C’est la question que je me suis posé, après avoir reçu dernièrement le CD de Kyrstin Pixton.
J’ai donc effectué quelques fouilles dans ma musique « morte » (traduire sous forme de support physique, qui prend de la place, mais qu’on peut toujours copier à volonté), et j’ai fait quelques photos pour montrer l’étendue des dégats
Total ? Si mes notions de mathématiques sont encore bonnes, cela fait 103 albums. Mais il en manque 2, le prochain « And The Giraffe » (qui sort officiellement le 2 novembre prochain) et le premier album des « graydon james & the young novelists« . Donc, un total de 105 albums. Ce qui représente environ 25% de ma collection musicale. Oui, je suis un fou furieux de musique, ci-joint la capture d’écran de ma collection entièrement légale…
Bon, faudra un jour que j’essaye d’avoir une vie sociale… Ce serait mieux pour ma carte bleue et mon espace de vie :]
Qui dit nouvelle rc de FreeBSD, dit aussi nouvelle rc de PC-BSD qui s’en sert comme base. PC-BSD 9.1rc2 est disponible. Avec plein de bonnes choses (support mp3/ogg pour la copie de CD, le support des pilotes nVidia Optimus, etc…)
Manjaro Linux, une dérivée d’Archlinux proposant Xfce comme interface par défaut – et en supplément des versions Gnome et KDE – avance bien, et propose aux courageux testeurs une version 0.8.2pre2.
Une nouvelle préversion de Liferea, outil de lecture de flux RSS est disponible, la 1.9.6.
Chaque jeudi – ou presque – je listerai des infos à la mords-moi-le-noeud qui montre la conn bétise humaine dans sa plus crasse représentation.
Alors que les ténors politiques français rivalise de haine pour le mariage pour tous (pourquoi seuls les hétéros auraient-ils le droit de passer à la mairie pour divorcer 5 ans plus tard avec perte et fracas), au pays de la liberté d’expression, une église milite pour la mise à mort physique des homosexuels.
C’est officiel : la distribution Archlinux est morte à cause de la disparition progressive du fichier /etc/rc.conf. Décidément, y a des personnes qui ne doivent plus avoir beaucoup de moquettes chez elle. La moquette, c’est fait pour marcher dessus, pas la fumer.
NB : Pour rédiger cet article, j’ai du m’y prendre à trois fois, la deuxième tentative ayant tournée au pire moment qui puisse arriver… Un démarrage en single-mode user au moment où je comptais faire la capture vidéo
Pour des raisons pratiques, j’ai préféré l’image AMD64. Et pour l’émulation, même si j’avais utilisé VirtualBox pour le précédent article, je me suis rabattu sur qemu pour celui-ci. Et je dois dire que je n’ai eu aucun ennui d’émulation cette fois-ci !
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom NetBSD-6.0_RC2-amd64.iso -boot order=cd &
L’installateur en mode texte est assez simple et parlant.
Le seul point que j’ai modifié, c’est la taille des partitions, donnant plus de place à /usr (sinon, on ne peut pas installer certains logiciels), à /var, au swap et à /tmp. Pendant l’installation, le mieux est de prendre le shell csh.
Je n’ai pas réussi à avoir du réseau en utilisant la configuration automatique de l’installateur, cependant
Au premier démarrage, j’ai modifié le fichier /etc/rc.conf pour ajouter :
dhclient=yes
hostname=fredo-nb60rc2
Ensuite, après en modifiant le fichier .cshrc avec vi, il faut utiliser la valeur suivante pour les paquets, dans la ligne EXPORT vers la fin du fichier
Ce n’est bien sur valide que pour le moment, quand NetBSD 6.0 sera officiellement sorti, ce sera plus simple, et il n’y aura pas besoin de modifier l’adresse à utiliser.
J’ai installé les outils basiques bien pratique, comme zip, unzip ou encore nano !
pkg_add -v zip unzip nano
J’ai rajouté un utilisateur normal pour la suite des évènements. Car travailler tout le temps en root, c’est très mal.
useradd -m -G wheel fred
passwd fred
Comme pour le précédent article, j’ai installé Xfce, en suivant le guide, donc avec les lignes de commandes suivantes :
Il ne faut pas oublier de modifier le fichier /etc/hosts et rajouter à la ligne en 127.0.0.1 le nom de la machine, sinon xfce poussera une hurlante au démarrage en affirmant qu’il y a un problème par rapport à la connexion à l’internet.
Cerise sur le gateau : la version fournie de Xorg génère automatiquement la bonne résolution d’affichage. Autant dire que j’étais bien soulagé de ne plus avoir à trifouiller les fichiers de configuration de Xorg.
En fouillant dans les paquets, on trouve Xfce 4.6, KDE SC 4.8.4, et Gnome 2.32. Il semblerait qu’il existe un paquet lié à Gnome 3, mais cela ne m’a pas amené bien loin
Et j’ai fait une petite capture vidéo rapide du NetBSD installé dans la machine virtuelle qemu.
Evidemment, un BSD n’est pas fait pour être une machine multimédia et bureautique, mais si on arrive à avoir les traductions de LibreOffice (liée à la compilation du logiciel ?) on obtient un résultat assez honnête… Si on est patient et qu’on lit la documentation attentivement.
J’avoue que je ne suis pas super à l’aise avec NetBSD, mais j’avais envie de réaliser ce petit délire qui sort un peu de l’ordinaire des BSD qu’on associe plus volontiers à des serveurs.
En fouillant sur les projets proposés par le site de financement participatif PledgeMusic, je suis tombé sur un groupe dont la photo m’avait intrigué. Celui du projet « Lorraine McCauley & The Borderlands », dont l’album dont il demandait une aide pour le financement s’appelle « Light in the Darkest Corners ».
Après avoir écouté l’extrait disponible sur le page du profil du groupe, qui s’appelle « Big Love » (deuxième piste de l’album), j’ai craqué et apporté un financement à hauteur de 10 £ (soit environ 12 €) pour un exemplaire physique de l’album.
Je suis en train d’écouter l’album tandis que je rédige l’article, et j’avoue que je me régale. Si vous aimez la folk, mâtiné de musique celtique, d’accordéon et de cordes, ce sera pour vous un album à découvrir, voire à acheter. Il vous suffira d’aller sur le site du groupe pour plus d’information. Je pense que je vais aussi prendre leur premier EP, « Haunt Me« .
Je dois dire que je ne regrette pas d’avoir suivi mon ressenti et mon intuition. A vous de voir, désormais !