PROJET AUTOBLOG


FredericBezies

source: FredericBezies

⇐ retour index

Guide d’installation d’Archlinux, version de juillet 2016.

vendredi 1 juillet 2016 à 00:48

Voici la trente-troisième version du tutoriel pour installer une Archlinux, que ce soit avec une machine virtuelle, utilisant un Bios ou un circuit UEFI. Cette version rend obsolète celle de juin 2016.

Pour les captures d’écran, je suis parti d’une image ISO intermédiaire créée avec l’outil Archiso, au moment où j’envoie l’article en ligne, le 1er juillet vers 01 h 00 du matin, l’ISO de juillet 2016 n’est pas encore disponible.

Côté environnements : Gnome 3.20.2, Plasma 5.6.5, Xfce 4.12.0, Mate Desktop 1.12.1 – en espérant que la version 1.14.1 soit présente pour le mois d’août 2016. Saluons aussi l’arrivée du noyau Linux 4.6.3.

Il faut noter la présence d’un bugs bien ennuyeux. Le bug 49426 oblige à l’utilisation d’un contournement expliqué dans le tutoriel.

NB : si vous voulez faire une installation avec l’UEFI, il faut utiliser cgdisk, gfdisk ou gparted, et créer un partitionnement GPT. Sinon, ça plantera !

Ce n’est pas un tutoriel à suivre au pied de la lettre, mais une base pour se dégrossir. Le fichier au format zip contient :

Le guide en question est sous licence CC-BY-SA 4.0 à compter du mois de mai 2016.

Bonne lecture et n’hésitez pas à me faire des retours en cas de coquilles !

« Allez sans rancune – Partie 2 » : suite de mes délires auto-édités :)

jeudi 30 juin 2016 à 21:14

Le 10 avril 2016, la veille de la publication de mon roman uchronique, je publiais le premier recueil de mes chroniques « méchantfred » mais pas trop.

Le deuxième tome, qui couvrent les chroniques que j’ai rédigé sur mon temps libre et selon mon inspiration, vient d’être publié sur Atramenta.

Au menu ? L’heure d’été, le « foutchball », la haute couture, le bac philo ou encore le monde de l’auto-édition.

J’ai passé le texte à la correction grammaticale et orthographique. Il ne devrait pas rester trop d’erreurs.

Je suis impatient d’avoir vos retours 🙂

Bonne lecture !

Emmabuntüs Debian Edition 1.0, suite :)

jeudi 30 juin 2016 à 11:05

Le 28 juin 2016, je faisais un billet concernant la Emmabuntüs Debian Edition 1.0. Dans la vidéo que je consacrais au billet, je constatais quelques problèmes.

Outre le fait que VLC et les logiciels en java ne démarraient pas correctement, j’avais aussi des problèmes avec l’outil de recherches de mises à jour et de gestion de logiciels.

Arpinux, papa des outils en question m’a apporté via deux commentaires des explications. Le premier est lié à la présence d’un compte root actif.

Le deuxième commentaire laisse penser que le problème n’est pas lié à la présence ou non d’un compte root complet ou l’autorisation du compte utilisateur à avoir temporairement des droits root via sudo. Vidéo à l’appui.

J’ai donc voulu tenter la Emmabuntüs Debian Edition dans VirtualBox pour voir si une partie des bugs constatés étaient lié à Qemu, que j’avais été obligé d’utiliser, ayant un problème de stabilité avec le duo VirtualBox 5.0.20/5.0.22 et noyau linux 4.6. La version 5.0.24 de VirtualBox étant de nouveau fonctionnelle.

J’ai aussi décidé de ne pas créer de partition /home séparée cette fois-ci. Peut-être est-elle responsable elle-aussi d’une partie des bugs constatés ?!

Kazam a donc chauffé pour m’aider dans cette « enquête ».

Comme vous avez pu le voir, au moins deux bugs étaient imputables à l’utilisation de Qemu : le plantage de VLC et celui des outils en java. Pour le duo HandyChecker et HandySoft, j’avoue que je ne sais pas pourquoi ils m’ont envoyé paître. Est-ce la présence d’une partition /home séparée ? Peut-être qu’Arpinux aura la réponse.

Comme je l’ai précisé en introduction de la vidéo, je voulais en avoir le coeur net et vérifier mon intuition. La Emmabuntüs Debian 1.0 s’en sort donc un peu mieux que je ne le pensais.

Je confirme ma conclusion : il faudra voir comment elle vieillira, et surtout quand arrivera une version 64 bits.

Pour finir ce court billet, même si certaines personnes considèrent que je suis au pire un connard ou au mieux un incapable, au moins, je reconnais mes erreurs quand j’en fais. Comprenne qui voudra… 🙂

« La tentation de la pseudo-réciproque » : dernière…

mardi 28 juin 2016 à 16:36

Voici donc le quatrième et dernier billet sur cette eptalogie en 9 tomes – Douglas Adams, sort de mon esprit ! – écrite par Kylie Ravera.

Après un billet sur le premier tome, puis un deuxième sur les tomes 2 et 3, puis sur les tomes 4, 5 et 6, voici donc le billet avec les tomes 7, 7,5 (oui !) et 8.

J’avais fini mon précédent billet ainsi :

Si vous ne connaissez pas la saga, foncez, vous ne serez pas déçus !

Je dois dire que cette phrase s’applique très bien aux ultimes tomes de la saga. Commençons donc par le tome 7, « Là où les tortues luttent« .

Peter Agor a fini ses études, et au lieu de s’engager dans la vie active comme tout ingénieur qui se respecte, le voila qui se retrouve dans une quête au trésor qui l’emmène dans un pays mythique, l’Inde. Après être allé en Angleterre et aux États-Unis, le dépaysement est assuré.

C’est dans ce tome que tous les éléments mis en place dans les 6 premiers tomes finissent par s’assembler.

Ce tome est l’un des plus sérieux et le plus poignants de la série. Le dépaysement est à l’ordre du jour, et la chute est comme d’habitude des plus imprévues.

Même si les pointes d’humours sont moins présentes, le côté sombre et l’enquête inspiré du Da Vinci Code fait passer un bon moment.

Parlons du tome « intermédiaire » qu’est « Mémoire(s) d’un tueur lambda. » Le tome 7,5 de cette saga porte bien son nom.

Toute saga policière a son ou ses grands méchants. Dans ce tome, Kylie Ravera nous montre un autre pan de l’histoire développé au fil des autre volumes.

Débordant de révélations sur les tomes on apprend comment le « grand » méchant est devenu ainsi. Outre le fait que cela éclaire les tomes de la saga, on finit par se dire qu’on est en face d’un nouveau Anakin Skywalker de la saga Star Wars. Toutes proportions gardées, bien entendu.

Comme les autres tomes, ils se dévorent. Et tant mieux !

Arrive l’ultime tome de la saga, « Le battement d’ailes de la chauve-souris ».

15 ans sont passés depuis la fin du tome 7. Peter Agor, outre son travail d’ingénieur est un auteur à succès. Marié et père de famille, sa vie bascule lors d’une pénible séance de dédicace.

Même si on a droit à un choc à la fin du premier chapitre, le passé de Peter le rattrape bien vite. Sans oublier les révélations qui s’accumulent tout au long du livre. La fin m’a tiré quelques larmes, car je m’étais attaché à l’ensemble des personnages.

On sent que ce tome a du être le plus dur à écrire. Se séparer des personnages qu’elle a fait vivre au fil des années et sur neuf livres, ce n’est pas évident.

Je ne suis pas normalement un grand amateur des saga qui s’étirent. Mais celle-ci, avec son humour, son côté policier avec des solutions parfois complètement incroyables au départ, la facilité de lecture de l’ensemble redore un peu le blason de l’auto-édition qui souffre de son trop plein de publications.

Emmabuntüs Debian Edition 1.0 : à quoi ressemble l’autre Emmabuntüs ?

mardi 28 juin 2016 à 14:39

Dans le billet en vrac’ du 25 juin 2016, je parlais de l’arrivée de la Emmabuntüs Debian Edition. Basée sur la Debian GNU/Linux Jessie, elle est le pendant debianisée de la Emmabuntüs 3 classique basée sur Xubuntu.

Dans les notes de publications, on apprend qu’elle est uniquement en 32 bits pour le moment. Développée en collaboration avec l’équipe de la HandyLinux, elle propose entre autre l’HandySoft (gestionnaire de logiciels), et une logithèque comparable à celle de sa soeur ainée. Le plus simple est de lire l’annonce de publication pour plus de détails. J’ai essayé tant bien que mal d’apporter ma pierre à cette version, mais la vraie vie étant intervenue…

J’ai fait chauffé wget pour récupérer l’ISO multilingue (français, anglais, allemand, italien, portugais et espagnol).

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://freefr.dl.sourceforge.net/project/emmabuntus/Emmabuntus%20DE/Images/1.00/emmabuntus-de-i386-jessie-1.00.iso
–2016-06-25 23:11:07– http://freefr.dl.sourceforge.net/project/emmabuntus/Emmabuntus%20DE/Images/1.00/emmabuntus-de-i386-jessie-1.00.iso
Résolution de freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)… 2a01:e0d:1:8:58bf:fa88:0:1, 88.191.250.136
Connexion à freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)|2a01:e0d:1:8:58bf:fa88:0:1|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 3905273856 (3,6G) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « emmabuntus-de-i386-jessie-1.00.iso »

emmabuntus-de-i386- 100%[===================>] 3,64G 3,50MB/s in 20m 57s

2016-06-25 23:32:05 (2,96 MB/s) — « emmabuntus-de-i386-jessie-1.00.iso » sauvegardé [3905273856/3905273856]

Puis j’ai utilisé AQemu – en période de test sur mon Archlinux – pour créer une machine virtuelle avec Qemu. Le temps qu’une version fonctionnelle de VirtualBox débarque 🙂

J’ai donc lancé directement l’installation en français avec l’option la plus basique de toute. J’ai d’ailleurs suivi les options par défaut, ne dérogeant à la règle que pour le partitionnement en demandant une partition /home séparée.

C’est l’installateur de la Debian GNU/Linux Jessie, donc du fonctionnel et puissant.

À la première connexion après l’installation, j’ai décidé de désactiver la connexion automatique, ainsi que l’aide vocale.

Pour le menu en haut à gauche de l’écran, j’ai pris Whisker. Pour le dock, j’ai conservé l’option proposée par défaut. On se retrouve ainsi avec un nombre modéré de logiciels directement lançable, le menu Whisker permettant de compenser les absences du dock.

J’ai aussi fait installer toutes les logiciels non libres (histoire d’avoir une logithèque aussi complète que possible). L’assistant de post-installation est complet, comme celui de la version historique de la distribution.

À noter la présence du très pratique outil de purge des traductions inutiles.

Mon ami Kazam a alors chauffé pour enregistrer la vidéo ci-après.

C’est une bonne surprise, mis à part quelques bugs étranges, comme le crash de VLC quand on veut lancer une vidéo en mp4, ou le lancement sans demander l’accès aux droits root de l’HandySoft ou du gestionnaire de mises à jour. Pourquoi ? Problèmes avec Qemu ? Autre ?

Sans oublier le bug incompréhensible qui fait que les logiciels java plantent au démarrage sous Qemu.

Il reste encore quelques angles à arrondir, mais pour une première version avec une base Debian GNU/Linux, le résultat est plus que convaincant. Reste à voir comment cette version alternative vieillira.