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FredericBezies

source: FredericBezies

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Mettre en double-démarrage Ms-Windows 7 et Archlinux… Quelle galère.

mardi 18 novembre 2014 à 17:02

J’ai été contacté par une personne qui voulait me demander des informations pour mettre en double démarrage MS-Windows 7 – pour 8 et 8.1, j’avoue que j’y pige que pouic à ces nouvelles générations de l’OS de Microsoft – avec Archlinux. Dans le cas de cet article, c’est une machine avec un Bios. L’UEFI ? Je tiens encore à ce qu’il me reste de cheveux.

Après avoir galéré depuis 9 heures 30 du matin jusqu’à 15 heures, voici donc un mini-guide pour essayer d’y arriver. C’est la première fois que je faisais un dualboot, et j’avoue que ce sera la dernière, car cela a été une galère monstrueuse… Surtout que sur les 5 heures et demie, 3 ont été consacrées à l’installation de MS-Windows 7 et de sa palanquée de mise à jour.

Pour arriver à un double démarrage, il nous faut :

  1. Un MS-Windows 7, légal tant qu’à faire.
  2. Une image ISO de gParted sur CD ou clé USB
  3. Une image ISO d’installation d’Archlinux sur CD ou clé USB

Première étape : demander à MS-Windows à passer en mode UTC pour l’heure. J’ignore commence cela se passe pour Windows 8.x. Il faut aller dans l’outil qui permet de gérer la base de registre, et d’entrer la valeur suivante : HKEY_LOCAL_MACHINE\SYSTEM\CurrentControlSet\Control\TimeZoneInformation\RealTimeIsUniversal et la définir sur 1.

Ensuite, il faut désactiver la synchronisation de l’heure via le réseau.

Deuxième étape : nettoyer et purger au maximum la partition de MS-Windows. Sans oublier de défragmenter le disque, pour éviter que des fichiers ne trainent un peu partout. Si on installe une distribution GNU/Linux après MS-Windows, il faudra faire attention. Ce dernier a tendance à laisser trainer des fichiers au beau milieu de sa partition…

Troisième étape : le partitionnement proprement dit. L’idéal serait un partionnement qui donnerait 50% de la place à MS-Windows et 50% à un autre système. Cependant, à cause de la propension de MS-Windows à s’étaler, il faut plus faire un 60 / 40 en faveur de l’OS de Microsoft.

Une fois la partition NTFS redimensionnée, il faut créer une partition étendue pour pouvoir créer des partitions pour la Archlinux à installer. Grace à gParted, on peut le faire en mode graphique. Joie !

Ce qui nous donne le partitionnement suivant :

Ensuite, il suffit d’installer la Archlinux. Pour me simplifier la vie, j’ai pris une archlinux avec Xfce. En me basant sur mon tutoriel, j’ai réussi à installer la distribution. Je dois dire que j’ai été soulagé quand j’ai vu apparaître grub avec l’option de démarrer sur les deux OS.

Ultime point. Le NTFS… Format de fichier vraiment laxatif à faire prendre en compte. J’en ai bavé des ronds de chapeaux pour y accéder. La page du wiki archlinux consacré à NTFS m’a permis d’avancer pas mal.

Pour que la partition MS-Windows soit reconnu et lisible (pour l’écriture, je n’ai pas testé), j’ai rajouté ceci à mon fichier /etc/fstab, en sachant que dans mon cas, NTFS-partition = /dev/sda2. Et nom de l’utilisateur, besoin de préciser ? :)

/dev/NTFS-partition /mnt/windows ntfs-3g uid="nom-de-l'utilisateur",gid=users 0 0

Sans oublier de rajouter à mon utilisateur l’accès au groupe disk pour être tranquille.

sudo gpasswd -a "nom-de-l'utilisateur" disk

Pour un meilleur support de ntfs, j’ai remplacé ntfs-3g par ntfs-3g-fuse qui semble mieux supporter l’écriture.

Et une petite vidéo pour montrer le tout en action.

Oui, j’ai craqué et j’en ai profité pour remettre un blogueur célèbre à sa place par rapport aux cookies… Je ne dis pas que ce n’est pas injuste, je dis juste que ça soulage.

Je pensais que l’ensemble ne me prendrait pas trop longtemps, mais j’ai été franchement démenti. Je n’avais jamais installé de dual-boot auparavant, et j’avoue que je suis désormais vacciné de le refaire. Maintenant, si vous voulez tenter l’expérience, bon courage, surtout pour les interminables séries de mises à jour de MS-Windows qui sont d’une lenteur qui ferait passer une tortue à trois pattes pour un train grande vitesse…

Les implémentations de libre d’Adobe Flash : une guerre perdue d’avance ?

lundi 17 novembre 2014 à 17:20

Derrière ce titre un peu provocateur se cache une réalité. Les implémentations libres d’Adobe Flash sont très moyennes et encore, je suis très gentil.

Depuis l’annonce de la fin du support programmée d’Adobe Flash pour linux en dehors de Google Chrome / Chromium (annoncée en février 2012, l’abandon sera effectif en février 2017), elles n’ont pas su prendre le taureau par les cornes et réussi à se développer plus rapidement. En mai 2014, je traçais déjà un bilan peu flatteur de la situation.

J’ai abandonné Adobe Flash pour mon utilisation courante depuis juin 2014, et je n’ai pas ressenti l’obligation de réinstaller cette technologie. Le seul site qui ne fonctionne pas en HTML5 parmi ceux qu’il m’arrive de fréquenter ? Un certain service de musique en ligne du nom de… Deezer. Pas une grande perte dans l’absolu donc :D

Pour Gnash, la situation est mauvaise. Outre le fait que j’ai laissé tomber la maintenance du port de de la version de développement de Gnash à cause d’un bug qui est ouvert depuis septembre 2014 à cause d’une version trop récente (merdre, comme dirait Ubu) des bibliothèques Boost, le port avance très très lentement.

Voici une capture d’écran en date du 17 novembre 2014 de la page de suivi de développement de Gnash, situé à l’adresse http://git.savannah.gnu.org/cgit/gnash.git.

Aucun ajout depuis le 26 octobre, soit environ 3 semaines. Quant au bug lié aux bibliothèques boost, son correctif n’a vécu que quelques heures sur le code du greffon implémentant Adobe Flash. Sans oublier que la dernière version stable de Gnash est sortie le 15 février 2012… Juste deux ans et demi sans la moindre nouvelle version stable.

Parlons de lightspark, grand concurrent de Gnash. Sa dernière version stable est sortie en mars 2013, et son développement est aussi rapide qu’une tortue rhumatisante à trois pattes…

En effet, voici la capture d’écran de la page github qui s’occupe du code de développement de Lightspark, situé à l’adresse https://github.com/lightspark/lightspark

26 jours sans le moindre ajout au 17 novembre 2014. Le dernier concernant le support des compilateurs proposés par LLVM 3.5.

Dans un vieil article de 2007, Antistress expliquait d’une manière fleurie pourquoi Adobe Flash était une technologie à éviter.

7 ans plus tard, le message est intéressant à relire. Même s’il y a encore quelques mois, je ne pensais pas pouvoir me passer d’Adobe Flash, la montée en puissance des technologies liées à HTML5 m’a montré mon erreur.

Maintenant, combien de temps avant que les codeurs n’arrête l’acharnement thérapeutique sur Gnash et Lightspark ? Je l’ignore.

Mais si vous voulez vous débarrasser d’Adobe Flash sous Linux, utilisez soit un Mozilla Firefox récent, soit Chromium. La balle est désormais dans votre camp.

Publi-addict, le retour du surf sponsorisé, vieux miroir aux alouettes de l’internet ?

lundi 17 novembre 2014 à 14:23

En juillet 2014, j’avais rédigé un billet sur les outils de surf sponsorisés, que ce soit mediabarre ou Oreka.

Sur mon fil google plus, j’ai pu lire que le site dvi43 présentait un nouvel exemple du surf sponsorisé, Publi-Addict, d’ailleurs si vous y accédez depuis le site de dvi43, le site en question semblerait toucher un intéressement, l’adresse étant, une fois le raccourcisseur d’url décodé : https://www.publi-addict.com/?ref=dvi43 qui reprend en tout point les principaux arguments fallacieux du surf sponsorisé, à savoir :

En effet, dans la vidéo de présentation, il est précisé qu’il faut non seulement laisser volontairement toutes ses coordonnées (ce que fait déjà le plus grand réseau social, celui du fesseur de caprins), mais laisser aussi ses coordonnées bancaires et d’identité.

On sait que les communications chiffrées, on peut les casser ou les contourner, cf l’exploit POODLE qui a fait couler pas mal d’encre électronique en octobre 2014. Sans oublier que les versements de bases sont énormes : de 0,25 à 0,50 € par vidéo et liens cliqués vers les sites des annonceurs.

Donc au mieux pour toucher votre premier versement, il vous faudra visionner 60 vidéos, au pire 120 vidéos… En sachant que les deux premiers niveaux (directement accessibles) sont définis strictement, dixit les conditions générales d’utilisations, article 4.2, merci le copier-coller :

STATUT ARGENT jusqu’à 6 liens par jour
STATUT OR : jusqu’à 15 liens par jour
STATUT PLATINE : jusqu’à 22 liens par jour
STATUT DIAMANT : jusqu’à 30 liens pas jour

Donc, si tout se passe bien, il faudra compter en 10 et 20 jours de visionnage de publicité pour prétendre à un versement au niveau basique, si le site propose un maximum de liens en correspondance avec le statut de l’utilisateur. C’est toujours le meilleur des cas ici.

Le point marrant – et on devrait toujours lire les conditions générales d’utilisations. Nil Sanyas, ancien rédacteur de PC/NextInpact en apporte la preuve sur son blog. Par exemple l’article 12 concernant la durée du contrat :

[…]
Toutefois, si le Membre reste inactif sur le Site pendant deux années consécutives, son
inscription sera automatiquement résiliée par PUBLI ADDICT.

Si le site existe encore en 2016, ce sera beau pour lui ! :D

Le point 12.1, concernant la résiliation par le site lui même :

Le Contrat pourra être résilié à tout moment et sans préavis par PUBLI ADDICT FRANCE
en cas de manquement du Membre à l’un quelconque de ses devoirs et engagements
souscrits aux termes des présentes.

A ce titre, PUBLI ADDICT FRANCE pourra, à tout moment, suspendre ou résilier le
compte du Membre, sans préjudice de toute autre action en dommages et intérêts
que PUBLI ADDICT FRANCE pourrait engager aux fins d’indemnisation du préjudice
qu’elle subit du fait de ces manquements et notamment de la possibilité qu’aura PUBLI
ADDICT FRANCE de solliciter la restitution de l’intégralité des sommes qu’elle a ver-
sées au Membre.

En cas de résiliation pour les manquements précités, le montant du Portefeuille Virtuel
non encore versé sur le compte bancaire ou PayPal du Membre, sera automatiquement
et définitivement perdu sans que la responsabilité de PUBLI ADDICT FRANCE ne puisse
être engagée, à quel que titre que ce soit.

En clair, Publi Addict se réserve le droit de ne rien verser. Ce qui est normal si on ne respecte pas les règles. Sans oublier que le principe du surf rémunéré a prouvé de nombreuses fois que cela ne fonctionne pas. Ou simplement pour les anciens inscrits, en respectant un schéma type pyramide de Ponzi.

Autant dire que je ne saurais vous donner qu’un conseil de vieil internaute avisé : fuyez à grande vitesse, vous n’aurez ainsi aucune déception ! Car ce genre d’offre n’a que faiblement intéressante et déjà, je voudrais bien savoir au bout de combien de temps les premiers inscrits auront un versement de 30€ disponible… En espérant que cela se produise, mais vu l’histoire du surf rémunéré, je reste plus que circonspect.

Un aperçu de la Manjaro Linux 0.8.11 ?

dimanche 16 novembre 2014 à 14:33

En avril 2014, je faisais un article pour avoir un aperçu de la Manjaro Linux 0.8.10. Sept mois plus tard, le site officiel de la distribution annonce la première release candidate de la Manjaro Linux 0.8.11 avec pas mal de bonnes choses : même si je tique un peu pour l’utilisation de Xfce 4.11, on a un noyau linux assez récent (le 3.16.7, en fin de vie depuis le 30 octobre 2014), une nouvelle version de l’outil de gestion de paquets en mode graphique Pamac, un nouveau thème (les goûts et les couleurs), GTK 3.14.5, Qt5, et Mozilla Firefox 33.1 entre autres petites gâteries.

J’ai donc fait chauffé mon ami wget pour récupérer la « RC 1.2″. J’ignore les modifications avec la précédente ISO. Mais peu importe. Le principal est d’avoir une ISO pour faire mumuse avec ;)

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://netcologne.dl.sourceforge.net/project/manjarotest/0.8.11/xfce/0.8.11-rc1/manjaro-xfce-0.8.11-rc1.2-x86_64.iso
–2014-11-16 12:00:36– http://netcologne.dl.sourceforge.net/project/manjarotest/0.8.11/xfce/0.8.11-rc1/manjaro-xfce-0.8.11-rc1.2-x86_64.iso
Résolution de netcologne.dl.sourceforge.net (netcologne.dl.sourceforge.net)… 2001:4dd0:1234:6::5f, 78.35.24.46
Connexion à netcologne.dl.sourceforge.net (netcologne.dl.sourceforge.net)|2001:4dd0:1234:6::5f|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 1410744320 (1,3G) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « manjaro-xfce-0.8.11-rc1.2-x86_64.iso »

manjaro-xfce-0.8.11 100%[=====================>] 1,31G 2,64MB/s ds 16m 37ss

2014-11-16 12:17:13 (1,35 MB/s) — « manjaro-xfce-0.8.11-rc1.2-x86_64.iso » sauvegardé [1410744320/1410744320]

VirtualBox a été mon allié pour tester la distribution dérivée d’Archlinux pour en rationaliser son côté rolling-release.

Au démarrage, on est accueilli par le – mochissime – thème d’icones Numix Circle qui se répand comme jadis Faenza sur les distributions GNU/Linux. Il reste à espérer qu’on a accès à d’autres thèmes d’icones… L’espoir fait vivre comme l’on dit :)

L’installateur est toujours celui dérivé de la Antergos. La nouvelle génération d’installateur, nom de code Calamarès est prévu pour la génération 0.9.x de la Manjaro Linux, donc courant 2015, vu le temps pris par le développement de la version 0.8.11.

Après l’installation, les paquets linguistiques sont installés, et on peut passer à l’utilisation de l’ensemble.

J’ai donc fait chauffer mon logiciel d’enregistrement (j’utilise actuellement Simple Screen Recorder) pour la vidéo ci-dessous.

La logithèque est intéressante, assez conservatrice sur certains plans (comme l’utilisation de la version « stable » de LibreOffice). Cependant, le noyau linux LTS 3.14 n’a pas été choisi, même si un outil graphique permet de gérer en quelques clics de souris des paramètres techniques sensibles. Dommage que l’on confonde facilement l’outil avec celui qui permet de gérer les paramètres développé par les codeurs de Xfce.

La Manjaro Linux est toujours aussi agréable à l’utilisation, avec son côté logiciels récents (mais pas trop), les outils graphiques comme Pamac ou le Manjaro Settings Manager. Pour le thème d’icones, on retombe dans la mode des icones numix, comme jadis celle des icones faenza. Dommage que le bug bizarre de la connexion réseau inexistante dans Mozilla Firefox gâche un peu l’utilisation de la distribution.

Un très bon cru à venir donc. Reste à savoir comment le virage avec la version 0.9.0 sera pris. On verra cela l’année prochaine !

Billet culturel dominical et francophone : les nouveaux EPs de Maz Plant Out et d’Ysé.

dimanche 16 novembre 2014 à 11:34

Je dois le confesser, je n’ai que peu d’attrait pour la musique française et francophone, qui se résume souvent à de la bouille pour bébés mal réchauffée, que ce soit avec des officiers radiés ou encore des personnes dont le pseudo n’a que de taille que l’égo :D

Cependant, il y a deux albums dont je voudrais parler dans ce cours article, deux EP. Le premier est du groupe Maz Plant Out (dont j’avais parlé en mars 2013). Le second est d’une chanteuse orientée rock, Ysé, que j’avais découvert il y a un certain nombre d’années via son premier album « Rêve d’Anges Heureux » (sorti en 2005, et toujours écoutable sur Jamendo) que j’avais pu acquérir en version physique en 2010.

Commençons par l’EP « Three Tales » de Maz Plant Out. Sorti en 2014, cet EP de 3 titres nous replonge dans l’univers si typique du groupe : mélange de jazz, de mélodies douces, des cordes et cette fois-ci par de la harpe.

Les trois pistes durent chacune 6 minutes. Chacune développe un environnement féérique, cotonneux, dans lequel on a envie de se plonger. Que Marion Buyssonnade chante en anglais, comme sur « Coppelia » et « Baba Yaga » ou en français, comme sur « L’ordre des choses », c’est du pur sucre pour les oreilles !

L’EP peut être acheté directement sur le site officiel du groupe, section vente. Si vous avez aimé le premier album de Maz Plant Out (écoutable sur Deezer, entre autres), foncez, vous ne serez pas déçu !

Ysé, c’est du bon gros rock français. Il y a quelques mois, j’ai pu voir qu’elle proposait via Ulule le financement de son nouvel EP (qui sort / est sorti le 17 novembre 2014).

J’ai sauté sur l’occasion pour acquérir ainsi le duo premier album « Nouvelle Ère » + nouvel EP, que j’ai reçu il y a quelques jours. Le nouvel EP, entièrement enregistré en live s’appelle « Eldorado ».

L’EP propose 5 titres, pour une durée de 17 minutes environ. On retrouve avec Ysé et son album les racines du rock. Du bon gros rock qui respecte ses classiques, qui propose des titres courts et puissants. C’est un EP enregistré en live, ce qui change un peu des productions trop lisses de prise en studio qui sont par la suite travaillées au point de n’avoir aucune imperfection, d’être trop lisses et presque ennuyeuses à écouter.

Dès le début de la première piste, on sent des influences du rock des années 1970, période bénie pour cette musique. La guitare électrique de la première piste « De l’aveux de ses yeux » nous plonge dans une période où les musiciens savaient jouer de leurs instruments.

Les textes sont intéressants, et la voix d’Ysé, un peu rauque, les transcendent. Ils sont ciselés, et sont vraiment bons à écouter. Loin de la bouillie pour bébés qui encombre les radios.

Le deuxième titre est plus « énervé », moins ballade que le premier titre. On s’imagine dans la salle de concert alors que le titre commence. Le titre est plus « dur », limite hard rock du début des années 1970.

« Héros-limite » nous plonge toujours dans l’univers de la salle de concert, et on imagine les briquets qui s’allument alors que le titre commence. Ce titre me fait penser aux créations du premier EP d’Ysé, sorti en 2005 dans sa construction. Très bon donc, surtout que j’ai découvert cette chanteuse via son premier EP auto-produit.

« Labyrinthes » est un titre très rapide, très rythmé. Ysé y pose sa voix et la magie s’opère. On se surprend à taper du pied sur la rythmique.

L’ultime piste est un reprise d’un titre de son premier album (écoutable sur Deezer).

Voila, c’est tout pour aujourd’hui. Bon dimanche malgré le temps pourri de ce mois de novembre 2014 :)