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FredericBezies

source: FredericBezies

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« Nizhâm » des Dayazell : pour une fois que la fête de la musique annonce une bonne nouvelle… :)

mercredi 22 juin 2016 à 08:44

Enfin, je voulais surtout parler de la date symbolique du 21 juin. Le 13 septembre 2013 – qui était accessoirement un vendredi – je parlais du premier album du quatuor Dayazell.

Depuis j’avais gardé un oeil sur l’activité du groupe. Et le 21 juin, le groupe annoncé la sortie de son nouvel opus sobrement intitulé Nizhâm.

Ici, tout ce qui fait le charme de l’album éponyme du quatuor refait surface.

Avec cet album qui frôle l’heure – un peu plus de 57 minutes pour être exact – on retrouve toutes les influences du groupe. Que ce soit les chants traditionnels scandinaves avec « Mitt Adertonde Ar », des chants soufis avec « Ah Nice Bir Uyursun », des chants européens médiévaux avec « Mariam Matrem Virginem » ou des instrumentaux comme avec « Sahar », « Eol » et « Shashkin » qui occupe une bonne partie de la deuxième moitié de l’album.

Autant dire que l’auditeur n’a pas le temps de s’ennuyer. C’est du grand Dayazell qui montre que les influences musicales. Inutile de préciser que l’album en version physique ira bientôt rejoindre son « grand frère » dans ma collection.

Merci Dayazell !

LXQt pré-0.11 : quel bilan pour l’environnement de bureau, sept mois après la sortie de la version 0.10 ?

lundi 20 juin 2016 à 22:23

L’environnement de bureau léger basé sur QT n’a plus connu de version stable depuis début novembre 2015, avec la sortie de sa version 0.10.

J’ai eu envie de voir où en était l’environnement, sept mois après sa dernière version stable. Pour arriver à ce but, j’ai donc repris une recette appliquée en février 2015. J’ai donc pris une Archlinux avec un xorg préinstallé, et j’ai fait recompilé (en dehors des lignes marquées par des étoiles) les paquets dans l’ordre suivant :

  1. libqtxdg-git
  2. liblxqt-git
  3. lxqt-globalkeys-git
  4. lxqt-common-git
  5. lxqt-notificationd-git
  6. libsysstat-git
  7. libstatgrab *
  8. libdbusmenu-qt5
  9. lxqt-panel-git
  10. lxqt-session-git
  11. lxqt-runner-git
  12. lxqt-qtplugin-git
  13. lxqt-policykit-git
  14. lxqt-openssh-askpass-git
  15. lxqt-powermanagement-git
  16. system-tools-backend
  17. liboobs
  18. lxqt-admin-git
  19. lxqt-config-git
  20. lxqt-about-git
  21. libfm-qt-git
  22. pcmanfm-qt-git
  23. lximage-qt-git
  24. lxqt-desktop-git
  25. qastools-qt5
  26. qtermwidget-git
  27. libqxt
  28. qterminal-git (émulateur de terminal)
  29. notepadqq-git (éditeur de texte)
  30. screengrab-git
  31. xarchiver *
  32. qps *
  33. gvfs *
  34. openbox *
  35. xscreensaver *
  36. oxygen-icons *
  37. xcursor-themes *
  38. sddm *

En bonus, j’ai fait compilé la version QT5 de Clementine (encore non officialisée) et recopier les 80 Go de ma musicothèque pour savoir comment le logiciel se comportait 🙂

J’ai ensuite fait chauffer mon ami Kazam pour capturer l’ensemble en vidéo.

Pour conclure ? Une bonne surprise. Mais toujours les mêmes points faibles : du franglais présent un peu partout mais ce n’est pas des plus génants pour une version de développement. Ce qui est plus ennuyeux, c’est l’absence de certains outils comme un éditeur de texte basique, un (dés)archiveur, en clair des points qui font que LXQt est loin d’être aussi utilisable au quotidien que d’autres environnement léger comme Xfce ou encore Mate Desktop.

Il y a pas mal de progrès, ne serait-ce qu’au niveau du menu jaillissant qui se rafraichit automatiquement désormais. Ce qui fait le plus de mal ? Le temps pris pour sortir une nouvelle version stable, qui permettrait d’attirer des utilisateurs pouvant aider à la traduction des outils de l’environnement.

Ce n’est peut-être pas ce qui apparait comme le plus important pour les développeurs, c’est compréhensible. Mais c’est le meilleur moyen d’avoir plus d’utilisateurs donc potentiellement plus de rapports de bugs et améliorer plus aisément l’ensemble de l’environnement.

Il faut juste espérer maintenant que le projet sortira une version 0.11 d’ici le mois de novembre prochain. Ce serait bête de voir ce projet s’étioler faute de sortie plus ou moins régulière de versions stabilisées.

Solus Project 1.2 : simple évolution ou version majeure de la distribution ?

lundi 20 juin 2016 à 12:06

Depuis la sortie de la version 1.1 du Solus Project (que j’avais intitulé SolusOS dans l’article de mars 2016), trois mois et demi se sont écoulés, et voici qu’une nouvelle version de la distribution GNU/Linux vient de pointer le bout son museau.

D’après les notes de publication, on apprend que c’est une version de peaufinage de la distribution. Mais pas seulement, le projet ayant désormais un support officiel du client Steam – sympa pour les amateurs de jeux – et que le centre de gestion des logiciels a été retravaillé, sans oublier des améliorations au niveau de l’installateur (UEFI, gestion des langues à l’installation).

Je concluais mon précédent article ainsi :

[…]C’est une distribution qui se bonifie, même si sa logithèque est encore un peu petite. Mais il ne faut pas oublier qu’elle est entièrement indépendante, donc un tel résultat est plus qu’honorable.

Ma conclusion est très simple : la version 1.2 de la SolusOS sera une étape décisive dans l’histoire de ce projet. Autant dire qu’il sera très attendu au tournant.

J’ai donc décidé de faire une vidéo pour montrer directement la Solus Project en action. Ne serait-ce que pour voir si les promesses ont été tenues au niveau de l’installateur. Comme pour l’article du mois de mars 2016, je suis parti d’une machine virtuelle proposant l’UEFI, mais cette fois avec Qemu en lieu et place de VirtualBox qui plante comme un MS-Windows Millenium sous amphétamine avec un noyau linux 4.6.x.

Je dois dire que j’ai été agréablement surpris par le résultat, mais il manque encore un petit quelquechose pour que la Solus Project puisse être déclarée comme ayant toute d’une grande. Le plus gros manque c’est la traduction incomplète des outils. Pour les utilisateurs qui ne lisent pas correctement l’anglais, l’outil de gestion des logiciels est le point le plus dur à avaler.

Un autre point faible ? L’obligation d’installer un logiciel à la fois, ce qui peut-être ennuyeux pour une suite bureautique comme LibreOffice 🙁

La version 1.2 de la Solus est à la fois une évolution et une version majeure du projet. Car elle revampe des outils importants tout en sachant garder ce qui donne envie de continuer à l’utiliser.

La petite taille de son équipe l’oblige à travailler au ralenti, mais au moins, on a droit à des logiciels qui sont utilisables et qui ne jouent pas tout sur l’apparence et qui se révèlent au final uniquement beau !

Rendez-vous dans 3 à 4 mois pour la version 1.3 de la Solus ? J’espère que ce sera le cas, car en dehors de son atout principal, à savoir Budgie Desktop, la Solus a quelques atouts pour elle, comme le fait de partir d’une feuille blanche, comme sa toute faible consommation mémoire qui m’a plus que surpris !

En vrac’ de fin de semaine.

dimanche 19 juin 2016 à 18:01

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Même si l’article est un peu tardif, le publiant le 19 juin vers 18 heures.

Côté logiciel libre :

Côté livre ? Sauf contre indication, je me base sur les extraits librement téléchargeable.

Côté musique ? Rien cette semaine pour me caresser les oreilles… Si ce n’est que le groupe Elfika propose une version physique de sa première démo. J’avais déjà parlé du groupe dans un billet en vrac’ d’août 2015.

Bon semaine de… À vous de compléter ! 🙂

« La tentation de la pseudo-réciproque » de Kylie Ravera : les tomes suivants tiennent-ils leurs promesses ?

vendredi 17 juin 2016 à 14:32

Après le premier tome de la saga « La Tentation de la pseudo-réciproque » dévorée en 48 heures, j’ai décidé de m’attaquer à la suite des aventures de Peter Agor et d’Eléanore Marolex.

Je vais donc parler rapidement des tomes 2 et 3 de la saga, respectivement « À l’X, le bicorne est incontournable » et « Carrément à l’OUEST ». Commençons donc par la deuxième partie des aventures de Peter et de son nouveau camarade, le chat Perpilopette.

Après ses premières mésaventures, Peter Agor a été repêché de justesse et apprend qu’il a le droit de s’enfermer dans sa deuxième année pour intégrer une grande école.

Après avoir reçu en cadeau le chat Perlipopette de la part d’Eléanore Marolex, qui a le don de lire l’avenir dans les croquettes, le voici qui attaque donc sa deuxième année à Pépin-Le-Bref. Alors qu’il voulait tranquillement s’enfermer dans sa préparation de concours de fin d’année, le voici de nouveau parti d’une aventure des plus truculentes… Et son ami félin s’y retrouve malgré lui.

C’est sans compter sur la vie sentimentale de Peter qui lui portera plus qu’à son tour des ennuis. C’est un excellent tome, dans la veine du premier qui donne envie de connaître la fin.

Dans le troisième tome, nous apprenons que Peter a intégré l’OUEST, une école d’ingénieur en Bretagne.

Outre l’obsession de l’école pour la gente canine, la mascotte n’étant autre qu’un westie, Peter intègre la rédaction du canard de l’école, K-Ouest. Comme pour ses deux années précédentes, le voici qui se retrouvent encore une fois malgré lui à devoir résoudre une affaire de fantôme adepte de l’hygiène 🙂

L’histoire met du temps à se mettre en route, car il faut bien décrire l’école d’ingénieur où souffre désormais Peter. Entre son voisin acariâtre au possible, sa vie amoureuse tourmentée et les mésaventures de Perlipopette, on se demande comment Kylie Ravera fait intervenir Éléanore.

Ce tome est légèrement plus faible que les deux premiers, mais si on s’accroche, on finit par avoir envie de connaitre la fin. Et il y a toujours le plaisir de trouver les jeux de mots disséminés par l’auteure du texte.

Moralité ? Elle est simple. Le tome 4 de la saga a trouvé le chemin de ma Kindle et de ma tablette 7 pouces. Avec un titre comme « L’abominable canard des neiges », difficile de ne pas craquer, non ? 🙂