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FredericBezies

source: FredericBezies

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En vrac’ de fin de semaine

vendredi 2 avril 2021 à 13:47

Petit en vrac’ en ce chaud début du mois d’avril 2021.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Pour finir, parlons du « Jardin des délices » de Jérome Bosch, toile très connue. Sur le cul d’un de damnés, il y a une partition… Une personne l’a déchiffré et l’a interprété.

Bon week-end 🙂

En vrac’ de fin de semaine

vendredi 2 avril 2021 à 13:47

Petit en vrac’ en ce chaud début du mois d’avril 2021.

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Pour finir, parlons du « Jardin des délices » de Jérome Bosch, toile très connue. Sur le cul d’un de damnés, il y a une partition… Une personne l’a déchiffré et l’a interprété.

Bon week-end 🙂

« Secrets from Below », le retour gagnant d’Aythis.

vendredi 2 avril 2021 à 12:37

Aythis, c’est le projet solo de Carline Van Roos, chanteuse du groupe Lethian Dreams. La dernière fois que j’avais parlé d’un album d’Aythis, cela remonte à janvier 2016 avec l’album « The Illusion and the Twin ».

5 ans sont passés et avec l’arrivée d’un nouvel album chez Lethian Dreams en novembre 2020, je m’étais dit que Carline Van Roos allait sortir un nouvel album en solo.

J’avais donc précommandé l’album et je l’ai reçu fin mars 2021. J’attendais simplement l’officialisation de l’album en ce 2 avril 2021 pour en parler.

Après 5 ans d’attente, on pouvait s’attendre à un album assez copieux et c’est le cas : 10 pistes, 56 minutes au compteur.

Une seule reprise sur l’album, celle du thème de la série Twin Peaks, série que je n’ai jamais vu. Oui, vous pouvez me jeter des cailloux, mais pas sur la tête, ça fait mal !

On retrouve ici l’univers d’Aythis, même s’il y a un peu plus de guitares pour accompagner les longues plages de piano et d’orgues. On est toujours dans ce monde néo-classique.

Comme je l’avais dit pour l’album précédent, apprécier les albums de Dead Can Dance de l’époque 1986-1990 est un pré-requis. Car on a droit à ce genre de mélodie. Même un côté post-rock est assumé, et ce dès la piste introductive de l’album « Just Like A Tear ».

On trouve aussi des pistes un peu plus calmes, comme « Faint Butterfly », « Ashes » ou « The Light That turn Into Crystal » et « Facing the Shadow ». Le côté post-rock revient en force avec des pistes comme « Secrets », « When Your Ghost Wanders » ou encore « Homelights ».

L’excellente reprise de Twin Peaks conclut l’album. Un très bon album qui valait largement l’attente. En tout cas, c’est une réussite.

Vieux Geek, épisode 264 : Rick Dangerous, ou quand Prince of Persia rencontre Indiana Jones.

jeudi 1 avril 2021 à 12:53

Nous sommes en 1989, et un tout jeune studio du nom de Core Design (qui lancera la franchise Tomb Raider en 1996) propose un jeu de plateformes d’une dureté sans nom : j’ai nommé Rick Dangerous.

Sorti sur Amiga, Amstrad CPC, Atari ST, Commodore 64, MS-Dos, MSX2 et ZX Spectrum, c’est un jeu qui nécessite de connaitre par coeur chaque niveau. En effet, on commence le jeu avec 6 vies, 6 bombes et 6 balles. On peut récupérer des munitions, mais pour les vies, je ne me souviens pas si elles augmentent avec le score.

Il y a quatre mondes à visiter :

  1. L’amérique du Sud
  2. Égypte
  3. Le chateau Schwarzendumpf
  4. La base de missile

Ce qui rend le jeu ultra difficile, c’est que l’on perd une vie dès qu’on tombe dans un piège ou qu’un ennemi nous touche. C’est pour cela qu’il faut connaitre les niveaux par coeur, un peu comme dans Prince Of Persia, sauf qu’il n’y a pas de temps limité pour finir le jeu.

J’ai connu uniquement le jeu sur CPC, et je me souviens d’un titre qui m’a fait m’arracher les cheveux par poignées entières et qui m’a fait plusieurs fois éteindre mon vieux CPC de rage.

J’ai décidé cependant de montrer la version Commodore 64 du jeu qui est semble un brin plus complète que la version Amstrad CPC.

Vous avez pu le voir, c’est un jeu d’une dureté redoutable. J’ai pu voir un longplay de la version améliorée pour la gamme Amstrad CPC+ et qui ressemble pas mal à la version Commodore 64. Vous allez comprendre à quel point ce jeu est une purge.

Une suite sera développée et sortira en 1990, sortant pour les mêmes plateformes mis à part le MSX2. Il était encore plus dur que le premier volet, mais il y avait un truc en plus. Un monde supplémentaire que l’on ne pouvait débloquer qu’à condition d’avoir fini les quatre autres mondes dans l’ordre.

Inutile de dire que je n’y ai jamais touché 🙂

En vrac de milieu de semaine…

mardi 30 mars 2021 à 20:57

Un court billet, posté mardi soir et non mercredi matin, cause emploi du temps chargé en ce moment.

Côté informatique :

Côté culture :

C’est tout pour aujourd’hui.