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FredericBezies

source: FredericBezies

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Bilan estival de l’année 2019.

dimanche 1 septembre 2019 à 16:57

Attention, billet long : on est dans les 700 mots !

Oui, je sais, l’été ne se termine normalement dans l’hémisphère nord qu’aux alentours du 21 septembre. Mais on peut dire qu’au 1er septembre, il est déjà moribond.

Mon blog attaque le mois de son 14e anniversaire, déjà. Je dois dire qu’en ce moment, outre le fait que le mois d’août est celui durant lequel je suis comme un ours dans sa caverne en train d’hiberner, l’envie de proposer des billets sur mon blog se fait moins poussée.

Comme l’avait si bien dit Denis Szalkowski dans un billet, la blogosphère est entrée dans un état gazeux. J’ai particulièrement apprécié la conclusion que je recopie ici verbatim :

Je finirais par une note plus personnelle. Ce qui peut conduire, comme Fred et quelques autres, à lever le pied, c’est l’agressivité des commentaires – surtout dans les réseaux sociaux – dont nous faisons l’objet systématiquement à chaque fois que nous exprimons un point de vue personnel qui s’oppose à la beaufitude ambiante la pensée dominante véhiculée dans les réseaux sociaux par tout un essaim de baltringues.

Je ne compte plus le nombre de commentaires aussi doux que du miel que je reçois en provenance du réseau anonymisant TOR, par exemple :

Oui, je n’ai pas anonymisé l’IP, mais étant donné que c’est un point de sortie de TOR, quel intérêt de la masquer, étant donné qu’on ne peut pas remonter jusqu’à la source du message ? Et peut-on accorder au final une quelconque valeur au message ? Sans preuve, je peux affirmer que je suis le neveu du pape François, non ? 🙂

J’ai eu l’occasion durant le mois d’août de partir durant deux semaines chez Baba Orhum que je connais depuis quelques années. J’ai même participé à quelques-unes des vidéos de sa chaine « Drone In Lot ».

Entre autres, celle sur le gouffre de Saint Sauveur :

La deuxième partie :

Cela m’a permis de prendre encore plus de recul avec le monde du logiciel libre. Même si je participe par curiosité à certains projets dont EndeavourOS – qui s’avère être plus intéressant que je l’escomptais au début – j’ai abandonné tout fol espoir de voir un jour le libre dépasser les 5% du marché du PC bureautique.

Il faut dire que le fork hostile et « politiquement correct » de Gimp – comme expliqué par un membre de l’équipe de GIMP – ne fait que cmalkgonfirmer mon opinion sur la déliquescence du monde du logiciel libre.

Cela aurait fait un excellent épisode pour ma série des pitreries du libre, mais elle est déjà bien fournie au moment où j’écris ce billet, avec 7 vidéos au compteur 🙂

J’ai pu consacré donc du temps libre à mes autres occupations, comme l’écriture.

J’avance sur un petit roman pour les enfants de 7 à 99 ans. J’ai déjà écrit environ 80 pages au format A4. Si tout se passe bien, j’aurai terminé le premier jet du texte d’ici un trimestre. Avec un peu de chance, tout sera prêt pour la publication en février 2020.

J’en parlerai en temps voulu.

Cela fait aussi 9 mois, à quelques jours près, que j’ai quitté la youtubosphère linuxienne francophone. Il est marrant de noter que bien que j’ai annoncé mon départ en tant que créateur, j’ai gagné quelque chose comme 500 abonnés… En effet, sur ma vidéo de cloture de chaine, j’avais 4953 abonnés.

Et au 1er septembre 2019 :

J’en suis à 5483 abonnés. Soit 530 en plus… Apparemment, certaines personnes pensent que je vais revenir. Contrairement à Baba avec sa nouvelle chaine, j’ai décidé de mettre la clé sous la porte.

Mes ulcères m’en remercient. Même si je n’ai que 10% de l’audience via les deux instances peertube sur lesquelles (peertube.fr et tux’n’tube) je suis présent par rapport à Youtube, peu m’importe.

Je continue de faire les vidéos à un rythme plus calme sans craindre de tomber sous les fourches d’un robot de modération un peu trop stakhanoviste avec les exigences des ayants-tous-les-droits.

Je suis aussi très loin des dramas qui sont la moëlle de l’audience de Youtube. Je laisse les youtubeurs s’entretuer à grands coups de vidéos rageuses. C’est loin de moi, tout cela désormais.

Ma vie sociale en a profité et j’espère bien que cela continuera ainsi dans ce domaine précis qui me tient à coeur.

Je vais reprendre un rythme de croisière un peu plus actif pour cette rentrée. Un gros morceau du mois de septembre, ce sera le billet des 14 ans du blog. Autant dire que j’ai pas mal de pain sur la planche pour le fignoler celui-ci 🙂

Sur ce, je vous laisse.

Droit de réponse du co-fondateur du projet Tux’n’Vape.

jeudi 29 août 2019 à 13:21

Baba Orhum est l’un des fondateurs du projet Tux’n’Vape. Il a désiré réagir aux commentaires de l’article « Tux’n’Vape, le bilan vu de l’intérieur. »

Vu la longueur de sa réponse, j’ai préféré en faire un article à part entière.

Je recopie verbatim son texte. Bonne lecture.


Avec tout ça je pense que je me devais de répondre, oui de répondre rapidement mais quand même d’apporter ma petite contribution à cet article (Note de Fred : celui cité en introduction) sous une forme de réponse aux différents commentaires :

Sur le pourquoi de l’arrêt de TnV :

L’arrêt est purement pour des raisons morales, en effet le visage du libre/OpenSource a changé et pas en bien. L’accumulation de trolls, d’un climat délétère fait qu’une personne qu’on ne rémunère pas ne devrait pas bosser ou contribuer dans ces conditions.

– Le libre passe clairement à l’extérieur comme une bande de personnes fanatisées, haineuses qui ne voient que leur joujou, c’est-à-dire leur distro comme l’alpha et l’oméga de leur existence.

– Ces mêmes personnes se conduisent d’une manière différente de ce qu’elles feraient à l’extérieur. Ici je réponds au commentaire concernant le fait que les trolls même dans le réel ça existe…

En effet mais pas dans une même mesure parce que si la loi dit : « La liberté des uns s’arrête là ou commence celle des autres », pour le libre cela devient: « La liberté de nuire à tout le monde et pourrir la gueule de tous, dès qu’une entité ou une personne fait différent, est une liberté fondamentale ».

Dans les faits personne n’a envie de faire face au réel : « Ma liberté d’expression ira dans la rue jusqu’à un certain seuil parce que plus je vais pousser les choses jusqu’à l’intolérable plus je risque de prendre un oignon ou un oeil au beurre noir ». Car oui monsieur le « fanatique mageian » on ne peut pas tout dire et tout faire à l’extérieur, les japonais l’ont bien compris en amenant des règles de savoir vivre car vu la densité de population au kilomètre carré ça tournerait très vite au « clash of clans ».

– Elle possède maintenant un certain nombres de jeunes pseudos libristes qui ont l’attaque facile et ça va dans la continuité de mon point précédent. Pour beaucoup il s’agit de jeunes qui se font sûrement harceler physiquement en cours. Mais je trouve regrettable que pour se venger d’un début de vie plus qu’injuste, ils utilisent les même armes online au lieu de rechercher une reconnaissance en montrant des talents intellectuels, de la modestie et de la raison.

– Beaucoup ne font pas la différence entre une blague de « boite de medocs » sur un canal privé et une vidéo Youtube publique. L’un est une blague que certains peuvent, d’accord, trouver douteux mais restant sur un canal privé et l’autre une vidéo publique condamnant le statut social des personnes, s’attaquant moralement à la famille et à l’entourage.

Celui qui n’y voit aucune différence est soit un malhonnête, soit quelqu’un qui reste enfermé dans sa caverne et qui pour le coup ne doit sortir que rarement de chez lui.

– Sur les questions « pro ou pas pro », « échec ou pas échec », TnV n’avait pour but que d’être un club d’entraide et de réflexion avec la vision originelle fraternelle du libre (oui, c’était ainsi à l’époque, beaucoup ont oublié) et non un endroit où prendre une respin.

L’idée d’en faire une ne vient pas de moi mais d’une personne ayant quitté le canal il y a longtemps et qui trolle le projet post-mortem actuellement (celui qui m’a assisté dans la conception de l’openbox TnV).

TnV est pour moi une réussite partielle dans le sens où les gens qui y sont se rencontrent font de l’entraide et sont très fraternels et pas du tout dans une vision concurrente idiote et d’ailleurs incompatible avec une réussite d’un projet libre communautaire.

Pour un projet OpenSource assisté d’une entreprise, pas de soucis. Mais dans ce cas, stop ! Arrêtez de bassiner tout le monde avec votre changement de paradigme, y’en a pas.

J’ai moi-même un équivalent DUT en administration des systèmes et des serveurs, et alors, outre l’utilisation d’un argument d’autorité, ça amène quoi ?

Il y a des mauvais pros et de bons amateurs. Pour l’auteur du : « laissez les pros faire », ce n’est pas la modestie qui t’étouffe, en plus d’autorité tu déclares Mageia comme héritière de Mandriva. Mais demande aux gens d’OpenMandriva, ils ne sont pas d’accord avec toi. Et l’héritage parlons-en… d’une boîte qui a déposé le bilan… La belle affaire.

Pour résumer je suis fier d’appartenir à TnV (dont je ne suis plus administrateur, CyRo l’est maintenant), car hors de notre communication dure et de nos erreurs :

– Nous n’avons jamais attaqué une personne sur le plan social ou familial

– Nous n’avons jamais été fanatiques et jusqu’au-boutiste comme énormément de libristes le sont actuellement, oui on est limite du fanatique religieux qui utiliserait tout les moyens pour faire vaincre et pardonnez-moi l’expression, sa putain de distro à la con… Rien ne justifie d’attaquer les personnes sur leur statut social, familial et en utilisant l’ad-hominem pour défendre votre projet. Entre un projet et ce genre de dégueulasserie, la mort du projet serait préférable.

– On a toujours vu l’aspect moral avant tout autre aspect, bref nous avons des limites. Plutôt que de continuer dans un climat délétère, on a préféré fermer boutique. Ça c’est plutôt une marque de courage, a contrario des projets qui vont jusqu’à accueillir des trolls notoires pour se protéger… Parce que, oh la la, sans votre censuré de projet, ce serait la fin du monde libre !

– On a choisit Fred et moi de passer le bébé à quelqu’un d’autre. Il ne faut pas garder les projets pour soi-même, dans le libre. Tu fais les choses pour toi un peu et pour les autres beaucoup.

– Pour finir, nous sommes fiers de ne pas avoir accepter n’importe quoi ni n’importe qui, dans le but de conserver une certaine morale, de rester accrochés au réel et d’éviter les dérives virtuelles diverses et variées contrairement à certains projets du libre qui volent à 10 000 pieds au-dessus du sol.

Vieux Geek, épisode 163 : Diskeeper 6.0, la version complète du défragmenteur intégré à MS-Windows 2000

dimanche 25 août 2019 à 11:59

Il y a toujours eu une grande histoire d’amour entre les outils de défragmentation et Microsoft. Depuis la lointaine époque du défragmenteur pour MS-Dos basé sur l’outil de Symantec jusqu’à nos jours, même si les défragmenteurs sont inutiles sur des supports type SSD ou apparentés.

En l’an 2000 sort un certain MS-Windows NT 5.0 plus connu sous le nom de MS-Windows 2000. Même si le système de fichiers NTFS est moins sujet à la fragmentation que fat ou fat32, il n’en est pas exempt.

Pour proposer un défragmenteur basique, Microsoft se tourne vers Executive Software Inc. et propose une version limitée d’un produit phare de cette entreprise, Diskeeper. La version complète contemporaine à la sortie de MS-Windows 2000, la 6.0 est téléchargeable sur WinWorldPC. À l’époque, c’est un logiciel d’essai payant que l’on peut débloquer avec un achat de licence. On peut faire pas mal de choses avec, comme demander une défragmentation au démarrage, choisir quoi défragmenter, etc.

Pour montrer l’outil en action, j’ai donc installé un MS-Windows 2000 dans une machine virtuelle VirtualBox dans laquelle j’ai rajouté le service pack 4, Internet Explorer 6.0 et MS-Office 2000.

Dans la vidéo, j’ai mal prononcé le nouveau nom d’Executive Software Inc., ce n’est pas Convulsive mais Condusiv Software. Mea culpa. En tout cas, vous avez pu voir que l’on avait un résultat plus complet – ce qui était plus que normal – bien que ce ne soit pas franchement visible dans la vidéo.

Mon ordinateur réel est facilement 30 à 40 fois plus puissant que les configurations que l’on trouvait en 2000… Autant dire que côté vélocité, il y a une sacrée différence.

Mais à l’époque, c’était un outil des plus appréciés 🙂

Tux’n’Vape, le bilan vu de l’intérieur.

samedi 24 août 2019 à 09:50

Le projet tux’n’vape a mis la clé sous la porte sur le plan online pour les images ISO le 11 août 2019 après environ deux années d’existence. Désormais, ça pointe vers l’instance peertube Tux’n’Tube.

En tant qu’un des membres fondateurs du projet – et utilisant une Manjaro Tux’n’Vape Mate sur mon ordinateur portable – je pense être un tant soit peu légitime pour faire un bilan vu de l’intérieur.

Pour info, l’ordinateur portable sur lequel je rédige ce billet possède une installation de la Manjaro Tux’n’Vape datant de juin 2018. Soit 14 mois au moment de la publication de l’article.

$ head /var/log/pacman.log
[2018-06-08 08:16] [PACMAN] Running ‘pacman –noconfirm –cachedir /var/cache/pacman/pkg –config /opt/pacman-mhwd.conf –root / –needed -Sy xf86-video-ati xf86-video-amdgpu xf86-video-intel xf86-video-nouveau vulkan-intel vulkan-radeon libva-mesa-driver libva-vdpau-driver mesa-vdpau lib32-vulkan-intel lib32-vulkan-radeon lib32-libva-vdpau-driver lib32-mesa-vdpau’
[2018-06-08 08:16] [PACMAN] synchronizing package lists
[2018-06-08 08:16] [ALPM] transaction started
[2018-06-08 08:16] [ALPM] installed xf86-video-ati (1:18.0.1-1)
[2018-06-08 08:16] [ALPM] installed xf86-video-amdgpu (18.0.1-1)
[2018-06-08 08:16] [ALPM] installed libxvmc (1.0.10-1)
[2018-06-08 08:16] [ALPM] installed xf86-video-intel (1:2.99.917+829+gd7dfab62-1)
[2018-06-08 08:16] [ALPM-SCRIPTLET] >>> This driver now uses DRI3 as the default Direct Rendering
[2018-06-08 08:16] [ALPM-SCRIPTLET] Infrastructure. You can try falling back to DRI2 if you run
[2018-06-08 08:16] [ALPM-SCRIPTLET] into trouble. To do so, save a file with the following

Désolé pour la commande un peu technique en début d’article, mais il faut bien prouver ce que l’on avance. Mais c’est vrai, c’est dépassé de faire cela 🙂

Au début, le projet était parti de la Mabox Linux pour l’adapter et proposer une version plus « pure » d’OpenBox. Des versions Mate-Desktop, Cinnamon ou encore Deepin (qui s’est avéré être une sacrée purge à maintenir en vie de manière propre) ont été disponibles.

Au final, pour des raisons pratiques, le noyau historique de notre équipe constitué de Baba Orhum, Drek (pour les serveurs), JR Dallas (pour les tests) et de votre serviteur, avait décidé de se concentrer uniquement sur le duo OpenBox et Mate-Desktop.

Il est vrai que nous avons fait pas mal d’erreurs, notre communication a été conçu comme agressive par moment et trop centrée sur trolltube, euh, pardon, je veux dire Youtube.

Il y a eu aussi les erreurs techniques de Manjaro. Il y a eu principalement la mise à jour pourrie de début avril 2017 qui a fait couler pas mal d’encre électronique à l’époque.

Mais nous avons fait l’erreur d’exprimer des critiques sur les choix stratégiques de Manjaro : que ce soit les portables coûtant la peau du fondement, ou plus récemment le partenariat avec SoftMaker et sa version librement téléchargeable FreeOffice tellement castrée qu’un eunuque serait comparable à Rocco Siffredi en terme d’attributs virils.

Tux’n’Vape a servi aussi de tremplins à des petits acteurs du monde libre francophone qui se prennent pour les rois du monde alors que ce ne sont que des paysans sans terre.

Je tiens à rajouter que nous n’avons jamais voulu apporter autre chose qu’une pierre de plus à l’édifice du libre. Devenir un projet dominant et incontournable du libre francophone ?

Nous n’en avions ni l’envie ni les moyens techniques, financiers ou encore nerveux pour accomplir cela, bien que pour que pour certaines personnes, nous soyons devenus des dictateurs.

Ne me demandez pas de noms sur cette partie, je ne les donnerai pas, mais vous les reconnaitrez aisément.

Nous avons surtout fait l’erreur de croire que l’on pouvait faire avancer les choses dans le monde du bureau libre. Que nous étions naïfs à l’époque ! Comme j’ai déjà pu l’exprimer, le monde du bureau libre ne réprésente rien.

Il faut l’avouer, nous avons surestimé notre capacité à faire bouger les lignes, sûrement par arrogance.

Évidemment, nous avons alimenté certains fouteurs de merdes en leur répondant aussi agressivement que nous avons été attaqués. Les ignorer n’aurait presque rien changé à mon avis. Ils auraient juste mis un peu plus de temps pour nuire.

Tout n’est pas complètement négatif cependant dans cette aventure dans laquelle nous n’avons rien gagné, mis à part des tombereaux de merde en pleine tronche.

Nous avions fait le choix au départ d’être une respin, une version complémentaire aux images ISO principales. La pérénité d’une installation est donc assurée, du moins aussi longtemps que Manjaro existera.

J’avais déjà exprimé cela dans un article de mai 2019 auquel je vous renvoie.

Je tiens à rappeler que la première ISO publiée qui était une OpenBox a été conçue en duo avec un ancien administrateur de Tux’n’Vape dont la mémoire est défaillante et qui se permet de nous traiter plus bas que terre et en même temps joue les moralisateurs auprès d’Actualia et de Fabrice Gauglin. Désolé pour le « name-dropping » mais il le fallait le faire 🙂

Tux’n’Vape est maintenant un projet qui appartient au passé de l’informatique libre francophone, comme des dizaines d’autres.

C’est désormais un groupe de personnes qui ont des relations fraternelles comme au début de l’aventure du logiciel libre, la partie la plus importante ayant été ainsi sauvegardée. N’oubliez que libre n’est pas synonyme d’open-source.

Nous n’étions pas irremplaçables, et les projets qui pensent être indispensables ou irremplaçables, je répondrai avec cette citation de Georges Clémenceau :

« Les cimetières sont pleins de gens irremplaçables, qui ont tous été remplacés. »

Sur ce, bonne journée !

En vrac’ de fin de semaine.

vendredi 23 août 2019 à 11:43

Il est vrai que je n’ai pas trop alimenté le blog récemment, mais je pense que ce billet va combler ce manque.

Côté informatique, qu’elle soit libre ou pas.

Côté culture.

C’est tout pour aujourd’hui.