En décembre 2020, je parlais de l’économiseur d’écran « Johnny Castaway ».

Cependant, dans le petit monde des économiseurs d’écran, il y a aussi – et surtout – eu un certain After Dark, sorti en 1989 pour le Mac et en 1991 pour le PC.

Il est spécialement connu pour ses grilles pains volants, mais pas uniquement. Il y avait d’autres économiseurs d’écran, moins connus.

Pour montrer After Dark en action, j’ai créé une machine virtuelle dans PCEM avec un MS-Windows 3.11 de la grande époque

Vous avez pu le voir, il y avait de tout, surtout du déjanté. De quoi passer des heures à s’amuser avec un module non testé auparavant.

Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi de mai 2023. Je n’ai pas trop de temps pour le blog en ce moment, désolé

Côté logiciel libre, informatique et internet.

• Dans la grande famille des distributions dérivée de CentOS, je demande la Rocky Linux 9.2.
• Fan de Deepin ? La version 23 bêta de la distribution vient de sortir. À reserver aux personnes qui savent ce qu’elles font.
• Grosse annonce pour Archlinux. Avec la migration de subversion vers git, on a droit à une mise à jour qui demandera de jouer de la ligne de commande… Miam ou presque
• Vous aimez les jeux de réflexion et un peu de plateformes où le temps joue un rôle clé ? Alors le jeu « Deathflood Dungeon of Doom » vient de sortir pour le Commodore 64.

Côté culture ?

Rien cette fois ci.

Sur ce, bonne fin de semaine !

Petit en vrac’ en ce deuxième vendredi du mois d’avril 2023.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

• Dans le sillage de la sortie de la Red Hat Enterprise Linux 9.2, je demande la Alma Linux 9.2.
• Ou encore la moins connue Eurolinux en version 9.2.
• Fan du jeu « Pang » ? Ajoutez-y une légère touche de « Space Invaders », secouez-le tout et vous aurez un petit jeu sympathique pour Commodore 64, « The Last Defender ».
• Toujours sur Commodore 64, le jeu « Cursed Tomb » nous propose de récupérer tous les trésors en un temps limité à la seconde prèsavec quelques pièges plus ou moins vicieux. C’est publié par Protovision, synonyme de qualité.

Côté culture ?

Rien cette fois ci.

Sur ce, bon week-end !

Nous sommes en 1987, et les jeux d’exploration de donjons existent déjà. Ce sont les Rogue-like qui utilisent des caractères ASCII pour dessiner le monde dans lequel évolue le joueur.

L’équipe de FTL décide d’aller plus loin et de reprendre les bases utilisées par la série des Ultima pour afficher les donjons, avec une vue à la première personne dans un affichage entièrement texturé. Ici, on va gérer une équipe de 4 champions qu’on peut récolter dès le début du jeu dans le « Hall of Champions ».

Rajoutez-y des bruitages, des monstres plus ou moins terrifiants, des objets par dizaine à récolter, gérer la faim de chaque personnage ainsi que leurs équipements et vous aurez un jeu mythique.

Il a été l’inspiration du très bon « The Shadows of Sergoth » sorti sur Amstrad CPC en mai 2018, et d’autres titres plus connu comme la série des « Eye of the Beholder » par exemple.

Le jeu a été connu pour son haut niveau de protection qui a fait que les crackers se sont cassés les dents durant plusieurs mois dessus, le temps que le jeu atteigne son objectif de vente.

Mais le mieux est de vous le montrer en action en utilisant l’émulateur Hatari.

Sorti en 1987 sur Atari ST, il paraîtra en 1988 sur Amiga et en 1989 sur MS-DOS. Si vous n’avez jamais tâté de ce jeu, le découvrir vous surprendra, surtout quand on pense qu’il est sorti en 1987…

Derrière ce titre un peu bizarre, je décris les différents systèmes linux – GNU/Linux pour satisfaire les pisse-froid – que j’ai installé sur mes ordinateurs et autres Raspberry Pi.

Pour Archlinux, j’ai mon PC fixe qui me sert au quotidien et dont l’installation d’Archlinux date de plus de 5 ans.

J’ai aussi un Raspberry Pi 4 – 2 Go qui me sert à diverses tâches et qui fonctionne avec Archlinux ARM.

Pour Manjaro, c’est une installation d’une Tux’n’Vape Mate transformé par la suite en station sous Gnome. L’ordinateur en question date de l’époque de fin MS-Windows Vista début MS-Windows 7. Autant dire qu’il fait son âge.

Pour Debian, c’est la Debian unstable qui fait fonctionner un Asus eeePC 1005 HAG, le tout avec Xfce pour des raisons de mémoire.

Ce court exemple montre qu’on peut apprécier différentes distributions sur différents matériels. C’est aussi un moyen d’envoyer les intégristes des communautés concernées dans les latrines de l’informatique libre qu’ils n’auraient jamais dû quitter.

N’oubliez jamais une chose : les fanboys – et les fangirls ne soyont pas sexiste – alimenteront leur intégrisme de toute les manières possibles et imaginables.

Pour reprendre un vieux slogan de la lutte contre les drogues : « Dis leur merde aux dealers » qui date de 1987. Ça donne bien avec fanboys ou fangirls à la place de dealers au final.

Allez, je vous laisse et à bientôt pour un autre billet au sujet tout à fait différent !