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FredericBezies

source: FredericBezies

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NuTyX Saravanne : une LFS sans se prendre la tête, le retour :D

vendredi 10 octobre 2014 à 20:40

Ah, la Linux From Scratch, la distribution GNU/Linux disponible sous forme de livre qui a pour slogan : « Compilation, un point c’est tout »… Non seulement sa base est très longue à installer, mais il suffit d’une faute de saisie malencontreuse et vlan !

Pour contourner ce problème, il y a une distribution dont j’ai souvent parlé, parfois avec la dent dure, la NuTyX. Vous prenez la LFS préalablement compilée, vous lui rajoutez un gestionnaire de paquets entièrement réécrit du nom de Cards, et vous avez une distribution GNU/Linux qui intéressera les plus technophiles linuxien(ne)s.

La dernière fois que j’ai parlé de la NuTyX Saravanne, c’était en juillet 2014, à l’époque de la RC2. Depuis le travail d’affinage a été constant, et Thierry Nuttens a annoncé le 8 octobre la sortie officielle de la NuTyX Saravanne. On y trouve un noyau linux 3.16.4, KDE SC 4.11.4 et plein de petites bonnes choses.

J’ai donc récupéré l’énorme ISO de la NuTyX Saravanne en 64 bits, d’environ 175 Mo, et j’ai lancé le tout dans une machine virtuelle VirtualBox.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://downloads.nutyx.org/NuTyX_x86_64-saravane-20141006.iso
–2014-10-10 16:09:46– http://downloads.nutyx.org/NuTyX_x86_64-saravane-20141006.iso
Résolution de downloads.nutyx.org (downloads.nutyx.org)… 195.154.82.195
Connexion à downloads.nutyx.org (downloads.nutyx.org)|195.154.82.195|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 183500800 (175M) [application/x-iso9660-image]
Sauvegarde en : « NuTyX_x86_64-saravane-20141006.iso »

100%[======================================>] 183 500 800 383KB/s ds 5m 58s

2014-10-10 16:15:45 (500 KB/s) — « NuTyX_x86_64-saravane-20141006.iso » sauvegardé [183500800/183500800]

Après un démarrage très rapide, on arrive au choix des langues.

Pour le français il se trouve aux alentours de 80% de la liste des traductions disponibles.

L’installateur arrive ensuite. Il est simple, limite austère, mais il fait son travail. Après une mise en garde en guise d’amuse-bouche, on attaque le gros oeuvre. Cependant, j’ai préféré ne pas suivre le conseil, et commencé par installer NuTyX, puis grub ;)

Donc, j’ai bousculé un peu l’ordre affiché dans le menu d’installation.

J’ai commencé par le partitionnement, suivi du formatage (j’ai pris ext4 par défaut) et de l’installation. Les captures d’écran ci-après sont suffisamment parlantes.

Le choix de la partition à utiliser pour l’installation :

L’installation de la base est incroyablement rapide. J’avoue que j’ai été bluffé. en 20 à 25 secondes chrono, qui dit mieux ?

L’installation de Grub est l’étape suivante. Après l’installation, on nous propose de vérifier le contenu du fichier /boot/grub/grub.cfg. C’est essentiel si on a un ordinateur en multi-démarrage.

Les autres étapes sont très classiques : clavier à utiliser, configuration réseau (ah, que c’est bon la connexion filaire…), le réglage de l’heure (UTC si en mono-démarrage, locale si on double-démarre avec MS-Windows), une des rares étapes non traduite, dommage. En gros, sur l’écran de l’heure, yes pour UTC, no pour heure locale.

On a enfin la date et l’heure. L’installation est terminée et on se connecte en root pour finir les réglages techniques. Au premier démarrage, le mot de passe root est nutyx. Il faut le modifier en le réentrant, puis en entrant deux fois le nouveau mot de passe root.

J’ai rajouté la partition swap en suivant le manuel utilisateur.  A savoir étant donné que la partition de swap est en /dev/sda2 (dans mon cas) :

mkswap /dev/sda2
swapon /dev/sda2
echo "/dev/sda2 swap swap pri=1 0 0" >> /etc/fstab

Un redémarrage plus tard, tout est OK. Le swap est disponible pour les opérations qui demanderont pas mal de ressources.

Il y a un léger bug que j’ai constaté avec l’ISO disponible (celle du 6 octobre 2014) et utilisée : le fichier /etc/localtime qui devrait pointer vers le fuseau horaire correct n’est pas généré. Cela se corrige en un tour de main, avec pour Paris :

ln -sf /usr/share/zone/Europe/Paris /etc/localtime

Un autre rédémarrage plus tard (j’aurais pu fusionner les deux étapes), j’ai une NuTyX avec du swap et l’heure correcte :)

Par la suite j’ai mis à jour la base de données de cards (l’outil d’empaquetage), installé les paquets mis à jour (le noyau uniquement dans mon cas et donc un reboot à la clé !), et j’ai installé KDE SC. Je suis resté en root pour cette série d’opération (je sais c’est pas bien !) :

cards sync -i
check
cards install -u kernel
cards install kde

Bon, vu la taille de KDE SC, il m’a fallu patienter une quinzaine de minutes pour récupérer et installer les paquets nécessaires. Durée somme toute classique pour installer l’environnement KDE SC.

Pour compléter le support multimédia, j’ai rajouté les paquets : gstreamer1-plugins-ugly, gstreamer1-plugins-bad, gstreamer-plugins-ugly, gstreamer-plugins-bad et enfin gstreamer1-libav. J’ai aussi rajouté LibreOffice, Mozilla Firefox et Mozilla Thunderbird.

Ensuite, j’ai créé mon compte utilisateur avec la commande nu.

J’ai enfin redémarrer une nouvelle fois, et KDM m’a accueilli. J’en ai donc profité pour lancer la capture de la vidéo.

La NuTyX Saravane est une distribution bien alléchante avec quelques erreurs de jeunesse bien pardonnables, mais elle a un énorme point faible. Sa logithèque qui est relativement faible, lié sûrement aux manques de contributeurs et d’utilisateurs qui pourraient proposer des recettes pour créer les paquets qui font défaut, comme Amarok par exemple.

Malgré cela, partir d’une Linux From Scratch et en faire une distribution rapidement installable, avec un gestionnaire de paquets qui a tout d’un grand, c’est un sacré tour de force.

Donc, contrairement aux innombrables et inutiles réempaquetages de la Ubuntu qui ne font que bouffer de la bande passante et qu’il est d’une facilité déconcertante de produire (j’en avais fait l’expérience dans un article du mois de septembre 2014), la NuTyX (comme la 0linux) propose une autre vision des distributions GNU/Linux.

Ce serait trop con de la laisser mourir, non ?

Parabola GNU/Linux : où en est la Archlinux 100% libre ?

jeudi 9 octobre 2014 à 20:12

La Parabola GNU/Linux, c’est la version libérée (au sens où l’entend la Free Software Foundation) de la distribution GNU/Linux Archlinux. Les grandes différences ? Des dépôts spécifiques avec des logiciels complètement libres (dont le noyau linux-libre), un paquet du nom de « your-freedom » qui met sur liste noire les vilains logiciels qui ne sont pas libres ou pas suffisamment libre. La première fois que j’en avais parlé, c’était en octobre 2010, la dernière fois dans une expérience complètement inutile donc indispensable en mai 2013.

La dernière ISO d’installation de la distribution étant sortie en ce début octobre 2014, je l’ai récupéré puis j’ai lancé une machine virtuelle Qemu pour y mettre une Parabola GNU/Linux à l’intérieur avec Gnome et LibreOffice. Une occasion de faire le bilan près de 18 mois après le dernier article et de voir si on peut l’utiliser dans la vie de tous les jours ;)

Je serais bien passé par un fichier torrent, mais la dernière ISO en date (au moment où je rédige l’article, le 9 octobre 2014) n’a pas de torrent à son nom :(

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c https://repo.parabola.nu/iso/2014-10-07/parabola-2014.10.07-dual.iso
–2014-10-09 17:55:08– https://repo.parabola.nu/iso/2014-10-07/parabola-2014.10.07-dual.iso
Résolution de repo.parabola.nu (repo.parabola.nu)… 80.87.131.232
Connexion à repo.parabola.nu (repo.parabola.nu)|80.87.131.232|:443… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 560988160 (535M) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « parabola-2014.10.07-dual.iso »

100%[======================================>] 560 988 160 1,82MB/s ds 11m 12s

2014-10-09 18:06:20 (816 KB/s) — « parabola-2014.10.07-dual.iso » sauvegardé [560988160/560988160]

Et l’habituelle machine virtuelle ci-dessous. 

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom parabola-2014.10.07-dual.iso -boot order=cd &

Pour mémoire, kvm64 est un alias pour : qemu-system-x86_64 -k fr -m 2048 -sdl -soundhw hda,ac97 -no-frame -vga std --enable-kvm

L’installation est strictement identique à celle d’une Archlinux. On peut migrer depuis une Archlinux vers une Parabola GNU/Linux. J’ai donc suivi le dernier tutoriel en date que j’ai proposé pour une installation d’Archlinux (la version 12 au moment où je rédige cet article). Les modifications sont très faibles voire anecdotiques.

En effet, il n’y a qu’une commande cruciale à modifier, celle qui gère l’installation du noyau. Au lieu de faire un mkinitcpio -p linux on fait un mkinitcpio -p linux-libre

De plus, à moins que ce soit une fausse manipulation de ma part, j’ai du installer grub avant de générer le fichier grub.cfg. Seul petit problème technique que j’ai rencontré ! Par contre, le choix des couleurs du grub… Ouille, j’ai mal à la rétine d’un coup.

Autre différence, Mozilla Firefox n’est pas disponible. C’est Iceweasel de la distribution Debian GNU/Linux qui prend sa place. Pour Mozilla Thunderbird ? C’est Icedove qui prend sa place.

Cependant, j’ai été confronté à un énorme bug, comme je vous le montrerai dans la vidéo ci-dessous. Impossible d’accéder au dépot community-testing. Sûrement un bug temporaire. Et désolé pour le souffle qui encombre une partie de la vidéo :(

Mis à part le bug de community-testing (qui empêche les fondus de mon engeance et les testeurs) de pouvoir passer à la vitesse supérieure, la Parabola GNU/Linux est une des plus utilisables des distributions 100% libre.

Cependant, elle n’a pas la facilité d’installation d’une Blag Linux ou d’une Trisquel GNU/Linux (dont la version 7 commence à prendre du temps à arriver, surtout que rien ne semble bouger depuis l’article que je lui ai consacré en août 2014 ) qui pourrait attirer des utilisateurs qui ne voient pas le logiciel libre comme uniquement gratuit, mais aussi sous la forme d’une éthique à suivre.

Guide d’installation d’Archlinux, version d’octobre 2014.

mercredi 8 octobre 2014 à 19:23

Voici la douzième version du tutoriel pour installer une Archlinux, que ce soit avec une machine virtuelle, utilisant un Bios ou un circuit UEFI. Cette version rend obsolète de celle de septembre 2014.

Il y a deux notes à lire avant de me traiter comme du poisson qui n’aurait plus vu l’eau depuis plusieurs semaines.

  1. Je rédige ce document le 8 octobre 2014. Gnome 3.14 n’était pas encore disponible sur les dépôts stables de la distribution, j’ai utilisé les dépôts de test (testing et community-testing) pour faire les captures d’écran de la section Gnome.
  2. Dans la section des services à activer, il y a deux lignes pour Cups. Au 8 octobre 2014, Cups 2.0.0 est uniquement disponible dans le dépôt testing. D’ici la prochaine version du document (entre le 5 et le 10 novembre 2014), ces deux points seront obsolètes.

NB : si vous voulez faire une installation avec UEFI, il faut utiliser cgdisk, gfdisk ou gparted, et créer un partitionnement GPT. Sinon, ça plantera !

Ce n’est pas un tutoriel à suivre au pied de la lettre, mais une base pour se dégrossir. Le fichier au format zip contient :

Le guide en question est sous licence CC-BY-SA 3.0.

Bonne lecture et n’hésitez pas à me faire des retours en cas de coquilles !

L’ubuntu-bashing : un effet de mode pour bien se faire voir dans certaines communautés linuxienne ?

mardi 7 octobre 2014 à 10:49

Il y a une tendance latente dans le petit monde des utilisateurs de distributions GNU/Linux, surtout quand ceux-ci après s’être fait les dents sur Ubuntu partent vers des distributions plus techniques, voire carrément sur des distributions mères, comme la Debian GNU/Linux par exemple.

C’est de casser, avec une mauvaise foi digne de celles des personnes prises les doigts englués dans le pot de confiture, Ubuntu en lui faisant porter la responsabilité de tous les malheurs du monde.

Un peu comme les personnes qui s’étonnent actuellement que la version alpha de MS-Windows 10 récupère des données via un outil à la keylogger pour avoir des informations technique à exploiter par la suite et améliorer le produit final.

Ce sont aussi les mêmes personnes qui vont mettre des données plus ou moins intime sur leur compte chez le fesseur de caprins et de s’étonner qu’on sache tout d’eux. Mais passons.

Vous pourriez me répliquer en citant mes archives que j’ai fait de l’ubuntu-bashing. Il est vrai que j’ai quelques articles où je ne suis pas tendre envers la politique suivie par Canonical.

Par exemple, à l’époque de la Ubuntu 11.10 ou de la 10.04 ou je ne mâchais pas mes mots. Mais cela était en relation avec le fait que c’était grâce à la ubuntu Dapper Drake que j’avais enfin pu devenir linuxien à part entière pour de bon. Et que la création d’un bel écosystème ubuntu-centré ne me plaisait pas vraiment. D’ailleurs, une partie du dit écosystème a été clos au 31 juillet 2014, le service Ubuntu Cloud.

Il est facile de critiquer Ubuntu, mais autant le faire avec des arguments autrement plus développé que le schématique « Putain, ubuntu, ça pue du cul ».

On peut critiquer l’idée de Mir (qui entre en concurrence frontale avec le projet Wayland) ou le fait qu’Unity est tellement dépendant de la base technique d’Ubuntu que porter l’environnement sur une autre distribution est largement plus dur que les 12 travaux d’Hercules réunis.

Cela donne des résultats étonnant, comme la MooOS qui a abandonné Unity entre temps. Sans oublier le fil concernant le port d’Unity sur Archlinux compte au 7 octobre 2014 quelque chose comme 2640 messages au bout de 3 ans d’existence.

Je me souviens d’une anecdote de Boris, un pseudonyme de Philippe Dhondt (du tubesque « Soirée Disco ») qui dans les années 1990 disait, de mémoire, dans un article du magazine « Entrevue » : « Ce n’est pas parce que tu as goûté au foie gras qu’il faut oublier le goût du paté de campagne ». Phrase que je vous laisse méditer.

C’était en 1995… Et oui, ça a été un succès monstrueux à l’époque.

Peut-on comparer Ubuntu au pâté de campagne et les autres distributions non basées sur elle (comme Debian GNU/Linux, Archlinux, Fedora, Gentoo) comme du foie gras ? J’avoue que j’ai un léger doute.

Maintenant, quand vous verrez une personne casser Ubuntu, posez-lui simplement la question en insistant jusqu’à avoir une réponse : « Quelle a été la première distribution utilisée ? »

Je ne sais pas pourquoi mais la réponse commencera 99% du temps par un U :)

Un installateur graphique pour Archlinux : serpent de mer ou outil « contre nature » pour la distribution GNU/Linux ?

lundi 6 octobre 2014 à 22:33

J’utilise depuis 2009 la distribution GNU/Linux Archlinux presque en continue sur mes ordinateurs successifs. Depuis presque aussi longtemps, j’entends la même rengaine : où est l’installateur graphique ? Ou sa variante : pourquoi y a pas d’installateur graphique ?

Il y a bien des projets développés pour Archlinux (comme cnchi d’Antergos, devenu Thus sous Manjaro Linux), Evo/Lution (bien que le projet semble se tourner vers un outil textuel comme celui qu’on peut avoir sous la vénérable Slackware Linux), ou encore Calamares (KaOS et Manjaro Linux) voire Tribe pour la Chakra Linux qui a coupé les ponts depuis quelques années avec la distribution qui l’a vu naître.

Cependant, et j’ai pu en avoir la preuve avec le port de cnchi utilisé par la KaOS lors d’un test que je lui avais accordé que ces outils sont vraiment tout sauf au point.

Outre le fait qu’il y a au moins trois projets concurrent pour proposer un installateur pour les distributions basées sur Archlinux, je pense que proposer un installateur graphique est un peu « contre nature » pour une distribution qui se veut KISS (« Keep It Simple Stupid » qu’on peut traduire de manière sociale par « Ne compliquons pas les choses »).

En effet, cela risque de tromper sur la vraie nature de la distribution qu’est Archlinux. Car la ligne de commande, et il faut l’admettre, est le fondement de la maintenance et de l’administration régulière d’une Archlinux.

Cela pourrait donc induire en erreur sur la vraie nature de la distribution et induire en erreurs les utilisateurs. Quand AIF a été enlevé en août 2012 (surtout suite à un manque de main d’oeuvre pour le maintenir en vie) et remplacé par des scripts d’installation, la bronca a été énorme.

Même si les scripts peuvent apparaitre comme intimidants, ils sont tout aussi puissants et pratiques pour installer la distribution qui est un grand jeu de Légo ou de Mécano (tout dépendant de votre niveau de connaissance en bricolage). On peut installer la distribution en tour de main ou presque. L’exemple en vidéo avec un petit défi que je m’étais lancé…

Cependant, il existe toujours des ISOs dites ArchBoot qui permettent d’installer la base d’Archlinux en mode semi-graphique en automatisant certaines tâches comme le partitionnement, l’installation du gestionnaire de démarrage ou encore en proposant une interface qui permet de configurer l’ensemble de la distribution sans oublier un fichier de configuration précis.

Car il ne faut pas s’y tromper, même Manjaro Linux qui est un peu l’Ubuntu d’Archlinux conseille de passer par la ligne de commande pour installer les packs de mises à jour hebdomadaires… Comme pour l’update pack 10 de la Manjaro 0.8.10.

D’ailleurs à chaque fil parlant des mises à jour pour les dépots testing (qui arrive une semaine ou deux après sur les dépots stables) sur le forum manjaro.fr la ligne de commande chaudement recommandée… L’exemple avec un fil de début octobre 2014.

Je rejoins l’avis d’un des mainteneurs d’Archlinux (qui s’occupe de KDE SC) sur les installateurs graphiques alors qu’il parlait d’Evo/lution justement qu’il semble apprécier :

BUT one thing must be clear, after the installation you are on your own and you have definitely learn how Arch Linux works. But if you need any help after the installation process, you can find all information in the wiki or in the forum of Arch Linux.

Ce qu’on peut traduire par :

Mais une chose doit être claire, après l’installation, vous êtes tout seul et vous devrez apprendre comment Arch Linux fonctionne. Mais si vous avez besoin d’aide après le processus d’installation, vous pouvez trouver toutes les informations sur le wiki ou le forum d’Arch Linux.

Et oui, il faudra lire de la documentation après l’installation de la distribution… Effroyable idée, non ?