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elementary OS : Translator, votre traducteur personnel

samedi 31 janvier 2015 à 11:39

Beaucoup d’entre nous ne sont pas polyglottes. On utilise souvent Google Traduction, Bing Translator ou encore Reverso pour ne citer que les plus connus. C’est bien utile lorsque l’on cherche un mot dans une autre langue pour l’intégrer dans une phrase, une diapo...

Et depuis peu, une application de traduction a été conçue pour ElementaryOS (elle intègre donc les lignes directrices du design d’Elementary). Son nom ? Translator !

Translator

Développé par Grabli66 (créateur de Currency, une application des devises) et sortie le 1er octobre 2014. L’application utilise le moteur de Google Traduction pour traduire les mots, elle intègre en ce moment 5 langues : l’anglais, le français, l’allemand, l’ukrainien et enfin le russe.

Elle offre aussi la possibilité de changer les deux langues que l’on a choisies en cliquant sur les petites flèches.

Malheureusement, cette application n’a pas été mise à jour depuis sa sortie. Il n’y a donc pas la possibilité de choisir des langues favorites (au démarrage, l’application est automatiquement réglée pour traduire l’anglais au russe) ni de thème noir. En espérant que le développeur s’y penche dessus un jour.

Nombre de langue

Nombre de langue

Pour installer le logiciel, voici les lignes de commandes :

sudo apt-add-repository ppa:grabli66-r/eos
    sudo apt-get update  
    sudo apt-get install translator

 

 

Le billet Translator, votre traducteur personnel a été publié sur elementary OS Fr - Communauté francophone d'elementaryOS

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Cyrille BORNE : Vivaldi, concerto réussi pour explorer le web ? éventuellement

samedi 31 janvier 2015 à 08:00

J'ai appris l'existence de l'explorateur web Vivaldi par un post de Damien sur Diaspora. Après quelques recherches sur l'historique du projet, tel qu'expliqué sur CLubic par exemple ou sur la page de vivaldi.com j'ai souhaité le voir en action et ai donc téléchargé le programme. À noter qu'ils fournissent une version pour Windows, pour Mac et pour Linux en Rpm et Deb uniquement en architecture 64 bits.

Mais avant tout la licence. On peut la résumer très simplement, on n'est pas dans Le Libre. Certes Vivaldi browser utiliser le moteur Blink et à la base a été possible grâce au travail Open Source de Chromium et d'autres projets open source, mais Vivaldi lui-même n'est pas libre et le paquet Debian deb ne contient aucun fichier traitant de la licence et d'ailleurs concernant ce deb la commande de vérification lintian dresse une longue liste d'erreurs et alarmes, mais passons. Par contre il y a une End User License Agreement ("EULA") consultable sur le programme : vivaldi://terms

Concernant son utilisation maintenant.

Le programme est entièrement francisé et la version française est servie avec de nombreux signets locaux, portant sur l'information, les technologies et d'autres centres d'intérêts, dans lesquels j'ai fait beaucoup de vide d'ailleurs car ils ne font pas partie de mes points de repères, y compris un certain blogueur francophone semble-t-il à la mode.

Au lancement je ne trouve pas cette impression de lourdeur à nouveau présente sur les dernières versions de Firefox, c'est un bon point. Pour autant le programme n'est pas du tout léger, bien au contraire.

Le rendu des pages web maintenant. Rien à redire, c'est très bon à tous points de vue et, à mon avis, bien supérieur à ce que donne Firefox.

Fonctionnalités.

On parle d'un client mail mais pour le moment il n'est pas encore implémenté. Une prise de notes est disponibles depuis la barre latérale et un carnet de contacts. La liste des raccourcis clavier est bien fournie et facilement consultable par appui des touches ctrl + Q.

Extensions.

La politique, d'après ce que j'en ai compris, serait d'inclure directement le plus de fonctionnalités possibles en standard ou en options mais pas de permettre l'ajouts d'extensions tierces pour des problèmes de poids et de sécurité. À voir.

Mes rapides impressions après ce court test ? je trouve l'interface réussie, simple, claire, jolie et s'adaptant au design des pages visitées, le rendu très bon. Pour autant j'ai comme l'impression d'être dans un produit " commercial ", non suffisamment adaptable en fonction de certains besoins. Mais les produits Mozilla sont-ils si adaptables ? Les liens fournis en standard m'ont un peu surpris, voire gêné mais le ménage est vite fait. De même il est possible de modifier, supprimer ou ajouter des moteurs de recherches dans la liste de ceux fournis.

En conclusion, un produit intéressant, à suivre, et qui tranche sur de nombreux points avec ce que l'on a l'habitude de voir sur Linux, ne serait-ce que sur le côté "esthétique" mais avec certains côtés libres en moins tout de même.

Deux copies d'écran pour comparer le rendu d'une même page sur Vivaldi d'abord puis sur Firefox :

vivaldi

firefox

cep

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Yopland : Tester le débit de son réseau local

vendredi 30 janvier 2015 à 23:14

Suite à des ralentissements sur des vidéos en streaming, j’ai voulu vérifier le débit réseau entre deux postes. Après quelques recherches sur le Web, je suis tombé sur cette page.

Pour ma part, j’ai effectué mes tests avec iperf. La démarche est très simple. De plus l’outil à l’avantage d’exister aussi bien sous Linux que sous Windows.

Sur une machine (adresse IP : 192.168.1.24) lancer la commande suivante :

iperf -s -d

Sur une autre machine lancer la commande suivante :

iperf -c 192.168.1.24

Après quelques secondes, les résultats tombent :

------------------------------------------------------------
Client connecting to 192.168.1.24, TCP port 5001
TCP window size: 23.5 KByte (default)
------------------------------------------------------------
[  3] local 192.168.1.20 port 48969 connected with 192.168.1.24 port 5001
[ ID] Interval       Transfer     Bandwidth
[  3]  0.0-10.1 sec   115 MBytes  95.8 Mbits/sec

Il semblerait que la prise que je soupçonnais poser problèmes ne va pas si mal que ça !

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La vache libre : Hedgewars – Un jeu de stratégie au tour par tour, peuplé de hérissons roses complètement barges

vendredi 30 janvier 2015 à 19:17

Hedgewars_002

Nous vous avons parlé il y a peu de temps de Battle For Wesnoth dans ce billet, qui pour ceux qui ne le savent pas est un jeu de stratégie au tour par tour. Si vous avez aimé ce style de jeu, je ne peux que vous conseiller de tester Hedgewars. Il s’agit également d’un jeu de stratégie au tour par tour, mais dont l’univers est totalement différent. Exit le côté médiéval et place à une armée de hérissons roses complètement barges, armés jusque aux dents.

Comme tous les jeux de ce style le principe est simple et consiste à jouer à tour de rôle, dans le but de déquiller le chef du camp adverse. Vous aurez pour cela votre team de hérissons et tout un panel d’armes (dynamite, bazooka, grenades, bombe pastèque, fusil, fusil de sniper, batte de baseball et j’en passe,) qu’il vous faudra utiliser judicieusement pour parvenir à la victoire. Certaines armes peuvent être utilisées pour occasionner des dégâts directs à un autre hérisson, ou pour creuser ou déformer le terrain, dans le but de vous frayer un chemin jusqu’à l’ennemi.

Vous pourrez jouer au choix en ligne, sur un réseau local, ou contre l’IA, avec en prime un mode de jeu aux règles et aux maps aléatoires.

Les cartes sont assez souvent farfelues et la tenue des hérissons (entendez par là leur chapeaux) change à chaque fois. Ils peuvent être déguisés en clowns, en escargots, en magiciens (Merlin), voir même en Pikachu Oo…

Les bruitages et l’ambiance sont à l’image du reste, avec des petites voix bien sympathiques et certaines actions donnant lieu à des messages assez loufoques. Quand un hérisson tombe à l’eau (ce qui est mortel pour lui) par exemple.

Bref, il y aurait plein d’autres choses à dire sur ce jeu que je ne connaissais pas encore et qui m’a bien branché, mais le mieux pour vous c’est de vous lancer et de le tester. C’est totalement barré et bien que la prise en main soit un peu délicate, c’est vraiment très rigolo. En résumé j’ai adoré!

Si ça vous tente vous pouvez en savoir plus sur Hedgewars en vous rendant sur cette page, où vous trouverez en prime ce qu’il vous faut pour l’installer sur votre distribution GNU/Linux, MS Windows, Mac OS X et même Android.

Amusez-vous bien et pas de quartiers !!!

via

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Dimitri Robert : GIMP : choisir facilement une police de caractères

vendredi 30 janvier 2015 à 15:33

GIMP dispose d’un outil Texte pour insérer des calques de texte dans vos compositions. Même s’il est loin des capacités de son équivalent dans Inkscape, il peut se rendre utile. Mais, comme me le soumet un lecteur, il n’est pas aisé de choisir facilement une police de caractères.

GIMP 2.8 intégre un certain nombre de polices de caractères, présentées sous forme de liste, avec deux caractères encadrés suivi du nom de la police, nom de la police ne reprenant pas le « style » de la police.

De ce fait, il est difficile de se représenter le style de la police, sauf à les utiliser successivement en y consacrant un temps important pour se faire une idée précise de leur représentation.

D’où ma question : existe-t-il une représentation graphique des polices de caractères de GIMP 2.8 présentée sous forme de liste, comme cela est le cas dans WORD ?

Il existe donc bien une liste, mais pas comme dans un traitement de texte où l’on peut voir un rendu sur les caractères en direct. Cependant, la solution vient de la fenêtre ancrable Polices qui nous permet de parcourir toutes les polices tout en ayant un rendu sur le calque de texte actif. Voici comment faire en vidéo.

L’image à la une de cet article est une photo de Dimitri Robert prise au musée Plantin-Moretus d’Anvers. Comme le reste de ce site elle est diffusée sous licence CC By-SA 4.0.

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