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FredericBezies

source: FredericBezies

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Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 28 : Cocoshaker et Chapi Chapo, les plaisirs régressifs ;)

samedi 14 janvier 2017 à 11:22

Il est de bon ton de casser les émissions pour enfant que l’on aime à dire pis que pendre : c’est du lavage de cerveau, ça n’a ni queue ni tête, bref c’est de la merde.

Comme je l’ai précisé dans l’épisode 27, il y avait des pastilles vraiment intelligentes comme avec « Mes mains ont la parole », mais il y a toujours eu des plaisirs régressifs… Je vais en citer deux, à savoir Cocoshaker et Chapi Chapo.

Commençons par le dessin animé le plus bizarre que j’ai pu voir durant mon enfance. C’est une courte série d’une à deux minutes de seulement 21 épisodes. Série créée par Jean-Charles Meunier et diffusée pour la première fois en 1981, on y voit deux personnages et plus rarement plusieurs personnages se disputer comme des chiffonniers un cocotier en plein désert.

Mais le plus simple, c’est de prendre un épisode, l’avant dernier de la série. Oui, c’est franchement du WTF de compétition 🙂

Mais on peut encore tomber dans un WTF plus important. Chapi Chapo série d’animation en image par image en est la preuve.

Série de 60 épisodes de 5 minutes – soit 300×24 images donc 7200 images par épisodes – met en scène Chapi (la fille en rouge) et Chapo (le garçon en bleu) dans un monde un peu spécial. Créée par Italo Bettiol et Stefano Lonati, cette série a été diffusée pour la première fois en 1974 sur la première chaîne de l’ORTF, ancêtre de TF1.

Rien que le générique était un WTF complet. Je vous le mets pour le plaisir.

Et maintenant, j’attends que les parents viennent se plaindre de la débilité des programmes pour enfants de l’époque actuelle… J’attends 🙂

En vrac’ mercurien.

mercredi 11 janvier 2017 à 11:57

Un rapide en vrac’ mixte de milieu de semaine. Avec 24 heures de retard, en ce 11 janvier 2017, je souhaite un bon cinquième anniversaire à… Free Mobile. Et oui, déjà 5 ans que ma note mensuelle de téléphonie portable était divisée par deux voire trois les mois les plus gourmands. Merci au Figaro pour cet article aux commentaires d’anthologie 🙂

Aux dernières nouvelles, 12 millions de lignes ouvertes chez Free Mobile en un peu plus de 4 ans, les cassandres qui promettaient un échec monstrueux au nouvel entrant se sont plantés en beauté. Bref, passons aux liens en vrac’ de cet article.

Commençons par le logiciel libre :

Côté musique et livre ?

Voila, c’est tout pour aujourd’hui et bonne journée.

Youtube, ce n’est pas que Cyprien et Squeezie, partie 2.

lundi 9 janvier 2017 à 16:14

En novembre 2016, j’avais listé une partie des chaînes Youtube que je suis plus ou moins assidument. Voici une partie deux, un peu tardive dans sa publication.

Comme pour la première partie, c’est pas désordre plus ou moins flagrant. Mais je vais commencer par deux chaînes anglophones que je suis et qui me parlent.

Revenons aux chaînes francophones que je n’ai pas cité dans le précédent article. Il y en a un petit paquet et dans tous les domaines 🙂

C’est déjà pas mal pour une deuxième partie, non ? Une troisième partie ? Quand j’en aurai l’envie et l’opportunité de le faire !

Confession d’un amateur de musique, épisode 8 : ma découverte du post-rock avec Mono.

dimanche 8 janvier 2017 à 17:32

Note préliminaire : en réalité, c’est le 7ième épisode, l’épisode 6 n’ayant jamais existé. Mea culpa !

Une de mes plus grosse découverte en terme de musique, en dehors du metal, c’est le post-rock. C’est quoi le post-rock ? Dixit wikipedia :

Le post-rock est un sous-genre musical du rock à tendance expérimentale et qui intègre des caractéristiques inspirées du rock alternatif, de l’art rock et de la musique électronique.

C’est un mouvement né à la fin des années 1980, dont les influences principales sont à compter dans l’ambient, le rock progressif, le krautrock, le jazz, le space rock, le shoegaze ou encore le post-punk. Sacré mélange, faut-il préciser.

J’ai été déniaisé dans ce domaine via un partage sur google plus – vous savez le réseau social fantôme – et un extrait du concert d’un des monstres actuels dans le domaine, Mono.

Ce n’est pas l’extrait ci-après, mais imaginez quand vous découvrez cela… Ça décalamine les cages à miel.

J’ai ensuite découvert Bandcamp, et je dois dire que ce fut pour moi, le paradis de l’amoureux de musique qui voulait explorer le monde sans fin du post-rock, qu’il soit complètement intrumental ou pas.

Les personnes qui découvrent pour la première fois le genre se disent : tous les albums se ressemblent. Je m’inscrit en faux. Dire qu’Have The Moskovik ressemble à Grimlake ou encore à Mono, c’est vraiment que l’on a des problèmes de conduit auditif 🙂

J’ai donc enregistré une vidéo en parallèle de l’article pour parler de mes principaux coups de coeur dans le domaine du post-rock.

Et promis, juré, craché, la prochaine fois, je reviendrai aux racines d’un genre qui me donne une érection musicale matinale, le metal 🙂

En vrac’ de fin de semaine.

vendredi 6 janvier 2017 à 20:35

Premier en vrac’ de fin de semaine de 2017. Espérons que l’année soit moins pire que nombre de personnes l’escompte !

Quoiqu’après mon téléphone portable, c’est au tour de ma FreeBox de rendre petit à petit l’âme. Billet écrit en utilisant mon smartphone en mode partage de connexion. Une impression de déjà-vu…

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté livres ? Patrick Valverde a sorti la version papier de son roman « Au coeur d’un homme » chez Amazon. J’en avais parlé fin novembre 2016 dans sa version électronique.

Côté culture autre que livresque ?

Bonne fin de semaine !