L’album est très bon, les pistes entrainantes, mais cela sonne vraiment comme du Steven Wilson à ses grandes heures. À la copie, je préfère l’original
Les compositions sont propres, entrainantes, mais il manque un petit quelque chose qui pourrait éviter de donner l’impression d’écouter un groupe hommage que d’un groupe franchement indépendant.
Ce n’est que mon avis, et libre à vous dans les commentaires de me laisser votre impression.
Si on pense au duo Christophe Izard et émission pour la jeunesse, le mythique « Ile aux Enfants » (1974-1982) vient à l’esprit. Cette émission dont j’ai trop peu de souvenirs a bercé le début de mon enfance.
Mais il serait dommage de passer sous silence une émission qui lui a succédé durant 3 ans, « Le Village dans les nuages ». En parallèle avec Récré A2, cette émission a bercé la fin de mon enfance. Ici, pas de dinosaures, mais des extra-terrestres échoués suite à un incident sur un nuage magique qui héberge un village.
Entre Ding-Ding, l’ordinateur de bord, des personnages truculents, un haricot magique qui permet de monter dans le village, tout est occasion de faire des sketches. Mais ayant déjà 8 ans au début de l’émission, je me suis vite tourné vers le mythique Récré A2.
Pour finir ce court article, voici donc le générique de début de cette émission. Elle parlera sûrement plus aux enfants nés à la fin des années 1970 qu’à d’autres.
Ce blog existe depuis septembre 2005, et jusqu’à fin avril 2021, il a été hébergé sur un espace personnel free. Devant certaines limites (pas de php 7.x, ni de support du https), avec l’aide d’un ami administrateur système et réseau, une migration a été faite sans quasiment aucune casse.
Même si le premier anniversaire de la migration sera au 25 avril, je me suis dit qu’un bilan rapide serait une bonne chose à faire.
Sur le plan technique, je n’ai plus besoin de me poser de questions en ce qui concerne WordPress. Les mises à jour mineures se font automatiquement, seule les mises à jour majeures demande que je migre manuellement.
J’ai aussi pu mettre en place un outil anti-casse bonbons qui passent par TOR en bloquant les commentaires qui pourraient y être déposés.
Tout comme pour mon clavier mécanique (que j’utilise depuis mars 2021), je ne retournerai pas sur un hébergement free. C’est plus douloureux financièrement parlant, j’y ai gagné une telle souplesse que la voir disparaître serait ennuyeux.
Bref, même si ça demande un petit peu d’investissement et que j’ai une note mensuelle à régler, je n’ai pas vraiment à me plaindre de l’hébergement sur un serveur tiers
De mon enfance, j’ai conservé certaines séries mythiques, spécialement dans le domaine du dessin animé. Mais il y en a trois que je qualifierai de « fouteuse de cafard ». Des séries si tristes qu’on peut se réjouir d’avoir fait survivre l’espoir malgré leur visionnage.
Je vais y aller chronologiquement, et je commence avec une série arrivée en 1978 arrivée dans Récré A2, j’ai nommé Candy, « Candy Candy » en version originale. Est-il besoin de présenter ce shojo manga ? Candy est abandonné par ses parents et est recueillie en même temps que celle qu’elle considère comme sa soeur, Annie.
Ensuite, il y a eu entre autres :
Le départ déchirant d’Annie
Elle arrive dans une famille où elle est maltraitée par un frère et sa soeur
La mort du premier amour de Candy, Archibald dans un accident de chasse. Pour éviter de choquer les plus jeunes, la mort sera transformée en handicap à vie
Elle perd son deuxième amour, Terry Granchester
Elle prendra part au premier conflit mondial
Bref, que du très joyeux pour les 115 épisodes de la série. Allez, séquence nostalgie avec le premier générique.
Si vous pensez qu’on a atteint un maxima dans la cruauté, laissez-moi vous introduire d’une série diffusée en 1982, j’ai nommé « Rémi sans famille » d’après le roman d’Hector Malot. Les enfants des années 1970 sont en train de préparer le bidon d’essence et les allumettes, car on est dans le summum de la maltraitance de personnages.
Rémi est un enfant kidnappé puis adopté par madame Margerin. Il est ensuite vendu à Vitalis, un saltimbanque qui mène sa petite troupe sur les routes de France. Ensuite ?
Une partie des chiens de la troupe se fait massacrer par des loups
Vitalis, ancien chanteur d’opéra meurt en sauvant Rémi de la neige
Le singe de la troupe meurt d’épuisement à la fin du numéro où il était le héros
Il est pris dans un accident dans une mine
Et j’ai dû en oublier. C’était simple : en 25 minutes, durée des 51 épisodes, on se retrouvait rapidement avec l’envie de se lever pour changer de chaine. Une torture. Allez, une piqûre de rappel, le générique du début.
Pour finir, une dernière série, que j’ai vu sur le tard. En effet, elle a été diffusé à partir de fin 1985, c’est bien entendu de « Clémentine » dont je parle.
Série franco-japonaise de deux saisons pour 39 épisodes, elle se passe dans les années 1920. On y suit les aventures de Clémentine, victime d’un accident d’avion provoqué par le démon Malmoth. Clouée dans un fauteuil roulant, elle est protégée par Héméra.
Au fil des épisodes, elle combat les grouillants, envoyés par Melmoth, mais uniquement dans ses rêves, à cause de son infirmité.
Entre la voix de Malmoth – interprété par Roger Carel, Francis Lax et Jacques Torrens – les grouillants qui ont des formes pas franchement enviables, c’est une série qui respire – ou pas – la joie de vivre.
Simple question pour finir cet article : quelle est votre série en images réelles ou en dessins animés à cafard ?