FF Multi Converter est un logiciel open source très sympa (basé sur FFmpeg, pythonmagick, unoconv) dont nous parlons de temps en temps dans l’étable, conçu dans le but de vous permettre de convertir facilement vos fichiers dans un grand nombre de formats différents. Pour vous donner une idée de ce qu’il est capable de faire, voici une petite liste non exhaustives des formats qu’il est capable de prendre en charge.

Audio/video : aac, ac3, afc, aiff, amr, asf, au, avi, dvd, flac, flv, mka, mkv, mmf, mov, mp3, mp4, mpg, ogg, ogv, psp, rm, spx, vob, wav, webm, wma, wmv;

Images : bmp, cgm, dpx, emf, eps, fpx, gif, jbig, jng, jpeg, mrsid, p7, pdf, picon, png, ppm, psd, rad, tga, tif, webp, xpm;

Documents : doc > odt, pdf; html > odt; odp > pdf, ppt; ods > pdf; odt > doc, html, pdf, rtf, sxw, txt, xml; ppt > odp; rtf > odt; sdw > odt; sxw > odt; txt -> odt; xls > ods; xml > doc, odt, pdf etc …

Une nouvelle version (unstable) de FF Multi Converter a été publiée il y’a un peu plus d’un mois, faisant passer ce dernier en version 1.5.2, embarquant son lot d’améliorations, de corrections de bugs et de nouvelles fonctions.

On notera par exemple la mise à jour de certains préréglages obsolètes, l’intégration de nouvelles options de synchronisation des presets et une nouvelle entrée dans le wiki, décrivant toutes les options presets disponibles. On notera également la correction de bugs concernant l’utilisation de FFmpeg, avconv, l’ajout des traductions Française, Bulgare et enfin, l’ajout de paquets pour Fedora.

Si vous voulez en savoir un peu plus, vous pouvez consulter l’annonce de sortie en vous rendant sur cette page.

Si ça vous tente et que les versions instables vous font peur, sachez que vous pouvez installer la version stable de FF Multi Converter sur les principales distributions GNU/Linux (Debian/Ubuntu, Mageia, Archlinux, Fedora), depuis la page de téléchargement du site officiel.

Si vous tournez sur Ubuntu et dérivés, vous pouvez installer la version 1.5.2 (unstable) de FF Multi Converter en passant par le PPA suivant, à l’aide de ces quelques lignes de commande.

Installer FF Multi Converter (Unstable) sur Ubuntu et dérivés :

sudo add-apt-repository ppa:ffmulticonverter/unstable
sudo apt-get update
sudo apt-get install ffmulticonverter

Désinstaller FF Multi Converter :

sudo ppa-purge ppa:ffmulticonverter/unstable

ou

sudo add-apt-repository -r ppa:ffmulticonverter/unstable
sudo apt-get update
sudo apt-get remove ffmulticonverter

Amusez-vous bien et bonne(s) conversion(s).

source

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Y aurait-il moins de 5000 développeurs libres sur tout le continent africain (4527 pour être plus précis) ?

C’est ce qu’on peut lire sur cette intéressante carte interactive intitulée GitHub Africa Users. Leur auteurs (non africains) ont en effet collecté, en mars dernier, les données des utilisateurs de la plateforme qui avaient renseigné leur localisation (et uniquement ceux-ci) en nous présentant cela à l’aide de MapBox.

A partir de là un certain nombre de questions se posent pour nuancer ce chiffre :

• Est-ce les utilisateurs africains de GitHub se localisent moins que les autres ?
• Est-ce qu’un utilisateur de GitHub est nécessairement un développeur qui fait du libre ?
• Est-ce que les développeurs libres africains utilisent GitHub ?
• Est-ce que les développeurs libres africains voudraient utiliser GitHub mais en sont empêchés à cause de la faiblesse de leur connexion à Internet ?
• Combien y a-t-il de développeurs non libres en Afrique ?

Il n’empêche que cela reste tout de même inquiétant.

Qu’en pensez-vous ?

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Le nombre de projets gravitant autour de Glances étant devenu assez important, j'ai dessiné le schéma suivant (à partir du service en ligne Gliffy pour les plus curieux d'entre vous):

Le cœur de Glances (source disponible sur le Github officiel) est représenté en vert.

On trouve ensuite en bleu les projets composant son écosystème:

• Glances plugin (ou CheckGlances) est un plugin pouvant de récupérer les statistiques d'un serveur Glances à partir de Nagios, Centreon ou de Shinken (ou de tout autre système compatible avec les plugins Nagios). Voir ce billet pour un exemple de mise en oeuvre.

• MetaGlances est une interface Web qui permet de centraliser les statistiques de plusieurs serveurs Glances. L'interface est "responsive" et donc compatible avec les écrans des PC, des tablettes et des smartphones (plus d'informations sur ce billet)

 

• PHPGlances est une API PHP pour s'interfacer simplement avec un serveur Glances. C'est la brique utilisé par MetaGlances. Pour un exemple de mise en oeuvre, vous pouvez lire ce billet sur le blog RootsLabs

• JavaGlances est une API Java pour Glances développé par Jon Renner, un contributeur actif du coeur de Glances. Jon a notamment utilisé cette librairie pour développer l'application Glances pour Android, disponible gratuitement en téléchargement sur Google Play et dont les sources sont proposées sur Github.

 

Cet article L’écosystème autour de Glances est apparu en premier sur Le blog de NicoLargo.

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Speedometer est un outil sympa qui s’utilise en ligne de commande et qui peut s’avérer très utile en vous permettant de mesurer et de visualiser le flux de données de vos connexion réseau. Vous pourrez ainsi tester la vitesse des téléchargements et mesurer le trafic réseau (entrée/sortie) en temps réel. Speedometer est disponible dans les des dépôts officiels des principales distributions GNU/Linux et bien qu’il s’utilise en ligne de commande, il est très facile à prendre en main.

Installation :

Pour installer Speedometer sur Ubuntu et dérivés, il suffit d’entrer cette simple ligne de commande :

sudo apt-get install speedometer

Pour les autres distributions adaptez la ligne de commande à vos dépôts respectifs et si par le plus grand des hasards il ne s’y trouve pas, vous pouvez toujours télécharger les sources depuis la page officielle du projet.

Au niveau de l’utilisation rien de plus simple. Comme beaucoup de softs de ce genre, il suffit d’indiquer :

• Le nom de la commande : « speedometer »
• L’option qui va bien : « - » (suvi de l’argument)
• Et l’interface que l’on souhaite utiliser : « wlan » ou « eth »

Exemple d’utilisation :

Pour mesurer la vitesse de votre connexion entrez la commande suivante dans votre terminal.

speedometer -rx wlan0 (pour une connexion wifi)

ou

speedometer -rx eth0 (pour une connexion filaire)

Pour modifier la fréquence d’actualisation des informations vous pouvez par exemple ajouter l’option « -i », suivie de la valeur souhaitée (ici 0.5) et toujours bien entendu, de l’interface à utiliser (wlan0) :

speedometer -i 0.5 -rx wlan0

Pour en savoir plus sur les différentes options disponibles, il suffit d’entrer la commande suivante :

speedometer --help

ou (pour le manuel)

man speedometer

Voilà pour cette brève introduction à Speedometer, qui je l’espère vous sera peut-être utile. Pour le reste à vous de jouer maintenant ;)

Amusez-vous bien.

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Ojo est une nouvelle visionneuse d’images encore en cours de développement écrite en python, html, javascript, css et publiée sous Licences GNU GPL v3, qui a l’air plutôt sympathique. Il est encore difficile de se faire une idée de ce que cela va donner au final, car le projet n’en est qu’à ses débuts. Mais j’ai d’ores et déjà apprécié la légèreté du programme, la simplicité de son interface et le background semi transparent, qui m’a un peu fait penser à photoQt dont nous avons parlé récemment sur le blog. Si vous aimez découvrir et suivre de nouvelles applications vous ne perdrez rien à tester Ojo.

Installation :

Si ça vous tente il suffit de passer par le PPA suivant à l’aide de ces quelques lignes de commande.

Installer Ojo sur Ubuntu et dérivés :

sudo add-apt-repository ppa:ojo/daily
sudo apt-get update
sudo apt-get install ojo

Désinstaller Ojo :

sudo ppa-purge ppa:ojo/daily

ou

sudo add-apt-repository -r ppa:ojo/daily
sudo apt-get update
sudo apt-get remove ojo

Nb : Je n’ai pas vu de paquets pour d’autres distributions qu’Ubuntu et pour ceux qui voudraient les sources, celles-ci ne sont apparement disponibles que sur inscription :(_-

Lancement et utilisation :

Il est bon de préciser que chez moi le programme ne s’est pas exécuté en passant par le lanceur, ALT+F2, ou le terminal. J’ai donc dû me rendre dans le dossier image de mon choix, avant d’en sélectionner une et de l’ouvrir avec Ojo via le menu contextuel (clic droit).

Une fois l’image ouverte il suffit de cliquer dessus ou d’utiliser la barre d’espace pour naviguer entre les fichiers et d’appuyer sur la touche « Enter » pour retourner dans le répertoire parent et pouvoir ensuite naviguer dans l’arborescence du système.

Vous aurez également accès à des actions basiques, concernant essentiellement l’affichage des miniatures que vous pourrez classer par taille, date ou par ordre alphabétique. Vous pourrez aussi sélectionner une option « Afficher les fichiers cachés » qui comme son nom l’indique, affichera les dossiers et les images cachées.

Au niveau des types de fichiers pris en charge, j’ai pu constater que les formats les plus répandus passent plutôt bien. Je n’ai pas trouvé en revanche de liste détaillant l’ensemble des formats pris en charge pour le moment (j’ai peut-être mal fouiné).

Conclusion :

Comme je l’ai déjà dit plus haut, à l’heure actuelle nous ne pouvons encore rien conclure objectivement sur cette application. Il faut voir comment elle va évoluer dans le temps mais personnellement, je la trouve déjà très sympa. J’ai bien envie d’en voir un peu plus et de m’y arrêter à nouveau d’ici quelques versions, histoire de voir ce que ça donne.

Si vous aussi vous avez aussi envie de suivre l’avancée de ce projet, vous pouvez vous brancher sur la page Launchpad qui lui est dédiée.

Amusez-vous bien.

source

Original post of Noireaude.Votez pour ce billet sur Planet Libre.