PROJET AUTOBLOG


Planet-Libre

source: Planet-Libre

⇐ retour index

Stéphane Laborde : Quelle "contrepartie" pour le flux ?

dimanche 20 janvier 2013 à 20:06
La monnaie une dette ? Vraiment ? Mais quel genre de dette les nouveaux nés auraient-ils relativement aux morts ?

Quelle genre de dette relative au fleuve d'hier auraient les particules du fleuve présent ?

Cascade (wikimedia)
 La compréhension du flux temporel humain induit celle de la symétrie temporelle de la monnaie, qui est l'expression de la transmission générationnelle de la non-propriété de la matière originelle.

Le flux temporel humain a une vitesse d'évolution mesurable. La mesure de cette vitesse permet d'établir la vitesse relative conforme du flux économique et donc du flux monétaire relatif à la régénération totale d'une société humaine au bout d'une espérance de vie.

Qu'est-ce que la monnaie ? Si l'on compte les particules du fleuve, l'une après l'autre, en quoi cela change-t-il la nature de la cascade alors que l'on compte la première, la centième, la millième ou la milliardième ?

Le nombre ainsi compté a-t-il quelque effet que ce soit sur la nature de la cascade ?

Celui qui veut dépasser les concepts erronés ne doit-il pas distinguer profondément le nombre de la réalité expérimentale, le concept de l'expérience ?

Qu'est-ce que l'expérience si ce n'est une succession d'instants de mesure intégrés de proche en proche ?

Quel être humain échappe à la mort ?

Pourquoi donc s'attacherait-il au nombre 100 plutôt qu'au nombre 1000 ou 100 000 ? De morts en renaissances où est donc l'origine du flux ?

La Théorie Relative de la Monnaie démontre que les seuls systèmes monétaires cohérents avec les trois libertés économique et le principe de relativité dans l'espace-temps, sont les systèmes monétaires à dividende universel dont le taux est une fonction déterminée de l'espérance de vie.
www.creationmonetaire.info - Creative Common 3.0

Gravatar de Stéphane Laborde
Original post of Stéphane Laborde.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Cyrille BORNE : Fork sme or not Fork ?

dimanche 20 janvier 2013 à 19:28

Écrit par Stéphane de Labrusse

Le Logiciel Libre et Linux ont été construis sur le Fork, un désaccord avec la ligne directrice, une attente non comblée, quelques bons développeurs et nous voila avec un nouveau Projet, une nouvelle branche. La TimeLine Linux est pleine de nouvelles distributions dont certaines vivent encore et d'autres ont disparues.

Les exemples modernes sont légions puisque nous pouvons évoquer LibreOffice ou Mageia. Cependant ce sont des projets qui ont fonctionné, mais pour ces deux, combien n'ont pas réussi à faire prendre la mayonnaise.

beaucoup j'imagine.

La question qui me vient, pourquoi vouloir reconstruire de zéro, alors que de nombreux projets sont en manque de développeurs, de contributeurs financiers, d'utilisateurs ?

L’homme aime probablement apprendre à réinventer la roue :-/

Pourquoi tout ce bruit et bien ce week-end une entreprise Italienne Nethesis, a posté sur la mailling de contribs.org une ébauche en Alpha de leur Bébé Nethserver, un Fork inspiré de la distribution communautaire Sme-server.

Filippo Carletti

Bon en guise de Fork, ils ont changé pas mal de choses puisqu'ils sont passés du Perl au Php pour développer le cœur du système, pareil pour le serveur mail en switchant vers postfix et surtout CentOS 6 (SME8 est basé sur CenTOS 5). Lorsque nous parlons de fork, cela vient du fait qu'en 2009 cette société discutait avec la core-Team de la Sme pour intégrer leurs patchs et leurs évolutions.

Les refus cinglants ou non, les confortèrent dans l'idée de créer leur distribution et d'amener des personnes à s'associer, à s'approprier leur outil, Ils ne sont pas restés à attendre les bras ballants. Voila comment démarre une nouvelle branche.

Le point Positif que je vois en premier abord vient que la vieille Europe est une fois de plus sur le devant de la scène en matière de Logiciel Libre, nous confortons notre position de leader incontesté si l'on se fie entre autre à la carte des développeurs Debian dans le monde , au nombre de dépôts SME hébergés en France et d'autre projet comme celui de zentyal.

 Je devrai me réjouir de voir arriver une nouvelle distribution accolée à une entreprise qui saura probablement lui insuffler cette énergie indispensable au respect de la roadmap, mais il n'en est rien....bien qu'un exemple comme zentyal me semble profitable, puisque leur modèle commercial repose sur la vente de "goodies" et de supports, je reste sur mon premier amour qui est une distribution communautaire, guidée, dirigée, financée par la communauté. Seulement monter ou entretenir une communauté comme Debian ce n'est pas  facile ! même eux s'inquiétaient d'une baisse du nombre de mainteneurs que je crois autour de 1000.

La Sme-Smerver doit reposer sur moins de 30 personnes si on doit comparer.

En effet qui connaît le projet Sme-Server, cette distribution serveur qui vous permet de faire du MAIL, du WEB, du SAMBA, du VPN (S2S, road-warrior), de la TOIP, du CLOUD PERSONNEL, et encore pleins d'autres choses probablement. Peu de personne il me semble au vu des contributeurs et des utilisateurs, on me parle plus souvent de monter un serveur from-scratch avec fierté plutôt que d'utiliser un produit tout fait et facilement customisable. il faut dire que ce produit existe depuis 13 ans, il a une petite expérience de ce qui doit être fait ou pas, pour implémenter la sécurité, la facilité du paramétrage avec une interface HTTPS ainsi qu'une chose très  importantes pour un serveur : la stabilité (des versions, du kernel...).

Un rêve éveillé à une époque où on nous parle d'auto hébergement de cloud personnel, de protection des données, de posséder sa vie privée. Difficile de tenir ce discours et de ne pas faire tourner ses mails, ses web-app :  à la maison ou en entreprise.

Certaines sociétés contribuent au Projet en développant des contribs (logiciels additionnels) pour leurs clients, puis en les reversant à la Sme-server. La plus connue est Firewall-service, qui développe une version customisée et paramétrée qui s'appelle Ipasserelle. C'est une preuve, un gage du sérieux de ce produit.

Ai je besoin de vous souligner que la société est Française :-)

Seulement Le projet s'est endormi, la nouvelle version Sme8 sortie en Mai 2012, est venue heureusement relancer un peu la mécanique et l'email de la "saine concurrence" de ce week-end, enflammer un peu l'ego de chacun pour regarder son nombril et se poser la bonne question qui tue.

Je fais quoi et qu'est ce que je peux faire.

Vous pouvez venir vous présenter sur les canaux IRC de Freenode #sme_server ou #sme-fr, ce n'est pas un lieu de décision, juste un coin sympa ou on peut se rencontrer, donner nos attentes, avancer nos craintes, et surtout confronter nos idées en dehors des listes plus officielles. Pour ceux qui ne possèdent pas de client IRC, vous avez une web application.

sme_server
sme-fr

Je ne Pense pas que Nethserver et Sme puissent se rejoindre un jour en retrouvant des bases communes, du moins à ce moment ou je vous parle, on verra bien par la suite. En effet les directions technologiques sont inverses, les choix logiciels ne sont pas les mêmes...nous sommes seuls à même de les départager en faisant le choix d'aider, de s'investir pour une distribution qui le mérite, et qui a besoin d'être mieux connue.

Actuellement le produit SME8 est opérationnel, sécurisé, stable, il a pour vocation de tourner sur des machines à destination de serveur qui ne seront pas redémarrées avant un bon moment (pensez au M.A.J de sécurité quand même). A vous de rentrer dans l'aventure et de faire l'histoire.

La sme un Projet qui vous attend, pas besoin de réinventer la Roue !


Stéphane de Labrusse Aru2L

.....être Libre, c'est aussi être Militant.....


Gravatar de Cyrille BORNE
Original post of Cyrille BORNE.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Articles similaires

OLPC France : La tablet que l’on n’attendait pas

dimanche 20 janvier 2013 à 16:39

La « XO Tablet » était un peu l’annonce OLPC surprise du dernier CES. Alors que depuis 2 ans, les annonces OLPC tournent autour d’un hypothétique XO-2 ou XO-3, c’est une tablet très différente, et destinée au grand public, qui est annoncée aujourd’hui. Décryptage de cette annonce surprise.

(Crédit photo: Engadget)

Le matériel: une tablet « standard »

La XO Tablet est une tablet 7″ qui propose une résolution de 1024×600. Comme c’est maintenant le cas de toutes les tablets du marché, elle est équipée d’un processeur dual-core de 1.6Ghz. Elle dispose de 1Go de RAM et 8Go de stockage flash qui sont extensibles via un port microSD. Côté connectique, elle propose le WiFi, un port HDMI et un appareil photo frontal et dorsal de respectivement 1.3 et 2 Megapixel. Enfin, elle a une batterie d’une capacité de 3800 mAh.

(Crédit photo: Engadget)

La XO Tablet intègre une housse de protection assez peu convaincante qui s’inspire du design initial du XO-3 de Yves Behar (un anneau dans le coin).
Le prix de la tablet n’est pas communiqué officiellement mais ne devrait pas dépasser 150$. La XO Tablet sera commercialisée exclusivement aux Etats-Unis dans les magasins Walmart qui se fixeraient un objectif de 200 000 ventes.

Le Logiciel: un nouvelle plateforme

Côté logiciel, la XO Tablet est équipée d’une nouvelle plate-forme, le « XO Learning Environment« . Cet environnement repose sur Android 4.2 Jelly Bean auquel il rajoute une surcouche spécifique.

L’interface s’appuie sur des « rêves »: je veux devenir Astronaute, Mathématicien, Ecrivain, Ingénieur, … que l’enfant peut explorer.

(Crédit photo: Business Wire)

Chaque rêve est symbolisé par un « héros » personnalisable (Neil Amstrong par exemple pour Astronaute) et est en fait un regroupement d’applications Android catégorisées en 3 niveaux: Débutant, Intermédiaire, Avancé. Sur la capture ci-dessous par exemple, on voit que l’application « Angry Bird StarWars » est classée dans le rêve « Je veux être un Astronaute » au niveau « Débutant ». Les niveaux suivants pour Astronaute proposeront par exemple, une carte du ciel.

Les applications sont des applications Android « à caractère éducatif » du Google Play Store que OLPC et ses partenaires se sont chargés de classifier (quels rêves, quels niveaux). OLPC a également signé des partenariats avec des éditeurs de contenus américains comme Sesame Street ou Common Sense Media. Ils devraient proposer des applications spécifiques disponibles uniquement sur cette plate-forme.

(Crédit photo: Engadget)

L’interface reprend les icônes « à la Sugar » avec notamment le célèbre petit bonhomme XO qu’on retrouve dans chaque rêve. L’environnement propose également un pseudo- »journal » qui donne en fait des statistiques d’usage des applications selon les différents rêves.

3 enfants/utilisateurs peuvent se partager la XO tablet en disposant chacun de son profil dont il peut personnaliser le nom et les couleurs. Il peut également accéder à un espace de stockage spécifique (un répertoire sur le système de fichiers d’Android) notamment pour les photos.

Il n’est pas fait mention d’un contrôle parental mais il est possible – pour les parents – de désactiver l’accès à Internet, Skype et l’achat d’applications sur le Google Play Store. Il est également possible de revenir à l’interface native d’Android.

Difficile d’en dire plus sur cette tablet car ni le matériel ni le logiciel ne semblent finalisés. Ils ne seront disponibles qu’en mars. Seuls les journalistes d’Engagdget ont pu manipuler une version de pré-série (vidéo ici).

Une vrai rupture… stratégique ?

Si techniquement la XO tablet n’est pas une rupture profonde car il existe de nombreuses tablets pour enfants similaires, c’est plutôt dans sa conception et sa distribution que se trouve une vraie rupture pour la fondation OLPC.

D’abord la XO tablet n’a pas été conçue par la fondation OLPC mais réalisée « sous licence OLPC ». Autrement dit, ce sont des partenaires (notamment Sakar) qui ont développés le matériel et le logiciel en s’inspirant des concepts du projet OLPC.

(Crédit photo: Sakar)

D’ailleurs, ni le responsable logiciel de la fondation, ni le responsable matériel n’ont été impliqués dans le développement du projet qui a été piloté par la branche « business developpement » de l’association OLPC à Miami. Il est d’ailleurs possible que du matériel proposant la même plate-forme logicielle et les mêmes caractéristiques soit proposé par d’autres constructeurs de la même manière.

Autrement élément de rupture, la tablet n’est pas destinée aux pays en voie de développement. Il y a quelques années la fondation proposait un programme « Give One Get One » qui permettait au grand public d’acquérir un ordinateur XO destiné aux pays en voie de développement. Ici la XO tablet n’a pour cible que le grand public (les Etats-unis) et pas les pays en voie de développement.

Gros changement sur la « XO tablet », l’absence de Sugar, la plate-forme pédagogique d’origine de l’ordinateur XO. Comme Sugar repose sur une distribution GNU Linux Fedora et sur Python, alors que le XO Learning Environment s’appuie sur Android et Java, aucune compatibilité entre les deux environnements n’est envisageable. Ce changement n’est pas inattendu, d’abord parce que Sugar est détaché de la fondation depuis de nombreuses années même si la fondation finance encore des équipes internes dédiées à Sugar et adapte systématiquement les nouvelles versions de Sugar à l’ordinateur XO. Ensuite parce que la vente sous licence du XO Learning Environment se fait avec des partenaires qui veulent protéger leurs intérêts et sont donc très éloignés des concepts d’Open Source et de libre distribution des contenus portés par Sugar.

Une annonce perturbante

Le projet OLPC abandonne-t-il son orientation non-lucrative pour l’éducation des pays en voie de développement ? Clairement pas, les pays en voie de développement restent la cible du projet comme cela a été réaffirmé lors de la présentation au CES (voir la vidéo ici). La vraie nouveauté pour cette cible est d’ailleurs le lancement du XO-4, la version tactile de l’ordinateur XO d’origine qui est du coup passée un peu inaperçue. L’objectif (ambitieux) de la XO tablet serait de provoquer une rupture sur le marché des logiciels éducatifs, au même titre que l’ordinateur XO a provoqué une rupture sur le marché des matériels éducatifs.

Le projet OLPC abandonne-t-il l’environnement Sugar ? Le lancement de la XO tablet s’appuyant sur des partenaires et ciblant une tablet stantard et un marché spécifique, il n’est pas illogique qu’il s’appuie sur Android. L’ordinateur XO, lui ne fonctionne aujourd’hui qu’avec la plate-forme pédagogique Sugar et c’est Sugar qui est installé sur les 2,5 millions d’ordinateurs XO déployés dans le monde. L’existant (contenus et applications) est par ailleurs important aujourd’hui et non compatible avec Android. Il est clair néanmoins que la fondation (mais Sugar aussi en fait) s’intéresse de près pour l’avenir à Android qui est une plateforme en forte croissance et qui selon eux, intéresse les gouvernements.

Quelle est la stratégie de la fondation sur les tablets ? Après l’abandon du XO-2 (l’ordinateur livre) et l’abandon récent du XO-3 (qui avait été annoncé… au dernier CES), la XO tablet est-elle LA tablet que l’on attendait de la fondation ? En fait non, la fondation semble désormais considérer que le XO-4 tactile qui reprend le même packaging que le XO d’origine (appelée « clamshell »/coquillage) en y ajoutant un écran tactile, semble être la réponse la plus adaptée à l’utilisation de terminaux tactiles dans des pays en voie de développement. Notamment par sa résistance, sa faible consommation et son écran adapté au fonctionnement en extérieur.

(Crédit photo: The Verge)

Difficile d’aller plus loin dans l’analyse sans pouvoir manipuler le XO tablet et le XO-4 et avoir des réponses plus précises de la fondation, nous ne pouvons néanmoins que constater que cette annonce a beaucoup perturbé les communautés OLPC qui ont fait part de leur scepticisme sur les listes.

L’année 2013 devrait nous permettre d’y voir plus clair sur cette annonce « en marge » du projet OLPC.

Gravatar de OLPC France
Original post of OLPC France.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

Articles similaires

T. BRIOLET : KDE 4.10 RC3

dimanche 20 janvier 2013 à 14:52

La dernière version de développement de KDE 4.10 vient de sortir : la Release Candidate 3

logo_KDE

KDE se contente habituellement de 2 RC, mais il a été décidé de repousser légèrement la sortie finale pour favoriser l’absence éventuelle de bugs. Une troisième RC, non prévue au calandrer prévisionnel, vient donc d’être déployée. La version stable, qui devait sortir initialement le 23 janvier a donc été décalée d’une ou deux semaines.

Pas de nouvelles fonctionnalités donc, mais un dernier peaufinage et plusieurs corrections qui devraient faire de cette KDE 4.10 un version vraiment stable.

 

KDE 4.10 RC3 est déjà disponible dans les dépôts openSUSE KDE:Distro:Factory repository.

Une mise à jour de la version Live d’openSUSE 12.3 en développement est également disponible ici : http://download.opensuse.org/repositories/KDE:/Medias/images/iso/ (fichier KDE4-4.10.RC3 pour openSUSE 12.3 beta1 et fichier KDE Reloaded pour openSUSE 12.2).

 

Sources :
L’annonce officielle [en] : http://www.kde.org/announcements/announce-4.10-rc3.php
Disponibilité dans les dépôts openSUSE, sur le blog de Luca Beltrame [en] : http://www.dennogumi.org/2013/01/kde-platform-workspaces-applications-4-10-rc3-opensuse-packages-available

Syvolc

Gravatar de T. BRIOLET
Original post of T. BRIOLET.Votez pour ce billet sur Planet Libre.

mozillaZine-fr : SeaMonkey 2.16 bêta 1 est sorti

dimanche 20 janvier 2013 à 11:33

Maintenant que les notes de diffusion de SeaMonkey 2.16 ont été complétées, jetons un coup d'œil à ses nouveautés. Bâti sur la même plateforme que Firefox 19, SeaMonkey 2.16 contiendra, selon ses notes de diffusion, les nouveautés suivantes par rapport à SeaMonkey 2.15 :

Changements spécifiques à SeaMonkey

  • Répondre à la liste est désormais supporté.
  • Les invites d'alerte liées au SSL (quitter ou entrer dans un site sécurisé, afficher du contenu mixte) ont été remplacées par des barres de notification moins intrusives et non modales.
  • Voir la page des changements pour les changements mineurs.

Changements de la plateforme Mozilla

  • Les éléments Canvas peuvent désormais exporter leur contenu en tant qu'une image blob en utilisant canvas.toBlob().
  • @page en CSS est désormais supporté.
  • Les unités de longueur de viewport-percentage en CSS ont été implémentées (vh, vw, vmin et vmax).
  • Les transformations textuelles en CSS supportent désormais full-width.
  • Correction de plusieurs problèmes de stabilité.

La page des nouveautés dans SeaMonkey 2.16 des notes de diffusion mentionne d'autres corrections de bogues intéressantes propres à SeaMonkey. Pour davantage de renseignements sur les bogues corrigés et les nouveautés de ce train de sorties, voir les notes de diffusion de Firefox 19 bêta.

SeaMonkey 2.16 bêta 1 est disponible en 26 langues dont toujours le français, gratuitement et librement pour Windows, Mac OS X et Linux.

Gravatar de mozillaZine-fr
Original post of mozillaZine-fr.Votez pour ce billet sur Planet Libre.