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FredericBezies

source: FredericBezies

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Allez, Joyeux Noël malgré tout !

samedi 25 décembre 2021 à 00:00

Vous le savez peut-être, je suis un écrivain gratte-papier auto-édité. J’ai employé ce terme pour refleter 90% du contenu auto-édité chez Amazon.

Fin 2016, début 2017 je publiais sur Amazon un recueil d’une centaine de chroniques où la mauvaise foi était dégoulinante aussi bien qu’un humour qui n’oubliait pas de piquer aux zones sensibles.

Voici donc la chronique que j’avais rédigé concernant Noël. Bonne dégustation.

J’écris cette chronique quelques jours avant le 25 décembre. Aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais vraiment aimé les fêtes de Noël. Je sais, ce n’est pas bien de le dire. Mais pour moi, Noël, c’est à la fois le jour le plus attendu et le plus décevant de l’année. On y met tellement d’espoirs que l’on est forcément déçu.

J’ai des excellents souvenirs de Noël, du moins quand je croyais encore en l’existence du bonhomme barbu vivant au pôle Nord, avec son traîneau, ses rennes et ses lutins. Tout ce que les parents font gober à leurs enfants pour avoir un tant soit peu la paix durant les quelques semaines qui précèdent la fin de l’année.

Dans l’opéra rock Tommy des Who sorti en 1969, il y a des paroles qui me viennent à l’esprit, sur le titre « Christmas » : « They believe in dreams and all they mean, including heaven generosity ».

Une traduction rapide ? « Ils (les enfants) croient dans les rêves et dans tout ce que signifie, même la générosité des cieux. » C’est tellement beau de croire à l’esprit de Noël quand on est enfant, mais on est vite dégrisé en grandissant. Qui en dehors de Lennon en 1971 peut croire que l’esprit de Noël peut aider à apporter un peu de paix au monde ? Ne chantait-il pas : « War is over, if you want it. War is over now » ? Est-il besoin de traduire ?

Comme je le disais plus haut, une fois les précieux emballages déchirés, on se retrouve vite déçu. Noël, c’est aussi pour moi le lendemain, se retrouver les queues interminables dans l’hypermarché du coin pour aller se soulager les nerfs auprès du service après vente. Ou encore les parents qui vont chercher les piles nécessaires pour faire fonctionner le dernier gadget qui sera remisé au placard moins d’un mois après avoir été déballé.

Allez, sans rancune pour cette fois, hein ?

Et surtout, un joyeux Noêl 🙂

En vrac’ de fin de semaine.

vendredi 24 décembre 2021 à 11:30

Un petit en vrac’ en cette veille de Noël.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture :

Sur ce, bonne Noêl !

L’ile de Tristam, un jeu d’aventure textuel en français franchement multiplateforme.

jeudi 23 décembre 2021 à 12:00

S’il y a un genre qui me parle, ce sont les jeux d’aventures textuel. À la louche, 90% d’entre eux sont en anglais par défaut.

J’avais déjà parlé de certains gros titres et grosses licences comme « Zork », ou encore les jeux de Scott Addams il y a quelques mois.

Hugo Labrande avait sorti en 2020 un jeu d’aventure textuel, « Tristam Island ». D’une durée de vie plutôt correcte (7 heures annoncées !) il avait été rendu disponible sur une trentaine de plateformes, ce qui fait la force des jeux d’aventures textuels.

Hugo Labrande a remis cela cette année en traduisant le jeu pour les mêmes plateformes. Bien que payant (3,99$), une version d’essai est disponible avec une durée de vie estimée de 1 h 30 environ.

Comme pour la version d’origine, le jeu est disponible sur 36 plateformes dont voici une partie : Commodore PET/Vic20/C64/C128/Amiga 500 et suivants, Amstrad CPC/PCW, Atari 8 et 16 bits, Apple II et Mac, MS-DOS, Linux, MS-Windows, etc…

J’ai donc récupéré la version d’essai pour Commodore 64 que je vous montre en action sur le vrai matériel grâce au sd2iec 🙂

Vous l’avez vu, c’est du textuel pur et dur. Même si le chargement est un peu long – vivement que j’ai une cartouche de chargement rapide – c’est un titre qui plaira aux fans de jeu d’aventure textuel qui en ont marre de l’anglais comme seule langue disponible.

En vrac’ de milieu de semaine…

mercredi 22 décembre 2021 à 13:00

Petit en vrac’ en ce premier mercredi d’hiver.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Sur ce, bonne fin de semaine !

Ah, les joies du SD2IEC sur les Commodore 64…

mardi 21 décembre 2021 à 19:15

Dans un article du 16 décembre consacré au C64 Maxi, je terminais ainsi :

Ce sera le dernier billet consacré au Commodore 64 durant quelques jours, le temps de recevoir mon sd2iec et ne plus me limiter à saisir des listings en Basic sans rien pour les stocker !

Cet après-midi, en allant vérifier mon courrier, je suis tombé sur une grande enveloppe avec à l’intérieur un SD2IEC fabriqué par Faszination, il était fourni avec une minuscule carte SD de 16 Mo.

Après avoir déballé l’ensemble, monté les pieds sur le PCB, j’ai galéré durant 15 bonnes minutes avant de m’apercevoir qu’il y avait un interrupteur marche-arrêt à côté de ceux qui permettent de définir le numéro du lecteur de disquettes. J’avais pourtant lu la documentation, mais ce point précis me crevait les yeux…

Après avoir transférer le contenu de la carte SD de 16 Mo vers une de 4 Go (apparemment la taille maximale gérée), mais avec des images disquettes de 170 Ko (soit de quoi stocker plus de 24600 images disquettes, de quoi voir venir !), j’ai enfin pu lancer certains jeux… Et apprécier la lenteur légendaire du port série de connexion vers les lecteurs de disquettes.

Je dois dire que la première fois que j’ai vu un de mes jeux chouchous démarrer sur le vrai Commodore 64, j’étais content… Mis à part que la sortie composite sur le jeu donnait un résultat franchement dégueulasse. Je pense qu’un adaptateur composite vers HDMI règlera ce problème de sortie composite parfois limite. Sur la photo ci-après, c’est une version amélioré par rapport à la réalité 🙁

J’ai donc ensuite décidé de faire une vidéo pour montrer l’ensemble en action. Je n’ai pas coupé les temps de chargement pour vous faire déguster la torture à laquelle j’ai eu droit.

Comme je l’ai précisé en fin de vidéo, en dehors d’un joystick au brochage compatible et d’un adaptateur composite vers HDMI, le prochain achat sera celui d’une cartouche de chargement rapide. Histoire de ne pas avoir à poirauter plusieurs minutes, ce qui est difficilement supportable, surtout quand on a l’habitude des émulateurs qui rendent les chargements quasi-instantanés.