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FredericBezies

source: FredericBezies

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SalixOS 14 est sortie, vive la Slackware Linux pour être humain glabre :)

mardi 27 novembre 2012 à 12:25

7 semaines après la sortie de la version béta 1 dont j’ai parlé début octobre, , après 4 versions RCs, voici enfin la version finale de la SalixOS 14.

La version 14.0 de la SalixOS se base sur la Slackware Linux 14.0, avec Xfce 4.10, Midori en lieu et place de Mozilla Firefox, Exaile pour le son, Parole pour la vidéo, LibreOffice 3.6.3 pour la bureautique, flash préinstallé (les barbus sont invités à sortir de la salle, merci), etc…

J’ai mis la main sur la version 64 bits de la Salix 14.0 en saveur Xfce.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ qemu-img create -f qed disk.img 128G
Formatting 'disk.img', fmt=qed size=137438953472 cluster_size=65536 table_size=0
[fred@fredo-arch ISO à tester]$ kvm64 -hda disk.img -cdrom salix64-xfce-14.0.iso -no-frame -boot order=cd &

L’installateur se lance, et j’ai choisi le mode installation automatisée, et l’installation complète. Elle est assez simple d’accès, et j’ai vraiment apprécié la facilité pour choisir le fuseau horaire ou encore la traduction à utiliser.

L’ensemble démarre assez rapidement. Et l’écran de connexion est toujours aussi beau. Enfin, les goûts et les couleurs… :)

Après le premier démarrage, j’ai pu rajouter les codecs multimédias complémentaires en deux clics de souris. Vraiment très pratique.

Sans oublier le rajout du paquet de traduction de LibreOffice disponible en un clic de souris dans le gestionnaire de paquets.

A noter la présence de certains outils du fork de Gnome 2.x, comme Engrampa (File Roller, le gestionnaire d’archives à la sauce Mate) ou encore Atril (le fork d’Evince, l’afficheur de documents pdf). J’ai apprécié la présence d’Asunder (pour ripper les galettes plastifiées), ou encore l’outil Sourcery pour les fans de compilation de paquets tiers.

Comment conclure cette présentation, sinon en disant : cette distribution est parfaite pour les personnes voulant un ensemble léger, rapide, assez à jour, sans tomber dans le coté « mains dans le cambouis » d’une ArchLinux ou d’une Frugalware Linux. Et comme la première distribution GNU/Linux que j’ai croisé était une Slackware Linux… Souvenirs, souvenirs ;)

Dave Gerard and The Watchmen : un autre exemple de folk anglaise de qualité.

lundi 26 novembre 2012 à 14:41

La première fois que j’ai entendu parler du groupe « Dave Gerard and the Watchmen« , c’est par le biais des recommandations de Josienne Clarke. J’ai donc été sur la page bandcamp du groupe, et j’ai écouté l’album « I climbed a tree » sorti en avril 2012.

C’est une folk indépendante, très fournie en corde (banjo, guitare), assez rythmée, et qui ne tombe pas dans le larmoyant ou le spirituel à trop forte dose. Le groupe est très inspiré par la folk anglo-américaine des années 1970, et cela s’entend vraiment ;)

Dès la première piste « Stables », on sent que le rythme est assez rapide, presque « pop ». La deuxième piste a pour invitée une certaine… Josienne Clarke. Et la piste porte très bien son nom « Oh so quiet », car la piste est très reposante, bien que rythmée :)

Les pistes se succèdent et toujours cette folk bien rythmée qui vient caresser les oreilles, même s’il y a des titres plus intimes comme « Monochrome ». Et une mention spéciale pour l’avant dernier titre « Sophia » qui est un pur bijou.

Et si vous avez aimé cet album, je ne saurais trop vous conseiller le premier album de 4 titres, « Under Veiled Light « , sorti un an plus tôt, qui utilise les mêmes bases.

De quoi se caresser longuement les oreilles, et d’avoir un peu de douceur dans un monde un peu trop violent par moment. Et je finirais en disant : à quand le prochain album ?

Les forfaits de téléphonie mobile en voie de SFRisation avancée ?

lundi 26 novembre 2012 à 10:42

Par SFRisation, je pense surtout à la boutade du maintenant « bouc émissaire pour tout et n’importe quoi dans la téléphonie mobile » de Xavier Niel quand il a présenté en janvier 2012 ses deux forfaits via son offre Free Mobile.

Il avait montré un catalogue SFR de l’époque qui montrait une palanquée de forfaits qui segmentaient à mort l’offre, histoire de rendre incomparable les différentes offres qui permettent une chose : communiquer.

Et plus je lis les annonces sur les forfaits de téléphonies mobiles, que ce soit pour les MVNOs (à quand le premier à disparaître dans ce domaine de faux-nez de l’ancien triumvirat ?), c’est encore et toujours plus illisibles.

Sans jouer le fanboy de Free Mobile, ce sont surement les forfaits les plus lisibles qui existent. Prenons le dernier MVNOs, Joe Mobile qui a quelques ratés aux démarrage, et qui nous sort encore une nouvelle version de ses forfaits, encore moins lisible qu’auparavant.

J’avoue que c’est plus complexe que des offres du style : voix + SMS / MMS illimités pour tant par mois (et non par période de 30 jours, car dans ce cas on se fait avoir pour Janvier, Mars, Mai, Juillet, Aout, Octobre et Décembre d’une journée), ou X minutes de voix + X sms pour tant par mois.

Qui arrive à déchiffrer ce genre d’offres sans faire un bac + 14 en maths ?

On va dire que j’ai une dent contre SFR, mais quid de Bouygues et de son offre B&You ? Uniquement 3 offres, c’est déjà mieux. Et c’est surtout assez simple à lire.

Sosh ? La SFRisation est en route. Il suffit de voir les grilles comparatives des 3 offres en question. Ce que j’aime, c’est le forfait le plus cher, avec ses 3 Go d’internet (version orange, bien entendue), et surtout le H+… Comme si tous les téléphones portables en profitait par défaut, et que tout le monde avait accès à cette génération de connexion…

Je passe sur les opérateurs du genre Zéro Forfait ou Prixtel, c’est complètement illisible.

D’ailleurs, il suffit de voir un site comme touslesforfaits pour se demander si Xavier Niel n’avait pas raison en critiquant les offres pléthoriques qui ne font qu’une chose : perdre le consommateur et le faire payer plus que de raison.

Si en plus de la baisse des prix – et donc des gonades en or de l’ancien triumvirat – un effet collatéral pouvait être la simplication des forfaits proposés, ce serait la moindre des choses… Allez, une dernière pique, jettez un oeil aux offres officielles de SFR, c’est mal de crâne assuré. Entre les forfaits bloqués, les non-bloqués, et les formules Red, j’en ai dénombré… 12 !

Un aperçu de ma collection musicale.

dimanche 25 novembre 2012 à 13:35

Au fil de la vie du blog, j’ai détaillé les nombreux coups de coeur que j’ai eu depuis des années, ce qui m’a fait construire une musicothèque conséquente. La capture d’écran au 25 novembre 2012 vous donne une idée de ma collection actuelle. Et encore, il y a quatre albums en version physique qui manquent à l’appel ;)

Collection musicale 25 novembre 2012

Une vidéo étant plus parlante… Désolé pour la qualité, j’ai utilisé ce que j’ai sous la main pour la faire, à savoir mon appareil photo numérique ;)

Et oui, vivre dans 32 m2 et être un fou de musique, c’est pas évident à concilier…

Have The Moskovik : un bon groupe de post-rock français.

vendredi 23 novembre 2012 à 13:05

Grâce au site @diffuser de l’ami Toine, je fais souvent des découvertes intéressantes. La dernière s’est faite via la dernière compilation de musique libre, celle dédiées aux artistes francophones libres.

Ouvrons une rapide parenthèse.

Je dois avouer que les artistes francophones libre ne m’ont jamais vraiment trop inspiré, en dehors de groupe comme In-Limbo pour prendre le premier exemple qui me vient à l’esprit. Ou pour les personnes aimant la folk « guitare-acoustique », Moon Rambler et son très bon Melancholy.

Mais fermons cette rapide parenthèse.

Donc, en écoutant les pistes de la compilation, je suis tombé sur la première piste de l’album « Une Simple Théorie des Glaces en Terrasse » du groupe plus ou moins basé à Orléans, qui porte le nom anglophone de « Have The Moskovik« .

C’est un groupe qui nous fait de l’excellent post-rock instrumental, avec de longues pistes (de 3 à 7 minutes) mi-parlé mi-chanté. J’avoue que j’ai eu un énorme coup de coeur pour la deuxième piste qui me fait penser au travail instrumental du groupe japonais Mono.

Entre la voix douce de la narratrice sur certaines pistes, et l’accompagnement musical qui se la joue post-rock sans surutiliser des guitares saturées, c’est une excellente découverte musicale. J’avoue que dès la deuxième piste, je cherchais ma carte bleue pour la dégainer et acheter un exemplaire de l’album.

Il me tarde de recevoir l’album en version physique et dédicacée. Sinon, la version numérique est en « name your price », donc, si vous avez aimé l’album, laissez quelque chose. Ca change vraiment de la pollution sonore des radios de la bande FM, devenu au fil des années le robinet des majors du disque.

Enfin c’est vous qui voyez, mais au moins, vous aurez eu l’info ;)