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FredericBezies

source: FredericBezies

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« Shattered Pixel Dungeon », le rogue-like deluxe.

vendredi 31 décembre 2021 à 00:00

S’il y a un genre de jeu vidéo qui m’a toujours attiré, ce sont les rogue-like. Comme je l’avais précisé dans l’épisode 14 de la série « Vieux geek » en juin 2013.

Je me suis dit que conclure l’année 2021 sur un rogue-like de haut vol serait une bonne idée. En effet, en attendant la sortie d’un rogue-like pour Commodore 64 du nom de Rogue64 en précommande au moment où je rédige cet article, il serait bon de parler d’un rogue-like qui existe aussi bien sur Android, Linux et iOS du nom de « Shattered Pixel Dungeon ».

Au menu ?

Autant dire que le jeu est plutôt bien fourni 🙂

Le but est simple : descendre jusqu’au 26ième sous-sols, vaincre tous les boss et remonter jusqu’à la surface en restant en vie. Simple sur le papier, mais en réalité…

Si vous êtes sur Archlinux et Manjaro, le jeu est casse-bonbon à installer, car il nécessite Java 11 et donc le paquet jdk11-openjdk pour fonctionner.

Mais vous êtes récompensé par un jeu assez joli, avec des bonnes musiques et des graphismes de haut vol. On est loin du rogue-like à base de caractères ASCII.

Vous l’avez vu, le jeu est facile à prendre en main, du moins en apparence, mais il est difficile de survivre longtemps si on ne suit pas un minimum de stratégie. J’avoue que j’aime parfois me lancer un rogue-like pour une partie rapide de 20 à 30 minutes, histoire de me changer les idées. Peut-être qu’un jour, je serai vainqueur, mais ce n’est pas mon but premier ici 🙂

Mon bilan pour 2021 : une année un poil plus mouvementée que 2020 :)

jeudi 30 décembre 2021 à 00:00

Il y a un an, alors que le blog était encore sur un espace personnel du FAI Free, je faisais un bilan de l’année écoulée.

Sur le plan du permis, je me suis inscrit fin juin après plusieurs mois de report. Pour le moment, étant un élève à l’apprentissage plutôt lent, je suis bien loin d’espérer tenter ma chance à la pratique pour le mois de février 2022 comme je me l’étais promis. Décrocher le permis pour mes 48 ans aurait été un beau cadeau. Maintenant, je vise plutôt le printemps ou le début de l’été 2022. Croisons les doigts… Et les orteils 😉

Sur le plan littéraire, c’est une année plutôt bof. Je parlais du projet « M » il y a un an… Et depuis plusieurs mois, l’envie d’écrire et l’inspiration ont disparu de mon environnement.

Voici où en est le projet « M » en cette fin 2021. Oui, 9 mois sans avoir réussi à rajouter la moindre ligne, ça commence à faire long.

Je dois dire que cela fait des années que je n’ai pas connu de telles périodes vides. Mais d’autres plaisirs ont pris le relai, comme la rétro-informatique à laquelle j’ai consacré quelques billets, entre autres, liste étant loin d’être complète !

J’aurais pu rajouter les nombreux billets concernant des jeux sortis pour les ordinosaures et qui ont peuplé mon blog cette année au point de modifier le sous-titre du blog en rajoutant : « et la rétro-informatique ! »

Ce fut aussi une année de migration, quittant l’espace Free qui avait hébergé bon an mal an le blog depuis sa naissance en 2005. Avoir une connaissance administrateur serveur et réseau, ça aide pas mal !

Sur le plan informatique, en dehors du don plus que généreux d’un Commodore 64 « première génération » de 1985, rien n’a vraiment bougé.

Je suis toujours sur l’installation d’Archlinux mise en place en 2018 via Anarchy car je n’avais pas encore trop de confiance en la mise en place à la mimine d’Archlinux sur de l’UEFI.

L’ordinateur portable, un vieux Toshiba Satellite L300-2CZ a eu droit à une greffe de batterie neuve. Selon mes recherches, le modèle en question serait sorti en 2009… 12 ans pour un portable d’appoint, c’est quand même très beau !

De plus, il est toujours motorisé par la Manjaro Tux’n’Vape Mate installée en juin 2018 en même si l’ensemble a migré sur Gnome depuis.

Musicalement ? Une année plutôt remplie, en tout cas plus que 2020.

  1. Le quatrième album d’Heligoland en février 2021.
  2. Le dernier album d’Aythis en avril 2021.
  3. Le premier album des Robin & The Woods, en avril 2021.
  4. Le deuxième album d’Altesia, en octobre 2021.
  5. Le troisième album des Persona, en octobre 2021, lui aussi.
  6. Le dernier EP des Lethian Dreams en novembre 2021.
  7. Le quatrième album d’Aephanemer en novembre 2021 lui aussi.

Quel bilan au final ? Une année qui m’aura apporter énormément de plaisirs variés et surtout une année où j’ai pu enfin retrouver une partie de mes débuts en micro-informatique, même si j’avais le grand concurrent du Commodore 64 en France à l’époque, à savoir l’Amstrad CPC 6128 à la fin des années 1980.

Non, je ne compte pas investir dans un Amstrad CPC réel pour des raisons de place et de coût d’acquisition. L’Amstrad CPC est et restera mon ordinateur de coeur.

Je me demande de quoi sera constitué le billet bilan de l’année 2022. On verra dans un an 🙂

En vrac’ de milieu de semaine…

mercredi 29 décembre 2021 à 00:00

Petit en vrac’ en ce dernier mercredi de 2021.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Sur ce, bonne fin de semaine !

« Briley Witch Chronicles », un excellent clone de Zelda pour Commodore 64.

mardi 28 décembre 2021 à 00:00

Je dois l’avouer dès le départ : je n’ai joué aucun Zelda, n’étant pas un grand amateur des jeux pour consoles.

Cependant, courant octobre 2021, Sarah Jane Avory a publié le premier volet d’une trilogie – si tout se passe bien – de jeux reprenant les mécaniques de Zelda, « Briley Witch Chronicles ». Sur la page itch.io du jeu, on est tout de suite prévenu que ce n’est pas un jeu qui se torche en 5 minutes…

Entre autres :

Sans oublier l’indispensable chat grognon qui aidera Briley dans ses aventures. L’histoire ? On joue le rôle de Briley, une développeuse qui rentre chez elle après une journée pourrie. À la suite d’événements surnaturel, elle se retrouve dans un village médiéval dénomme Meapole. Sa mission ? Revenir à son époque de départ, ce qui n’est pas une mince affaire.

Mais le mieux est de vous présenter rapidement le jeu.

Je dois dire que c’est pour moi une bonne surprise. Le jeu a sa dose d’humour, les personnages non joueurs sont parfois intelligents. Les premières quêtes sont assez courtes, et en l’espace d’une heure de jeux, j’en ai résolu quatre ou cinq. Je ne sais pas combien de temps je mettrai pour finir le jeu, mais je ne vais pas jouer jusqu’à l’écoeurement, car ça serait dommage.

Si Twitter n’existait pas, faudrait-il l’inventer ?

dimanche 26 décembre 2021 à 13:15

Je suis sur le réseau à l’oiseau bleu depuis mars 2010. 11 ans et 9 mois donc. Je n’ai jamais été à la course aux personnes abonnées. D’ailleurs, il m’a fallu 10 ans pour arriver à la symbolique 1000e personne à suivre mes propos sur Twitter.

Au fil des années, j’ai vu à quel point le réseau est devenu un repaire à cybermilitants (désolé, je respecte la grammaire française) en carton-pâte qui se la pète – non, je ne parle pas des évacuations intestinale (qui sont parfois plus intelligente que certains propos tenus par les dites personne en question) – ou encore des jeunesses twitteriennes qui vérifie que l’évangile – au sens biblique du terme – des « progressistes » est respecté au pied de la lettre.

Ce qui finit par donner des blocages et des bannissements pour avoir sorti des faits biologiques que l’on ne peut nier sans tordre la science dans tous les sens, bref, du grand n’importe quoi.

Ou encore simplement montrer à un grand nom du « progressisme francophone » appelait au signalements de masse qui est une forme de harcèlement que le « progressiste » déclarait combattre.

On arrive à une dictature de certaines minorités qui finissent par hiérarchiser les groupes en souffrance, en fonction de la couleur de peau, du sexe ou de la sexualité, en sachant qu’il y a un diable absolu dont je-ne-citerai-pas le nom.

Du pur sociétal qui permet de ne pas parler des sujets qui fâchent, comme la répartition caricaturale des richesses produites. Vous savez, ce qu’on appelle le ruissellement ou encore sa version sportive des premiers de cordée.

Mastodon n’est pas mieux au final. Il y a juste moins d’influen(su)ceurs que sur l’oiseau bleu. Des personnes qui sont à la course au plus gros scores en terme de personne qui suivent. Les influen(su)ceurs sont une plaie et l’industrie de l’inutile l’a bien compris : fausses montres, pochettes de cartes pokémon contrefaits, etc…

Ce qui est adorable sur l’oiseau bleu, c’est de voir les justiciers en papier maché s’insurger et bloquer toute personne qui – trouvant une faille dans l’argumentation – mettent à mal leur formatage idéologique.

Bref, vous voyez ce que je veux dire. Aucun réseau social n’empêchera le clan du bien autoproclamé – qui sont en réalité à peine moins insupportable que Joseph MacCarthy – de polleur l’air des autres qui finiront par foutre le camp pour être tranquille.