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FredericBezies

source: FredericBezies

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« Zeta Wing » de Sarah Jane Avory : le shoot’em’up pour se réconcilier avec ce genre de jeux vidéos ?

vendredi 21 janvier 2022 à 08:00

Avec mon âge avancé – j’approche petit à petit du demi-siècle – j’ai connu les consoles de deuxième génération, dont les plus célèbres sont l’Atari 2600 ou encore la ColecoVision.

Vieux Geek, épisode 156 : La CBS Colecovision, ma première console de jeux en 1983.

J’ai connu Galaga en version deluxe pour Amiga, Galaxian, Slap Fight, 1942 et 1943 (sur Amstrad CPC), bref des shoot’em’up parfois punitif qui avait failli m’écoeurer du genre. Je ne suis resté que sur ceux qui m’ont vraiment marqué.

En faisant de recherches sur itch.io, je suis tombé sur un shoot’em’up deux fois récompensés (RGN et IndieRetroNews), « Zeta Wing » développé comme le Zelda-like « Briley Witch Chronicles » par Sarah Jane Avory pour le Commodore 64 que ce soit avec un vrai ordinateur, Vice ou les C64 mini et c64 maxi.

Le scénario est bateau comme tout shoot’em’up qui se respecte :

D’étranges créatures mutantes sont apparues à la surface de la planète Terre !

La Terre a besoin d’un héros pour les arrêter… un comme toi !

Alors monte dans ton chasseur et fonce pour mettre fin à cette infestation pour de bon !

Des créatures mutantes avec un penchant prononcé pour les insectes. Ça change des petits bonhommes verts après tout !

7 niveaux à traverser avec un boss à chaque fois, trois niveaux de difficultés, une dizaine de montée en puissance de l’armement, ça envoie du lourd.

Vous l’avez vu, le jeu est franchement fluide, rapide, les musiques sympatiques. La prise en main est rapide. Inutile de préciser que l’image disquette a été copiée sur la carte SD de mon sd2iec pour éclater de l’insecte 🙂

C’est un jeu qui donne envie d’y retourner, même si la vie supplémentaire est chère (50 000 points). C’est un des premiers shoot’em’up qui me donne envie d’y retourner pour exploser mon score. Ce qui est assez rare pour être dénoté.

« Oblikva » de Romeo Bonvin : un mélange au poil entre post-rock, électro et musique atmosphérique.

jeudi 20 janvier 2022 à 17:00

Je l’ai dit je ne sais combien de fois – et j’ai pas envie de passer pour un radoteur ! – des groupes et des artistes me contacte pour parler de leur dernier album ou EP. C’est encore une fois le cas avec l’helvète Romeo Bonvin. C’est un « vieux routard » du post-rock, de l’électro et de la musique atmosphérique car son premier album, « Game Over » est sorti en 2003. Depuis, 7 autres opus sont sortis dont le dernier, « Oblikva » date du 8 janvier 2022.

L’EP est assez court avec 5 pistes pour un peu plus de 24 minutes. C’est du post-rock bien « tassé » car on est loin des pistes dépassant les 6 à 7 minutes.

Dès le début de la première piste, éponyme de l’EP, on a droit à une ambiance éthérée et intime. Avec les habituels dialogues entre les guitares et les percussions.

La deuxième piste, « open the eyes » prend cette même ambiance, mais un peu plus positivement que la piste précédente. Un pur régal pour les oreilles. Le mélange de post-rock, d’électro et de musique atmosphérique donne très bien. On sent que la maitrise du trio est franchement poussée. Et c’est tant mieux !

On arrive ensuite à « on the wire » qui démarre plus légèrement que les pistes qui ont précédées. Une piste où on se laisse emporter. Un tournant plus rock est pris avec la piste « west wind ». C’est ma piste préférée de l’EP.

La dernière piste « tomorrow » est une piste un peu plus mélancolique, un peu plus triste. Mais ce titre conclue en beauté l’EP.

Une sacrée découverte en ce qui me concerne.

Depuis 16 ans sous Linux, j’ai du mal à utiliser MS-Windows.

mercredi 19 janvier 2022 à 18:00

Un des premier billets consacré à du mono-démarrage linuxien remonte à l’année 2006. Fin mai, où je publiais un article depuis une Ubuntu et après une expérience non concluente envers l’utilisation de l’OpenSuSE de l’époque en dur.

Bref, à un gros trimestre près au moment où je rédige cet article, cela fait 16 ans que je n’ai plus fait démarrer le moindre ordinateur type PC avec le MS-Windows correspondant. Sur le plan pratique, depuis septembre 2011, je n’ai plus toucher techniquement à un PC sous MS-Windows. Les quelques rares connaissances que j’ai sont désormais soit sous Mac, soit avec une distribution GNU/Linux installée par mes soins.

2011 ? À l’époque, MS-Windows 7 entame sa deuxième année commerciale, ignorant que sa durée de vie serait prolongée jusqu’à 2020 à cause des catastrophiques MS-Windows 8.x et leur ergonomie à la ramasse.

Quand j’ai besoin d’un MS-Windows, je prends 95% du temps un MS-Windows 7. Pas MS-Windows 10 ou 10.5 pardon, je voulais dire MS-Windows 11.

Pourquoi ? Moins lourd, moins d’options dans tous les sens. Pas de Cortana, pas de navigateur qui se résume à une surcouche maison à Chromium tout comme Brave, Opera, Vivaldi, bref, tout ce qui n’est pas Mozilla Firefox, ou des forks à la c.. comme PaleMoon ou encore Waterfox.

En fouillant dans mes signets, j’ai retrouvé un vieil article du blog Slowbrain de 2016 : « Je ne sais plus utiliser Windows ».

Même si le texte date de 2016, je m’y suis un peu retrouvé. Je dois dire que si je dois dépanner un MS-Windows 10/11, il m’est primordial de me tenir au goût du jour. Car je suis tellement habitué à un OS logique, où les véroles sont rarissimes – quoiqu’avec la montée en puissance des paquets universels, on ne sait jamais ! – et où il n’y a pas 15 options pour la même fonctionnalité. Quoiqu’avec KDE ou Enlightenment, on est parfois noyé sous les choix 🙂

Je sais de moins en moins utiliser MS-Windows, car je n’en ai quasiment aucune utilité, sauf pour générer certaines clés USB démarrables qui ne peuvent être créées que sous MS-Windows.

Pour 98% de mes besoins, la distribution GNU/Linux que j’utilise depuis 2009 au quotidien me convient largement. N’étant pas joueur de titres récents style AAA, je n’ai aucun besoin d’un double-démarrage MS-Windows et distribution GNU/Linux. Les 2% restants passant très bien via la virtualisation sous VirtualBox ou Qemu.

L’informatique est désormais un outil pour moi, et non plus un jouet pour expérimenter à longueur de journée.

Je poserai donc la question aux quelques linuxien(ne)s qui suivent mon blog : savez-vous encore utiliser ou dépanner un MS-Windows

En vrac’ de milieu de semaine…

mercredi 19 janvier 2022 à 15:45

Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi de janvier 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Sur ce, bonne fin de semaine !

Y a pas à dire, c’est du rapide la Final Cartridge III+ pour Commodore 64.

mardi 18 janvier 2022 à 15:00

Depuis que j’ai reçu gracieusement un Commodore 64, je m’équipe petit à petit des composants indispensables pour le faire fonctionner. Que ce soit un bloc d’alimentation, un cable composite pour le brancher à un vieux téléviseur, une carte SD2IEC pour pouvoir lancer des jeux sur images de disquettes.

Il ne manquait plus qu’une cartouche de chargement rapide. Ayant été agréablement surpris par le sd2iec de Faszination, j’ai donc décidé de rester avec ce fournisseur et je me suis pris une version pré-montée (je suis nul à pleurer avec un fer à souder) d’un clone de la cartouche Final Cartridge III de 1987.

C’est un modèle dit « plus » qui outre le fait qu’elle propose un chargement accéléré, on peut geler les logiciels en cours d’exécution, avoir un moniteur système, et plein de bonnes choses que je découvrirai avec le temps.

J’ai fait une courte vidéo pour vous montrer la différence de vitesse de chargement de certains jeux…

Vous avez pu le voir, ça décoiffe pas mal en terme d’accélération. Je pense à un temps de chargement divisé par 5 au bas mot. Outre l’accélération, c’est l’existence d’un bouton de réinitialisation qui est le bonus de cette cartouche.

Il ne me restera plus qu’à lui trouver un boitier à imprimer en 3D pour la protéger sur le long terme. Maintenant, mon équipement est complet, mis à part un lecteur de disquette réels pour les quelques rares disques que j’ai en ma possession.