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FredericBezies

source: FredericBezies

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En vrac’ culturel…

mercredi 8 août 2018 à 10:27

Un petit billet en vrac’ culturel pour changer un peu 🙂

C’est tout et c’est déjà pas si mal.

Bonne journée 🙂

Que sont-elles devenues les distributions GNU/Linux de 2013 ? Quatrième partie.

mardi 7 août 2018 à 10:23

Après le billet du mois de juillet 2013, lui aussi assez positif dans l’ensemble comme pour le bilan de juin 2013, voyons le bilan du mois d’août 2013 au bout de 5 ans…

Il faut dire qu’avec l’épisode caniculaire qu’on vient de passer, écrire pour le blog était une priorité assez basse 🙁

6 billets, 6 distributions citées. Deux sont mortes : la Parsix début janvier 2018 et la trollesque PearOS. Donc on reste dans le tiers de distributions qui nous a quitté… Une constante ?

On verra bien ce que la rentrée nous réservera.

Vieux Geek, épisode 133 : Gwibber, un client de micro-blogging multi-protocoles.

jeudi 2 août 2018 à 11:34

Si les clients de messagerie multi-protocoles sont assez répandus comme avec Pidgin dans le monde du libre, en ce qui concerne l’équivalent pour les micro-blogging avec des réseaux comme Twitter ou identi.ca, c’est plutôt le désert.

Il y a bien Choqok (qui dépend de bibliothèques liées à KDE), mais entre 2009 et 2012, un client GTK a existé. C’était Gwibber. L’annonce de la mort programmée de Corebird, un client twitter libre codé en gtk qui m’a fait me souvenir de Gwibber. Merci au Gnome Libre pour son billet de mai 2018.

Mais revenons à Gwibber. L’outil plus ou moins bien intégré à Gnome a été proposé par les versions 10.04 à 12.04 comprise. En allant faire un tour sur old-releases.ubuntu.com/ j’ai pu mettre la souris sur l’image ISO de la Ubuntu 10.04.4 alias Lucid Lynx et sur celle de la 12.04.4 alias Precise Pangolin.

J’ai donc installé les deux versions d’Ubuntu LTS pour montrer Gwibber en action.

Comme vous avez pu le voir, l’outil a été rapidement castré en terme de protocoles supportés. Comme je l’ai précisé dans la vidéo, il y a bien eu une forme de successeur sous le nom de Friends mais qui ne semble plus être développé depuis… 2013… Autant dire que les clients de micro-blogging, c’est pas un marché porteur…

Guide d’installation d’Archlinux, version d’août 2018.

mercredi 1 août 2018 à 09:07

Voici la cinquante-septième version du tutoriel pour installer une Archlinux, que ce soit avec une machine virtuelle, utilisant un Bios ou un circuit UEFI. Cette version rend obsolète celle de juillet 2018.

Note : des versions plus dynamiques sont disponibles sur mes espaces github et framagit.

Pour les captures d’écran, je suis parti d’une image ISO intermédiaire créée avec l’outil Archiso. Au moment où j’envoie l’article en ligne, le 1er août vers 9 h 15 du matin, l’ISO d’août 2018 n’est pas encore disponible.

Si vous avez besoin d’une image ISO en 32 bits, le projet archlinux32 vous en proposera une.

Côté environnements : Gnome 3.28.2, Plasma 5.13.x, Xfce 4.12.0 et Mate-Desktop 1.20.3 en gtk3. À noter le retour de Cinnamon et de Deepin Desktop, sans oublier une section consacré à Trizen, remplaçant de yaourt.

NB : si vous voulez faire une installation avec l’UEFI, il faut utiliser cgdisk, gfdisk ou gparted, et créer un partitionnement GPT. Sinon, ça plantera !

Ce n’est pas un tutoriel à suivre au pied de la lettre, mais une base pour se dégrossir. Le fichier au format zip contient :

Le guide en question est sous licence CC-BY-SA 4.0 à compter du mois de mai 2016.

Bonne lecture et n’hésitez pas à me faire des retours en cas de coquilles !

Vieux Geek, épisode 132 : Powerslave / Exhumed, un ancêtre oublié de Duke Nukem 3D ?

lundi 30 juillet 2018 à 19:48

Pour les personnes ayant connus les premiers FPS, il y a une série de titres au-dessus des autres. En dehors du trio Doom, Doom II et Duke Nukem 3D, le reste ne valait pas tripette.

Il y avait bien eu l’exception Rise of The Triad – évoqué dans l’épisode 120 de cette série de billets – mais rien de vraiment mieux durant cette période qui court de début 1994 à début 1996.

Si Duke Nukem 3D a été révolutionnaire à cause du Build engine développé par Ken Silverman, papa de Ken’s Labyrinth – comme évoqué en janvier 2016 – Duke Nukem 3D n’a pas été le premier à l’utiliser.

Du moins, un jeu connu sous le double nom de Powerslave (États-Unis) ou Exhumed (Europe) et sorti en 1995 par Lobotomy Software a été l’utilisateur d’une préversion du Build Engine… Préversion franchement castrée sur tout au niveau de limitation de l’affichage. Peu ou pas de forme « arrondi », mur uniquement à 90°, bref, pas la joie.

L’histoire du jeu ? On se retrouve à Karnak à la fin du 20e siècle. On doit libérer le site d’envahisseurs, les Kilmaats. Non seulement le jeu est très dur, mais il est d’une laideur effroyable. Sans oublier des niveaux d’une longueur effroyable et l’obligation de passer par des points de sauvegardes 🙁

Que du bonheur comme vous avez pu le constater. Il est normal que ce titre se soit perdu dans la liste presque sans fin des nanars des FPS. Pour tout dire, l’enregistrement de la vidéo m’avait prodigieusement gonflé… On se demande pourquoi, hein ? 😀