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FredericBezies

source: FredericBezies

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En vrac rapide et libre.

jeudi 25 avril 2013 à 10:26

Un petit en vrac’ rapide et libre en ce jour de Jupiter.

Voila, c’est tout ! Bonne journée :)

Fedora Linux 19 alpha : le chat commence à miauler ?

mercredi 24 avril 2013 à 14:26

La Fedora Linux 19, nom de code « Schrödinger’s Cat » vient d’arriver en version alpha. J’ai donc voulu voir ce que donnait l’ensemble en action. Et bon tipiak, j’ai utilisé le réseau de pair à pair Bittorrent pour récupérer l’image ISO live Gnome.

Puis j’ai utilisé mon bon vieux Qemu pour créer une machine virtuelle.


[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom Fedora-Live-Desktop-x86_64-19-Alpha-1.iso -boot order=cd &

Anaconda s’est amélioré par rapport à la version précédente, en proposant des options comme l’ajout d’un utilisateur classique dès le départ par exemple. Et pour les mots de passe, il ne faut pas oublier de modifier le clavier si on utilise autre chose qu’un clavier QWERTY. Mais mieux vaut ne pas créer d’utilisateur dès cette étape avec l’ISO Gnome.

Le choix du disque à utiliser :

Mot de passe root et création d’un nouvel utilisateur par défaut ?

Cependant – et je m’en suis aperçu au premier lancement de la Fedora Linux installée, ce fut une erreur. Un assistant de premier démarrage propose la création d’un utilisateur ! Quelques images des différentes étapes de l’assistant :

Cependant, j’ai pu en ligne de commande virer l’utilisateur supplémentaire créé en utilisant userdel. J’ai conservé la ligne de commande pour rechercher et faire installer les mises à jour. Il a fallu cependant que j’enlève anaconda avec un petit yum remove anaconda

J’ai vraiment apprécié les delta-RPM qui ont permis de diminuer d’environ 70% la taille à récupérer en ligne. J’ai ensuite fait cette petite vidéo pour montrer la Fedora Linux 19 alpha en action.

Sur le plan logiciel, on a Gnome 3.8.1, LibreOffice 4.0.3rc1, Mozilla Firefox 20.0.1, un noyau linux 3.9rc7, systemd 202, et plein de petites bonnes choses. Même si la Fedora Linux 19 ne sortira que fin juin début juillet le premier aperçu est déjà bien alléchant.

Vieux geek, épisode 11 : l’épopée 3Dfx.

mercredi 24 avril 2013 à 00:57

Revenons en décembre 1993 : iD Software donne un grand coup de pied dans la fourmilière en sortant le premier Doom. C’est un titre qui propose presque de la 3D. Car les personnages restent désespérement plat. Même si les titres qui se suivent améliorent plus ou moins le principe (comme les très bons Dark Forces ou le mythique Duke Nukem 3D), les personnages comme les objets restent désespérement plat.

1996 : iD Software frappe de nouveau un grand coup avec Quake premier du nom. Même s’il nécessite un monstre de puissance pour l’époque (un pentium 75 et 8 Mo de mémoire pour être tranquille), il propose un univers véritablement en 3D. La vidéo ci-dessous montre ce que donnait l’une des béta du jeu à l’époque. Autant dire que tout était calculé par l’ordinateur, et que le résultat était plutôt moche. Et qu’il dépendait de la puissance de calcul pur de l’ordinateur.

A la même époque, Intel met la dernière main à ce qui se veut une révolution, les processeurs munit des instructions MMX qui étaient censés donner un coup de fouet aux programmes optimisés pour le dit MMX. Et accessoirement pour vendre plus de processeurs 166 et 200 Mhz à l’époque.

Mais il faut être réaliste, le gain était proche de… zéro. A la même époque, une petite boite du nom de 3Dfx interactive se lance dans un marché juteux : les cartes additionnelles pour le rendu 3D. Elle avait un avantage non négligeable : elle libérait le processeur de calculer le rendu des images accelérées.

Les modèles les plus célèbres ont été la 3Dfx Voodoo 1, et surtout la 3Dfx voodoo 2 qu’on pouvait installer en paire pour un meilleur rendu au final. La vidéo ci-dessous montre ce qu’un petit processeur allié à une 3Dfx pouvait donner. Assez impressionnant coté différence visuelle non ?

Cependant, le vent tourna vite, et dès la Voodoo 3, dont le rendu est limité à 16 bits de profondeur, la concurrence avait commencé à prendre le dessus, spécialement nVidia qui proposa vers la même époque le premier circuit graphique vraiment puissant, le GeForce 256, en 1999. Le rendu était plus fin, avec une résolution de 32 bits de profondeur. Ce qui changeait vraiment la donne.

Cette carte donna toute sa saveur à deux titres désormais mythiques, Quake 3 Arena et son concurrent Unreal Tournament.

D’ailleurs, 3Dfx sera racheté en 2000 par nVidia et sortira des produits de plus en plus étrange, le pompon étant la Voodoo 5 qui demandait une alimentation externe !

Pour moi, 3Dfx, ce sont des heures de jeu sur Quake, Quake 2, Half Life premier du nom. Mais aussi Pod et combien d’autres titres… Dommage que 3Dfx interactive n’ait pas su digérer l’arrivée des GPUs de Nvidia et d’ATI qui ont été sa tombe.

XII, le prochain projet musical de Roger Subirana en pleine accélération ?

lundi 22 avril 2013 à 11:02

Roger Subirana le compositeur espagnol dont j’ai déjà eu l’occasion de parler de nombreuses fois, comme par exemple avec la sortie de son projet Shedneryan ou lors de la sortie de sa compilation, semble mettre les bouchées double pour son projet XII.

En l’espace de quelques jours, deux nouvelles pistes ont été annoncées et seront bientôt publiées. Il s’agit des pistes « Labyrinth » et « Tear Of A Smile ». Dont voici les deux clips officiels. Dont le deuxième avec une voix bien connue des albums de Roger Subirana…

Je ne dirais qu’une chose : vivement la sortie de l’album qui me donne l’eau à la bouche… En encore un album qui ira rejoindre ses.. 510 ou 520 petits camarades :)

Pour une fois, le Bassin d’Arcachon n’est pas desservi par les corbeaux, culturellement parlant !

dimanche 21 avril 2013 à 15:51

J’ai la « malchance » de vivre dans une région qui n’est pas très riche en concerts. Mais parfois la chance tourne, et hier soir, j’ai été voir avec un ami portraiste et caricaturiste un concert d’Eiffel qui avait lieu à la salle Pierre Cravey à la Teste de Buch.

Et comme un con, j’avais oublié de prendre mon portable pour faire quelques photos souvenirs :(

La première partie nous a offert la prestation du trio The Host. Du bon gros rock, avec des inspirations Led Zeppelin, The Clash, Pearl Jam, Queen. Je ne suis pas très fan des premières parties, mais une première partie qui dure une bonne quarantaine de minutes, avec du bon gros rock qui ne se prend pas la tête, j’adhère.

J’en ai même profité durant la pause d’entre deux groupes pour acheter un exemplaire du deuxième album du groupe, et parler quelques instants avec le batteur. Seul regret : pas de dédicace :(

Vous pouvez écouter quelques extraits et acheter l’album directement auprès du groupe !

Dès qu’Eiffel est arrivé, ça a été la folie. Ils ont principalement interprété des titres de leurs deux derniers opus, commençant avec « Place de Mon Coeur ». L’interaction avec le public a été géniale.

Le morceau de choix, c’est quand le chanteur est descendu au milieu du titre « A tout moment la rue », faisant s’asseoir une partie du public, et se faisant preter un verre de bière pour calmer sa soif.

Le concert a été excellent, mais le rappel, que dire ? Ce n’est pas le rappel torché à la va-vite. Il a bien duré entre 30 et 35 minutes, avec des morceaux prolongés presque jusqu’à l’épuisement.

J’en ai profité après le concert pour acheter le dernier opus du groupe « Foule Monstre« . Et je dois dire que je profiterais d’une nouvelle occasion pour aller les voir. Si vous voulez du bon gros rock français, avec des musiciens qui sont multi-instrumentistes, la bassiste jouant de la flute, et tatant du clavier, n’hésitez pas.

Je dirais que grace à Eiffel, je me suis réconcilié avec le Rock français, le vrai rock, pas la soupe d’un certain J.H. :)