Et de 12 bougies pour le blog !
vendredi 29 septembre 2017 à 09:42Je dois dire que je ne pensais pas que la douzième année du blog serait celle d’une tension plus ou moins palpable. Autant le billet des onze bougies s’achevait relativement bien, autant celui de cette année sera un peu plus sombre.
Commençons par les données purement techniques. Un peu de 3460 articles, à comparer aux 3172 de l’année dernière. Donc une diminution notable, j’arrive à seulement 288 articles au lieu de 330.
Quel bilan de l’année écoulée ? En dehors de mon projet professionnel qui prend plus de temps que prévu – mais cela est lié à des problématiques qui n’ont rien à faire dans le cadre du billet de cet article – voici les points que j’ai retenu des 12 derniers mois en commençant par la culture, liste non exhaustive :
- « Zombie Kebab » d’Olivier Saraja qui m’a réconcilié avec les histoires de zombie.
- Le roman « L’ombre du papillon » de Marylise Trécourt
- Le livre de Xavier Cartron tellement geek et tellement bon !
- L’arrivée du deuxième tome de la saga « La Rumeur » de Solenne Hernandez
- « Les loges du Mal » d’Enzo Bartoli.
- Le neuvième tome de la série Rossetti et McLane de Jérome Dumont.
Sans oublier les innombrables coups de cœur qui ont émaillé les douze derniers mois, trop nombreux pour être listés ici.
Mais ce fut aussi une année tumultueuse pour le logiciel libre…
- Le début de la tumultueuse saga liée au manque de communication de la Mageia 6…
- Les menaces d’AccessDV Linux…
- Mon envie de tout arrêter en février 2017, car j’en avais ma claque !
- La période tendue autour de Manjaro Linux fin mars et début avril 2017…
- L’intégrisme technico-religieux dans toute sa puissance…
- Pour finir, l’annonce du projet Manjaro SX qui laisse songeur…
Ce qui m’a inspiré une série de billets au nom évocateur…
Sinon, sur le plan plus personnel, cela a été aussi l’occasion de sortir le premier tiers d’une saga que j’ai envie d’écrire depuis que j’ai 25 ans.
J’attaque donc la treizième année du blog. Je ne sais pas comment elle va se dérouler, mais j’espère simplement qu’elle sera moins tendue que celle qui vient de s’écouler.
Comme disait Pierre Desproges, à moins qu’on lui attribue à tort : « Je ne suis pas superstitieux, ça porte malheur »