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Planet Libre : Brèves du Planet Libre - Monday 07, October 2013

lundi 7 octobre 2013 à 00:00

Google Is Exploring an Alternative to Cookies for Ad Tracking - NYTimes.com - Liens en vrac de sebsauvage

pistage web google chrome


antistress : "Avec la mauvaise presse qu'ont les cookies, l'utilisation grandissante des nettoyeurs de cookies et la volonté de Firefox de bloquer les cookies tiers, Google cherche de nouveau moyen de tracer les utilisateurs. L'une des pistes envisagée - comme Apple - est de mettre un identifiant unique dans son navigateur, Chrome.
Rien que le fait que ça soit une des solutions envisagées est une raison suffisante pour moi de rester loin des navigateurs de Google."


Le W3C valide l'ajout de DRM aux pages web

Web HTML HTML5 DRM standard format


antistress : Fin de récré : "La prochaine révision du HTML5 pourrait bien intégrer la présence des extensions de médias chiffrés, ouvrant la voie à l'intégration des DRM dans les pages web. Le W3C a confirmé cette direction, malgré les préoccupations de l'EFF."


Comment le numérique pourrait éviter le bonnet d'âne à l'école - PC INpact

libre école institution


antistress : "Comment structurer, en France, une filière du numérique éducatif ? Voilà le sujet sur lequel ont planché différents services de l’État avant de rendre un rapport complet sur le sujet, lequel fut d'ailleurs publié avec une série de recommandations. Formation des enseignants, gouvernance, fiscalité, interopérabilité... L'ensemble de ces questions est abordé. "


L'univers de la culture libre et non-marchande a sa galaxie : Framasoft - Technologies libres - Basta !

framasoft association libre


antistress : "Des millions de logiciels, des services en ligne, des livres, de la musique... Diffusés non par une multinationale, mais par une association, portail francophone de la « culture du libre ». Fer de lance de la promotion des logiciels libres depuis une décennie, Framasoft rassemble tous ceux qui cherchent à inventer d’autres manières de faire tourner un ordinateur, d’échanger des contenus, de partager des œuvres, bien loin des logiques marchandes de Microsoft ou Google. Plongée dans l’univers du libre, à la découverte d’un réseau d’éducation populaire protéiforme."


Des entreprises s'alarment de l'arrivée de "patent trolls" en Europe

brevet


antistress : "Le futur brevet unique européen, censé mettre fin au dépôt systématique d'un brevet dans chaque pays de l'Union européenne, serait une aubaine pour les "trolls de brevets" ("patent trolls"), qui vivent en attaquant d'autres entreprises pour violation de brevet. C'est l'avis d'une coalition d'entreprises, surtout américaines et européennes, qui a envoyé, jeudi 26 septembre, une lettre ouverte aux Etats membres et à plusieurs institutions européennes, pour prévenir du risque qu'ils disent pressentir."


A l'heure de Prism, "les logiciels libres sont les plus sûrs" - Humanite

pistage


antistress : "Ce vendredi est célébré le trentième anniversaire de la création de GNU, le système d'exploitation libre de Richard Stallman, évènement fondateur du logiciel libre. L’occasion de revenir sur la philosophie du logiciel libre et son importance à l’heure de Prism et de la révolution mobile avec le président de l’April, association de promotion du libre, Lionel Allorge. Entretien."


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Noireaude : Critterding – Une boîte de Petri 3D dans votre machine sous GNU/Linux

dimanche 6 octobre 2013 à 23:08
wallpaper-1760058 Crédits image

Si vous aimez bien les trucs un peu spéciaux vous n’avez pas le choix! Il va falloir absolument essayer Critterding qui comme son nom ne l’indique pas, va vous permettre d’avoir une boîte de Petri 3D dans votre machine et accessoirement, de voir naître une forme de vie « intelligente » sous vos petits yeux humides et ébahis. Je ne connaissais pas du tout ce programme, mais en voyant le topic de Gerinald sur Terre des Tux j’ai tout de suite pensé qu’il fallait que je vous en parle dans l’étable. Si ça vous tente nous allons voir tout de suite à quoi ça ressemble.

Le principe de Critterding est en fait très simple. Après avoir lancé le soft vous allez voir apparaître un écran, dans lequel vous pourrez voir quelques organismes sommaires et de la nourriture (en vert sur l’image).

critterding-lancement

Par défaut le programme met en place un petit monde avec une quantité relativement importante d’unités et de produits alimentaires. Il continue ensuite d’intégrer au fur et à mesure de la nourriture, des créatures dotés de cerveaux et divers organismes générés aléatoirement. Après un certain temps une de ces créatures (à la base plutôt idiotes) aura su se développer et sera à même de pouvoir maintenir une petite populace. Lentement mais sûrement le comportement des critters va alors devenir  moins aléatoire et ils vont naturellement développer de meilleures techniques de survie.

Une demie heure après le lancement de Critterding chez moi, ça a déjà pas mal muté dans le coin. Comme vous pouvez le voir  sur la capture les critters sont indiqués par des couleurs permettant de les différencier et vous pouvez en prime obtenir plus d’informations sur ces derniers en passant votre souris dessus. Vous serez ainsi en mesure de savoir leur age, leur état d’énergie, s’ils sont en mesure de procréer ou non et quand il auront bien évolué, vous serez en mesure d’obtenir d’autres infos telles que l’état de leur articulations par exemple.

critters-info

L’application dispose aussi de pas mal d’options, qui vont vous permettre d’affiner des réglages comme le choix du nombre de FPS et de paramétrer différents aspects de votre boîte de Petri (quantité d’individus min/max, quantité de nourriture min/max etc).

Critterding-settings

Alors je vais être franc avec vous, je n’ai pas encore fait le tour complet de Critterding. Il y a sans doute beaucoup plus de choses à en dire que ça, mais j’en ai quand même vu assez pour avoir trouvé le principe génial (même si je n’ai pas tout compris). Ce n’est certes pas très rapide ni très spectaculaire, mais si vous avez un PC qui tourne toute la journée ça peut être sympa et dans tous les cas, c’est bien mieux qu’un aquarium ou qu’une plante verte :D

Si ça vous tente vous pouvez trouver plus d’informations sur le site officiel de Critterding (une vidéo de démo y est dispo) et vous pouvez vous le procurer en vous rendant sur la page de téléchargement du projet. Vous pouvez également tenter une installation via les dépôt officiels de vos distribution (il est disponible par exemple sur Ubuntu via apt/aptitude et sur Archlinux via AUR).

Amusez-vous bien et franchement, je vous le conseille vivement. J’ai adoré!!!

Merci encore à Gerinald pour la trouvaille.

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Framablog : Le logiciel libre a fait de moi l'homme que je suis

dimanche 6 octobre 2013 à 21:17

Le témoignage simple et percutant d’un développeur qui a visiblement fait le bon choix ;)

Beshef - CC by


L‘open source a fait de moi l’homme que je suis

Open Source made me the man I am

Matteo Spinelli - 6 octobre 2013 - Cubiq.org
(Traduction : Asta, Joseph, GregR, aKa, Cyb, Spanti Nicola, Lydie + anonymes)

De la conception de sites web pour les entreprises nationales au développement d’applications web haut de gamme pour les plus grands acteurs internationaux, tout cela grâce aux logiciels libres.

J’ai longtemps été un (triste) programmeur PHP en freelance ayant quelques compétences en front-end. Je travaillais pour de petites boîtes locales. Mon job le plus sympa en ce temps-là a été avec un distributeur de jeux vidéo, chez moi, en Italie. Le client était sympa, mais le boulot était chiant, et si frustrant parfois.

Je savais que je pouvais donner plus, mais je me sentais pris dans des sables mouvants.

La décision la plus importante que j’ai prise dans ma carrière a été de commencer à développer un logiciel libre et de bloguer sur ce sujet. J’ai commencé avec des trucs un peu stupides, comme un générateur d’URL épuré en PHP ou la suppression du délai sur l’évènement onClick et j’ai fini avec iScroll et l’ajout de widgets à l’écran d’accueil.

J’ai choisi pour eux la licence la plus libre que j’ai pu trouver (MIT) et les entreprises à travers le monde m’ont contacté pour me demander de la personnalisation et des nouvelles fonctionnalités. Mon tarif horaire était autour de 60 $ et j’ai dû l’augmenter sur une base à la journée parce que je ne pouvais pas suivre avec l’augmentation des demandes. Maintenant je suis toujours travailleur indépendant mais je travaille pour Microsoft et Google et mon tarif horaire est de 150 $ .

L‘open source a augmenté ma visibilité mais ce n’est pas qu’une question d’audience. L‘open source fait généralement de vous un meilleur développeur. Cela vous force à vous comparer vous-même avec d’autres développeurs et c’est le meilleur entrainement pour votre cerveau de codeur.

J’ai plus appris sur le JavaScript des gens postant des suggestions sur le rapporteur de bogues que sur n’importe quel guide, tutoriel ou livre que j’aie jamais lu.

Les logiciels libres m’ont fait également devenir un développeur plus modeste. Je sais comment patcher de petites portions de code et je suis moins sévère quand je remonte des bogues sur les dépôts des autres.

Mais c’est juste une partie de l’histoire.

Vous ne faites pas des logiciels libres juste pour la gloire (et l’argent). Peut-être qu’au début c’était mon intention, mais une fois que vous êtes impliqué vous comprenez que vous faites bien plus.

Beaucoup de gens utilisent votre code, vous aidez les startups dans leur projet en créant potentiellement de nouveaux emplois. Avec peut-être 48h de votre vie, vous pouvez possiblement aider des dizaines d’entreprises et leurs employés. Une personne a fait un plugin pour WordPress qui était essentiellement une couverture PHP pour mon Ajouter à l’écran d’accueil et il a levé 50k$ de fonds (peut-être plus maintenant). Vous pouvez penser que je suis jaloux de lui, mais je suis en fait heureux pour lui (et tous ses utilisateurs).

En outre, plus je développe du logiciel libre plus j’apprécie les autres logiciels libres et j’en deviens accro. Je comprends ce que signifie coder pour la sécurité et, plus particulièrement, l’importance de la vie privée de l’utilisateur (et la mienne).

J’étais un fervent utilisateur d’Apple parce que c’est joli et bien rangé et cela fonctionne simplement, mais peut-être qu’il y a des choses plus importantes qu’une interface de qualité et un dégradé parfait de pixels. J’utilise maintenant les produits Apple seulement pour tester et ma plateforme principale est Linux.

Je peux sans hésiter dire que l‘open source a fait de moi un homme meilleur et je vous encourage à publier votre code sous une licence libre, parce que si ça a marché avec moi, ça marchera probablement avec vous aussi.

Crédit photo : Beshef (Creative Commons By)

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Noireaude : Screencloud – Un outil alliant Capture d’écran, Cloud et Partage

dimanche 6 octobre 2013 à 17:57

screencloud

ScreenCloud est un outil qui comme le titre l’indique va vous permettre d’effectuer facilement des captures d’écran sous GNU/Linux, Windows et Mac OS X, avant de les uploader sur divers services en ligne tels que Dropbox, Imgur, Ubuntu One, ou via FTP, SFTP. Nous en avions déjà parlé il y a environ un an dans l’étable, mais comme celui-ci n’était pas encore Libre à l’époque, je n’avais pas vraiment approfondi le sujet. Screencloud ayant été depuis publié sous licence GPL v.2, c’était donc l’occasion de s’arrêter à nouveau sur ce service et de voir de plus près comment il fonctionne.

Installation :

Screencloud peut être facilement installé sur Ubuntu, Linux Mint, Fedora et Archlinux depuis la page de téléchargement du site officiel. Vous y trouverez également les binaires pour Windows et Mac OS X.

Pour les autres distributions les sources peuvent être téléchargées depuis la page Github du projet.

Utilisation :

Une fois que vous avez installé et lancé ScreenCloud, il va falloir commencer par vous inscrire à l’aide de l’email de votre choix. Ceci ne vous prendra pas plus de 5 minutes.

ScreenCloud_account

Une fois que vous aurez terminé et validé votre inscription, le logiciel est prêt à fonctionner et celui-ci va se nicher dans le panel ou comme sur Gnome, dans la barre de notification. À partir de là vous aurez trois options pour effectuer vos captures d’écran.

Une fois votre capture effectuée il ne vous restera plus qu’à sélectionner l’option de transfert de votre choix. Sur la capture ci-dessous vous pouvez voir par exemple la fenêtre de transfert FTP.

screencloud-FTP

Vous pouvez également les uploader directement sur votre espace Screencloud et les partager sur les plate-formes prises en charge comme Facebook, Twitter, G+ etc…

screencloud-partage

Conclusion :

Screencloud est un outil simple à installer et à utiliser.

Il ne va pas forcément remplacer un outil comme Shutter qui permet également l’upload FTP, Ubuntu One et qui propose en prime quelques options d’édition, mais celui-ci peut rendre service et plaire aux utilisateurs aimant ce genre de services. Un des avantages de ScreenCloud c’est justement le Cloud, qui permet d’accéder à ces données partout et ce, depuis toutes ses machines. Cela peut s’avérer très utile.

On finira par relever une fois encore le passage du « côté Libre » de Screencloud, qui ne gâche rien à la fête.

En résumé, à tester quoi…

Si ça vous branche voici le lien vers le site officiel de ScreenCloud.

Amusez-vous bien.

Merci à Jiri pour le signalement.

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Antistress : 2014, l'année qui fera enfin rimer vidéo avec GNU/Linux ?

dimanche 6 octobre 2013 à 17:50

La foudre
Coup de tonnerre dans la galaxie GNU/Linux

À l'Open World Forum qui s'est tenu cette semaine aux portes de Paris et où je donnais un coup de main en tant qu'aprilien, un visiteur me disait qu'il manquait encore un bon logiciel de montage vidéo pour envisager de basculer entièrement sur un système d'exploitation libre.

Si elle n'a pas toujours franchi le cap l'année prochaine, j'ai bien peur que cette personne doive se trouver une nouvelle excuse.

Il semble bien, en effet, que les briques finissent par se mettre en place, concrétisant un travail débuté en... 1999.

Brique GStreamer

Ambition et premiers pas

GStreamer est une bibliothèque logicielle libre de manipulation de sons et d'images qui a été initialement développée pour proposer une solution capable de concurrencer QuickTime (Apple) et DirectShow (Microsoft) sur GNU/Linux. Sa première version publique date de fin 1999.

Maturité

On peut considérer que la bibliothèque atteint sa maturité avec la série 0.10.x, lancée fin 2005.

Les plus anciens se souviendront peut être que, il y a quelques années, on conseillait systématiquement d'installer la bibliothèque xine pour lire les fichiers multimédia (et que Totem, le lecteur vidéo de GNOME, pouvait s'appuyer sur l'une ou l'autre bibliothèque jusqu'à la version 2.28 sortie en septembre 2009). Ces conseils ont disparu des forums maintenant que GStreamer est capable de décoder à peu près tout ce qui existe, ce qui illustre bien le chemin parcouru.

Nouvelle étape

La série 1.x sortie il y a un an marque une nouvelle étape et doit permettre de propulser le traitement audio/vidéo sur GNU/Linux (mais pas seulement, car la bibliothèque est devenue multiplateforme entre temps) vers de nouveaux horizons.

À noter que les versions 1.x est 0.10.x sont installables en parallèle pour permettre de continuer d'utiliser toutes vos applications, qu'elles aient été portées sur la nouvelle version de la bibliothèque ou non.

La version 1.2 qui vient tout juste de sortir franchit un pas supplémentaire, notamment en finissant d'implémenter tout le préalable nécessaire à l'accélération matérielle du (dé)codage vidéo.

Brique VA-API

La Video Acceleration API (VA-API) permet de faire effectuer le rendu vidéo par le processeur graphique sur systèmes GNU/Linux et cousins.

En l’occurrence, GStreamer-VAAPI est la bibliothèque logicielle libre qui permet à GStreamer d'exploiter la VA-API est donc d'accéder à l'accélération matérielle par le processeur graphique.

La future version (imminente) de cette bibliothèque sera conçue pour s'interfacer avec la toute nouvelle version 1.2 de GStreamer, offrant enfin l'accélération vidéo aux systèmes GNU/Linux !

Ce qui profitera à des logiciels comme Totem, GNOME Web (ex Epiphany) – pour la vidéo HTML5 – et bien sûr Pitivi.

Brique Pitivi

Pitivi est le logiciel libre de montage vidéo pour GNU/Linux qui repose sur GStreamer pour le traitement audio/vidéo (ce qui lui permet de prétendre à l’exhaustivité en termes de formats pris en charge) et offre une interface légère (écrite en Python et utilisant la boite à outils GTK+) à la fois simple et puissante grâce à une vraie réflexion sur l'ergonomie (que l'on doit principalement à l'ami Jeff).

Bref, c'est un peu le rêve de tout vidéaste !

Et justement, la version 1.0 alpha (aka 0.91) de Pitivi vient tout juste de sortir. Les fondations ont été entièrement revues (passage à GTK+3, GStreamer 1.x et d'autres choses assez fondamentales côté coulisses à découvrir ici et ).

Outre les importants bénéfices attendus de la refonte structurelle de Pitivi, nous pourrons ajouter prochainement l'accélération du (dé)codage vidéo pour les formats pris en charge par votre processeur graphique – dès que la nouvelle version de la bibliothèque GStreamer-VAAPI sera publiée.

Dire que Pitivi aura 10 ans l'année prochaine...

Bref, les prochains mois promettent d'être excitants : restez connectés, nous aurons l'occasion d'en reparler bientôt !

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