Il faut dire que l’activité sur le blog et sur l’instance peertube sont un brin au ralenti. J’arrive péniblement à faire 10 articles par mois et 1 vidéo par semaine.
Il est vrai que mes projets scripturaux mangent pas mal de mon temps libre. Mais je ne vais pas me plaindre et faire pleurer dans les foyers.
Pour tout dire, je m’attendais à ce qu’un jour le compteur revienne à 0, comme 90% des comptes ouverts sur LiberaPay. Estimation pifométrique, bien entendu.
Maintenant, si je reçois des dons tant mieux. Sinon, je ferai sans ! Et non, je ne vais pas me vautrer dans la facilité des articles sponsorisés pour aider à payer l’instance Peertube, le blog, mon instance FreshRSS, mon instance Funkwhale et d’autres services que je ne citerai pas.
Nous sommes en 1985. Les sitcoms sont déjà connues en France avec entre autres « Ma sorcière bien aimée » (Bewitched) ou encore « Happy Days ».
Cependant, des créateurs de série veulent produire la première sitcom française. Ce sera « Maguy », inspiré du sitcom américain « Maud ».
Au casting, on retrouve entre autres Rosy Varte (Maguy), Jean-Marc Thibaut (Georges Bossier), Henri Garcin (Pierre Brette) et Marthe Villalonga (Rose Le Plouhannec). La sitcom se déroule dans la ville imaginaire du Vézinet (avec un Z), et on suit les aventures de Maguy, quincagénaire mariée en troisième noce avec Georges, directeur du magasin d’életroménager « Boissier Maxi Discount ».
Dans les amis, on a le voisin, Pierre Brette, ex-interne des hôpitaux de Paris. Le succès sera rapîdement au rendez-vous et la série durera 8 ans pour 333 épîsodes. Voici le générique qui fleure bon les années 1980.
Par la suite les sitcoms vont se multiplier avec des séries comme « Marc et Sophie », « Vivement Lundi », mais surtout la tétrachiée des sitcoms AB Productions. Dans un ordre complètement aléatoire : « Salut les musclés », « Le miel et les abeilles », « Premiers Baisers », « Helene et les garçons », « Les filles d’à côté », etc.
Cette liste ramènera surement des souvenirs à pas mal de personnes. Inutile de me remercier, c’est gratuit !
J’adore Archlinux – sinon cela ne ferait pas 13 ans que je l’utilise en démarrage simple – même avec ses travers comme d’avoir certaines technologies un peu à l’avance.
Plus récemment, c’est l’arrivée de la glibc 2.36 qui a provoqué quelques problèmes. Un en relation avec Qemu corrigé par un patch que j’ai rajouté à mon paquet AUR qemu-git. Mais le bug le plus laxatif – de mon point de vue – c’est un bug qui bloque la compilation de Mozilla Firefox et Mozilla Thunderbird.
C’est ainsi que j’ai rapporté un bug. Au début j’ignorais que c’était en relation avec la glibc 2.36, penchant plus pour un bug du compilateur utilisé, clang.
Quelle ne fut pas ma surprise quand j’appris que c’était un bug lié à la glibc. Côté importance du bug, on tape dans le lourd.
Bien qu’au moment où j’écris cet article, les deux patchs correctifs ne sont pas encore intégrés dans le code source de Mozilla Firefox, cela montre qu’il n’y a pas de petits bugs… Après il y aura des personnes qui par fainéantise ou par un niveau d’anglais trop faible ne rapporte pas des bugs. Cela est dommageable.