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SckyzO : Ubuntu One intégre la documentation

mardi 18 mars 2014 à 23:20

Canonical, éditeur du système d'exploitation Ubuntu, a mis à disposition du public son client de synchronisation Ubuntu One. A travers cette documentation, les points suivants seront abordés :

  1. Installation du client Ubuntu One.
  2. Installation de l'indicateur Ubuntu One (+ un petit sneak peek).
  3. Configuration de votre client.

Cette documentation se veut plus didactique que les autres disponibles, la partie installation et configuration y sont plus développées qu'à l'accoutumée. En fonction de vos retours, cette partie pourra être mise à jour. Pour y accéder c'est par ici : http://www.elementaryos-fr.org/documentation/internet/ubuntu-one/


Ecran d'accueil d'Ubuntu One

Voici l'écran d'accueil d'Ubuntu One, si vous disposez d'un compte cliquez sur "Me connecter avec mon compte" sinon sur l'autre bouton

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Framablog : Make Art Not Law, même libres les licences m'encombrent l'esprit nous dit Nina Paley

mardi 18 mars 2014 à 20:01

Nina Paley a tout un parcours juridique initiatique…

Au début, elle n’y connaissait pas grand chose (comme nous tous). Mais à l’occasion de la création de son film Sita Sings the Blues elle fait brutalement connaissance avec le copyright. Elle décide alors de placer son film sous licence Creative Commons By-Sa et devient, sans trop le vouloir, l’une des fers de lance de la culture libre. Elle est ainsi invitée à de nombreux événements et parle souvent du sujet sur son site (nous avons du reste traduit son calendrier Mimi & Eunice). Mais même sous Creative Commons, elle rencontre des problèmes. Alors le film change à nouveau de licence pour adopter, selon elle, la plus grande liberté possible, à savoir le domaine public (via la licence CC0).

Aujourd’hui, on la sent comme un peu lasse de tout cela. Comme si s’être préoccupée autant de ces histoires de droit et de licences (même libres) l’avait éloignée de sa vocation première d’artiste. Plus le copyright se tient loin de l’art et mieux l’on se porte !

C’est, entre autres, ce qu’elle nous raconte dans une récente intervention pleine de malice et d’énergie (traduite et sous-titrée par nos soins).

D’accord, pas d’accord ? On vous attend dans les commentaires ;)



Make Art, Not Law - Transcript

URL d’origine de la vidéo (YouTube)

Nina Paley - 6 décembre 2013 - PechaKucha
(Traduction : amha, Omegax, François, Jean-Marc Gailis, Juliette, aKa, lumi, Scailyna, sylvain(sysy), goofy, Aurélien, amha - Sous-titrage : Bruno J.)

Vous êtes un portail d’information. L’information entre par vos sens, comme l’ouïe ou la vue, et ressort sous forme d’expressions, telles que votre voix, votre façon de dessiner, d’écrire et de bouger.

Pour que la culture reste vivante, vous devez être ouvert, ou perméable. Selon Wikipédia, la perméance est « l’aptitude d’un matériau à laisser passer un flux de matière ou d’énergie ». Nous sommes le matériau à travers lequel circule l’information.

C’est à travers ce flux que la culture reste vivante et que nous restons connectés les uns aux autres. Les idées entrent, et ressortent, de chacun de nous. Les idées se transforment un peu en cours de route ; c’est ce qu’on appelle l’évolution, le progrès ou l’innovation.

Mais à cause du copyright, nous nous retrouvons avec un monde où de l’information entre sans pouvoir en ressortir légalement. J’entends souvent des gens se consacrant à des activités artistiques demander : « Ai-je le droit d’utiliser cela ? Je ne veux pas avoir d’ennui. »

Sous notre régime actuel du copyright, les « ennuis » peuvent prendre la forme de procès, d’énormes amendes et même de peines de prison. « Ennuis » signifie violence. Les « ennuis » ont fait taire de nombreuses initiatives créatives. Alors la menace des « ennuis » dicte nos choix sur ce que nous exprimons.

Le copyright déclenche notre auto-censure. Et l’auto-censure est l’ennemie de la créativité ; elle empêche l’expression avant même qu’elle n’ait commencé. Celui qui se demande « est-ce que j’ai le droit d’utiliser ça ? » a déjà capitulé face aux avocats, aux législateurs et aux grandes entreprises.

Ce phénomène s’appelle la « Culture de la Permission ». À chaque fois que nous censurons notre expression, nous nous fermons un petit peu plus et l’information s’écoule un peu moins. Moins l’information s’écoule, plus elle stagne. Ceci s’appelle l’effet de sidération.

Je me suis demandé : n’ai-je jamais consenti à laisser la « Culture de la Permission » entrer dans mon cerveau ? Pourquoi est-ce que je me soumets à la censure ? À quel point puis-je choisir quelle information entre en moi ou sort de moi ?

La réponse est la suivante : j’ai une marge de manœuvre pour ce qui concerne les choses auxquelles je m’expose et celles que j’exprime, mais pas un contrôle total. Je peux choisir de regarder ou non les médias dominants, par exemple. Je peux aussi choisir quelle information transmettre.

Mais, comme je suis de ce monde et ouverte à ce monde, beaucoup de choses peuvent y entrer au-delà de mon contrôle. Je ne choisis pas ce qui entre en fonction du copyright. En fait, ce sont les images et les sons propriétaires qui sont le plus agressivement pilonnés dans nos têtes. Par exemple :

Have a holly jolly Christmas, It’s the best time of the year
I don’t know if there’ll be snow, but have a cup of cheer
Have a holly jolly Christmas, And when you walk down the street
Say hello to friends you know and everyone you meet!

Je déteste les chants de Noël. Mais parce que je vis aux États-Unis et que j’ai besoin de sortir de la maison même pendant les mois de novembre et de décembre, je ne peux PAS ne pas l’entendre. Cela passe tout droit de mes oreilles à mon cerveau où cela tourne encore et encore, ad nauseam.

Voici quelques entreprises avec lesquelles je pourrais « avoir des problèmes » pour avoir partagé cette chanson et ce clip en public. Ils ne m’ont pas consultée avant que leur soi-disant « propriété intellectuelle » ne fasse un trou dans ma tête lorsque j’étais petite, donc je ne leur ai pas demandé leur permission pour les mettre dans mon exposé.

Le copyright est automatique et il n’y a aucun moyen de s’en défaire. Mais on peut ajouter une licence accordant des permissions que ce copyright enlève automatiquement. Les licences Creative Commons autorisent ses utilisateurs à lever une par une les restrictions du copyright.

Le problème de ces licences c’est qu’elles sont basées sur la loi du copyright. La même menace de violence derrière le copyright se retrouve avec les licences alternatives. En fait, les licences renforcent le mécanisme du copyright. Tout le monde doit tout de même demander une autorisation — on l’obtient seulement un peu plus souvent.

A l’instar du copyright, les licences sont souvent trop complexes pour que la plupart des gens les comprennent. Donc, les licences ont l’effet collatéral d’encourager les gens à faire ENCORE PLUS attention au copyright, ce qui donne encore plus d’autorité au censeur intérieur sur eux. Et qui a fait entrer ce censeur dans leur tête au départ ?

Même si j’utilise les licences libres, et que j’aimerais qu’il y ait une réforme significative du copyright, les licences et les lois ne sont pas la solution. La solution, c’est que de plus en plus de gens ignorent tout simplement le copyright. Je veux faire partie de ces gens.

Il y a quelques années, j’ai revendiqué mon indépendance d’esprit. La liberté d’expression commence par soi-même. La censure et les « ennuis » se trouvent toujours hors de ma tête, et c’est là que je veux qu’ils demeurent – HORS de ma tête. Je ne souhaite pas aider les lois iniques et les mass médias en leur offrant un peu de mon attention.

J’ai arrêté de favoriser ou de rejeter des travaux selon leur copyright. Les idées ne sont pas bonnes ou mauvaises à cause de la licence que les gens leur accolent. Je me réfère seulement aux idées à présent, pas aux lois qui les entourent. Et j’essaie de m’exprimer de la même manière.

Comme des millions d’autres personnes qui se contrefoutent du copyright, j’espère que vous me rejoindrez. Préférez-vous être artiste ou bien juriste ?

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mozillaZine-fr : Firefox 28 sur LinuxFR.org

mardi 18 mars 2014 à 19:08

Nous ne signalerons pas tous les articles de presse relatifs à la sortie de Firefox 28 (ce serait fastidieux) mais seulement l’annonce sur LinuxFR.org car elle présente très bien la situation :

Mozilla vient d’accoucher de la vingt-huitième version de Firefox. Celle-ci s’inscrit dans la suite des versions aux changements moins soudains, et plus incrémentaux.

C’est bien la raison pour laquelle une sortie de Firefox (comme une sortie de Chrome, par ailleurs) ne fait plus la Une. Le changement est maintenant permanent, plus rapide, ce qui va plutôt dans l’intérêt des utilisateurs.

Qu’en pensez-vous ? Fêter les nouvelles versions de Firefox vous manque ? Partagez votre expérience.

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Monnaie libre : 3rd OpenUDC freedom money meeting – news

lundi 17 mars 2014 à 22:25

The 3rd OpenUDC freedom money meeting will take place in France / Paris – Montreuil 18th & 19th April 2014.

17/03/2014/news : both OpenUDC founder jbar and uCoin founder cgeek have confirmed arrival.

OpenUDC

Logo OpenUDC

Themes :

17/03/2014/news : uCoin presentation with cgeek

Space : France / Paris – Montreuil (near Métro Mairie de Montreuil more details after subscription)
Time : Friday 18th & Saturday 19th April from 9h00 to 19h00
Subscription : send a mail to galuel at glibre dot org


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Who can subscribe : OpenUDC contributors or future contributors interested in : code, translation, web teaching, video or sound capture, Graphical User Interface (GUI), or any other OpenUDC – uCoin related subject. To subscribe send a mail to galuel at glibre dot org.

Next event : The 4th OpenUDC freedom money meeting can be 2 days between 18/10/2014 and 03/11/2014 (you could propose other possibility). Proposition of organisation (minimum 1 network room for 20 persons), has to be complete before 1st September 2014.

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La vache libre : k2pdfopt – Un script très pratique pour optimiser rapidement vos PDF

lundi 17 mars 2014 à 19:50

k2pdfopt-1-Menu

Les documents au format PDF font désormais partie de notre quotidien et nous sommes nombreux à en échanger ou à en faire usage, pour nos documents personnels, professionnels, lire des BD et tout un tas d’autres trucs. Cependant les appareils ayant pas mal évolué et les écrans de certains terminaux étant relativement petits (smartphones, tablettes, netbook etc), la lecture de fichiers PDF peut devenir difficile et souvent assez vite fatigante. K2pdfopt est un script très bien fichu qui va vous permettre d’optimiser vos documents PDF, afin de rendre leur lecture plus facile sur des petits écrans. Le principe est assez simple et consiste à entrer le nom de la commande, suivie de l’option qui vous intéresse et du nom du document à optimiser. Quand votre choix est fait il ne vous reste plus qu’à valider et K2pdfopt va alors générer une copie de votre document, en fonction des options que vous aurez sélectionné. C’est simple, pratique et très efficace.

Comme vous avez pu le voir sur la capture ci-dessus les options sont nombreuses et vont vous permettre de choisir le type d’affichage que vous souhaitez utiliser.

Sur l’image ci-dessous vous pouvez voir la phase de traitement, qui pour info a duré environ 2 minutes pour un total de 564 pages.

k2pdfopt-2-Traitement

Ici vous pouvez voir que la copie affiche la première page du document d’une couleur différente, mais surtout que l’espace qu’elle occupe a été optimisé par la quasi suppression des marges, qui au final ne servent pas à grand-chose. Ce principe sera adapté à tout le document et appliqué aux zones de texte.

Vous remarquerez également que le nom du document a été automatique modifié et que vous n’aurez donc pas à vous soucier de la casse. Vous pourrez aussi choisir le nom du fichier de sortie avec l’option « -o » si vous préférez.

K2pdfopt-3-fichier-de-sortie

Sur cette dernière capture vous pouvez voir ce que ça donne à la lecture. Le texte est en quelque sorte affiché comme sur des contenus « responsives » et apparaît en effet de façon beaucoup plus lisible.

k2pdfopt-4-result

Sympa non ?!!

Si ça vous tente vous pouvez en profiter sur n’importe quelle distribution GNU/Linux, en vous procurant K2pdfopt depuis la page de téléchargement du site officiel.

Une fois que c’est fait il suffit de lui attribuer les droits d’exécution à l’aide d’un petit :

chmod +x k2pdfopt.sh

Au niveau de l’utilisation il n’y a rien de bien méchant non plus. Pour prendre connaissance des différentes options, il suffit d’entrer la commande « ./k2pdfopt » ou d’utiliser « -h » une fois dans le menu principal.

Pour optimiser un document vous pouvez procéder comme dans l’exemple ci-dessous :

./k2pdfopt -a nom-du-document.pdf

Vous devrez bien entendu remplacer « -a » par l’option de votre choix et adapter le nom du ficher.

Comme je le disais plus haut, simple, pratique et efficace!

Amusez-vous bien.

source

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