PROJET AUTOBLOG


FredericBezies

source: FredericBezies

⇐ retour index

2 ans que j’ai quitté Youtube en tant que créateur ! Déjà….

jeudi 12 novembre 2020 à 18:07

C’était le 12 novembre 2018, j’annonçais la fin de ma chaîne sur Youtube après une dizaine d’années de présence.

Depuis, je suis bien tranquille sur peertube via les deux instances peertube.fr et tux’n’tube. Le plus marrant, c’est que ma chaîne a continué de grossir en terme d’abonnés. Au 12 novembre 2018, j’avais 4953 abonnés. 2 ans plus tard, je suis arrivé à 5760, captures d’écran à l’appui.

Merci Youtube Studio !

Pour une chaîne qui est désormais une archive, voir une croissance de 16,29% en nombre d’abonnés, c’est marrant. Comme si certaines personnes considéraient qu’au bout de deux ans, je changerai d’avis sur mon départ de youtube et que je relancerai ma chaîne : ma réponse est simple… Il n’en est pas question.

Plus le temps passe, plus je suis content de ne plus être du côté création de Youtube. Plus aucune obligation de faire une vidéo par jour histoire de faire vivre la châine et caresser les personnes abonnées dans le sens du poil.

Avec l’évolution du youtube linuxien francophone dont ne ressort au final que la chaine d’Adrien Linuxtricks qui semble jouer sur les effets de mode : depuis quelques jours, c’est Fedora qui est à la mode. J’ai depuis longtemps compris que la guerre de distribution, ça sert à rien. Je sais, on va dire que je radote 🙂

Que ce soit sur peertube.fr ou tux’n’tube, j’ai retrouvé le plaisir de faire des vidéos sans me soucier des dévaliseurs de bijouterie familiale. Ou je n’ai plus rien à craindre du robot copyright de Youtube qui peut balancer des avertissements qui peuvent entraîner au final la destruction de ta chaine.

Même si je ne fais plus que quelques dizaines voire quelque centaines de vues par vidéo, ce n’est pas grave. Je suis revenu à la création de vidéo pour le plaisir et quand j’ai envie d’en faire. C’est aussi simple et bénéfique que cela. Peertube ne sera jamais un concurrent dangereux pour youtube, mais ne plus dépendre de cette plateforme du monde de Google, ça fait plaisir 🙂

Sur ce, je vous laisse et je vous souhaite une bonne fin de journée.

Apple verrouille les nouveaux Macs à base d’ARM, comme c’est étrange :)

mardi 10 novembre 2020 à 21:14

Je dois dire que je n’ai pas très souvent parlé d’Apple sur mon blog depuis la période lointaine – en 2004/2005 – où j’avais un MacMini première génération. Une histoire d’à peine une année qui s’était terminée très mal en 2006 avec la qualité photo de l’époque !

En ce début novembre 2020, Apple a annoncé la disponibilité de ces premiers modèles avec une puce ARM maison, dénommé M1 en lieu et place des puces Intel.

MacGeneration dans un article assez détaillé explique par le menu ce qu’est cette puce qui possède 8 coeurs de calculs avec un circuit graphique lui aussi à 8 coeurs. Autant dire un monstre de course.

Avec une politique de coeurs rapides et de coeurs économiques, des autonomies de folie sont annoncées : de 18 à 20 heures en fonction du Mac portable utilisé. Sans oublier une technologie de sécurisation – novlangue pour dire verrouillage – a été rajoutée : la Secure Enclave avec sa puce dédiée qui a déjà fait son bonhomme de chemin dans les iPhone et iPads (sauf erreur de ma part).

Évidemment les prix sont à l’avenant et on paye la marque à la pomme : 1129€ pour le MacBook Air ARM avec seulement 256 Go de stockage et 8 Go de mémoire. Les 512 Go étant proposés à 1399€. Bref, du grand classique.

Mais Apple peut se le permettre : il maitrise la chaine de production du début à la fin. Contrairement aux Mac basés sur des puces Motorala 68K (1984 à 1993), PowerPC (1994 à 2005) et Intel (2006 à 2020) où la firme dépendait de fondeurs de puces tiers pour s’approvisionner.

Autant dire que c’est aussi la mort des portages de systèmes comme Linux sur des Mac. J’avais tenté à l’époque du Linux PowerPC sur mon MacMini et les résultats étaient plutôt moyens fin 2005. Cela a sûrement dû évoluer, mais installer un linux sur du matos mac, bof, quoi !

Ce n’est pas le demi-pourcent – avec une tornade dans le dos ? – de hackintoshs qui empéchait Apple de dormir, mais vu le retard engrangé par Intel incapable de fondre des processeur en 7 nanomètres, la migration vers de l’ARM était logique. Il faut aussi espérer que Rosetta 2 – qui est l’interface de traduction des binaires Intel sur Mac ARM – ne ramera pas trop du popotin.

Désormais Apple verrouillera ses machines comme bon lui semblera. Mais après tout, si des personnes préfèrent MacOS, libre à elles. Personnellement, je n’y ai plus touché depuis 15 ans et je ne m’en porte pas plus mal !

Culture et confinement, épisode 2.

dimanche 8 novembre 2020 à 21:50

Dans mon article précédent, j’évoquais l’excellente série « Amicalement Votre » et un de ses épisodes qui fait partie selon moi des plus mémorables, « Regrets éternels » où l’on voit la famille de Lord Brett Sainclair qui se fait zigouiller à intervalles réguliers par un des prétendants au titre de duc.

Cet extrait du début de l’épisode pose l’ambiance et je dois dire que je suis assez friand ce genre d’humour froid…

En faisant quelques recherches, je me suis aperçu que c’était un épisode en hommage d’un classique de 1949, « Kind Hearts and Coronets » devenu en France « Noblesse Oblige » avec un excellent Alec McGuiness qui interprète outre son rôle, celui des prétendants au titre ce qui lui fait endosser une bonne demi-douzaine de rôles complémentaires. Le tout durant le règne d’Edouard VII (1901-1910).

J’ai donc sauté sur l’occasion pour voir ce classique… Et je dois dire que je n’ai pas été déçu. Voir comment Louis Mazzini, héritier rejeté de la famille d’Ascoyne liquide les uns après les autres les prétendants qui lui font obstacle est très intéressant.

Outre le classique empoisonnement, on a droit à un colis piégé, une chambre noire qui se transforme en crématorium et plein d’autres inventions dont je ne vais pas vous gâcher le plaisir de la découverte. Le plus ironique dans l’histoire, c’est que Louis Mazzini est poursuivi pour un crime dont il est innocent…

Si vous ne connaissez pas ce classique, foncez, vous ne serez pas déçu.

Le deuxième confinement, le retour de « Un jour sans fin » ?

dimanche 8 novembre 2020 à 16:20

Je crois me souvenir que j’avais déjà parlé de ce film de 1993 avec Bill Murray et Andy McDowell lors du premier confinement. C’était dans le cadre d’un billet « Culture et confinement… » Je dois dire que je ris toujours autant devant la bande annonce.

En dehors de deux jours qui me permettent d’améliorer l’ordinaire, j’ai l’impression de vivre le reste de la semaine le même jour. On finit presque par se demander si on ne vit pas dans le monde de Truman Show…

Je préfère la première hypothèse et vous ?

Il est vrai qu’il est dur de s’occuper l’esprit quand les journées se ressemblent presque au poil de cul de chameau près. Quand les seules différences consistent à remplir une attestation pour aller faire ses courses une à deux fois par semaine (en fonction de la possession ou non du permis de conduire), il y a de quoi devenir complètement cinglé au bout de quelques semaines.

Par chance, j’ai quelques passions que j’ai la possibilité de faire vivre malgré l’enfermement : la musique, les films et les séries TV. Je pense franchement me procurer « Amicalement Votre » que je n’ai pas revu depuis une bonne dizaine d’années. Ben ouais, cela sera toujours une pincée d’humour dans une ambiance plutôt morose.

J’espère aussi pouvoir pondre quelques vidéos, mais je dois dire que je suis un peu en rupture de stock côté idée à exploiter en vidéo. On verra bien si l’inspiration reviendra au fil des jours. Du moins, je l’espère 🙂

J’attends avec impatience l’arrivée de mes exemplaires auteur de mon dernier roman pour enfin pouvoir en parler en vidéo et me faire quelques piécettes avec. Et qui sait, peut-être battre mon record de 10€ en droit d’auteur versés trimestriellement par Amazon 🙂

J’espère que d’ici le 15 novembre la vidéo de promotion aura été postée. Mais pour le moment, silence radio. Il est vrai que pour le moment le blog a été d’un grand calme, car c’est, sauf erreur de ma part, le deuxième billet posté depuis début novembre. Deux billets en huit jours, j’ai connu largement plus agité.

Quand je parlais encore des distributions GNU/Linux, j’aurais eu de quoi remplir mon blog au quotidien, mais vu que toutes les distributions sérieuses se ressemblent, je ne vois pas l’intérêt de parler du énième remaquillage de Kubuntu 20.04.x en tant que clone graphique de MacOS Big Sur.

Ce n’est même pas suffisamment poussé pour que je produise un énième épisode de ma série DGLFI. Car une vidéo qui dirait : « Salut, c’est juste un thème appliqué sur une Kubuntu pour lui donner une apparence MacOS Big Sur et il n’y a rien à rajouter », ça pèserait pas lourd en durée. Quelques choses comme trois minutes pour lister les opérations de maquillage et indiquer l’adresse d’origine. Quel superbe vidéo de remplissage 🙂

Bref… Vous voyez ce que je veux dire. Je pense qu’il est temps de poubelliser toutes ces merdes de remaquillage basées sur ubuntu qui n’apporte rien au final, si ce n’est caresser l’ego de certaines personnes dans le sens du poil.

Je dois dire que j’attends plus les annonces liées à un outil tel que Gimp 3.0 – dont une version préliminaire est sortie en tant que 2.99.2, le 6 novembre 2020 – pour me donner envie de faire des vidéos.

Bon, je vais vous laisser, vous souhaitant une bonne fin de journée et bien du courage pour la suite du confinement.

Comment s’occuper l’esprit durant ce deuxième confinement ?

lundi 2 novembre 2020 à 18:47

Je n’ai pas été surpris d’apprendre l’arrivée de ce deuxième confinement, et pour tout dire je m’attendais à le voir arriver avant les vacances de la Toussaint. Je ne m’exprimerai pas sur sa durée, mais si c’est comme pour le premier confinement, qui a duré près de 2 mois, du 17 mars au 11 mai, on peut dire adieu aux vacances de fin d’année. J’espère sincèrement me tromper.

Mais pour le moment, nous n’en savons rien. Restons optimistes en espérant que le 1er décembre, la vie reprendra un chemin un peu plus joyeux. Le tout est de savoir comment s’occuper l’esprit si l’on a aucune activité professionnelle – en distanciel ou en présentiel – ou que l’activité est au point mort car non essentielle.

J’avais pensé m’inscrire au nanowrimo de cette année, mais en sachant qu’il faut écrit environ 50 000 mots en un mois, dixit wikipedia. Pour info, je compte publier courant novembre (idéalement avant le 11) un roman que j’ai écrit sur l’espace d’un an qui cumule péniblement un peu moins de 42 300 mots (en comptant la table des matières) pour environ 260 pages au format A5 et dont j’ai parlé en juillet dernier.

Autant dire qu’écrire plus de 1500 mots par jour, c’est un exercice qui est difficile. Surtout avec ma vie qui est en ce moment assez agitée, mais cela ne regarde que moi. Je ne m’étalerai pas plus que nécessaire ici.

Je pourrai me lancer le défi de me remettre en mode écriture, à savoir 1 000 mots par jour, six jours par semaine. Soit 30 000 mots en l’espace d’un mois. Mais je n’ai pas trouvé l’idée magique à exploiter pour le moment. Je dois dire que je veux d’abord me débarrasser de la publication du roman dont j’ai parlé en juillet, finir un autre qui traine depuis près de deux ans.

Bref, de quoi m’occuper si j’arrive à trouver le courage de me plonger dans l’écriture. Il y a aussi l’option de se plonger dans les documentaires divers et avariés qui pulullent sur les chaines de la télévision numérique terrestre ou encore ceux qu’on peut trouver sur Youtube.

Une dernière option serait peut-être de tenter ma chance auprès du projet Planet X2.1 (une version améliorée du jeu de David Murray) pour Commodore 64. En tout cas, si j’achète le jeu, ce sera uniquement en numérique, n’ayant pas le matériel adéquat pour profiter de la version boite.

Qui vivra verra 🙂