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FredericBezies

source: FredericBezies

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Vieux Geek, épisode 170 : Norton Crashguard, un autre inutilitaire de Symantec ?

vendredi 1 novembre 2019 à 20:59

Symantec est connu pour produire des logiciel lourds, parfois plantogènes. Du moins, c’était la réputation que se traînait à l’époque la firme à l’origine des produits Norton. Sans oublier les blagues douteuses sur Norton Antivirus et sa capacité à ralentir incroyablement les ordinateurs.

Il y a un outil dont l’utilité est douteuse, c’est Norton Crashguard, celui qui a pour but d’éviter les plantages systèmes sous MS-Windows… Disponible à partir de la trousse d’outil « Norton Protected Desktop Solution », cet outil au nom douteux sera disponible dans Norton SystemWorks jusqu’à sa version 10.0 qui date de 2007. Donc en gros entre 1998 et 2007… Quelle longue carrière.

Outre le fait que MS-Windows 9x et Millenium était un mélange bancal de code 16 et 32 bits – il ne faut pas oublier que le premier MS-Windows 32 bits pour le grand public a été MS-Windows XP en 2001 – les plantages de la branche 9x était surtout liés à des pilotes finis à l’urine frelatée.

Qui a la fin des années 1990 n’a pas eu droit aux infames et cauchemardesques pilotes via4in1 ? Néanmoins, histoire de se payer une bonne tranche de rire, voici à quoi ressemblait le peu utile Norton CrashGuard, dans sa version 3.0 sortie en 1998.

Vous avez pu le voir, son utilité et sa présentation sont à mourir de rire… Mais bon, pouvait-on en demander plus à Symantec connu pour son horrible Norton Antivirus ?

Vieux Geek, épisode 169 : Duke Nukem 1 et 2 ? Des jeux de plateformes !

lundi 28 octobre 2019 à 18:26

Quand j’ai acheté mon exemplaire de Duke Nukem 3D en 1996, il y avait sur le CD des jeux en version shareware (ou partagicielle pour les canadiens francophones) qui retraçait l’histoire de Duke Nukem.

Duke Nukem 3D était le troisième opus des aventures de Duke Nukem. Les deux premiers étaient des jeux de plateformes classiques, jeux que j’ai horreur… Devoir sauter sur une plateforme au quart de poil de cul de chameau près sous peine de recommencer le niveau en entier, bof !

En 1990, le premier opus sort. Pour des raisons de nom déposé par un dessin animé « Captain Planet », le jeu s’appela Duke Nukem, puis Duke Nukum. Il s’avéra que l’information était incorrecte, ce qui permit à Apogée de récupérer le nom d’origine.

Plus ou moins basé sur un moteur ressemblant à celui de Commander Keen – d’ailleurs id software est remercié dans les crédits du jeu – on est face à un jeu de plateforme très dur. Les sons sont gérés par le haut parleur des PC. Bref, c’est pas la joie.

Dans ce premier opus en trois épisodes dont deux payants, on incarne Duke Nukem qui doit combattre le docteur Proton qui veut dominer le monde. Très développé comme scénario, n’est-ce pas… D’ailleurs, qui a besoin d’un scénario développé pour un jeu de plateforme ou un FPS ?

En 1993 – et non en 1992 comme je l’affirme dans la vidéo, c’est au tour de Duke Nukem II de sortir. Ici on a droit à quatre épisodes dont trois payants. C’est une refonte complète au niveau sonore et graphique. La difficulté est toujours autant présente.

Le scénario est simple : des extra-terrestres enlèvent Duke Nukem pour récupérer son cerveau et conquérir le monde. Bien qu’emprisonné, Duke parvient à s’évader et dès le premier niveau, on doit s’échapper de la prison dans laquelle il est enfermé.

Comme vous avez pu le voir, le bond entre les deux versions est assez important. Comme je l’ai déjà dit, les jeux de plateformes et moi, c’est pas franchement le grand amour. Mais les codes de triche de Duke Nukem II sont assez marrants et le font remonter dans mon estime. Essayez donc de taper en simultané les lettres G, O et D 🙂

Si vous voulez les tester, bien du courage je vous souhaite !

En vrac’ de fin de semaine…

dimanche 27 octobre 2019 à 14:34

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… Avec du décalage horaire en bonus 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Cadeau bonus : la vidéo de l’album de Violence Mortuaire. Restez donc jusqu’à la fin, surtout pour les crédits 🙂

C’est tout pour aujourd’hui !

Bon week-end 🙂

Vieux Geek, épisode 168 : BeOS Max, l’ultime hommage au BeOS d’origine.

samedi 26 octobre 2019 à 13:57

Nous sommes en l’an 2000. Be fondée en 1990 par des transfuges d’Apple vit ses derniers mois. Son OS, BeOS orienté multimédia n’arrive pas à se faire sa place. Dans un ultime effort, la version 5.0 sort dans un duo Personal Edition et Professional Edition.

Si la version professionnelle s’installe comme un OS classique, la version personnelle ne peut être installée que sur une partition FAT16/32.

BeOS a toujours eu une place dans mon coeur… De plus, c’est avec cet OS que j’ai ouvert cette longue série de billets « Vieux Geek » en août 2012 !

Après la mort de BeOS, il y a eu le peu légal ZetaOS (dont j’ai parlé en septembre 2017), mais aussi un projet basé sur BeOS 5, c’était BeOS Max. C’était une version « sous amphétamine » de BeOS 5 avec une logithèque énorme.

Dans un article de mars 2007 sorti sur OSNews, j’ai trouvé l’ultime référence au projet, une version 4 bêta 1. Développé par un certain Vasper, ce fut la dernière version publiée, sauf erreur de ma part.

C’est grâce à RetroSpace que j’ai pu récupérer l’image ISO de cette version.

Émuler un BeOS tient du parcours du combattant, surtout avec des ordinateurs sorti une dizaine d’années après l’ultime version du projet BeOS Max. Outre le fait que j’ai dû passer par une image ISO du projet Haiku pour formater le disque virtuel, le son qui ne fonctionne pas, l’horloge va deux fois trop vite, le réseau qui est absent, c’est un OS intéressant. Mais je vous précise tout cela dans la vidéo ci-après.

Vous avez pu le constater, le projet voulait continuer de faire vivre un OS qui n’a pas eu sa chance. Heureusement, le projet Haïku est devenu viable, même s’il prend une petite éternité pour arriver à sa première version finale.

Le vieux fan – qui a dit vieux con ? – de BeOS a quand même pris du plaisir intellectuel dans cette histoire et c’est le principal !

En vrac’ de milieu de semaine…

mercredi 23 octobre 2019 à 14:38

Un petit billet en ce mercredi automnal et pluvieux.

Côté culture :

Bonne fin de journée ! 🙂