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FredericBezies

source: FredericBezies

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Quand la frappadinguerie frappe, ça donne des envies bizarres…

mercredi 26 octobre 2022 à 18:30

Je dois dire qu’en ce moment, l’informatique libre m’ennuie sur certains plans. Par exemple, le développement au point mort pour dosbox-x depuis une dizaine de jours au moment où je rédige ce billet. Même avec la vraie vie qui intervient, ça commence à faire long, surtout avec 5 modifications de code en attente d’être appliquée.

Ce qui tombe mal étant donné que j’apprécie cet émulateur et que je crains qu’il ne finisse par être abandonné 🙁

La curiosité et une machine virtuelle de test plus tard, j’ai franchi le Rubicon et j’ai activé le dépot gnome-unstable sur mon Archlinux réelle pour avoir en avance Gnome 43. J’ai quand même attendu que la quasi-totalité des paquets soient disponibles avant de tenter la migration. J’ai quand même un restant de prudence 🙂

Je dois dire que pour le moment, je suis super content de l’ensemble. Bon, ça ne fait – au moment où je rédige ce billet – qu’une petite heure que Gnome 43 est installé. Je pense que la migration vers les dépôts de tests se fera d’ici la fin du mois avec une arrivée sur les dépôts stables vers le 5 ou 10 novembre.

Comme je l’ai précisé dans l’article du 18 octobre, Gnome 43 tient de la grosse évolution plus que d’une révolution à proprement parler.

Je dois dire que j’apprécie franchement le nouvel arrangement des options dans le menu système qui se déclenche en appuyant en haut et à droite de la barre supérieure.

Je n’ai eu aucune casse d’extensions pour le moment. Pourvu que ça dure. J’ai donc ma météo, mon indicateur de Pamac-aur pour me prévenir des mises à jour. Le seul truc qu’il faudra que je réinstalle, c’est gsconnect. Mais je l’utilise si peu que je me demande si je vais le réinstaller au final.

J’ai remarqué que le terminal de Gnome et Gedit n’ont pas été encore remplacé par des logiciels en gtk 4, j’ai nommé respectivement Console et Text Editor. Ce sera sûrement pour Gnome 44 qui sortira en mars 2023. Mais pour le moment, inutile de tirer des plans sur la comète.

J’ai maintenant ma dose de bêta-testing, même si certaines personnes diront avec une pointe d’humour qu’Archlinux, c’est du bêta-testing en continu 🙂

Ah, la quête sans fin de la distribution GNU/Linux ultime…

dimanche 23 octobre 2022 à 17:00

Je dois dire que je ris à me faire péter les côtes quand je vois un article ou une vidéo sur Youtube qui parle de la « distribution (GNU/Linux) ultime ». Cette quête est comme celle du Graal : sans fin car il ne peut pas exister de distribution ultime.

Si c’était le cas, il ne devrait plus rester qu’une poignée de distributions, que ce soit les distributions mère (Archlinux, Debian, Fedora, OpenSuSE et Slackware) ou les distributions filles comme Manjaro, Gecko Linux ou encore la plus célèbre de toutes – toutes proportions gardées – Ubuntu et sa floppée de saveurs officielles ou pas.

Ce que l’on peut avoir au mieux, c’est une distribution qui corresponde le plus à un cahier des charges précis, établi plus ou moins consciemment.

Que ce soit le format de publication (en continu ou semestriel, annuel voire bisannuel), l’environnement graphique (Environnement de bureau ou gestionnaire de fenêtres), le navigateur internet, la gestion des paquets logiciels (interface graphique ou ligne de commande), le noyau Linux (LTS ou court terme), etc.

Je pourrai rajouter encore d’autres caractéristiques, mais je pense avoir citer les principales. La zone des commentaires est présente pour rajouter des critères. Je dois dire que je n’avais pas le choix pour des raisons techniques, ni l’envie, de changer d’écosystème quand j’ai eu mon Ryzen3 2200G en février 2018.

J’ai galéré durant plusieurs mois, en gros jusqu’en octobre 2018 pour pouvoir enfin accéder à une gestion potable du GPU intégré au processeur d’AMD. Il m’était indispensable de toujours avoir le dernier noyau pour être tranquille. L’utilisation aurait été horrible si j’étais resté avec le dernier noyau LTS de l’époque, le 4.14 si mes souvenirs sont bons.

Donc, non, la distribution ultime n’existe pas et n’existera jamais. Méfiez-vous des articles et vidéos déclarant cela. Ce genre de contenu vieillit très mal, contrairement à une Archlinux ou une Manjaro qui malgré ce que certains déclarent sont instables.

Voici ce que me sort la commande : ls -clt /etc | tail -1 | awk '{print $6, $7, $8}'

Au moment où j’écris cet article, mon Archlinux installée avec feu Anarchy Installer est vieille de 1699 jours. À un jour près du compte rond 🙂

Pas si mal que cela, au final. Ensuite, cette distribution ne conviendra pas à tout le monde, et c’est aussi bien comme ça.

Il faut juste arrêter de chercher le mouton à 5 pattes. Je n’ai aucun problème à ce que des personnes utilisent Ubuntu, Debian ou OpenSuSE. Tant qu’elles ont trouvé leur bonheur, ça me convient parfaitement.

Le tout est d’éviter de faire du prosélytisme sans fin, car c’est le meilleur moyen d’exploser les gonades des personnes utilisant Linux à des fins bureautiques, soit 1 à 2% du total mondial.

En vrac’ de fin de semaine…

vendredi 21 octobre 2022 à 18:30

Minuscule en vrac’ en ce troisième vendredi d’octobre 2022.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

L’album live d’Ysma, « The Gronau Variations » est officiellement disponible sous la forme d’un coffret CD + DVD en plus de la version numérique.

Pour finir, un nouvel extrait du futur album de Collapse qui doit sortir le 4 novembre 2022.

Sur ce, bon week-end !

« Les Magnifiques » de François Merlin, un deuxième opus de qualité.

jeudi 20 octobre 2022 à 10:30

Le 18 octobre 2022, le deuxième album de François Merlin a été publié chez Araki Records. Intitulé « Les Magnifiques », c’est un album de 8 pistes pour environ 37 minutes. J’avais parlé du premier album de François Merlin en novembre 2018.

J’étais donc impatient d’écouter le nouvel opus, pour savoir si le post-rock qui m’avait emballé lors du premier album est toujours présent dans le deuxième album. La réponse est simple, c’est le cas 🙂

L’album est conçu de telle façon qu’il peut s’écouter d’une traite, les pistes s’enchainant sans que l’auditeur s’en aperçoive. On est loin de l’album classique où les pistes sont rajoutées « à la va comme je te pousse ».

Ça fait plaisir et ça change un peu. On peut se laisser entraîner et c’est agréable, surtout vu la qualité de l’album, qui a des envolées rock ou classique en fonction de la piste. Mais comme je l’ai dit, l’album s’écoute  très facilement.

Pour finir, la vidéo officielle de la piste 4, « Magnifique IV [Callas à la mer] »

En vrac’ de milieu de semaine…

mercredi 19 octobre 2022 à 00:00

Minuscule en vrac’ en ce troisième mercredi d’octobre 2022. Oui, c’est maigre, mais c’est pas de ma faute 😀

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Sur ce, bonne fin de semaine !