre 2013 à 07:30

screenruler

Bon en ce qui me concerne c’est officiellement les vacances et je compte bien en profiter pour me la faire cool. Nous allons donc commencer la journée avec un petit billet parlant de ScreenRuler, un petit soft tout simple permettant de disposer d’une règle qui va vous permettre de mesurer facilement vos écrans ou vos fenêtres. Concrètement je n’ai pas encore trouvé l’utilité d’un tel machin, ce qui en fait donc un truc totalement indispensable. Vous en conviendrez.

Outre quelques paramètres basique vous allez pouvoir comme le montre les quelques captures qui suivent, mesurer vos écrans ou différents éléments présents sur votre bureau en centimètres, en pixels, en pourcentages et à l’aide d’autres mesures moins utilisées chez nous ( inches, picas, points).

Screen Ruler_003

Screen Ruler_004

Screen Ruler_005

C’est simple, efficace, ça ne sert à rien, mais c’est génial.

Alors si ça vous tente vous pouvez en savoir plus en vous rendant sur la page Launchpad du projet et si vous tournez sur Ubuntu, il vous suffit de passer par L’USC ou d’entrer ceci dans votre terminal pour l’installer.

sudo apt-get install screenruler

ScreenRuler est également disponible sous Archlinux via AUR pour ce que ça intéresse.

Amusez-vous bien.

source

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Noireaude : En bref – Stellarium 1.2.4 disponible

lundi 30 septembre 2013 à 13:30

Image non contractuelle

Si comme nous nous vous aimez avoir votre petit planétarium à domicile et que vous utilisez Stellarium, vous allez être content de savoir que celui-ci est désormais disponible en version 1.2.4, qui embarque très certainement diverses améliorations et corrections de bugs. Le changelog n’ayant pas encore été mis à disposition, je ne pourrais malheureusement pas vous en dire plus sur la nature des changements intervenus dans cette nouvelle version. Il semblerait toutefois qu’une des corrections de bugs concerne le plugin « Oculaires », qui pouvait générer un plantage assez gratiné de l’application. Vous pouvez vous brancher sur cette page où sera publié ultérieurement le changelog, si vous tenez absolument à le consulter.

N’ayant donc pas grand-chose de plus à vous dire sur cette nouvelle version, je vais me contenter de vous indiquer que vous pouvez d’ores et déjà vous procurer Stellarium 1.2.4, en vous rendant sur la page officielle du projet ou sur la page Launchpad lui étant dédiée.

Si vous tournez sur Ubuntu et dérivés vous pouvez également utiliser le PPA suivant, à l’aide de ces quelques lignes de commande.

Installer Stellarium 0.12.4 sur Ubuntu et dérivés :

sudo add-apt-repository ppa:stellarium/stellarium-releases
sudo apt-get update
sudo apt-get install stellarium

Désinstaller Stellarium 0.12.4 :

ppa-purge ppa:stellarium/stellarium-releases

ou

sudo add-apt-repository -r ppa:stellarium/stellarium-releases
sudo apt-get update
sudo apt-get remove stellarium

Amusez-vous bien.

site officiel

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SckyzO : Pacifica, un pack d'icônes sexy pour votre eOS

lundi 30 septembre 2013 à 12:43

La présence de notre communauté sur le réseau social Google+ nous a permis d'entrer en contact avec Francisco Villarroel, un jeune graphiste qui vient de créer un pack d'icônes sexy, Pacifica, aux couleurs chaudes et aux traits fins et épurés. Qualificatifs qui nous semblent en adéquation avec la vision d'elementaryOS. C'est pourquoi nous avons accueilli le travail de Francisco sur notre dépôt PPA, qui je suis sûr, va plaire à bon nombre d'entre vous.

Pensez à visiter son devianART pour découvrir d'autres icônes et fonds d'écrans et pour soutenir sa créativité.

Pacifica

Pour rappel, notre dépôt PPA doit être installé sur votre système :

sudo add-apt-repository ppa:elementaryos-fr-community
sudo apt-get update

Quant à l'installation du pack d'icônes :

sudo apt-get install pacifica-icon-theme

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