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FredericBezies

source: FredericBezies

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En vrac’ de fin de semaine.

vendredi 8 juillet 2016 à 22:33

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’.
Côté logiciel libre et informatique :

Dans le domaine « fourre-tout » :

Côté livre ? Isabelle Rozenn-Mari vient de sortir l’ultime saga de sa saga de Fantasy celtico-bretonne : « Les Enfants de Dana – Les Eternels ».

Côté musique ? Rien cette semaine !

Bon week-end !

Dis tonton Fred, ça ressemblait à quoi le monde du libre, il y a un an ? Épisode 4 : juillet 2015.

vendredi 8 juillet 2016 à 15:47

Voici donc le quatrième épisode de la série, que je continue même si certaines personnes considèrent que c’est de la bouillie pour chat mal digéré. Ma réponse pour les personnes en question est simple : « La toile est assez grande pour que vous puissiez trouver quelque chose qui vous sied. Le masochisme, il y a des clubs pour adultes pour l’exprimer. »

Mais revenons-en au logiciel libre, et voyons ce qu’il se passait il y a un an, mois pour mois. Prenez un bon verre de thé glacé ou un diabolo menthe, on est parti 🙂

Je commençais le mois avec un top 5 et flop 5 des distributions GNU/Linux que j’avais pu croiser.

Ensuite, je m’attaquais à la Linux Mint 17.2 en saveur Cinnamon, à la Point Linux 3.0 saveur Mate Desktop, et la Tanglu 3.0rc2. Je parlais de la difficile succession de la minimaliste Crunchbang Linux (qui n’est pas vraiment plus avancée un an plus tard), de l’austère mais agréable Semplice 7, de la Viperr 7 (qui est une de mes chouchoutes), pour finir avec un sujet qui fâche, à savoir les distributions GNU/linux 100% libre selon les canons de la FSF, via un article en deux parties.

Un mois quand même assez chargé ! 🙂

Pour terminer, un petit rappel des principaux logiciels libres au début de juillet 2015, en me basant sur le tutoriel d’installation d’Archlinux du même mois.

  1. Le noyau Linux 4.0.7.
  2. Gnome 3.16.2
  3. KDE SC 4.14.9 et Plasma 5.3.2
  4. Xfce 4.12.0
  5. Mate Desktop 1.10.0
  6. LibreOffice 4.4.3

Allez, rendez-vous début août prochain pour le cinquième épisode de cette série de voyage dans le passé récent.

Frugalware Linux current : où en est-elle 18 mois après la sortie de sa dernière version stable ?

jeudi 7 juillet 2016 à 17:19

La dernière fois que je parlais de la distribution Frugalware Linux sa version 2.0 devait sortir environ 3 mois plus tard, en février 2015.

Je n’avais pas fait de billet sur la Frugalware Linux 2.0 alias Rigel. Il faut dire que la conclusion de mon précédent article, basée sur un malentendu vieux d’un an à l’époque ne m’avait pas donné envie d’aller plus loin.

J’ai donc voulu voir où en était la distribution après d’un an et demi sans nouvelle annonce sur la page d’annonce.

J’ai pris l’ISO de la 2.0rc2 datant de noël 2014, et j’ai fait chauffé mon ami VirtualBox pour montrer l’installation et la post-installation en direct.

La vidéo, ci-après, dure près d’une heure. Je comptais passer 45 minutes au grand maximum dessus, mais les aléas du direct ont rallongé l’enregistrement.

Quel bilan ? Déjà je tire mon chapeau à Baste qui a fait un énorme boulot pour maintenir en vie Gnome. Dans les regrets, c’est l’impossibilité d’utiliser fpm-gui, suite au retrait d’une de ses dépendances.

Quant à GFPM, il est vraiment trop vieux pour être utilisable de manière fiable. Comme je l’ai dit dans la vidéo, la distribution n’a jamais su se vendre auprès des utilisateurs et par extensions auprès des développeurs, ce qui est dommage car elle avait des qualités à revendre. Comme son modèle hybride, et elle aurait pu concurrencer Archlinux.

Ce qui pourrait sauver la distribution ? La sortie d’une version 2.1 avec Gnome, Kde et Xfce mis à jour d’ici la fin de l’année 2016. Sinon, elle nous quittera dans une longue agonie 🙁

« Never Two Without Three » : découvrez le « Horstcore ».

mercredi 6 juillet 2016 à 13:28

Il m’arrive d’être contacté, soit via courrier électronique, soit par un message via le réseau à l’oiseau bleu, par des artistes et groupes.

Cette fois, c’est un courrier électronique que j’ai reçu de la part du groupe Horst. Situé à Paris, il pratique un genre musical à part entière, baptisé Horstcore. C’est un mélange de post-rock et d’un genre qu’on appelle le math rock. Non, ce n’est pas un genre musical inventé par les mangeurs d’équations et de théorèmes au noms (a)variés.

C’est – merci Wikipedia – un mouvement né au milieu des années 1980, qui se composent de riffs et de mélodies le tout mâtiné d’une compléxité rythmique. En gros, des compositions tout sauf simplistes 🙂

Horst m’a donc contacté pour me parler de la disponibilité de leur troisième opus auto-produit, en téléchargement à prix libre et médiator sur la guitare (oui, faut bien adapter les expressions, non ?) sous licence Creative Commons CC-BY-NC-SA.

L’album dure un peu moins de 39 minutes. Avec 5 pistes entre presque 6 minutes et une qui approche les 11, c’est normal, non ? 🙂

Dès la piste d’introduction, on est sur du lourd. Du bon gros post-rock, avec quelques riffs bien « dotés ». L’équilibre entre les deux inspirations du groupe est bien respecté.

J’ai bien aimé aussi le nom des pistes, comme « My Yin In Your Yang », un brin plus énervé que la piste précédente, mais aussi la plus courte de l’album.

« Alf », la troisième piste, est dixit le groupe la plus post-rock de l’ensemble, et aussi la plus douce. Il faut dire qu’avec presque 11 minutes au compteur, ce serait difficile de dire le contraire 🙂

L’avance dernière piste « FU » démarre sur les chapeaux de roue, et contraste avec la piste « Alf », qui était la longue respiration de l’album.

L’album est entièrement instrumental, mise à part la dernière piste qui reprend une caractéristique que j’ai appris à aimer dans le post-rock, à savoir des textes parlés sur lesquels sont posés une mélodie.

C’est donc une bonne surprise. Les deux autres albums du groupe « The White Night Experience » (2012) et « From behind the faggots » (2010) sont disponibles en téléchargement gratuits.

Autant dire que je dois vérifier que j’ai encore 3 CD-R en stock pour graver les albums en question. On n’a jamais trop de copie de ses musiques ou de ses données, non ? 🙂

Merci au groupe de m’avoir contacté. Même si mon compte paypal – je sais c’est mal – ne tient pas à les remercier 🙂

Vieux geek, épisode 64 : Chex Quest, le FPS aseptisé.

mardi 5 juillet 2016 à 21:03

S’il y a un titre mythique du jeu vidéo qui a marqué la première moitié des années 1990, c’est bien Doom. Premier FPS en pseudo-3D avancé, il a été surtout connu en 1994 pour engendrer des casse-têtes chez les responsables informatiques qui en virait le moindre exemplaire trouvé sur un ordinateur de travail.

En 1996, alors que Quake commençait sa longue histoire, une marque de céréales – qui voulait se relancer – décida de proposer un FPS à destination des enfants. Mais au lieu de combattre des zombies dans des niveaux infernaux, Chex Quest était plus aseptisé. Au lieu du doom guy, on devient le Chex Warrior qui doit intervenir pour libérer la planète Bezoik des Flemoids, des espèces de monstres verdâtres. On est équipé d’une arme, le « zorcher » qui renvoient les envahisseurs chez eux.

Utilisant le moteur du jeu Doom, il fut proposé avec les boites de céréales de la marque en question, mais aussi avec des CD promotionnels d’AOL.

Bien que n’ayant officiellement que 5 niveaux, si on passait par la ligne de commande, on pouvait accéder aux derniers niveaux restants. Il y a aussi les autres épisodes d’ultimate Doom qu’il utilise comme base. Une certaine commande chex -warp étant votre allié 😀

Mais le plus simple, c’est de le montrer en action, avec l’easter-egg du jeu 🙂

Le niveau de difficulté était tout sauf énorme, surtout que c’était destiné à des enfants à partir de 6 à 10 ans… Leurs aînés ayant le droit de s’amuser avec la version originale, plus ou moins officiellement 🙂