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FredericBezies

source: FredericBezies

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Diaspora* : je t’aime, moi non plus ?

dimanche 5 octobre 2014 à 20:53

C’est un peu la relation que j’ai avec ce réseau social alternatif. Pour la troisième fois, je me suis réinscrit, via le pod d’accès de framasoft. Et j’espère que cette fois, j’y resterais un peu plus longtemps que les fois précédentes.

Dans un article fleuve, Cyrille Borne nous annonce qu’il quitte diaspora*, je cite :

[...]
Oui vous avez bien lu c’est un échec, on a bien du monde, on a bien du contenu mais il manque ce qu’il manque toujours et j’ai l’impression que le phénomène s’accélère, il n’y a pas de codeurs. Raconter des conneries, balancer des lol cats, troller sur Microsoft, Apple Google, refaire le monde est à la portée de tout le monde, mais des événements montrent qu’il manque toujours des bras pour coder les applications libres.[...]

Je suis d’accord, diaspora* est encore un peu fruste, il n’a pas le polissage graphique et ergonomique d’un Google+ ou de l’éléphantesque réseau des Fesseurs de Caprins.

Je suis d’accord qu’il y a moins de codeurs, mais c’est une constante de ce qui fait à la fois la force et la faiblesse du logiciel libre : l’égo de ses développeurs et la possibilité de s’entendre.

N’ayant plus de compte chez les Fesseurs de Caprins depuis plusieurs années (et je n’en ressens pas le manque), mon compte Google+ (lié à mon compte principal gmail qui existe depuis 2005) me sert de réseau social principal. Twitter pour avoir les dernières infos du jour (du moins une fois qu’on a sorti les comptes d’extrémistes politiques et sociaux).

Diaspora* est pour moi un réseau complémentaire, et moins généraliste que Google+ et qui me permet d’avoir un contrôle plus fin des échanges. J’ignore combien de temps j’aurais ce compte sur le pod de framasoft. Peut-être que l’aventure s’arrêtera dans une semaine ou dans trois ans. Pour tout dire, je m’en contrefous complètement.

Ce qui compte, c’est d’essayer, loin de projet feu de paille comme ello. Son idée de ne pas dépendre de la publicité est purement hypocrite, car ils devront bien un jour où l’autre monétiser leurs données, seul trésor de guerre des réseaux sociaux classiques.

Je préfère échouer quelque part que de ne pas avoir essayer. Un échec est plus facile à supporter que des remords. Cela me rappelle une scène culte d’un des meilleurs épisodes de l’hexalogie de la Guerre des Etoiles (en anglais, c’est mieux) :

GhostBSD 4.0 : enfin un successeur léger à PC-BSD, qui redonne ses lettres de noblesse au bureau pour FreeBSD.

samedi 4 octobre 2014 à 00:29

Ah, GhostBSD. Basé comme PC-BSD sur FreeBSD, c’est un OS qui veut proposer une alternative aux distributions GNU/Linux sur le bureau. Le travail de la nouvelle version – j’avais parlé pour la dernière fois de GhostBSD à l’époque de sa version 3.5 en novembre 2013 – a été très important et centré sur un seul environnement de bureau : Mate Desktop.

Je n’avais pas été super emballé par la version 3.5 de GhostBSD. Cependant ayant pu faire quelques tests des version intermédiaires, j’ai apprécié l’annonce de la sortie de la version 4.0, alias Karina. J’ai récupéré l’ISO et lancé le tout dans une machine VirtualBox.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://freefr.dl.sourceforge.net/project/ghostbsdproject/release/amd64/4.0/GhostBSD4.0-RELEASE-amd64.iso
–2014-10-03 09:49:16– http://freefr.dl.sourceforge.net/project/ghostbsdproject/release/amd64/4.0/GhostBSD4.0-RELEASE-amd64.iso
Résolution de freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)… 2a01:e0d:1:8:58bf:fa88:0:1, 88.191.250.136
Connexion à freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)|2a01:e0d:1:8:58bf:fa88:0:1|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 1271048192 (1,2G) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « GhostBSD4.0-RELEASE-amd64.iso »

100%[====================================>] 1 271 048 192 1,86MB/s ds 12m 39s

2014-10-03 10:01:55 (1,60 MB/s) — « GhostBSD4.0-RELEASE-amd64.iso » sauvegardé [1271048192/1271048192]

Les notes de publications parlent d’un bug lié à xorg lors de la mise à jour de l’OS. J’indique un peu plus bas dans l’article comment contourner le dit bug. Au premier démarrage, on a le choix de l’interface à utiliser. Je suis resté avec l’option « classique »

L’installateur est très simple, mais il souffre d’un gros bug : le clavier reste en qwerty même si on demande un autre agencement. Il faut faire gaffe quand on saisit les divers mots de passe, sinon gare à la mauvaise surprise. Il faut espérer qu’il sera corrigé dans une future version. Bug rapporté par votre serviteur.

Les étapes sont classiques, des captures d’écran résumant bien les actions à faire. J’ai apprécié particulièrement le panneau des claviers et des fuseaux horaires. Lors de la création de l’utilisateur, on s’aperçoit que ce n’est pas bash qui est proposé comme shell par défaut, mais fish.

Pour cette étape, mieux ne vaut pas oublier d’installer le gestionnaire de démarrage, surtout sur une machine nue…

Après l’installation, on se retrouve devant GDM. Il faut bien entendu penser à passer l’ensemble avec des réglages français, aussi bien au niveau du clavier que de la localisation.

Dommage que si l’on désire utiliser GhostBSD dans une autre langue que l’anglais, il y a un autre bug, celui des répertoires utilisateurs non traduits, rapporté par votre serviteur.

Il y a trois étapes pour les mises à jour. La première est de se synchroniser avec le FreeBSD officiel, donc en ligne de commande :

sudo freebsd update fetch
sudo freebsd install

Ensuite, on va contourner le bug lié à Xorg. Il faut verrouiller les paquets liés à Xorg :

sudo pkg lock xorg-drivers
sudo pkg lock xorg-server
sudo pkg lock xorg-minimal
sudo pkg lock xf86-video-vesa
sudo pkg lock xf86-input-keyboard
sudo pkg lock xf86-input-mouse

On passe ensuite à la mise à jour des paquets, qui a duré une bonne heure…

sudo pkg update
sudo pkg install pkg
sudo pkg update
sudo pkg upgrade

Dans la liste des mises à jour, il y a le passage de Mate Desktop 1.6 au 1.8. Au démarrage suivant, il faut penser à demander à gdm à rester avec la session Mate. Sinon, il ouvre par défaut une session… Gnome !

Passons maintenant à la traduction. Pour Libreoffice : sudo pkg install fr-libreoffice. Pour Mozilla Firefox : sudo pkg install firefox-i18n-fr

Pour le passage des répertoires utilisateurs de l’anglais vers le français, même si c’est ennuyeux et pas encore complètement au point.

On commence par installer le paquet xdg-user-dirs avec sudo pkg-install xdg-user-dirs. Ensuite, il faut supprimer le répertoire de configuration (qui supprimera certains réglages, dont la transparence du terminal, mais c’est facile à retrouver), avec un petit rm -rf .config.

Après un duo déconnexion et reconnexion, il faut ouvrir un terminal, et entrer xdg-user-dirs-update. Après, on peut enlever à la main les répertoires anglais : downloads, templates, music. Et on a un système un peu plus francisé. Même si c’est franchement crade… :(

Même s’il est un peu vert par endroit, GhostBSD prouve qu’on peut proposer une adaption de FreeBSD pour l’utilisateur de bureau sans tomber dans l’hippopotamesque PC-BSD. C’est le jour et la nuit pour la vitesse. Même s’il reste quelques angles à arrondir (comme le bug lié à la mise à jour de Xorg ou à la migration de certains outils vers Mate Desktop 1.8), l’ensemble est vraiment très utilisable. J’ai été agréablement surpris du résultat.

Il faut mettre un peu la main à la pâte, mais le jeu en vaut la chandelle, même si tout n’est pas parfait. Il faut rester conscient cependant qu’un BSD libre pour une utilisation bureautique est encore assez austère. Un peu comme les distributions GNU/Linux vers 2004/2005.

Vendredi culturel : la folk anglaise dans sa variété avec Dear Pariah et le duo Josienne Clarke et Ben Walker.

vendredi 3 octobre 2014 à 15:55

Pour finir cette première semaine d’octobre 2014, deux albums de folk anglaise dans deux variantes. L’une traditionnelle avec Josienne Clarke & Ben Walker, l’autre plus « moderne » avec Dear Pariah.

Je vais aborder les deux par ordre alphabétique, donc honneur à Dear Pariah, projet solo de Charlotte Hinchcliff. Ici, les mélodies folk sont teintés de rythme parfois psychédélique, accompagné de nombreuses cordes (violoncelle, harpe, viole de gambe)

Son deuxième EP, financé via Pledge Music (et dont j’ai été un des donateurs), nous propose 4 pistes pour une durée d’environ 18 minutes. La voix de Charlotte Hinchcliff nous emporte dès la première piste. Dès Brother, on a un album qui vous prend aux tripes. Le titre éponyme démarre presque en fanfare, continuant de prendre l’auditeur au plus profond de lui même.

« Only time will fix us now » a des sonorités plus inspirée rock que les titres précédents, la voix de Charlotte Hinchcliff marque toujours de son empreinte la piste. L’ultime piste est plus calme, mais aussi plus mélancolique.

En ce début octobre 2014, c’était aussi au tour du duo de folk traditionnel constitué par Josienne Clarke et Ben Walker de nous proposer son nouvel album, le 5ième, « Nothing Can Bring Back The Hour ». Ici, nous avons droit à de la folk tout ce qu’il y a plus classique. La pochette donne le ton, on est ici dans la tradition de la folk. Il n’y a que trois reprises de titres folk traditionels sur les 13 pistes de l’album, les pistes « I Wonder What Is Keeping My True Love Tonight », « The Queen Of Hearts » et « Let No Man Steal Your Thyme ».

L’album s’écoute sans aucune difficulté, et si vous êtes amateur de folk dans sa version la plus classique, vous serez ravis ici. Les seules concessions au duo chant et guitare sèche sont l’emploi de violon, violoncelle, viole de gambe et parfois quelques percussions. Mais le tout est si bien accordé, que l’album passe sans qu’on s’en aperçoive vraiment.

Mes pistes préférées de l’album ? Silverline, It Would Not Be A Rose, I Never Learned French, Earth and Ash and Dust. Et encore, cela a été dur de choisir, car tout est très très bon !

Debian GNU/Linux Jessie, un mois avant le freeze, ça donne quoi ?

jeudi 2 octobre 2014 à 17:00

Le freeze (gel en bon français) de la Debian GNU/Linux Jessie est prévu pour le 5 novembre 2014, soit environ 34 jours au moment où j’écris cet article, le 2 octobre 2014. Cet article est la suite – en quelque sorte – de celui-ci, écrit en mars 2014, à l’époque systemd était désactivé par défaut.

J’ai voulu voir l’état d’avancement de la future Debian GNU/Linux 8.0. Même si des assouplissements dans le gel des paquets sont prévus, ils sont progressivement réduit au strict minimum : la correction de bugs inacceptables pour la première version finale de la Debian GNU/Linux 8.0.

Ensuite, il faudra compter avec la durée de gel. On peut donc estimer, en se basant sur la moyenne des trois derniers gel (ceux de Lenny, Squeeze et Wheezy, soit 202, 184 et 308 jours) que la Debian GNU/Linux Jessie sortira environ 231 jours (soit 7 mois et demi) après le gel, ce qui nous donne une date aux alentours du 24 juin 2015. Date purement pifométrique bien entendu :)

Quoique cela colle avec l’estimation du wiki
, qui déclare :

endures a freeze cycle of 7 +/- 1 months before getting released.

Ce qu’on peut traduire par :

endure un cycle de gel de 7 +/- 1 mois avant d’être publié.

J’ai donc récupéré la dernière ISO hebdomadaire de la Debian GNU/Linux Jessie, datée du 29 septembre 2014, en prenant la version AMD64.

J’ai ensuite créé une machine virtuelle VirtualBox pour voir ce que la Debian GNU/Linux Jessie a dans le ventre.

J’ai lancé l’installateur graphique pour avoir une interface plus « michu-compliant » :)

La version graphique de l’installateur est aussi agréable que celui de l’OpenSuSE. Moins clinquant aussi, mais fonctionnel. J’ai gardé les options par défaut, même si j’ai cédé à la tentation de la partition /home séparée au niveau de l’agencement des partitions du disque dur. Au moins, cela permet de savoir quel est la taille réelle du système installé :)

Ci-dessous les principales étapes en capture d’écran. Je n’allais pas non plus faire une capture à chaque étape. En gros, on a droit au choix de la langue et du clavier et du lieu de résidence, le nom de la machine sur le réseau, l’ajout du mot de passe root et d’un compte utilisateur avec ses mots de passe, le partitionnement à mettre en place, le choix d’un miroir en réseau pour récupérer des paquets frais.

J’ai apprécié le panneau de sélection des « méta-paquets » qui permet de personnaliser l’installation, spécialement pour les personnes allergiques à Gnome. Ensuite, il faut patienter le temps que les 1528 paquets soient installés, et certains récupérés pour compenser le décalage entre la sortie de l’ISO et la date d’installation.

Ensuite, c’est au tour de Grub d’être installé, et on peut redémarrer enfin.

A la fin de l’installation, nous avons Gnome qui nous accueille. Au moment où j’écris cette article, le 2 octobre 2014, près de la moitié de Gnome 3.14 est disponible pour Debian GNU/Linux Testing, le score montant à 75% pour Debian GNU/Linux Unstable.

On sent l’envie de la part d’une partie des mainteneurs de Debian GNU/Linux de proposer Gnome 3.14 pour la sortie de Jessie. En effet, si la Debian GNU/Linux Jessie sort en juin ou juillet 2015, elle sera très fraîche, car elle n’aura qu’une génération de retard sur le plan de l’environnement Gnome. En effet, avec son cycle de 6 mois, on peut estimer que Gnome 3.16 sortira en mars 2015.

J’ai donc ensuite lancé l’enregistrement d’une vidéo avec la Debian GNU/Linux Jessie a un petit mois de son gel technique.

Je dois dire que j’ai été très agréablement surpris par la qualité de l’ensemble, même si la migration vers Gnome 3.14 n’est terminé qu’à moitié. Il reste encore un mois pour que les paquets soit importés sur Debian GNU/Linux unstable puis vers la version testing. Autant dire que cela reste jouable. Le vrai point critique, ce sera la durée du gel.

Il faut vraiment espérer que celui-ci sera de 6 à 8 mois comme c’est précisé le wiki de la Debian GNU/Linux, sous peine ensuite de se retrouver avec des logiciels un tout petit peu trop agé, ce qui pourrait être sensible sur le plan de la navigation internet ou du support de la bureautique avec le monde extérieur et les formats non-libres qui pulule.

Microsoft Windows 10 Technical Preview : quand Microsoft redécouvre une partie de l’ergonomie des distributions GNU/Linux de 1998-1999…

mercredi 1 octobre 2014 à 22:39

La version alpha (pardon, la Technical Preview) de Microsoft Windows 10 est disponible depuis peu. Un article de NextInpact qui parle de la disponibilité de cette préversion de Microsoft Windows 10 avec un lien vers la page de téléchargement.

La dite page fait du browser sniffing et envoie paître tout visiteur qui serait sous Linux ou MacOS-X. Peu importe, j’ai utilisé un outil pour contourner cette méthode digne de la première guerre des navigateurs (1996-2002), et j’ai récupéré l’ISO anglaise en 64 bits.

Dans un autre article NextInpact nous parle des grandes nouveautés ergonomiques de MS-Windows 10, bien que ce soit encore un travail en cours dont sujet à caution. J’ai retenu surtout :

  1. Le retour du menu Démarrer :)
  2. Les bureaux virtuels…
  3. La possibilité de coller du texte dans un terminal
  4. La possibilité d’afficher toutes les fenêtres utilisées en un seul écran

Mis à part le retour du menu démarrer dans une version « améliorée », les deux grandes nouveautés qui suivent n’en sont pas vraiment. En effet, aussi loin que je me souvienne, ce sont des classiques des interfaces pour Unix et distribution GNU/Linux depuis… une vingtaine d’années ?

L’affichage en mode « toutes les fenêtres utilisées » est un peu plus récent, c’est ce que propose MacOS-X avec la fonction exposé depuis MacOS-X Panther (alias 10.3 en 2003) et Gnome Shell depuis sa version 3.0 en 2011. KDE SC doit aussi proposer une fonctionnalité de ce style, mais n’étant pas un grand fan de KDE… :D

J’ai donc installé la version alpha de Microsoft Windows 10 dans une machine VirtualBox. L’installateur est celui de Microsoft Windows 8.x, donc rien de bien nouveau. Et il force à l’utilisation d’un compte Microsoft, même si l’utilisateur lui dit d’aller se faire voir chez /dev/null ou presque. Une option bien planquée au bas de la page de création de nouveau compte permet de continuer cette inscription forcée.

Pour montrer ce qu’était l’interface d’une distribution GNU/Linux de 1998-1999, j’ai pris la Mandrake Linux 6 sortie en juin 1999. Cependant, pour des raisons techniques, j’ai dû utiliser Qemu pour cette partie de l’article. J’avais droit à un kernel panic dans VirtualBox. Cependant, la souris étant très mal émulée, je n’ai pas pu montrer les bureaux virtuels en action :(

J’ai donc fait une vidéo montrant plusieurs choses : bien entendu Microsoft Windows 10 (alias NT 6.4, Microsoft Windows 8.1 étant NT 6.3, et Microsoft Windows 8.0 étant NT 6.2), mais aussi le vilain browser sniffing du site de Microsoft et la Mandrake Linux 6.0 en action.

Autant dire que les révolutions ergonomiques comme les bureaux multiples sont plus un alignement sur la concurrence qu’une réelle innovation dans l’absolu. Si on sort le coté « flat » de l’interface, on se retrouve avec une interface qui ressemble à s’y méprendre à celle de Microsoft Windows 7.

Même si le Menu Démarrer de Microsoft Windows 10 me fait penser au menu Whisker de Xfce avec une barre latérale dynamique, cette interface et l’ergonomie générale est une volonté de tourner la page houleuse de l’interface hybride de Microsoft Windows 8 et 8.1 qui n’ont pas fait que des heureux.

On peut conclure avec un article au vitriol (mais tellement vrai) proposé par The Verge qui résume bien l’équation : MS-Windows 10 = MS-Windows 7 avec un noyau plus récent et un affichage plus « flat ».

Il faudra voir comment évoluera MS-Windows 10 alias NT 6.4, mais cela sent l’envie chez Microsoft de faire oublier la douloureuse époque de MS-Windows 8 et 8.1 qui ne sont pas des plus aimées par les utilisateurs.