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FredericBezies

source: FredericBezies

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En vrac de milieu de semaine…

mercredi 13 janvier 2021 à 21:38

Un court billet en ce froid mois de janvier. Tapé rapidement en fin de soirée 🙂

Côté informatique :

Si vous voulez avoir Hypnotix sans installer LinuxMint, il existe un port pour le monde Archlinux et Manjaro, comme je le montre en vidéo.

Côté culture :

C’est tout pour aujourd’hui.

Bonne fin de journée 🙂

Vieux Geek, épisode 247 : Catacomb et Dangerous Dave, les premiers jeux des fondateurs d’id Software.

mardi 12 janvier 2021 à 12:55

Le studio de développement id Software est né en 1991. Cependant, deux des quatre fondateurs du studio, les deux John à savoir John Carmack et John Romero n’en était pas à leur coup d’essai. Le studio se fait connaitre avec l’excellent trilogie de Commander Keen (alors qu’il s’appelait encore Ideas from the Deep) en 1990, mais aussi avec les premiers FPS en « 3D » comme Hovertank ou son successeur Catacomb 3D.

Cependant, aussi bien Commander Keen que Catacomb 3D étaient des adaptations d’anciens titres à un nouveau moteur. En 1988, John Romero avait sorti un jeu pour Apple II dénommé « Dangerous Dave ». Deux ans plus tard, Softdisk – qui a signé un contrat avec le futur id Software – publie l’adaptation pour MS-DOS du titre pour Apple II. Ce sera « Dangerous Dave in Trophy Trouble » ou plus simplement « Dangerous Dave ».

C’est un jeu de plateforme où les écrans se succèdent et où il faut traverser les 10 niveaux avec seulement 3 vies qui sont heureusement extensibles. Il faut récupérer tous les trophées pour ensuite pouvoir accéder à la porte de fin de niveau. On peut avoir un pistolet et un jetpack, mais ceux-ci disparaissent à la fin de chaque niveau.

Catacomb 3D – qui est un excellent FPS pour son année de sortie – est l’adaptation de Catacomb, développé en 1988 et sorti lui aussi sur Apple II et PC. Il fait penser à un jeu de type gauntlet avec 10 niveaux à franchir. L’histoire est un peu bateau, on y joue le rôle du magicien Petton Everhail contacté par le grand magicien de Kieralon, pour aller dans le palais de Kieralon et y récupérer les trésors. On a une seule vie, mais on peut utiliser des sorts de nettoyage par le vide, des potions pour redonner de la vie, bref, les bases d’un jeu à la Gauntlet.

Les deux titres ont en commun d’avoir été publiés via une offre d’abonnement mensuelle dénommée Gamer’s Edge.

J’ai donc utilisé mon ami Dosbox-X pour émuler un processeur intel 286 à 25 Mhz (?!) pour éviter que les jeux soient trop rapides.

Vous l’avez vu et entendu, on est sur des jeux qui devaient être impressionnant en 1988-1990, mais qui reflète aussi la difficulté des jeux de l’époque. Mais c’est toujours un plaisir de faire un peu d’archéologie vidéoludique et de parler de titres un brin oubliés qui ont lancé ensuite des licences plus connues.

Que sont devenues les distributions GNU/Linux de 2016, premier épisode, janvier 2016.

dimanche 10 janvier 2021 à 18:44

Je m’étais dit au début que je ne prolongerai pas cette série d’articles pour savoir comment les distributions GNU/Linux de 2016 s’en tirait. Finalement, j’ai changé d’avis. Plongeons-nous donc dans les articles de janvier 2016.

Bilan : sur les cinq distributions, deux ont disparu : ApricityOS et la MicroLinux Enterprise Desktop. La Handy Linux est devenue la DFLinux par la suite. 60% de survie, c’est bien pour commencer le bilan de l’année 2016 🙂

Escapade informatico-nostalgique, partie 2

vendredi 8 janvier 2021 à 11:39

Je commence la rédaction de ce billet alors que je suis dans le train à destination de Bordeaux Saint-Jean. Dans le billet d’hier, j’évoquais le Starbucks près de la gare de Bordeaux. Alors que je patientais pour prendre ma correspondance pour Gujan-Mestras, j’ai pu voir deux boutiques d’une célèbre marque de canelés… Quand j’ai vu que la vente ne se faisait que par coffret de 6 pour un prix assez important, j’avais décidé de reporter l’achat de ce genre de gâteries culinaires.

Par chance, j’ai pu trouver une boulangerie située avenue de Césarée qui m’a permis d’assouvir mon envie de trouver des vrais canelés. Dans la ville où j’habite depuis novembre 2019, c’est peine perdue. Une petite photo vaut mille mots, ne dit-on pas ? 😉

Bref, inutile de préciser qu’ils n’ont pas eu le temps de vieillir. Ce qui m’a aussi étonné, c’est que je n’ai pas senti l’air iodé du bassin. Je pensais que je m’apercevrai de sa présence, surtout après plus d’une année d’absence. Mais non.

Je viens de passer à nouveau Biganos où j’ai vécu durant 12 ans. Ne pas descendre, ça m’a fait un pincement au coeur. Je ne vais pas m’apesantir sur ce point, Il est inutile de retourner le couteau dans la plaie. J’étais parti de mon appartement avec simplement un sac de voyage, je repars avec deux. Il faut dire que les cadeaux de Noël avec un peu de reatard, ça prend de la place. Je dois avouer que j’ai eu souvent du mal à retenir quelques larmes, surtout que Gujan-Mestras est la ville de mon enfance, de mon adolescence et de mes premières années en tant qu’adulte.

Mais j’ai réussi à accompiir ce que je m’étais promis de faire : un double dépannage et une tâche plus pêrsonnelle que je n’aborderai pas ici. Ce qui concerne la vie privée doit rester privé. Un concept difficile à faire comprendre à un nombre croissant de personnes. Du moins, j’en ai l’impression.

Je profiterai d’une salle d’attente à Bordeaux Saint-Jean pour publier ce billet qui aura été rédigé dans le TER concernant la première partie de mon trajet retour. J’aurai bien voulu rester une journée de plus, mais avec l’environnement sanitaire actuel, il m’était difficile de faire mieux. Je ne voulais pas rester bloqué en Gironde alors que ma vie m’attend ailleurs. Dans la ville dont je tairai le nom autant que cela sera nécessaire.

Allez, bonne journée 😉

Escapade informatico-nostalgique, partie 1.

jeudi 7 janvier 2021 à 21:27

J’écris ce premier billet le 7 janvier au soir sur un PC fixe équipé d’un AMD Athlon II X2 220 à 2,8GHz et 4 go de mémoire vive. Un PC fixe tournant sur une Manjaro Tux’n’Vape Mate que j’ai installé – en 2019 – chez une amie vivant dans une petite ville du nom de Gujan-Mestras, situé en Gironde.

Ville où j’ai usé mes fonds de culotte durant mes périodes d’écoles maternelle, primaire et le collège que j’ai quitté en juin 1989. J’ai aussi quitté cette ville en 2002 pour habiter d’abord durant 5 ans à Neuilly-sur-Bassin… Je voulais dire Arcachon. Ensuite, j’ai déménagé en 2007 sur Facture-Biganos où j’ai vécu jusqu’à fin novembre 2019 pour une destination que je conserve secrète pour des raisons personnelles.

Pour le Nouvel An, j’ai été contacté par mon amie qui a eu la mauvaise idée d’éteindre les mises d’une deuxième installation d’une Manjaro Tux’n’Vape – début 2020 de mémoire – sur un portable. Son PC fixe était en rideau depuis plusieurs mois, et je n’avais pas eu l’occasion de me déplacer entre les limitations liées à cette saloperie de Covid-19 et d’agendas incompatibles.

J’ai donc pris le train depuis ma nouvelle ville, voyagé plusieurs heures pour arriver jusqu’à Bordeaux où j’ai dû poirauter durant une heure pour avoir ma correspondance. Tandis que je patientais à la gare, j’ai pu voir une abomination… Un Starbucks à emporter… Y a pas à dire, j’ai été choqué sur le coup.

Arrivé chez mon amie, j’ai dépanné son PC portable dont la mise à jour s’était plantée au niveau de l’installation du noyau… Le pire moment qui puisse exister, non ? Bref, en utilisant une clé USB avec une Manjaro à jour, un petit coup de manjaro-chroot et vogue la galère.

Pour le PC fixe, c’était la même chose. Sauf qu’après avoir eu trois salves de deux ou trois mises à jour, j’ai eu droit à plus de 1170 paquets à installer… Autant dire que j’ai regretté que mon amie aie une connexion aussi lente.

Mais quoiqu’il en soit, j’ai pu faire redémarrer la Manjaro Tux’n’vape qui était bloquée depuis près d’un an sans avoir à tout réinstaller. Et on dira que Manjaro est une sombre merde, même si la mise à jour de fin décembre 2020 et ses choix draconiens pour les pilotes nVidia ne sont pas la meilleure publicité qu’on puisse imaginer.

J’arrête ici ce billet, car je vais me lancer dans la suite d’une lecture qui m’a aidé à passer le temps ce matin : « Ceux de 14 » de Maurice Genevoy. Et comme disait Compaq dans les années 1990, « à suivre… »